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 (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé)

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Jean E. Sylar
Jean E. Sylar
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MessageSujet: (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé)   (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé) EmptyLun 6 Mar - 17:57


La vérité, c'était qu'elle était morte.
quête en solitaire


Chapitre I, jour un (06/03/2017)
Elle était morte. Morte pour de bon. Au yeux de la loi, Jean Sylar et son fils Jack-Julian Sylar avait tous deux trouvés la mort dans un tragique incendie il y a quelques semaines. Et depuis... Depuis elle était morte. Seul quelques hauts placés à la colonie et au camp Jupiter avait été mis au courant de sa situation, mourir était un leurre pour échapper à ceux qui a traquait. Elle avait pris ses distances avec les camps pendant trois semaines mais elle sentait bien la situation empirer. Son fils grandissait à une allure folle, elle ne pouvait pas se planquer éternellement avec lui. Alors elle avait pris la décision d'arrêter de courir. D4arrêter de sa planquer, et de vivre normalement. Après tout, elle le pouvait, ses ennemis la pensant morte, elle était en sécurité tant que sa tête ou son nom ne refaisait pas surface en dehors d'une éloge funèbre. Le Camp Jupiter était donc devenue son refuge. Ici les gens avait eut comme mot d'ordre de ne rien laisser passer sur sa présence, et elle même s'était faite discrète. Elle avait obtenue un petit logement à la Nouvelle-Rome, et Jack-Julian avait à présent un vrai toit sur la tête. Mais Jean Sylar n'était pas Jean Sylar sans sa curiosité grandissante, son envie de comprendre. Alors un beau jour, elle avait confié Jack-Julian à la sœur de Sebastian Johansen et était partis. Elle en avait que pour quelques jours lui avait t-elle assuré. Son fils n'avait pas pleuré, sans doute trop habitué maintenant à se faire balader de main en main. Elle avait fait son sac, prit son courage à deux mains et du courage, elle n'en avait jamais manqué, et elle s'en était allée.

Jean Ellen Sylar avait sentie que cela était la pire idée de sa vie dès lors qu'elle fut monté dans son véhicule, qu'un certains Jules lui jurait avoir acheté pour quedal. Elle penchait plus sur l'hypothèse du vol mais avait tout de même accepté la petite Ford, d'une couleur étrange oscillant entre le bleu et le violet, qui devait au moins avoir son âge. Peu importe. Son plan était très simple. Enquête, découvrir le DLCEM. Elle n'était pas stupide, ils avaient un nom maintenant, mais elle, avait plus. Elle avait le cas d'Aurèle. Un agent double, et ça, elle comptait bien en savoir plus. Évidement qu'elle n'avait pas dit à tout de le monde qui était le père. Pour les gens, c'était un autre demi-dieu. Elle n'avait pas vraiment de plan, juste une destination où elle se doutait qu'elle pouvait apprendre deux ou trois choses. Elle n'avait pas hésité longuement avant d'opter pour une des bases que certaines demi-dieux avait découvert. Elle savait d'après les sources romaines que les bases pouvait receler d'indices. À Scranton, elle savait que deux légionnaires qu'elle avait eut le loisir de croiser s'y était rendu et avait longuement entendu parler de la base, de A à Z. Alors elle avait opté pour l'autre (Salem) qui d'après leur renseignement renfermait plus d'agents, de taille plus conséquente.

Sa voiture avait beau rouler convenablement, elle avait froid. Elle avait beau avoir fixé un bonnet sur sa tête, enroulé une longue et chaude écharpe autour de son coup son souffle dégager quand même cette petite buée très agaçante quand elle conduisait. Alors oui, elle avait bien compris que la voiture mettait tout son temps pour ce chauffer. Mais à son retour, Jules allait l'entendre hurler. Mais ce n'était pas grave. Non, pas grave du tout puisqu'elle s'était bien organisée. Et qu'elle pouvait bénir les enfants d'Iris qui pouvaient voyager grâce aux arc-en-ciel, aux portail coloré ou elle ne savait trop quoi de sa mère. Sur le coup elle fit jouer ses relations et pour s'épargner plusieurs semaines de route, à se geler dans sa vieille voiture, utilisa le pouvoir d'une de ses demi-sœur qui la conduisit au porte de la ville.

