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| UC + Frederick O. Stein (06.01.2016) | |
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| Sujet: UC + Frederick O. Stein (06.01.2016) Mer 16 Déc - 20:37 | |
| - Hola:
Salut là-dedans , Je rêvais depuis quelques semaines d'un forum pj et je suis tombé avec grand bonheur sur vous. Je m'empresse de ce pas de rédiger ma fiche. Vraiment désolé, mais je ne me sens pas assez courageux pour incarner un romain, plutôt un fils de Dionysos avec Rupert Grint.
Frederick Oliver Stein - Demi-dieu, mais pas trop - NOM •• Stein, le nom du mari de sa mère, donc de son père adoptif. PRÉNOM(S) •• Frederick, choisi par sa mère en raison du célèbre compositeur Chopin. Elle a toujours rappelé à quiconque voulait bien l'entendre qu'elle écoutait des heures de musique classique par jour pendant sa grossesse. Bien sur elle n'a pas pu s’empêcher d'américaniser le prénom de son fils en rajoutant ce petit k à la fin. SURNOM(S) •• Le plus souvent on nomme Frederick par son nom de famille : Stein. Il n'aime pas tellement les diminutifs de son prénom, Fred ou autre Frédou. ÂGE Frederick est âgé de 18 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE •• Le petit bambin roux est sorti du ventre de sa menteuse de mère devant les yeux de son cocu de père le 20 mai 1997 dans un hôpital branché de New-York. NATIONALITÉ •• Tout ce qu'il y a de plus américain sur cette planète. ORIGINES •• Il doit avoir une branche éloignée polonaise mais de très très loin, de toute façon il ne s'est jamais plus intéressé à l'histoire de sa famille le jour ou il a découvert que son père était Dionysos. OCCUPATION •• A mi-chemin entre les études et la colonie des sang-mêlé. Frederick ne représente pas une menace terrible pour le monde mortel, il est donc condamné à poursuivre ses études, bien que cette pensée de ne le réjouisse pas spécialement. ORIENTATION SEXUELLE •• Hétérosexuel, quelques aventures. N'a jamais vécu une relation sérieuse, d'une part il n'en a pas la moindre envie, d'une autre, si les filles acceptent quelques avances de sa part, elles ne se voient en aucun cas sortir avec un débraillé comme Stein. STATUT CIVIL •• Célibataire PARENT DIVIN •• Dionysos, Monsieur D, le Dieu du vin et des excès, de la fête et de la perdition.POUVOIR(S) •• Frederick peut rendre une personne ivre en la touchant. Sachant qu'un simple contact ne suffit pas, cette situation de transmission d'état soul se fait souvent contre le gré de Frederick ou sans qu'il s'en aperçoive. ARME FÉTICHE •• Dans ses élans de soulerie - et non pas de folie - Frederick s'attaquera à ceux qui le cherchent avec ses poings, mais dans un combat plus traditionnel,il préférera l'épée ou le fleuret. DÉFAUT FATAL •• La lâcheté. Si la Colonie doit-être détruite un jour contre des forces extérieures et les Dieux éliminés, et bien tant pis, Frederick s'adaptera, et retournera tranquillement s'installer dans son monde mortel. À LA COLONIE DEPUIS •• Quatre années, même si il n'y passe pas la majorité de son temps. CARACTÈRE •• particulièrement jovial + rieur + bon enfant + facilement sociable + un poil vulgaire + souvent dans la lune + zen + sympathique + un peu sot + drôle dans son attitude + dragueur + humble sur son statut de sang-mêlé + un petit penchant dépressif + alcoolique + même drogué + peut parfois être méchant contre toute attente + pas spécialement généreux + n'aime pas l'effort, mais ne dit pas non à un bon duel + profiteur + lâche + ment sent trop de difficultés + vole de temps à autres | |
☞ QUELQUES ANECDOTES SUR TON PERSONNAGE. 01. Pour le reconnaitre comme son fils, son petit blagueur de père, Dionysos, a rempli la piscine dans laquelle il se baignait de vin rouge. 