Adriel S. Baskerville.
The sun goes down, the stars come out.
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QUELQUES ANECDOTES SUR TON PERSONNAGE.01. Passer le balai, la serpillière, nettoyer les vitres... Il s'agit d'une grande passion chez Adriel qui pourrait y passer des heures une fois lancé. Consciencieux, pointilleux, perfectionniste jusqu'au bout des ongles, il ne supporte pas qu'une seule saleté envahisse son espace. Le nettoyage a aussi certaines vertus chez lui puisque ça contribue à le calmer quand il se sent près à exploser. Balayer, frotter, gratter, éponger lui vide l'esprit et les pensées qui bouillonnent.
02. Grand coureur de jupons, Adriel aime son célibat et la liberté que cela lui procure. Il ne ressent actuellement pas la nécessité d'une présence stable à ses côtés et enchaîne les petites conquêtes, qu'elles soient féminines ou masculines. Il aime multiplier les expériences, des plus basiques aux plus loufoques, et finit généralement dans des lieux improbables. Mais s'il est inconstant en amour, il s'applique à conserver des relations très stables en amitié, n'étant pas un grand amoureux de la solitude.
03. Accro aux jeux vidéos et aux mangas, Adriel multiplie les collections de goodies dans sa petite chambre chez sa mère. Il en conserve cependant presque aucun à la Nouvelle Rome où il se contente de quelques mangas solitaires et de sa vieille Nintendo DS première génération. Seul objet qui ne le quitte jamais : l'Anneau Unique lui permettant de devenir invisible s'il reste immobile, unique cadeau un jour offert par son père. (Cela dit, Janus a plutôt bien joué sur ce coup-là.)
04. Adriel n'a pas un style de combat très romain, ce qui entraîne immanquablement des remarques et des sarcasmes à ce sujet. On attend d'un Romain qu'il se batte au glaive, face à son ennemi. Adriel possède bien un glaive, comme n'importe quel légionnaire, mais il a plutôt tendance à rester au placard au profit de sa petite sarbacane. Passé maître dans le savoir des poisons, Adriel utilise plutôt sa faculté à créer des portails pour berner l'ennemi et l'attaquer par derrière. Un petit dard bien placé, au poison actif, et Adriel s'en va sans un regard en arrière.
05. C'est un lâche, Adriel. Et par conséquent, il a laissé beaucoup de gens derrière lui sans oser se retourner pour leur prêter main-forte. Maintenant qu'il est impossible de faire marche-arrière, il lui arrive souvent de se retourner pour scruter l'horizon, à leur recherche. Sauf qu'il n'y a plus grand monde maintenant.
06. Au Camp Jupiter, Adriel est un membre à part entière de la première cohorte. Comment il y est entré ? Voilà qui reste un grand mystère. Certains évoquent sa facilité à tuer les yeux fermés, d'autres sa rapidité d'action. Curieusement, aucun n'évoque un quelconque courage ou un grand talent. Mais s'il manque cruellement du premier, le second ne lui fait assurément pas défaut, même s'il l'exploite à sa façon.
07. Il a été élevé dans la religion chrétienne, Adriel, même si sa mère la vivait aussi à sa façon. C'était une passionnée, une historienne croyante mais à peine, qui aimait plus la religion qu'elle n'y croyait vraiment.
08. En 2013, Adriel a été sacré maître de la Ligue Pokémon de Washington, titre qu'il a perdu l'année d'après lors d'un combat effréné. Cependant, il reste très fier de son équipe virtuelle qu'il continue à entraîner soigneusement tous les soir sur sa Nintendo DS. Son trophée est le seul objet personnel qu'il conserve au Camp Jupiter, sur sa table de nuit.
09. Adriel est allergique à de nombreuses choses, ce qui se caractérise souvent pas des crises d'asthme assez sévères. Parmi les allergisants on retrouve les chats, les pissenlits, un grand nombre de fruits et légumes et divers autres produits alimentaires. Il ne mange pas grand chose et s'en tient souvent à des repas très simples.
10. Asthmatique, il lutte en permanence pour développer son endurance - essentielle aux vues de son style de combat - mais son asthme tend à devenir plus important. Il comptait pourtant sur l'adolescence pour le voir régresser... Dommage. Ce détail l'handicape assez fortement dans sa vie de sang-mêlé, cette existence n'étant pas faite pour les gens passifs, les fainéants et autres potentielles limaces.
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NOM DU GROUPE.01. ••
Que pensez-vous des dieux ? Et des grecs ? Très honnêtement, il n'en pense rien, Adriel. Son père est un idiot raté, les autres dieux sont principalement à son image : une bande de clowns jouant l'air de rien avec l'humanité. Les mortels sont aux dieux ce que sont les Playmobils aux gamins : de vulgaires jouets manipulables à souhait et ne servant qu'à remplir un but bien précis. Une fois utilisés, il est aisé de les jeter sans un regard en arrière. Alors oui, Adriel n'en pense rien, il s'en fout et vit sa vie comme il le peut, en évitant soigneusement de penser à ce club de dégénérés. C'est sans doute mieux ainsi il aurait de quoi devenir fou Adriel s'il songeait à cette ascendance divine et à tout ce que ça pourrait lui procurer. Quant aux Grecs, leur révélation lui a fait un choc assez identique à celui de l'annonce d'un nouveau titre sympa sur Nintendo DS : une surprise pas forcément si désagréable que ça. Et pour cause, si Adriel est un pur produit romain, l'univers grec exerce sur lui un attrait certain et l'idée de tout laisser en plan pour rendre visite aux
Graecus lui a plusieurs fois effleuré l'esprit.
