01. •• QUE PENSEZ-VOUS DES DIEUX ? ET DES CAMPS ? Ils existent ? Entre un père divin et une mère lointaine descendante d’un autre dieu, j’étais élevé dans la connaissance de leur existence, et surtout j’ai appris à ne pas les mettre en rogne, même dans les moments où ils ne se montrent pas digne de respect. Je suis assez diplomate pour me la fermer quand il le faut et ne pas me faire d’ennemis immortels. Quand aux camps, je trouve que leur existence est une bonne chose bien sûr. Sans eux, qui sait combien de demi-dieux ne se verraient jamais atteindre l’âge adulte.

02. •• POURQUOI NE PAS ÊTRE À LA COLONIE/CAMP JUPITER ? Parce que les jeunes sont idiots. Cœur brisé du haut de mes dix-huit, presque dix-neuf ans, j’ai quitté le Camp dès que j’ai pu, persuadé que je ne pourrais pas vivre en voyant l’objet de mon amour avec un autre. Mes études militaires et l’armée m’ont pris toutes années qui ont suivi à vrai dire. Et même si je ne regrette pas mon choix de devenir médecin militaire, je ne peux m’empêcher de me dire que ça n’aurait pas été si terrible à vivre que de rester là-bas. Peut-être que je vais y retourner maintenant que j’ai quitté le service actif. Je n’ai encore rien décidé après tout.

03. •• AVEZ-VOUS ENTENDU PARLER DE L'INTRUSION DE MORTELS AU SEIN DE LA COLONIE DES SANGS-MÊLÉS ET DU CAMP JUPITER ? ET DE L'ATTAQUE LORS DE LA FÊTE DE MONSIEUR D ?  J’en ai eu des vagues échos quand j’étais en service, mais occupé comme je l’étais à soigner mes camarades blessés au champ de bataille sur le sol étranger, je n’ai guère eu le temps d’y penser jusqu’à maintenant. Désormais je ne peux m’empêcher de me poser milles questions, et d’essayer de rattraper le temps perdu en me renseignant auprès de tous mes contacts connaissant l’existence des dieux, des camps, et surtout de cette organisation appelée DLCEM. Il s’est passé beaucoup de choses d’après ce que j’ai compris, et il y a eu beaucoup de morts, qui me font regretter de ne pas avoir le don d’ubiquité, pour pouvoir avoir été avec eux, et aussi mes frères d’armes de l’armée.  

04. •• VOUS SENTEZ-VOUS PARTICULIÈREMENT EN DANGER OU DÉMUNI FACE À CETTE MENACE INVISIBLE ET IMPRÉVISIBLE QU'EST LE DLCEM, VOUS QUI ÊTES ISOLÉ À L'EXTÉRIEUR ? (AVANT ÉTÉ 2017) ET MAINTENANT, QUE PENSEZ-VOUS DE LA PRESQUE DISPARITION DU DLCEM DES RADARS ? A l’époque et jusqu’il y a peu, j’avais d’autres dangers à combattre, des terroristes, des ennemis de notre nation d’une part et des blessures mortelles des autres soldats à soigner d’autre part. Alors non, je ne me suis pas senti plus en danger que je ne l’étais ou démuni puisque je ne pensais guère à eux. Désormais je me pose bien des questions et je ne suis pas rassuré de leur silence radio. Mon expérience me dit que lorsqu’un ennemi a dépensé autant de temps, d’énergie et de ressources pour s’attaquer à vous, il ne s’arrête pas avant d’avoir été totalement détruit, surtout quand ils sont suffisamment cruels pour s’en prendre à des enfants, une chose que je ne peux pas leur pardonner.