02. Lors de son premier jour à la Colonie, personne n'a semblé remarquer que Frederick était en décalage total avec le monde divin, de plus sa connaissance assez vague de la mythologie ne lui a apporté aucune aide. 04. Il découvrit son pouvoir assez tardivement, du moins, il comprit qu'elle était son pouvoir. En effet, il se peut que dans son passé au milieu du monde mortel, il est déjà eu usage de son pouvoir, mais sans s'en rendre compte, des individus ivres, il en croisait tous les jours, il avait un barre en bas de sa rue à New York. 05. Il possède une jolie cicatrice en plein milieu de son crâne, ses cheveux la rendant invisible aux yeux de tous. A l'âge de six ans, un tableau dans l'appartement de ses parents s'est fracassé sur sa tête. De temps à autre en y repensant, il soupçonne Dionysos d'y être pour quelque chose, malheureusement c'est impossible à prouver. ☞ SANG-MÊLÉ GREC. 01. •• Que pensez-vous des dieux ? Et des romains ? Frederick ne crache pas sur son sang divin, mais les Dieux et leurs histoires complexes, il n'en a pas grand chose à faire, ils ne les distinguent pas tellement des humains, et leurs caractères égoïstes divins ne le choque pas spécialement. Le jeune homme ne les tient pas particulièrement en estime. Il refuse par exemple de leur offrir une part de son déjeuner en sacrifice, ou de s'adresser à eux par les prières ou incantations. Il est essentiel de rappeler, que Dionysos, notre cher Monsieur D, n'est pas non plus le modèle du père américain. En revanche, Frederick ne comprend pas les sang-mêlé luttant jusqu'à la mort contre leur parent divin, ils ont déjà eu la chance unique de développer des capacités hors du commun, des pouvoirs qui appartiennent au monde de la fiction, une colonie accueillante et gratuite (aucun pensionnaire en dehors de Frederick ne relève le fait que la colonie soit gratuite) et ils trouvent encore et toujours une raison de se plaindre. Frederick trouve sa particulièrement faible de leur part. En revanche, il est bien plus fasciné par la bipolarité voir la schizophrénie démentielle des dieux en grec et romain. Il serait curieux de pousser un de ses chers Olympiens au bout, pourquoi pas son père ? Enfin, les romains, il n'en a pas grand chose à faire non plus, il n'en a jamais rencontré aucun, peut-être un ou deux qui passaient à la Colonie, mais personnellement jamais. Ils ne les pensent pas si différents que nous, juste d'une autre culture. Les américains ne peuvent pas proclamer leur mode de vie et leurs croyances comme les seuls valables, un peu d'ouverture et de compréhension ne ferait jamais de mal à personne, même à des demi-dieux. 02. •• Que faisiez-vous et où étiez-vous la nuit de l'intrusion de la bande armée de mortels au sein de la Colonie ? Frederick trainait dans son bungalow, surement à la recherche d'une activité pas trop fatigante ou bien pire, d'une bouteille d’alcool à se mettre sous la main. Il fut furieux de n'avoir été informé des attaques qu'au dernier moment. De plus, la Colonie qui semble sous le choc n'avait pas l'air très aux courants des agissements qui se trament dans l'ombre du monde magique, raison de plus de souligner l'incapacité de son pauvre fou de père, Monsieur D. Cependant, il trouve les réactions à la Colonie excessive, mais enfin qui sont les demi-dieux ? Nous. La force et les pouvoirs sont de notre côté. Comment peut-on se laisser abattre alors que nous sommes les héritiers des Dieux. Il trouve toute cela ridicule et particulièrement médiocre. Il se garde bien de garder son avis, il sait que de nombreux pensionnaires l'ont en grippe et il ne veut pas se faire expulser de la Colonie à cause de doutes infondés. 03. •• Que pensiez-vous des mortels jusqu'alors ? Et maintenant ? Frederick assiste perplexe à la montée d'une véritable haine des mortels au seins de la Colonie. Il trouve bien naïf les bâtards divins issus de Dieux quelconques et qui vouent à leurs parents un culte sans limite. Le jeune homme a passé les quatorze premières années de sa vie uniquement entouré de mortels et il n'en a jamais été malheureux. Il sait par ailleurs au fond de lui qu'il se sent bien plus proche du monde mortel que du monde divin. Les mortels ne lui posent pas de problèmes, et l'attaque n'y a pas changé grand chose. 