« Aller ma fille nous y sommes. »

Trouver des informations. Juste trouver des informations. Et faire attention pour rester incognito. Elle se concentra quelques instants, le temps pour ses cheveux de se colorer en quelque chose de différent, rouge foncé ferait l'affaire. Elle avait revêtue une tenue de parfait touriste, plan, guide touristique et appareil photo à l'appui. Par prudence elle avait garé sa voiture loin de l'endroit qu'elle était supposé observer. Dans son sac elle n'avait pas oublié son arme, ni son pack de premier secoure du demi-dieux en vadrouille. La ville de Salem était déserte à cette époque de l'année. Enfin, une chance pour elle, quelques personne se baladait dans la rue et elle vit même un groupe de touriste passer à quelques mètres. Sans doute des fans de sorcellerie ou quelque chose dans le genre. Beaucoup venait pour ça. Elle comprenait l'installation d'une base dans un tel endroit, ils devaient être tranquille, peu dérangés.

« Hé ! Toi, reviens dans le groupe ! »

Un garçon blondinette, avec des joues rouges et de tailles impressionnantes, la tira vers eux, tout sourire. Il ne mit pas longtemps à comprendre qu'elle ne faisait pas partit de leur groupe, mais haussa les épaules et lui plaqua un badge sur son manteau et lui colla une étiquette sur la manche.

« Tu vas voir, on visite des trucs vraiment géant ! »
« Je heu... D'accord... »

Elle devait au moins jouer le jeu, avec un peu de chance, ils feraient le tour complet de la ville et elle tomberait bien sur l'endroit désiré. Elle sourit, baissant les yeux sur son badge qui indiquait « Première chasse aux sorcières » et à son étiquette « GROUPE DE GREG » qui devait être le guide. Il était vrai que la visite était intéressante, dans un premier temps le guide les réunit sur une petite place où il parla quelques temps d'une colonie anglaise installé dans les parages et des premiers faits de sorcellerie. Au fond d'elle même Jean ne pu s'empêcher de penser que peut-être à l'époque ces gens avait eu à fait à de potentiels demi-dieux. Le gars qui l'avait rameuté dans le groupe avait l'air tout existé et, tout en lui tendant une grosse poche de chips qu'elle refusa poliment, il se lança dans ses propres histoires sur la sorcellerie. Ce fut alors qu'elle la vit, la rue, la rue où elle devait se rendre. Le garçon suivit son regard et murmura à voix basse.

« Il paraît qu'il y a eu boucherie par là-bas... »
AVENGEDINCHAINS


LANCER DE DÉS.
Oui, quand Jean se rend à la base, un monstre l'attaque.
Non, pour le moment, rien d'anormal, elle se rend à la base, pas de monstre dans les parages, elle commence sa fouille.


Dernière édition par Jean E. Sylar le Lun 6 Mar - 18:02, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé)   (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé) EmptyLun 6 Mar - 17:57

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MessageSujet: Re: (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé)   (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé) EmptyLun 6 Mar - 22:17


La vérité, c'était qu'elle était morte.
quête en solitaire


Chapitre I, jour un (06/03/2017)
« Ah oui ? »
« Ouais, genre, un jour, un gros boum. Et des blessés, des morts... Mais on a jamais vu de corps, c'est le plus étrange. Mais les gens déposent quand même des fleurs, c'est flippant moi je trouve. On savait même ce qu'il y avait là-bas visiblement. »

Jean se contenta hocher la tête en silence. Bien sûr qu'elle savait le drame qui s'était déroulé là-bas. Ils avait perdu l'une des leurs. Frédéric, un fils de Dionsyos qui avait été son ami autrefois avait fait partis du petit groupe qui avait survécu à cette horreur. D'ailleurs, la manière dont s'en était tiré les deux agents du DLCEM avait toujours laissé les gens perplexes. Des échos de cette mission, elle en avait donc eu, et un tas. Et tous lui avait froid dans le dos.

« C'est plus sympa d'écouter nos histoires vraies de sorcières, hein ? Ah, on y va ! »

A contre cœur elle suivit le garçon. Visiblement les gens du coin n'en savait pas plus, autant que les touristes qui venaient ici. Et tandis que le juge les menait dans les rues pavés de briques rouges, laissait éclater sa passion pour l'histoire de sa nation, Jean s'interrogeait. Personne n'avait jamais su ce que les gens faisait dans cet entrepôt ? En sois, c'était logique. Mais elle avait imaginé qu'il travaillerait sous couverture, qu'il ferait passer leur base pour une petite boutique ou quelque chose dans le genre... Mais non. Ils s'étaient imposés là, et puis c'était tout. Le manque de curiosité des gens d'ici l’agaçait quelque peu. Le musée de Salem ressemblait à une vieille église. Ou avait-il était aménage dans une élise, tout était possible ici. Quoi qu'il en soit, elle ne continuerait pas la visite guidée assez longtemps pour le savoir. Elle profita de sa dernière position au sein du groupe pour s’éclipser discrètement quand le petit groupe s'engouffra dans le vieux bâtiment de briques rouges.