PSEUDO/PRÉNOM •• Lazy Bee. ÂGE •• 26 ans. COMMENT AS-TU CONNU MALUM DISCORDIAE ? •• J’en connaissais l’existence depuis longtemps mais maintenant que j’ai repris le RPG, j’ai eu envie de venir vous rejoindre. COMMENT TROUVES-TU LE FORUM •• Très beau, et j’adore le contexte qui permet de développer des demi-dieux âgés. Il manque peut-être un peu d’activité, mais c’est pas plus mal pour moi vu que je sors tout juste d’une pause RPG . AVATAR •• Jeremy Renner. SOUHAITES-TU UN PARRAIN ? •• Je pense pas que ce soit nécessaire mais merci . SI JAMAIS JE PARS •• j'autorise que les admins se servent de mon personnage entant que pnj dans les intrigues à venir. UN DERNIER MOT •• A bientôt en RP j’espère !

Phoenix

Il m’est arrivé tellement de choses au cours de mes quarante années d’existence, que les huit premières se sont quelque peu effacées de ma mémoire. Les souvenirs que je garde de cette époque concerne principalement ma mère, et je les chéris. Teresa Hughes était directrice de ressources humaines dans une entreprise de conseil juridique, et elle avait trouvé toujours épanouissant, mais aussi amusant le fait de conseiller sur leur carrière des conseillers. Et quand elle ne travaillait pas, elle dessinait, en amateur, mais avec assez de talent pour que certaines de ses œuvres soient retenues dans plusieurs concours. C’est ainsi qu’elle a attiré l’attention de Phébus. Enfin ça et le fait qu’elle avait pour ancêtre Janus, un dieu romain et qu’elle a donc reconnu le dieu des arts pour ce qu’il était. Et comme le dirait un mythe, de leurs amours est né un beau petit garçon. C’est-à-dire moi, Lucian Hughes. Mon premier prénom, signifiant lumière était un clin d’œil à mon père, dieu du soleil, et surtout ma mère l’avait choisi pour satisfaire la volonté de sa famille de me donner un prénom « traditionnel ». Mais elle m’a toujours appelé Archer, sachant très bien d’avance que j’en serais un bon, d’archer. Lucian était donc le nom que me donnait mes maîtresses à l’école, ou les vagues connaissances de ma mère. C’était une sorte de nom de code, comme si j’étais un espion, ce qui nous amusait énormément, ma mère et moi. En dehors de ces petites anecdotes j’ai eu une enfance plutôt sans histoire. Malgré mon hyperactivité, je n’étais pas trop mauvais à l’école, ma mère m’ayant inscrit à tout un tas d’activité extra-scolaires pour compenser, comme par exemple le baseball. Quant aux monstres, même si j’avais grandi en connaissant ma nature de demi-dieu, je n’en avais guère vu, étant suffisamment jeune pour ne pas trop attirer leur attention. Puis ma mère ayant grandi à la Nouvelle-Rome, je me doutais qu’elle avait appris à se battre, et encore aujourd’hui je la soupçonne d’avoir détruit quelques créatures cherchant à me nuire sans jamais me l’avoir dit. En tout cas cela explique pourquoi deux mois après mon huitième anniversaire, à l’annonce de son cancer, elle a tenu à revenir à la Nouvelle-Rome. Elle avait probablement conscience qu’elle ne serait bientôt plus en mesure de me protéger.  

Nouvelle Rome

Si j’avais connu l’existence des dieux et créatures mythologiques depuis toujours, je me rappelle tout de même avoir été émerveillé par la Nouvelle-Rome, la présence des faunes et des Lares, et autre. Mais je n’ai guère eu le temps de m’acclimater, quelques semaines tout au plus, que la voix de Lupa se fit entendre. J’étais jeune, mais d’autres avaient été appelés plus jeune que moi, et contrairement à la plupart d’entre eux, je savais déjà, grâce aux explications de ma mère, ce qui m’attendait. Ce que je ne savais pas en partant suivre l’entrainement de la Déesse-louve, c’est que mes adieux avec ma mère serait mon dernier souvenir d’elle. En effet, après les six mois d’entrainement réglementaire, puis le retour seul au Camp Jupiter, j’ai appris le décès de ma mère, ayant succombé à son cancer. Si j’étais triste à l’époque de ne pas avoir pu être avec elle jusqu’au bout, rétrospectivement j’en suis plutôt heureux. Au moins je garde d’elle une image de femme forte et drôle, pleine d’énergie, et non pas d’une malade sur son lit de mort.