04. •• Vous sentez-vous particulièrement en danger ou démuni face à cette menace invisible et inconnue ? En danger, non. Frederick est un lâche, et il ne sent pas prêt à se sacrifier, à combattre et encore moins à mourir pour le monde divin. L'attaque de la Colonie l'a pris considérablement au dépourvu, il soupçonne quelques demi-dieux, mais ne se prononce pas. Il comprend parfaitement les deux camps, parfois même mieux ceux qui luttent contre l’omniprésence du pouvoir divin. Si la guerre éclate, il prendra la fuite et ira finir tranquillement ses études à New York. Si il s'engage, il ne sait pas de quel camp, et il ne veut pas y perdre sa peau. Et le pire dans toute cette histoire, c'est qu'il sait que malgré son choix, son père, Monsieur D, s'en fichera. ☞ À PROPOS DU JOUEUR. PSEUDO/PRÉNOM •• Saf, Louis pour les intimes ÂGE •• 18 ans et quelques mois, jeune majeur adolescent qui rentre de plein fouet dans le monde adulte COMMENT AS-TU CONNU MALUM DISCORDIAE •• En farfouillant sur bazzart, comme d'habitude COMMENT TROUVES-TU LE FORUM •• Particulièrement beau et surtout suffisamment mature pour un forum PJ (amen). AVATAR •• Rooooon Rupert Grint UN DERNIER MOT •• DESOLE POUR TOUT LE RETARD DE LA FICHE
Dernière édition par Frederick O. Stein le Mar 26 Jan - 18:10, édité 14 fois |
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| Sujet: Re: UC + Frederick O. Stein (06.01.2016) Mer 16 Déc - 20:47 | |
| ☞ And when the coyotes escape to New York, Then the city lights has crumbles to the sea. «Les jeunes gens sont arrogants car ils fréquentent leurs pareils, qui, n'étant rien, aiment tous à se donner beaucoup d'importance.» Cette citation Frederick l'aimait beaucoup, il l'avait même écrit sur un petit bout de papier blanc qu'il gardait toujours dans son portefeuille, au fond c'était peut-être la seule citation célèbre du monde mortel qu'il n'ait jamais retenu de ses laborieuses années d'étude mortel. Pourtant, contrairement à nombre de ses pairs sang-mêlés, le jeune homme n'a rien connu des problèmes que l'on pourrait considérer comme classiques de la progéniture quelconque de divinité : un contexte familial explosif, des courses poursuites incessantes et bien plus que dangereuses contre des monstres assoiffés de sang et de vengeance, la découverte d'un prodigieux pouvoir, la révélation évanescente d'un parent divin, non rien de tout ça. De toute façon Frederick n'avait jamais compris cette espèce de mentalité de demi-dieux « c'est dangereux, on risque nos vies, mais c'est fun. » La colonie devait être - et de très loin - la plus mortelle, et on parle ici du taux de mortalité de jeunes par ans, et on pourrait même parler de morts par mois, d'Amérique du Nord et surement du monde. Frederick Oliver Stein ne s'est jamais senti parti intégrante du monde divin. Pendant les quatorze premières années de sa vie, il s'est contenté d'être un gamin normal, fils de Monsieur et de Madame Stein, respectivement agrégé en mathématiques et caviste de vins rares dans l’hôtellerie à New York. Oui son père, enfin son vrai père, son père biologique, le fourbe Monsieur D, ou Dionysos pour les puristes, est tombé amoureux d'une caviste. Beaucoup sont tentés de penser que depuis les quelques siècles, voir même millénaires, ses chers Dieux de l'Olympe ont pu évolué. Il n'en est rien. Ils se contentent, sans y prendre garde, de répéter encore et encore les mêmes bêtises, les mêmes traditions. C'est plus qu'une évidence, les Dieux sont plus humains que immortels, et c'est d'ailleurs de ce côté qu'il tire toute leur bêtise. Oui, les Dieux se contentent sans cesse de répéter leurs clichés, ceux desquels les mortels rient. On en aurait pu en attendre un peu plus de Dionysos, dernière figure majeure de l'Olympe, père du plaisir, que de s'éprendre d'une vulgaire collectionneuse de bouteilles de vin rouge. Au primaire, puis au collège, Frederick ne se débrouillait pas si mal, pour un demi-dieu. Ses professeurs ne lui reconnaissaient pas des capacités intellectuelles hors du commun, et il souffrait d'une légère dyslexie, mais ses notes étaient passables et son attitude calme, tranquille, gentil. Le jeune homme était en revanche plus déchainé du côté social, il collectionnait une multitude d'amis, et personne ne venait jamais lui chercher du tort. Finalement, Frederick s'est toujours, et se le demandera toujours, pourquoi son Dieu-crétin de père a dédaigné le reconnaître. Sa pauvre mère, qui avait menti à son mari toute sa vie, sachant pertinemment que son fils était le fruit d'un adultère, n'en fut pas moins surprise et dégouté que lui. " L'affaire", c'est le nom que Frederick aimait donner à sa reconnaissance