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 Vagues de fraîcheur dans le parc. [ → Tristan E. Langley ]

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MessageSujet: Vagues de fraîcheur dans le parc. [ → Tristan E. Langley ]   Vagues de fraîcheur dans le parc. [ → Tristan E. Langley ] EmptyLun 21 Avr - 21:43



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Vagues de fraîcheur dans le parc.

Les gens parlent. Ils marchent de long en large et semblent souvent se perdre. Mais après tout, les parcs sont fait pour cela. Même le plus petit d'ailleurs. Qu'importent leur taille, ils comportent tous des bancs, des pelouses fraîches et entretenues ainsi qu'une multitude d'autres choses qui sont faites pour créer cet effet de chaleur, cet effet familial, amical. C'est pour cela que j'aime les parcs. Ils sont en quelque sorte l'âme des villes. Ici, il s'agit de New York. Oh, je ne me trouve pas dans LE parc de NY, mais dans un petit qui semble néanmoins aussi connu. De toute façon, je n'aime pas les grands. Trop de choses s'y passent pour être captés en un seul regard. Car oui, je reste assise, là sur mon banc de parc ( jamais le même ) à regarder les événements qui s'y produisent. J'aime lire les gens, deviner leur personnalité. Oui, je sais, c'est bizarre. Non, je ne suis pas l'une de ces vieilles mamies qui donnent du pain au pigeons ( quoi qu'il y ai tout de même des trentenaires dans le lot de nourrisseurs ). Je suis l'une de ces personnes qui sont à moitié une divinité dite païenne par certains. Mais j'avoue renier ma vraie nature.

Il faisait beau, alors, forcément, le parc était rempli de monde. C'est plutôt logique en ce jour d'été. Ils ont tous chaud, alors ils se ruent vers les fontaines. Les gars de l'entretient auront du boulot pour enlever certaines cochonneries. Je me serais fait un plaisir de rafraîchir l'air, mais j'ai appris qu'il ne fallait pas se faire remarquer par de petits gestes tel que celui-ci. De plus, j'aime ma vie comme elle l'est. Juste tranquille, sans embêtements. Je doute que cela continue.
Pour le moment, je regarde les gens. La plupart ont une glace à la main. A la place, d'autre ont leur portable. Ces choses n'ont aucun effet rafraîchissant, ils servent parfois à nous couper du monde, à parler aux personnes qui sont loin de nous. Mais de toute façon, la technologie a trop avancé à mon goût et ne devient que pure stupidité. A mon grand plaisir ( si on peut l'appeler comme cela ), je n'ai pas de téléphone. Je n'en ai pas le droit. Certes, je suis une fille libre, mais il n'empêche que l’autorisation n'est pas là. Il faut dire aussi que ma propre vie en dépend. Certains pourraient la risquer aussi, à force de taper sur leur clavier ou de regarder les dernières vidéos en ligne. Un gars, par exemple qui, ne cesser de sourire devant sa "technologie avancé" fonçait dangereusement vers un arbre. Il s'est heureusement ( pour lui ) rendu compte de ce qui allait l'attendre quelques centimètres plus tôt. Dommage pour moi, j'aurais aimé avoir un divertissement qui sorte de l'ordinaire, aujourd'hui. Mais de toute façon, la journée n'était pas finie, nous n'étions qu'en début d'après midi il y avait une marge de quelques bonnes heures avant que mon arrière grand père ne sorte de notre ciel et que l'astre de sa soeur ne le remplace. C'est dingue. Qui aurait cru que tant de choses - qu'elles soient grandes ou petites - ne soit régulé par des divinités grecques ? certainement pas grand monde ... Oh, qui sait d'autres connaisseurs ne sont peut-être pas loin ...  



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MessageSujet: Re: Vagues de fraîcheur dans le parc. [ → Tristan E. Langley ]   Vagues de fraîcheur dans le parc. [ → Tristan E. Langley ] EmptyMer 23 Avr - 12:20

Khate ∞ Tristan
Un dérapage et c'était la course. Il tourna brutalement au coin d'une avenue, évita de peu une voiture et traversa la foule. Il n'avait pas peur, il savait qu'un parc se trouvait juste au bout de la rue. Et les gens ne venaient jamais chercher les voleurs dans les parcs. Pas assez de cachettes, pas assez de monde, pas assez de tout... Qu'est-ce qu'un hors-la-loi irait faire là-bas ?