Le garçon de la visite n'avait pas menti, il y avait bel et bien quelques objets commémoratifs, des fleurs et autres attentions déposés devant le sinistre bâtiment. Sinistre parce qu'il avait la façade noircie, un peu détruite aussi. Et devant on pouvait voir cette traînée noire elle aussi, des bouts de verres éclatés. Cela semblait presque trop vide pour une scène de crime, le garçon avait raison, elle avait été passé au peigne fin par des agents soucieux de ne rien laisser traîner. Elle enjamba donc les fleurs et tout le reste et poussa la porte qui ne lui opposa aucune résistance. L'endroit donnait la chaire de poule. C'était une ruine, ni plus, ni moins. Elle nota que les deux portes, dont celle qui donnait sur la cuisine et une autre sur des toilettes avait été enfoncées. Une véritable bataille avait eut lieu ici, et cela se sentait à plein nez. Cependant, comme pour l’extérieur, quelque chose clochait. Certes, on voyait bien que l'endroit avait souffert, qu'il y avait eu du mouvement. Elle inspecta les murs du regard pour y croiser des trous de balles. Balles manquantes évidement, elles avaient du servir à l'enquête qui avait du s'ouvrir après les faits. Mais pour elle, le DLCEM était passé bien avant pour arranger les choses. Évidement, ne pas se compromettre devait être leur mot d'ordre. La cuisine était dans un salle état. C'était comme si tout avait remué pour trouver un objet précis, comme si des personnes s'était débattu ici. Mais aucune trace de sang, rien. Cependant, alors que la scène de crime semblait avoir été recomposé et brossée au poil fin, elle nota la présence d'un tissu qui semblait avoir été oublié sur la scène. Avec du sang. « Aller Jean, bouge toi, t'es là pour trouver des preuves non ? » Un frisson lui parcouru le dos et elle sortis de la macabre cuisine avant de grimper à l'étage. Déjà ce dernier semblait avoir plus épargné. Moins de casse, mais plus de poussière ici, comme si le temps avait passé plus vite ici. Elle arriva dans ce qui semblait être un bureau, autrefois sans doute bien rangé mais complètement en pagaille aujourd'hui. Là aussi, ils avaient du ou vouloir brouiller les pistes ou chercher avant elle leurs documents importants.

« Wouah, mais t'es super folle toi ! »

La voix du garçon la fit sursauter et, prise de panique, elle lui balança le premier objet qui lui passait sous la main, à savoir, une agrafeuse qui partit en morceau tout près de son nez retroussé.

« Hé, hé doucement ! »
« Tu m'as suivis ? »
« J't'ai pas vu, alors j'ai deviné que tu étais venus ici. Tu fais quoi ? T'aime visiter les lieux macabres ? On va trop bien s'entendre ! »
« Non non, il n'y a pas de toi et moi écoute je... »

Le plancher grinça. Mais pas sous leurs pieds. Non, à l'étage d'en dessous.
AVENGEDINCHAINS


LANCER DE DÉS.
Oui, il semblerait qu'un agent soit de mise dans la partie.
Non, pas d'agent, mais un monstre qui vient de se glisser dans la maisonnet, par l'odeur alléché.
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MessageSujet: Re: (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé)   (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé) EmptyLun 6 Mar - 22:17

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MessageSujet: Re: (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé)   (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé) EmptyMar 7 Mar - 9:33


La vérité, c'était qu'elle était morte.
quête en solitaire


Chapitre I, jour un (06/03/2017)
Aussitôt Jean fut alerté. Ils était pourtant seuls, non ? Et la rue était déserte. Peut-être qu'un de leur agents était resté en poste ici ? Non, c'était totalement improbable… Ils ne resterait pas ici, des moi après la tuerie. C'était donc autre chose. Et tandis que le garçon allait repartir sur une de ses explications (dont elle ne voulait pas entendre parler) comme quoi ils devaient rester ensemble pour former un super duo ou elle ne savait trop quoi, elle mit un doigt sur sa bouche, lui signifiant d'arrêter de causer quelques secondes, ce qu'il fit, imitant son geste d'un air boudeur. Elle attrapa son sac et fouilla quelques instant avant d'en retirer son arme. Bon, pour ses fouilles elle reprendrait plus tard, elle avait trouvé quelques papiers poussiéreux, dont un à moitié brûlé, elle avait alors considéré ça comme suspect.