La deuxième cohorte est donc devenue ma famille à mon retour au Camp Jupiter, pendant les dix années qui ont suivi. Entre le fait que ma mère était une lointaine descendante de Janus dont une partie de la famille vivait encore à la Nouvelle-Rome, et que mon père était Phébus, j’avais eu de bonnes lettres de recommandation, ce qui m’avait permis de rejoindre une bonne cohorte. Une cohorte qui est devenue ma nouvelle famille, remplaçant peu à peu ma mère partie. Surtout après l’attaque de l’un des centurions d’une autre cohorte par trois empusae qui rentrait de mission. Ce jour-là j’étais de garde au tunnel Caldecoot, quand j’ai vu les créatures apparaitre de nulle part et essayer de charmer cinq demi-dieux – dont le centurion – pour qu’ils les suivent. Nul doute pour en faire leur déjeuner. Heureusement j’étais suffisamment loin pour ne pas être sous l’emprise de leur magie mais assez prêt pour comprendre que leurs victimes étaient déjà trop sous leur emprise pour se débattre. Ayant eu avec moi mon arc et mes flèches, j'ai réussi à abattre deux de ces créatures à distance. Cela a été suffisant pour briser le sortilège, et permettre aux demi-dieux qu’elles avaient ciblé d’anéantir la dernière d’entre elles. Ce jour a marqué mon passage du statut de probatio à celui de légionnaire, quatre mois à peine après être revenu à la Nouvelle-Rome.

Bien sûr tout ne fut pas rose pendant les années qui ont suivi, non seulement la vie n’est pas simple pour les mortels, mais en plus elle l’est encore moins pour les demi-dieux. Mais rétrospectivement mes années dans la légion comptent parmi les meilleures. Jeune et encore plein de rêves pour l’avenir, avec des amis proches pour affronter les dangers de notre vie. Mes rêves tournaient principalement autour de ma volonté de devenir guérisseur. En tant que fils de Phébus, j’ai été assez vite intéressé par les activités du corps médical. Ce n’est que ma loyauté envers les amis que je m’étais fait dans la deuxième cohorte, comme une fille de Mercure, un fils de Plutus et un petit-fils d’Aeolus dont j’étais particulièrement proche, qui ont retardé mon incorporation au sein des soigneurs. Car devenir guérisseur signifiait rester à l’arrière pour soigner les blessés, et donc que je ne pouvais pas veiller sur mes amis. Mais j’avais un tel don que ces derniers m’ont convaincu de finalement le faire, et j’ai donc officiellement rejoint le corps médical au bout de cinq ans en tant que simple légionnaire. Mais cet « éloignement » vis-à-vis du champ de bataille eu un effet que je n’aurais pas pu prévoir. En effet, alors que je peinais à m’avouer que mon cœur battait pour cette belle fille de Mercure que j’appelais mon amie, celle-ci tomba amoureuse d’un autre, qui était lui aussi mon ami. Une relation qui s’est officialisé alors que j’approchais les dix années de service au sein de la légion, et qui a précipité ma décision de quitter le camp une fois mon service obligatoire terminé. Puisque j’étais persuadé que je ne pourrais pas vivre là-bas en étant tous les jours témoin de leur idylle, et que je les aimais trop pour essayer de briser leur couple. D’ailleurs elle ne sut jamais que j’avais des sentiments pour elle. Il est très probable que mes amis aient pris comme une sorte de trahison cette volonté soudaine de quitter le Camp Jupiter pour « découvrir le monde, la vie comme les mortels la perçoivent ». Bien entendu, ayant été élevé dans le discipline stricte du camp romain et sachant me battre, il n’est pas étonnant que j’aie rejoint une prestigieuse école militaire.
 