02. ••
Que faisiez-vous et où étiez-vous la nuit de l'intrusion de la bande armée de mortels au sein du Camp ? Il aurait pu dormir. Il aurait
dû dormir, même. Pourtant, Adriel était assis sur la branche basse d'un arbre, dans les bois bordant un coin du Camp Jupiter. Il entraînait son Raichu niveau quatre-vingt-deux quand le premier coup de feu a résonné dans l'air frais du soir. (Pour la petite histoire, il est tombé de l'arbre Adriel. Littéralement.) Bref, une fois à terre, la curiosité aurait pu le pousser à rejoindre le camp, à défendre ses camarades, sa maison, son seul chez-lui. Il en avait envie, mais il ne l'a pas fait. Ses jambes lui criaient de courir vers les coups de feu et les cris de surprise, de peur, son ventre le cloua sur place, se tordant de terreur à la simple idée de croiser l'origine de toute cette peur. C'est très probablement ce qui lui a sauvé la vie : il ne sort pas armé la nuit, Adriel.
03. ••
Que pensiez-vous des mortels jusqu'alors ? Et maintenant ? (Votre personnage n'est pas au courant de l'existence du DLCEM, seulement de l'attaque armée par des mortels.) Les mortels, c'est lui. C'est sa vie, son passé et sa vie actuelle. Qu'il vive à la Nouvelle Rome, qu'il s'ntraîne à manier un gladius ou qu'il croise des faunes et des dieux, Adriel reste avant tout un mortel. Parce qu'il l'a choisi. Ses chromosomes à moitié divins n'y changent rien, il sera toujours plus mortel qu'un dieu, et les divinités romaines ne feront rien pour y changer. Il est remplaçable pour les dieux, il est facile à oublier, un simple héros parmi les autres, une vulgaire arme temporaire. Un Playmobil, souvenez-vous. Il n'était pas ça pour sa mère, pour ses grands-parents ou pour ses camarades mortels. Alors oui, Adriel est un mortel et il les aime, il chérie leur humanité et leur vie. À présent... Il a peur. Il a peur de tout Adriel, mais les mortels n'étaient pas un sujet d'angoisse particulier avant l'attaque. Ils savaient qu'ils n'étaient pas tout blanc mais jamais il n'aurait pu imaginer... ça. Tant de violence, c'est une chose inconcevable pour lui et l'imaginer reste difficile. Pourtant, il est rentré au cam quand les cris se sont tus. Il a marché à côté des petits corps étendus dans la terre. Des gamins de dix, douze ans. Des plus jeunes, venus voir leurs frères et sœurs aînés en service. Des plus âgés, simplement posté de garde. Des mioches, des marmots, des adolescents. Morts, allongés sans vie près de lui tandis qu'il marchait en silence. Le faible parti s'isoler en forêt pour jouer à Pokémon. Tous morts, sans qu'il ne vienne leur prêter main forte. Parce qu'il avait eu peur, et parce que les mortels n'étaient pas aussi parfaits qu'il l'aurait cru. Un rêve de plus de brisé. Alors, qui était-il s'il ne pouvait plus non plus être un parfait mortel ?
04. ••
Vous sentez-vous particulièrement en danger ou démuni face à cette menace invisible et inconnue ? Il a toujours été démuni, Adriel. Rien n'existe en lui pour mener une vie de sang-mêlé, et l'apparition de cet étrange groupe mortel ne peut que le conforter dans son impression. La Nouvelle Rome, le Camp Jupiter, c'était le seul endroit où il pouvait se sentir chez lui, où il pouvait vivre sa vie sans se soucier des dangers. Le plus grand risque ? Tomber sur un con et finir avec un splendide bleu sur la joue ou une blessure légère au gladius. Rien de plus. Mais cette sérénité a pris fin cette nuit-là, quand ces mortels se sont infiltrés dans le camp comme si de rien n'était pour les massacrer dans explications, sans raison apparente. Alors bien sûr qu'il a peur, Adriel. Il a peur de mourir et de voir ses proches partir autour de lui. Il apeur de vivre aussi, de vivre sans plus personne pour rester à ses côtés. Ce serait trop. Et ce serait trop dur de vivre heureux encore une fois avec seulement des chaises vides autour de lui.
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À PROPOS DU JOUEUR.PSEUDO/PRÉNOM •• .ipar haizea (Tao)
ÂGE •• 18 ans.
COMMENT AS-TU CONNU MALUM DISCORDIAE •• Ici Tristan déjà.
COMMENT TROUVES-TU LE FORUM •• Il m'plaît bien, tiens !
AVATAR •• Vladimir Averyanov.
UN DERNIER MOT •• Dernier mot.