« Wow, tu te ballades souvent avec un gourdin dans le sac toi ? »

C'était vraiment un mortel jusqu'au bout des doigts lui. Elle leva les yeux et au ciel et lui fit signe de la suivre, discrètement. Nul doute que son poids ferait grincer le plancher, il était rond comme une barrique mais peu importe. Elle ne laissait pas ici. C'était pet-être dangereux pour lui aussi après tout. Et visiblement il était ravie de suivre une fille qui se baladait avec un « gourdin » dans son sac. Quoi de plus normal ? Elle descendit l'escalier, s'appliquant à faire le moins de bruit possible, ce qui n'était pas le cas de son compagnon qui faisait craquer les marches à chacun de ses pas. Au rez-de-chaussé, personne. Avait-elle rêver ? Fuir pendant des mois l'avait sans doute rendu un peu paranoïaque. À force de voir le mal partout… Et alors qu'elle commençait à relâcher la pression, une silhouette émergea de l'ombre. Du placard à balai plus exactement. C'était une petite femme, qui avait de long cheveux roux ondulant jusqu'au bas du dos, des yeux verts en amande et une bouche en cœur. Aussitôt son instinct lui hurla de fuir. Et d'ailleurs Jean garda son arme en main. Et évidement, le mortel lui, eut une toute autre réaction.

« Hé, salut toi ! »

Bon sang. Il était bête comme ses pieds ou... ? Il s'avança vers elle, comme pour faire connaissance, visiblement heureux de croiser une si belle créature dans les parages. Et bien évidement, trouver une femme aussi impeccable dans les ruines de cette maison sordide lui paraissait… Normal ? La fille n'ouvrit pas tout de suite la bouche. Non elle se contenta d'afficher un sourire (qui se voulait sans doute charmeur, mais Jean le trouvait plus niais qu'autre chose, quoi qu'elle tentait d'opérer, le charme n'eut aucun effet sur elle) et rigola doucement. D'accord, s'était flippant là. Elle tira le garçon vers elle, l'envoyant au sol (mais son fessiers amortis sans doute la chute). Sonné, surpris, il protesta et elle hésita à lui donne run coup d'pée pour avoir la paix.

« T'es qui toi ? »
« C'est à moi de vous poser la question, que faite vous ici, c'est interdit de rentrer dans la maison. »

La femme avait les yeux rivés sur son arme. Ah, sans doute ne voyait-elle pas un gourdin comme l'autre andouille, mais quelque chose de plus original. Comme une épée par exemple ? La fille d'Iris venait d'avoir la confirmation même qu'elle ne se trouvait sans doute pas devant une charmante jeune femme mais devant une quelconque créature. Évidement la brume agissait pour le moment. À moins qu'il s'agisse de sa couverture, certains monstre adoptait toujours une allure humaine pour attirer mortels et demi-dieux dans leurs filets. Elle remua la pointe de son épée sous son nez, menaçante.

« Toi là… - elle s'adressait au garçon, toujours par terre – va t-en, vite ! »
« Mais je... »
« Non, tout de suite ! »
« Enfin mes enfants... »

La voix n'était plus vraiment rassurante à cet instant. Et l'autre ramollo du le sentir aussi puisqu'il se releva, épousseta son tee-shirt et recula d'un pas. Et le masque tomba progressivement. Le visage pâle de la jeune femme changea lentement, de manière tut à fait terrifiante et les doigts de Jean se resserrèrent sur son arme. Bon sang pourquoi était-elle tétanisé maintenant ? Peut-être parce qu'en un an, elle avait eu la chance de ne croiser aucun monstre ? Sauf une stryge ou deux, mais c'était le genre de monstre facilement à battre quand on avait compris comme ils fonctionnait. Hors là, elle avait déjà compris à quoi elle avait à faire. Tout collait ; le lieu de vie, apparence… Son visage passa de quelque chose frais à quelque chose de terne, grisâtre, presque transparent. Bien sûr, les empuses étaient des spectres. Enfin, un type de spectres. Autrefois si sa mémoire était bonne, elles formaient le cortège d'Hécate. Ce qui donnait bien une idée de la créature en face de laquelle elle allait se retrouver d'une minute à l'autre.