Les journées de Tristan se ressemblaient toutes plus ou moins. Il campait ou il logeait dans un hôtel qui tombait en ruines, il croisait Loïs de temps à autre et il revivait les différentes scènes dans son esprit. Quand il avait faim, il se débrouillait pour trouver quelque chose. Il était devenu doué dans le vol à l'étalage et l'art de faire les poches des touristes. Parfois, lors d'une subite prise de conscience, Tristan se demandait ce qu'il était devenu. Mais ce n'était pas sa faute, c'était celle du monde. Et puis les lois ne touchaient pas les criminels, il n'était plus à ça près. Qu'es-ce qu'un vol de pain quand on avait abattu quelque chose ? Rien, une broutille. Tout est rien puisque plus rien n'a d'importance. Il se sentait parfois très fort, l'égal d'un dieu même puis il redescendait sur terre pour mieux se détester. Tristan alternait entre l'euphorie la plus totale et le désespoir le plus profond. Aujourd'hui, c'était juste la faim qui avait guidé ses pas. Il s'était glissé dans un sweat un peu trop grand de couleur sombre, il avait enfilé tout ce qu'il était possible d'enfiler pour éviter que son sac ne soit trop lourd puis il était parti en quête d'un petit déjeuner décent. La manœuvre avait échoué et il s'était retrouvé à crapahuter dans les rues new-yorkaises, un type aux trousses. Hors de question de se faire attraper, le commissariat voulait dire la prison ou l'exposition de ses talents. L'un comme l'autre ne le tentait pas. Et puis il fallait voir à ne pas oublier ce machin tueur de sang-mêlés là... Une rencontre lui avait suffit, il avait assez d'ennuis comme ça.

Il entra donc dans un parc comme une formule un et ses yeux partirent aussitôt en quête d'un échappatoire. Il y avait une autre sortie mais elle était trop loin. Il pouvait s'inviter dans une partie de volley-ball mais c'était trop risqué. Et puis il y avait une nana, là, seule sur un banc. Son poursuivant arrivait derrière lui, soufflant et haletant mais toujours là. Et pas trop idiot - ou trop idiot, ça dépendait de comment on voyait les choses - avec ça puisqu'il passait par le parc. Tristan opta pour la possibilité numéro trois et tenta le tout pour le tout. Il n'avait pas vraiment le choix de toute façon. Il courut jusqu'au banc en fouillant dans ses poches, posa une paire de lunettes de soleil sur son nez et s'assit brutalement à côté de la demoiselle. « Salut, embrasse-moi. » Le rouge ne lui monta même pas aux joues tant il priait pour ne pas être repéré. Sans ménagement, il attira la demoiselle à lui et l'embrassa. Bon, ce n'était pas correct mais il n'y avait pas d'autre solution. Le type passa en courant devant eux, sans un regard pour ce couple follement amoureux - les démonstrations d'amour mettaient toujours les autres mal à l'aise - et Tristan la relâcha. « Tu m'as sauvé la vie, miss. » Il ne lui avait pas vraiment laissé le choix, c'était vraiment. « T'aurais pas un truc à manger par hasard ? » Tristan était dans un de ses bons jours, là où on le reconnaissait le moins en fait.


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MessageSujet: Re: Vagues de fraîcheur dans le parc. [ → Tristan E. Langley ]   Vagues de fraîcheur dans le parc. [ → Tristan E. Langley ] EmptyVen 25 Avr - 15:50