West Point et Bethesda

En tant qu’ancien légionnaire, j’avais l’avantage d’avoir multitude de contacts au sein de l’armée, d’où mon acceptation au sein de la prestigieuse académie militaire de West Point. Trois années à la fois familières par la discipline si semblable à celle du Camp Jupiter, et à la fois si étrange par sa « normalité ». Souvent j’ai dû rattraper ma langue gaffeuse à la dernière minute alors que je m’apprêtais à raconter une anecdote au sein du camp qui aurait dévoilé ma nature de demi-dieu, ou alors que j’allais lâcher un « mes dieux » qui aurait fait tâche au sein de cette élite majoritairement issue de familles protestantes. Autant dire que j’ai développé un comportement plus prudent et réfléchi encore pour prévenir tout faux pas, m’attirant les taquineries des autres cadets sur mon côté mystérieux qui attirait les femmes. Encore qu’à l’époque j’avais encore le cœur brisé, et je ne m’en souciais donc pas. Non ma préoccupation première, en plus de m’adapter au monde des mortels, c’était de prendre le plus d’avance dans mes études pour finir mes études à l’Académie en trois ans au lieu de quatre pour pouvoir ensuite enchainer sur l’Université des Sciences de la Santé des Services en Uniforme à Bethesda. Pour cause, au vu de mon passif au Camp Jupiter, je savais déjà que je voulais être médecin militaire. J’avais déjà de l’expérience dans ce domaine, et ne pas poursuivre dans cette voie aurait un gâchis, sans compter que c’était tout simplement ma vocation.

Motivé comme je l’étais, j’ai donc réussi mon pari et j’ai commencé mes études de médecine trois ans plus tard. Trois années de dur labeur qui m’ont d’ailleurs « soigné » de ma peine de cœur comme j’ai pu m’en rendre compte à Bethesda quand j’ai commencé à de nouveau m’intéresser aux autres de manière « physique ». Malgré mon emploi du temps surchargé de militaire futur médecin, j’eus quelques relations, autant avec des femmes que des hommes, qui n’ont pas duré toutefois. Je ne saurais dire pourquoi, mais ma carrière est restée pour moi prioritaire. Comme si j’avais une sorte de boussole intérieure qui pointait sans cesse vers l’objectif que je m’étais fixé et m’interdisait de partir dans une autre direction. Je ne m’en plaignais pas cependant. J’avais vécu toute ma vie pour soigner et protéger les autres, et je ne me voyais pas faire autre chose. Aussi obtenir le statut de médecin militaire était comme une évidence. Puis encore une fois, mes horaires insensés ne me laissaient pas le temps de remettre en question mes choix. Alors j’ai suivi le mouvement, et au bout de quatre ans d’études j’ai décroché mon diplôme de docteur en médecine, avant de me lancer dans ma spécialisation en chirurgie. Et cinq autres années ont passés de la sorte, des années d’études qui demeurent comme un flou dans ma mémoire en comparaison des années de services actifs sur le terrain, en dehors du sol américain. Là où les créatures que j’avais combattues dans ma jeunesse, et encore de temps en temps pendant mes douze années d’études, étaient définitivement bannis. Car les humains peuvent très bien devenir des monstres et des ennemis sans l’aide d’êtres issus de la mythologie.  
 