divine, survient lors des premiers jours de vacances d'été de l'année 2012, dans une maison de vacances louée, à lourds frais, par ses parents, en Californie. Accompagné de ses deux petites sœurs, Fréderick se défoulait comme un gamin dans la piscine, profitant de la fraicheur de l'eau, rompant avec la chaleur et l'humidité ambiante et permanente de la Californie du mois de juillet. Dans le but impressionner sa famille, il plongeait de plus en plus haut et ses mouvements souples lui donnait presque une allure de sportif professionnel. Il ne cesse de monter sur le plongeoir pour se propulser le plus rapidement au fin fond de l'eau. Il réussit enfin un double salto arrière et toute sourire il arrive la tête la première dans l'eau. Seulement, il ressortit immédiatement presque étouffé. Toute l'eau de la piscine s'était changé en vin. Frederick dans les mois qui suivirent ne put cesser de penser à la mauvaise foi de son père, qui rappelait par cette piscine de vin, une scène biblique célèbre. Sortant immédiatement de l'eau, le jeune homme était trempé de vin, et la piscine avait viré en une teinte bordeaux. Devant l'incompréhension de son père qui regardait les tuyaux, près du générateur de la piscine, il bifurqua vers sa mère qui gardait la tête baissée et une attitude froide. Elle semblait loin d'être surprise. Au bout d'une dizaine de minutes, alors que son fils la questionnait sans cesse. Elle se leva de son fauteuil de plage, pris une grande inspiration, fixa le ciel et hurla de tous ses poumons « Espèce de conn*rd, tu avais juré que tu ne me ferais jamais jamais un coup comme ça, tu avais juré de me laisser, je n'aurais jamais, jamais, jamais, du te faire confiance (...) » et elle continua encore et encore, devant sa famille entièrement pétrifiée devant l'extase verbale et vulgaire de cette femme, qui conservait la plupart du temps son calme. Elle ne leur adressa plus la parole de la journée et s'enferma dans sa chambre, allant jusqu'à refuser l'entrée à son mari. Pendant ce temps, le reste de la famille chercha en vain une explication logique et rationelle à ce phénomène, mais ils ne trouvèrent rien, ce qui venait de se passer était littéralement extraordinaire, hors du commun. Le lendemain matin aux aurores, un petite satire pâle et belliqueux toqua à leur porte. Il demanda à parler à Fréderick et alors que son père allait claquer la porte à cette petite créature faible, sa mère trancha « non, ouvre lui, laisse le parler à Fred, c'est hors de notre domaine cette fois. » C'est ainsi que Frederick découvrit tout de l'existence divine, en plein mois de juillet. Le lendemain il était décidé, il partait à la découverte de la Colonie. Encore une fois, et à son plus grand étonnement, sa mère le laissa partir. Elle comprenait sa curiosité et ne se rendait peut-être pas compte des dangers et du nombre de morts que portait déjà à cette époque la colonie. Frederick n'en voulut jamais à son vrai père, le Dieu. Il ne voyait pas en lui une puissance divine hors du commun, mais il ne lui en manquait pas de respect pour autant. Il était convaincu que l'immortalité n'apportait rien au Dieu, seulement un gout démesuré pour s'enticher des mortels. La colonie des sang-mêlés en été un exemple flagrant, et personne n'en avait jamais honte. Son premier jour à sa colonie ne fut marqué d'aucun événement particulier. Il croisa son père à son premier dîner avec les autres sang-mêlés. Ces camarades de bungalow lui ayant préalablement indiqué comment le reconnaitre, ce qui n'était en réalité pas d'une difficulté suprême, impossible de rater Monsieur D, et son verre à vin rempli de pepsi light. « Salut», lui lança le Dieu en le croisant quelques heures plus tard près du feu de camp, l'air de rechigner un peu, il ne le regardait même pas dans les yeux. Pris au dépourvu, il trouva cette phrase plutôt sympa, le Dieu ne détenait pas une licence de psychologie au fond « Salut papa », répondit Frederick, et cela fut absolument tout. Tout d'une relation père fils en 18 ans : une reconnaissance divine par une piscine de vin et un salut à demi-voix. Les autres demi-dieux ne comprennent souvent pas pourquoi les enfants de Dionysos ne vont pas plus souvent discuter