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J'avoue que celui-là, je ne l'avais pas vu venir. Je n'avais même pas eu le temps de décliner son invitation à l'embrasser. Faut dire, je n'avais pas eu le choix, surtout pas le temps de réagir. Il s'était rué à mes côtés et, après m'avoir en quelques sortes prévenu de ses intentions, m'avais attiré à lui et embrasser. Après cette expérience, la couleur rouge tomate régnait certainement sur mon visage. Ce n'était pas une sorte de feu qui me montait au joues, mais un froid qui semblait vouloir s'abattre sur l'inconnu qui s'était jeté sur moi. J'étais à la fois remplie par la rage et par un sentiment tout à fait indéfini. Le truc, c'est qu'en fait, je ne savais pas où me mettre.
Je regardais l'inconnu sans savoir quoi faire. Une claque imaginaire lui avait déjà été donnée, mais ce n'était qu'une pensée. Ma main mourrait d'envie de fondre du la joue du jeune homme. Je mourrais d'envie de laisser cette main agir. Mais une partie de moi criait de ne rien faire. Pourtant ma main partie. Elle frappa sa joue avec une certaine retenue. Juste avant d'atteindre sa cible, elle avait ralenti sa vitesse et frappa moins fort que je ne l'avais pensé. OK, j'avais quand même laisser ma main s'abattre sur sa joue. C'est la seule et unique réaction qu'une fille peut avoir lorsqu'un mec totalement inconnu lui saute dessus et l'embrasse sans aucunes raisons. Ou peut être que ce gars là avait une raison. Il était trop tard pour se rattraper.
Ma main repartie dans la poche de ma veste qui se refroidit légèrement au contacte de ma peau. J'avais toujours la peau bien froide, mais là c'était un peu exagéré, certainement la réaction à ce baiser non désiré. J'avais peu être donné une claque froide.
" Pardon, désolé ! "
Oui, je m'excuse pour ma claque, qui plus est, d'une chaleur absolument pas présent. C'est juste une histoire de culpabilité, rien d'autre. La preuve, je sors deux mots d'excuse en une petite phrase qui est composée de ces deux mots. Pitoyable. Encore une fois, un feu glacé me monte aux joues. J'en ai vraiment marre de rougir sans raisons. Me calmant, j'analyse les dernière paroles de l'inconnu. Manger. Ah, ça non, je n'ai rien à manger. Je n'ai même pas de quoi me payer une petite glace Italienne. Trop injuste. Si seulement j'avais pu payer en drachmes ... Mais, un gars ordinaire se balade toujours avec de l'argent, ne serait-ce que quelques pièces. Apparemment, pas lui. Un truc cloche. Un truc m'échappe. Me levant et avançant de quelques pas, j'écoute les paroles des humains présent. Ils ont l'air indignés. A ce que j'entend, ils se sont fait poussés, mal menés. D'abord par un homme quelconque, puis par un autre qui semblait chercher quelque chose. Ou quelqu'un.
Je reviens sur mes pas, me tournant vers mon cher inconnu, le regardant fixement.
" Pourquoi ? Pourquoi avoir fait ça ? Puis, tu es qui ? "
Il fallait au moins faire connaissance, même si j'avais juste envie de le secouer, voir lui donner un coup de froid pour avoir mes information.



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MessageSujet: Re: Vagues de fraîcheur dans le parc. [ → Tristan E. Langley ]   Vagues de fraîcheur dans le parc. [ → Tristan E. Langley ] EmptyDim 27 Avr - 16:25

Khate ∞ Tristan
La gifle était prévisible mais Tristan se vit rien venir. La main ne l'avait pas frappé très fort, pourtant il porta les doigts à sa joue. Le petit demi-dieu était près à ne rien répliquer à ce propos puisqu'il l'avait amplement mérité mais la fille le doubla, s'excusant pour... Bah pour ça. Tristan la dévisagea avec curiosité : voilà une demoiselle assez contradictoire dans ses actes. « Oh ça va, c'est un baiser. Et une claque. Faut pas rougir pour ça, tu sais ? » Bon certes, pour Tristan ce n'était qu'un baiser, un acte purement mécanique qui ne réclamait pas de sentiments ni de courage particulier. Quand à la gifle, il n'en aurait pas fait tout un plat non plus, il y avait un peu plus important - et grave - dans le monde que ça. Il haussa légèrement les épaules et s'appuya contre le dossier du banc, les mains dans les poches. Les passants arpentaient tranquillement les allées du parc sans le chercher lui, c'était bien. Bon d'accord, deux ou trois avaient un air courroucé plaqué sur le visage car son poursuivant les avait violemment écartés de son chemin. Ces types-là contribuaient à attirer l'attention sur eux, ce qui rendait le fils de Borée quasiment invisible. « Euh bah fallait que je me débarrasse de quelqu'un, t'étais là alors voilà. T'as rien à manger ? Dommage. » Affichant une moue boudeuse, Tristan fouilla dans ses poches avec un soupir théâtral. « Je suis condamné à mourir de faim, apparemment. Sinon, t'es qui ? » « Oh putain, revoilà l'autre surexcité... » Les exclamations agacées de ceux qui râlaient depuis cinq minutes déjà parvinrent aux oreilles des deux jeunes gens. Tristan se redressa et avisa le type qui courrait vers eux à toute allure. Son coeur bondit dans sa poitrine et sans réfléchir, il attrapa la main de la demoiselle. « Viens, on bavardera plus tard, y a comme une urgence là. » Il sauta sur banc traînant littéralement la fille dans son sillage. Il piqua un sprint, freina brutalement en sortant du parc et bifurqua à droite. « Vite, par là ! » Tac, une ruelle, puis une autre. Tristan était en âge ais il n'avait pas le temps, pas le droit de s'arrêter maintenant. Quand au passager involontaire... Elle servirait peut-être à quelque chose en temps voulu. Une autre ruelle... qui s'avéra être une impasse avec une grille. « Aller, bouge-toi, passe par dessus ! T'es ma complice de toute façon. » Même si c'était involontaire de sa part, la demoiselle l'avait accompagné dans sa fuite donc oui, elle était sa complice. Il la lâcha et s'accrocha aux mailles du grillage. « Avance ! » Tristan se laissa tomber de l'autre côté et se tordit violemment la cheville. Il sentit les larmes lui monter aux yeux mais il les refoula tant bien que mal. Pas franchement le moment idéal.