A l’étranger

Comme bien d’autres soldats à l’époque, c’est au Moyen-Orient que j’ai été envoyé peu après être entré en service actif. Même si j’étais né en Arizona, le désert n’avait rien à voir avec ce que j’avais pu rencontrer dans ma vie. Quant à la vie dans les campements militaires, autre leur manque de confort, n’était pas comparable à ce que j’avais vécu au Camp Jupiter. Même si nous avions été des légionnaires, nous n’en restions pas moins des jeunes, et une certaine innocence avait régné dans ces lieux, d’autant plus que nos ennemis étaient des monstres. Désormais, je vivais dans un monde d’adultes, mes adversaires étaient humains, et même si j’étais chirurgien et que mon job n’était pas de tirer la plupart du temps mais de rafistoler nos propres hommes, c’est un poids que je ne m’étais pas attendu à devoir porter. Bien sûr les premières années je n’ai guère senti ce poids. J’étais avec mes frères d’armes, et à ma façon, je continuais à protéger les miens, que ce soit ceux du Camp, comme tous les autres gens que j’avais rencontrés depuis. A chaque permission je revenais au pays, pour célébrer le fait d’être toujours en vie, et de pleurer ceux qui étaient morts, ceux que je n’avais pu sauver. Une fois, après mon second retour, j’ai même fait un saut à la Nouvelle-Rome. Là j’y ai appris que mes amis avaient eu des enfants, et qu’ils m’avaient pardonné mon départ. C’est probablement cette visite, ainsi que certaines autres, au fil des années qui suivirent qui m’ont donné le courage de continuer ma carrière militaire aussi longtemps. Enfin longtemps est plutôt relatif, les médecins militaires faisant en moyenne vingt ans de service avant de démissionner. Je n’en ai fait que dix. Peut-être parce que j’avais déjà fait dix ans dans la légion avant et que la vie de combat a commencé à être trop dure à vivre. Trop de morts, de tristesses, de pertes. Une remise en question aussi : à quarante ans, qu’avais-je hormis quelques amis que je ne voyais que peu, et une carrière militaire ?
 
Retour au pays

Me voilà donc retraité de l’armée. Enfin en théorie, je suis encore de réserve pendant six ans, mais j’avais assez de contacts dans la hiérarchie militaire pour échapper au service actif si j’en avais besoin. Quant à ce que je vais faire de ma vie de civil, je l’ignore. Peut-être retourner à la Nouvelle-Rome et y exercer en tant que médecin ? Ou au contraire m’installer ailleurs et découvrir un nouveau lieu ? Je sais en tout cas que je vais continuer de soigner les gens, c’est ce pourquoi je suis fait. Et très probablement, je vais m’intéresser à ce mystérieux DLCEM qui semble être devenu un danger à prendre en compte maintenant que je suis revenu aux Etats-Unis.

Sois le bienvenu sur Malum Discordiae, Lucian « Archer » Hughes ! Te voilà donc validé ! Bon, puisque je suis arrivée à la bourre, je me vois mal te reprendre sur ton nom de famille, qui est également celui de la grande chef du DLCEM C'est accepté pour cette fois Ca me fait plaisir de voir arriver un personnage de cette tranche d'âge, ça ne fait que rendre le forum plus varié, c'est génial Phébus est un super choix de parent divin, et j'adore les pouvoirs ! le pauvre, il reviens au US et tombe en plein dans l'actu' du DLCEM (bien qu'en ce moment, tout soit très calme) Je te souhaite donc un bon jeu parmi nous !

Maintenant que tu fais partie des nôtres, voici ce que tu ne dois surtout pas oublier ! Si ton personnage est un sang-mêlé, rendez-vous juste là et enfin, ici. Si ton personnage fait partis du DLCEM, tu n'as plus qu'à te rendre juste là. Pour recenser le travail de ton personnage, c'est juste là.

Ensuite, n'oublie pas d'ouvrir ta fiche de liens à cet endroit et ta fiche de sujets juste là. Si tenir ta chronologie ou un journal t'intéresse, rendez-vous par ici ! N'oublie pas de remplir ton profil, c'est toujours plus agréable pour les gens avec qui tu rp !

Enfin, si t'as une question, une suggestion, une demande, n'importe quoi, ou même si tu as juste envie de causer, n'hésites pas à t'adresser à Tristan E. Langley ou bien Loïs I. Clinton, tes administratrices qui sont là pour toi !