« Une… Une sorcière ! »

Bon sang. Lui, il ne l'aidait pas. Et en un éclair, le monstre ouvrit la bouche dévoilant une rangée (ou deux?) de dents pointues et parfaitement taillées, et se jeta sur le petit gros en poussant un hurlement. Alors que Jean abattit son épée à ce moment là, elle lui croqua la main et le garçon hurla, lui tapant sur la tête. Jean lui donna plusieurs coups d'épée avant qu'elle daigne s'intéresser à elle. Il était vrai qu'elle s'intéressait d'abord aux hommes, mais une demi-déesse avait l'air de la tenter aussi. Bon sang comment elles mourraient ces choses là ? Sa chevelure de flamme devint flamme pour de bon et le garçon poussa un hurlement strident, que voyait-il à présent ? Sa jambe de bronze traîné sur le sol faisait un bruit sourd et Jean avait beau la menacer, l'empuse la fixa d'un air malicieux.

« Sorcière ! »

Et elle assista à l'attaque la plus étrange de sa vie, puisque le garçon lui jeta de l'eau à la figure. Et visiblement, l'empuse n'apprécia pas. A chevelure s'éteignit quelques seconde avant de s'enflammer de nouveau mais la diversion avait fonctionné, Jean lui enfonça son épée dans le ventre. L'empuse hurla, Jean attrapa la main valide du petit gros et le tira hors de la maison. Ok, elle devait se barrer d'ici, et rapidement.
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Oui, ils quittent la maison, l'empuse ne les suit pas.
Non, ils quittent la maison mais le monstre les pourchasse.
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MessageSujet: Re: (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé)   (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé) EmptyMar 7 Mar - 9:33

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MessageSujet: Re: (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé)   (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé) EmptyMar 7 Mar - 18:39


La vérité, c'était qu'elle était morte.
quête en solitaire


Chapitre I, jour un (06/03/2017)
Le garçon suivait et Jean courait. Elle allait devoir lui demander son prénom, chose plutôt pratique puisqu'il semblait obstiné à la suivre partout où elle mettait les pieds. Et bien c'était à ses risques et périls, elle ne lui avait rien demandé.

« Ma main ! Ma main ! »
« Tais-toi et cours ! Ma voiture ne doit pas être loin ! »

La monstre était sortis de la maison en hurlant. D'accord, visiblement le coup d'épée dans le ventre n'avait pas suffis, elle se tenait les côtés desquels s’échappait un liquide d'une couleur inqualifiable et hurlait de rage. Au moins sa blessure allait peut-être la ralentir ? Elle n'avait pas le temps d'émettre des hypothèses, encore moins de s'arrêter de de calmer cet abrutit qui tenait toujours sa main ensanglanté entre ses doigts, pleurnichant, traînant des pieds. Bon sang c'était bien sa veine, elle se lançait une mission et les dieux semblaient lui mettre des obstacles dès le début ! Et quel obstacle, elle aurait préférait un cyclope plutôt qu'un fanatique des sorcières de Salem. Enfin sa voiture apparu, juste là, dans la rue suivante. Pas une minute à perdre, elle sortit ses clef, ouvrit la portière.

« J-Je viens avec toi ! Elle va me manger ! »
« Monte, aller ! »

L’empuse sauta sur le coffre mais Jean ne perdit pas tout son sang froid. Elle fit vrombir le moteur (qui fit par ailleurs un bruit un peu inquiétant) et fit une grande marche arrière. Sur plusieurs mètres. Un crac sonore se fit entendre mais la jeune femme ne s'arrêta pas ne si bon chemin. Non non. Puisque les freins de sa voiture semblait capricieux et que repasser la première était visiblement compliqué la voiture continua de descendre la rue en arrière, traînant un corps d'empuse aplati, roulant sur des os... et fonçant tout droit sur le groupe de touristes qui sortait du musée. Elle les voyait bien, dans son rétro centrale. Et sa pédale faisait toujours grève. Oh ce fils de Mars allait mourir à son retour.

« On va mourir ! Aaaargh ! Maman ! »

Ce type devait sortir tout droit d'une comédie c'était pas possible autrement. Et alors que le groupe de touriste vit enfin la petite ford leur foncer dessus, ils poussèrent de grands cris, se jetant sur le bas côté. Jean ferma les yeux, tentant pour la dernière fois de freiner. Et le choc fut rude. Le garçon fut projeté en avant, il se cogna à la vitre, la fissurant au passage, mais Jean était aux anges. Elle n'avait tué personne et elle avait réussis à freiner. À deux mètres du guide Greg, certes, mais il était toujours bien là. En chaire et en os. Elle repassa alors la première qui avait décidé d'arrêter de faire des sienne et redémarra, écrasant encore une fois le corps de l'empuse.