avec leur père, ce qu'ils ne captent pas, c'est que d'une part le Dieu n'en a strictement rien à faire d'eux, et d'une autre part, les enfants s'y accommodent très bien. Si les autres demi-dieux rêvent tous en secret d'un petit moment de discussion avec leur cher et tendre parent divin, il n'en est rien pour les enfants du Dieu de vin, et il en sera toujours ainsi, Dionysos condamné ou non à surveiller la Colonie. Et puis, il sent le regard de son père de temps à autre sur lui, et ça lui suffit amplement. Frederick n'a jamais renié son père adoptif, Monsieur Stein, il s'est comporté avec lui comme un vrai père toute sa vie, même après la révélation du statut de Frederick et les incompréhensions qui en sont sorties. Finalement, il ne se pose plus de questions, et se contente de se comporter avec lui comme un père normal et aimant. Frederick ne s'est jamais particulièrement engagé à la Colonie des Sang-mêlés. Il se contentait de participer à divers activités suggérés et à trainer le soir avec les gens de son bungalow, tout cela sous l’œil inexistant de son cher père. Il devient rapidement très copain avec les débauchés et fêtards en tout genre de la colonie, il n'avait pas la prétention de devenir un grand et fort demi-dieu. Par ailleurs depuis l'intrusion à la colonie, il sait que certains demi-dieux le surveille et l'accuse, dans son dos bien évidemment, d'espionner contre leur compte. Mais il n'en est rien, Frederick pourrait être tenté un jour, si vraiment il y trouve quelque chose à gagner, mais ce n'est pas inscrit dans son programme du jour. Frederick est un profiteur et un lâche il faudra redoubler d'effort pour le convaincre d'une part de protéger la colonie ou d'une autre d'aider l'ennemi à la détruire. Il tient peut-être sa de son père, il n'en sait trop rien, le peu de sa culture mythologique ne retient que les clichés sur son père : douzième dieu de l'Olympe, coureur de jupons, alcoolique, enfin d'un alcoolisme divin, et profondément égoïste, comme tous les Dieux.
Dernière édition par Frederick O. Stein le Mar 26 Jan - 18:06, édité 9 fois |
| | | X. Isaure I. Ilser DLCEM. ∇ localisation : New York pour le moment, mais il bouge souvent pour son travail à la DLCEM. ∇ messages : 596 ∇ parmi nous depuis le : 24/08/2015
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| Sujet: Re: UC + Frederick O. Stein (06.01.2016) Jeu 17 Déc - 9:29 | |
| Monsieur D, c'est le meilleur Bienvenue et courage pour la rédaction de ta fiche |
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| Sujet: Re: UC + Frederick O. Stein (06.01.2016) Jeu 17 Déc - 14:21 | |
| Avec Rupert Grint, Diony comme papa et un tel pseudo, t'as juste la classe Bienvenue ! |
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| Sujet: Re: UC + Frederick O. Stein (06.01.2016) Jeu 17 Déc - 17:32 | |
| Merci à tous les trois . |
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| Sujet: Re: UC + Frederick O. Stein (06.01.2016) Ven 18 Déc - 11:39 | |
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| | | Tristan E. Langley ICE T. ∇ localisation : New-York. ∇ messages : 2033 ∇ parmi nous depuis le : 15/03/2013
| Sujet: Re: UC + Frederick O. Stein (06.01.2016) Ven 18 Déc - 13:14 | |
| Bienvenuue ! Je suis contente de voir Rupert Grint ! En tout cas, bon courage pour ce personnage et pour ta fichette ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas. |
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| Sujet: Re: UC + Frederick O. Stein (06.01.2016) Mer 30 Déc - 17:49 | |
| Je vais vous demander un petit délai de quelques jours. Je suis en pleine période de fêtes, voyage et surtout, en révision de partiels, donc je m'en sors pas trop. J'essaye de finir ma petite fiche au plus vite. Joyeuses fêtes à tous ! |
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| Sujet: Re: UC + Frederick O. Stein (06.01.2016) Mer 30 Déc - 19:04 | |
| Pas de soucis, au contraire ! Jusqu'à mercredi 06 janvier, ça ira ? |
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| Sujet: Re: UC + Frederick O. Stein (06.01.2016) | |
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| | | | UC + Frederick O. Stein (06.01.2016) | |
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