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MessageSujet: Re: Vagues de fraîcheur dans le parc. [ → Tristan E. Langley ]   Vagues de fraîcheur dans le parc. [ → Tristan E. Langley ] EmptySam 12 Juil - 22:44



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J'avais eu la bonne idée de rester dans ce parc pour observer et puis voilà que ce gars m'avais sauté dessus et embrassé. Il avait eu une claque pour ce geste, mais juste pour l'explication, il en méritait une deuxième. Pour celle-là, je ne me serais pas excuser. Sauf qu'il n'avait rien reçu. Juste un regard indigné de ma part. Non mais franchement ! Je lui avais simplement servie d'échappatoire, de roue de secours. Voilà ce que j'étais, une roue de secours. Un truc qu'on prend sans se poser de question, qu'on utilise à volonté et puis qu'on rejette comme une vieille chaussette. Tiens, même mes chaussettes trouvaient une autre utilisation à la fin de leur vie ! Elles faisaient de merveilleuses marionnettes. Mais ça, c'est une autre histoire avec qui, d'ailleurs, ma petite crise de nerf étaient passée. J'avais juste l'impression de fusiller ce gars du regard. Peut être même que, involontairement, j'aurais pu faire de lui une future statue de glace. Non, il n'aurait pas été avec la déco saisonnière du parc.
Maintenant, le garçon me demandait qui j'étais. Moi je lui avait demandé mais il n'avait pas répondu. Qui j'étais ? Khate Reïma Ostwaldh, fille de Borée et coupable d'être entrée dans l'armée de Cronos. Qui je suis désormais ? Khate, une simple fille qui traînait dans les parcs. Il n'avait pas besoin d'en savoir plus. Il n'avait pas besoin de savoir quoi que se soit pour le moment.
Le gars me tira de mes pensées d'une façon que je n'aurais jamais imaginé. Il me pris par la main et m'entraîna dans une course folle. J'avoue avoir faillit m'étalé de toute ma longueur sur le sol, mais je n'eu pas le temps. Les personnes s'écartaient du mieux qu'ils le pouvaient sur notre chemin avec un air d'indignation. Les ruelles défilaient sans que je puisse me rendre compte du chemin pris. Nous n'allions pas sur une route précise, nous fuyons quelque chose qui m'étais inconnue. J'étais sa complice comme il avait dit. Moi je me considérais comme une sorte d'otage. Et en plus, il me bousculait sans état d'âme pour passer une fichue grille. D'abord il m'embrassait en prenant comme défense que j'étais sa roue de secours, ensuite il m'entraînait avec lui pour fuir un truc dont j'ignore la nature et puis maintenant, il me presse comme un vulgaire âne qu'on essaie désespérément de faire avancer. Tellement sympathique ce garçon.
Le temps que je me retourne de ma descente de grille, la cheville de l'étranger avait pris un drôle d'angle et lui semblait chasser une douleur qui n'avait pas l'air d'être douce. Bien, maintenant c'était à moi de mener la dance. De mes yeux, j'observais les alentours. Il y avait deux rues. L'une semblait calme et l'autre avait un incessant passage d'hommes et de femmes. Sans ménager celui qui m'avais conduit jusqu'ici, je le pris par le poignet vers la rue noire de monde. Il fallait marcher à la même cadence que ces gens. Rien de vaut un endroit plein à craquer pour se fondre dans la masse. A condition de paraître comme eux. Lorsqu'une rue se présenta à nous, je ne donna même pas le temps au garçon de protester que nous nous engouffrions dans une ruelle, puis une autre, une autre et encore une autre. Là, j'avais décidé que nous n'allions plus courir. Premièrement parce que mon compagnon d'escapade n'avait pas l'air dans son assiette et deuxièmement, parce qu'il ne semblait plus avoir aucun danger. Néanmoins, ce n'était parce qu'il ne semblait plus rien avoir que s'en était le cas.
Je m'écroulais dos à un mur, fixant mon inconnue et reprenant mon souffle. Au moins, j'avais fait mon sport de la semaine.

" Là, je pense qu'on est assez loin. Tu peux me dire qui il était aussi important de fuir ? "
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