« Ma main... Ma main... »

Embarquer dans la voiture d'une inconnue qui se baladait avec un « gourdin » ne semblait ps le gêner, mais sa main en revanche... certes, elle avait une drôle de tête. Elle attendit d'être sortis de la ville pour se garer près d'un fossé. Paniqué il lui tendit sa main, comprenant qu'elle venait de s'arrêter pour lui. En soupirant elle sortis sa boite de secours. L'ambroisie n'aurait pas d'effet sur lui. Elle pouvait toujours désinfecter la plaie (qui formait un arc de cercle de petit trous) et lui bander sa pauvre main.

« J'ai vu une sorcière, mon dieu... »
« Putain, c'était pas une sorcière... »
« Mais... Les cheveux de flammes, tout ça ? »
« Alors tient toi tranquille. »

Il lui tapait sérieusement sur le système là. Mais bon. Elle fit ce qu'elle avait à faire presque à contre cœur. Son temps était compté, elle avait un fils qui l'attendait là-bas, à la Nouvelle Rome.

« T-Tes cheveux... »

Ils avaient du reprendre leur couleur d'origine. Un peu de concentration et ils se teintèrent à nouveau de rouge foncé. Et visiblement s'en fut trop pour le jeune homme. Sa mâchoire se décrocha presque et il retint un cri. Elle le sentait. Elle vit la main du garçon chercher la poignet de la voiture et elle eut presque envie qu'il réussisse son coup. Qu'il parte, qu'il lui fiche la paix. Elle n'avait jamais été bonne en ce qui constituait à dire aux gens qu'ils lui tapaient sur le système. Sauf que non. Ce gars était un clown et comme tous les clowns en puissance, il rata sa sortie. Il ouvrit la portière, oui. En poussant un « ha ha » triomphant. Mais il se cassa la figure dans le fossé. Elle ferma sa portière et sortit de son côté.

« Ne... Ne me fais pas de mal sorcière... »
« Tu devrais aller à l’hôpital. Avant que ça s'infecte. »
« Tu... Tu vas pas m’ensorceler ? »
« Je... Quoi ? Bon écoute. Je sais même pas comment tu t'appelles mais tu n'as qu'à m'oublier, ok ?  Va te faire soigner. »
« Harry, moi c'est Harry. »
« Hé bien Harry, Je jure solennellement que mes intentions ne sont pas mauvaises. »

Il n'avait pas l'air convaincus. Mais elle s'en fichait pas mal.

« Tu as un portable ? »
« Oui.. »
« Alors appelle les secours et dis qu'un animal t'as mordu. Aurevoir Harry. »
« Attend ! »

Non, elle n'attendit pas. Si c'était pour qu'il lui demande son prénom comme dans les films et rejouer la fin d'un western ou elle ne savait trop quoi, non merci. Impassible elle alluma le moteur et redémarra. Elle avait jeté un coup d’œil à ses papiers à moitié brûlé. Seul un nom de ville en était ressortit. Elle était en route pour les chutes du Niagara.

Chapitre II, les chutes du Niagara (07/03/2017)
Elle n'avait jamais visité cet endroit. Et c'était dommage, parce qu'il était fantastique. Un jour peut-être, quand les choses iraient mieux, elle y emmènerait Jack-Julian. Peut-être irait-elle avait Aurèle ? L'ambiance était si douce, et les paysages magnifiques. Mais aujourd'hui elle n'était pas là pour profiter du spectacles que des milliers de touristes venaient voir toutes les semaines. Non, elle était en mission et elle en l'oubliait pas. Elle n'avait rien d'autre, mise à part cette indication qu'une base pouvait potentiellement se trouver ici. Ou alors elle se trompait lourdement et il n'y avait qu'ici qu'un foyer de demi-dieux ou quelque chose dans le genre ? Aller Jean, ma vieille, en route. Comme la dernière fois, elle laissa sa voiture (même pas abîmé par le choc, comme quoi elle était bien solide) un peu à l'écart dans un endroit discret. Elle ne craignait pas tellement qu'on le lui la vole mais... Il fallait toujours être prudent. La météo jouant en sa faveur (le vent, et la neige qui commençait à tomber en ce mois de Mars) elle pouvait dissimuler une partie de son visage sous une écharpe épaisse et un bonnet. La base n'avait rien de planqué, puisqu'elle se trouvait à côté d'une usine de traitement des eaux. Mais Jean ne préféra pas s'y rendre tout de suite. De là où elle se trouvait (le petit observatoire de la ville) elle avait un bon panorama de tout ce qu'offrait la ville. Et alors qu'elle lisait un plan (vraiment pas clair au passage à, quelqu'un lui tapota sur l'épaule.
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LANCER DE DÉS.
Oui, il s'agit d'u demi-dieu, qui a reconnu un des siennes.
Non, il s'agit d'un agent, mais ce dernier pense avoir à faire à une touriste et veut lui demander d'évacuer les lieux.


Dernière édition par Jean E. Sylar le Jeu 9 Mar - 19:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé)   (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé) EmptyMar 7 Mar - 18:39

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MessageSujet: Re: (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé)   (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé) EmptySam 11 Mar - 14:07


La vérité, c'était qu'elle était morte.
quête en solitaire



Chapitre II, les chutes du Niagara (07/03/2017)
La main appartenait à un garçon, qui devait avoir tout au plus deux ans de plus qu'elle. Il avait des cheveux bruns en broussailles, d'épais sourcils et un sourire jovial. Sauf que son visage, aussi sympathique soit-il, ne parvenait pas à la rendre moins nerveuse. C'était qui et il voulait quoi ? Elle rejeta sa main et recula d'un pas.

« Hé, doucement ! J'te veux aucun mal... On est pareil. »
« Je ne vois pas de quoi vous voulez parler. Vous devez vous tromper de personne. »

Elle fit mine de se replonger dans son plan, en lui tournant le dos. L'endroit n'était pas sûr, et il fallait qu'elle croise la personne la plus étrange du coin qui balançait des phrases lourdes de sens quand on était un demi-dieu. Elle devait faire profil bas, et si c'était une ruse de la part du DLCEM pour l'amener à se faire découvrir ?

« Ma mère est Hécate. Et je reconnais les gens comme nous, c'est un don que j'ai », rajouta t-il en baissant d'un ton. « Et tu n'es pas en sécurité ici, crois moi. Ça grouille de monstres en tous genre. »

Elle soupira, baissa son plan et tourna les talons, lui faisant face. Fils d'Hécate hein ? Intéressant. Ils avaient toujours des pouvoirs géniaux eux. Pas comme les enfants d'Iris. Ceux qui pouvait voyageait sur les arc-en-ciel s'en sortaient bien, mais ceux qui héritait de dons plus fantaisistes comme elle... Merci bien. Oh, elle n'en avait jamais voulu à sa mère pour ça, parce qu'elle avait compensé avec une dose de courage et de bon apprentissage au combat. Le garçon lui fit signe de le suivre et Jean, d'abord méfiante, obtempéra finalement. Dans le pire des cas, son arme était là, à portée de main, elle saurait se défendre.

Le garçon habitait dans un appartement de taille modeste et terriblement épuré au niveau de la décoration. Plusieurs fois elle du contrôler ses pulsions, et tenter de se raisonner pour ne pas tout recolorer à sa sauce. C'était plus fort qu'elle, dès qu'elle rentrait dans un endroit trop simple, trop austère, elle avait des envies de couleurs. Maudites pulsions d'iris, déesse des arc-en-ciel.

« Je m'appelle Martin au fait, et toi ? » « Ellen. »

Elle préférait user de son second prénom, on était jamais trop prénom. Et puis elle avait toujours était nulle pour l'improvisation rapide comme ça. Il lui proposa une tasse de café, et comme tout américain qui se respectait, lui en offrit une portion digne de ce nom.

« Tu es ici depuis longtemps ? » demanda t-elle.

Elle était curieuse, elle avait du mal à s'imaginer une vie ici pour un demi-dieu. Si l'endroit grouillait autant de monstre qu'il le disait, si le DLCEM avait une base ici... La vie ne devait pas être de tout repos. Elle devait être au contraire dangereux, exténuante.

« Deux ans, depuis que j'ai quitté la Colonie pour rejoindre ma copine. J'me suis fait largué mais... J'me suis attaché à l'endroit. Et puis, mon don est plutôt pratique, dès que de nouveaux arrivants comme toi et moi arrivent, je me hâte de les trouver, et je les préviens. J'peux aussi changer ma tête, et celle des autres. Enfin, tout le corps, un caméléon quoi. A sert d'avoir une mère magicienne. Alors, qu'est ce qui t'amène ici ? » « Le DLCEM. » « Rien que ça, et tu voyages seule ? » « Je préfère, oui... » « Tu sais, si tu as besoin d'aide, je connais la ville comme ma poche. Et je vais pas dire non à une occasion de venger mes frères. » « Je viens pour trouver des information, pas organiser un raid je... Je veux en savoir plus, et ramener tout ce que je sais à la Nouvelle-Rome. »

Martin avala une immense gorgée de son café et haussa les épaules. Oui, la vengeance un autre jour. Elle voulait en savoir plus, et c'était déjà beaucoup. Elle se devait de trouver plus d'information concernant l'organisation du DLCEM. C'était en en sachant plus sur leurs ennemis qu'ils parviendraient à mieux les cerner, et à frapper plus fort.

« Tu peux rester ici si' tu veux. Et je me porte volontaire pour t'aider. Je sais où est leur base, et je peux toujours servir à quelque chose dans ta... récolte d'information. » « Merci Martin. »

Elle en profita pour refaire le plein de provision, reprendre des forces. Après tout elle manquait de sommeil, et elle avait grand besoin d'une douche.

Chapitre II, les chutes du Niagara (08/03/2017) 
Le lendemain, il était prêt aux aurores. Martin était quelqu'un de matinal, un véritable bout en train. Heureusement pour elle, elle n'allait pas se traîner un énième boulet. Celui de Salem lui avait suffis amplement. Et puis il avait des dons utiles, qui était toujours plus utile que les siens pour se camoufler aux yeux des mortels, ou même de certains monstres. Comme promis, il la guida à la base. Martin l'avait prévenu, ils y étaient nombreux. Il en comptait plus e nombre de type étrange qu'il avait vu sortir de là. Mais il était toujours resté prudent, après tout, il voulait juste vivre en paix dans un endroit sympa.

« Alors, comment tu compte rentrer dans leur forteresse ? »

Excellente question  que son ami avait là. Évidement qu'elle ne pouvait pas rentrer ni vu ni connu. Armés comme ils l'étaient, ils devaient posséder des armes ou des capteurs qui les préviendraient aussitôt si un demi-dieu osait mettre les pieds dans leur bâtiment.

« On peut rentrer par la grande porte. » « Ça va pas ?! » « Je peux nous camoufler deux minutes. Pas plus. Après, faut que je me recharge un peu... » « Ça nous donne deux minutes pour rentrer, admettons qu'on y arrive, tu vas prendre le visage de qui ? » « Suffis que je regarde qui rentre, ça devrait pas être trop compliqué. » « Imagine qu'ils usent de badge, ou je ne sais trop quoi.. » « Dans ce cas, tu sais ce qui nous reste à faire ? Attendre ici. On choisis deux candidats. Et après on... » « C'est dangereux ton idée là. » « Tu vois autre chose pour rentrer peinard ? » « Pitié Zeus, ai pitié de nous... » murmura t-elle.

L'idée de Martin était... Brillante d’un certains point de vu mais plus dangereux que tout ce qu'elle avait déjà du affronter. Ils restèrent planqué toute la journée, attendant de voir les bon candidats se profiler à l'horizon. Ils s'étaient mis d'accord pour en pas s'attaquer à ceux qui avait gabarie hors normes, ou ceux qui avait de vilaines têtes de méchants. Non, ils visiteraient les faibles... En quelque sorte. Et enfin, ils se pointèrent. Les élus. Enfin, les élus... Martin avait insisté pour qu'ils les prennent en traître loin de le leur lieu de travail. Et l'occasion se présenta quand ils décidèrent d'aller manger un bout. Prendre un couple (ou duo) étaient une bonne idée, en tout cas Martin avait vu juste, ils n'étaient pas très effrayant. Elle espérait juste ne pas être tombé sur les deux secrétaires de service.

« Ils vont se garer... » « Alors c'est à toi de jouer, montre moi c'que tu sais faire. »

Elle ne pouvait pas se rater. Pour une fois qu'un de ses dons allait lui servir à autre chose que refaire la déco, c'était le moment ou jamais. Alors elle s’avança, les paumes en avant et frappa un grand coup.
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Oui, le pouvoir d'explosion arc-en-ciel fonctionne à merveille.
Non, le pouvoir de Jean ne fonctionne pas bien...
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MessageSujet: Re: (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé)   (quête solo) La vérité, c'était qu'elle était morte. (terminé) EmptySam 11 Mar - 14:07

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