01. •• QUE PENSEZ-VOUS DES DIEUX ? ET DES GRECS ? avant de connaître ma vraie nature, je n'en croyais pas un mot, ça n'était que des théories foireuses pour faire rêver l'humanité. Mon avis à changer depuis que je sais qui je suis, je pense aujourd'hui que ce sont des êtres à qui nous devons le respect même si abandonner leur enfants n'est pas le meilleur moyen de prouver qu'ils sont de dieux et déesses responsables, la vie d'un dieu ne reste pas la même que la notre. Je leur dois le respect mais pas forcément de l'amour.

02. •• QUE FAISIEZ-VOUS ET OÙ ÉTIEZ-VOUS LA NUIT DE L'INTRUSION DE LA BANDE ARMÉE DE MORTELS AU SEIN DU CAMP JUPITER ? j'étais endormi, c'était la nuit donc effectivement je dormais. Dès que j'ai entendue des cris...j'ai immédiatement mon arc et mes flèches pour défendre les miens. Ce fut un bain de sang, je ne saurais vous expliquez à quel point cela m'a touché, comprenez bien que je donnerais ma vie pour sauver le Camp Jupiter, c'est plus qu'un chez-soi pour moi. Nous sommes une grande famille, voir ses corps par terre à été un vrai traumatisme pour moi...un réel traumatisme..

03. •• QUE PENSIEZ-VOUS DES MORTELS JUSQU'ALORS ? ET MAINTENANT ?  je ne leur vous pas une haine sans fin, seulement depuis que je sais qui est l'auteur de l'attaque qui à ravagés nos rangs...je ne peux qu'être méfiant quand j'en croise, j'essaie de rester juste et impartiale mais quand ce sont les vôtres qui sont touchés vous vous devez de ressentir une colère envers ceux qui sont responsables de ces pertes. Nous n'avons aucune idée de l'identité de nos assassins, alors il faut mettre un nom sur le responsable.

04. •• VOUS SENTEZ-VOUS PARTICULIÈREMENT EN DANGER OU DÉMUNI FACE À CETTE MENACE INVISIBLE ET INCONNUE ? Les deux à la fois, nous sommes absolument tous en danger personne n'est à l'abri d'être attaqué à nouveau, nous n'avons peut être pas les noms ou nous ne savons pas qui ils sont mais nous ne sommes pas démuni, nous avons des armes, des dons qui nous ont été donnés alors nous allons les trouver, nous allons les juger comme ils ont fait avec nous, un jugement rapide et efficace. Nous sommes deux sangs mêlés, nous sommes des guerriers rien ne nous arrêta pour trouver les assassins de nos frères.

PSEUDO/PRÉNOM •• camille la menace ÂGE •• vingt ans, déjà. COMMENT AS-TU CONNU MALUM DISCORDIAE ? •• tahu j'ai posée une recherche de perso itout et là j'ai vu votre fiche et dans ma tête j'étais genre    COMMENT TROUVES-TU LE FORUM •• OKLM AVATAR •• matthew daddario SOUHAITES-TU UN PARRAIN ? •• ouais parce que je sens que je vais faire des conneries sinon mdrrrr  UN DERNIER MOT •• j'ai faim

Quand nous ne sommes pas destinés à devenir celui que l'on doit être, la vie se charge de vous le faire comprendre. Il y a des événements marquants dans votre vie qui vont déterminer le chemin que vous allez prendre, le premier événement marquant de ma vie fût l'absence de ma mère, je ne l'ai jamais vu et je ne la verrais peut-être jamais. Mon père m'a élevé, seul. Quand j'étais plus jeune j'enviais tellement les enfants qui avaient deux parents, mais au fil du temps je ne pense pas que j'aurai été plus heureux avec deux parents, mon père m'a toujours soutenu et suffit dans ma vie, seulement quand on est jeune on ignore tout ça. J'ai grandi aux États-Unis, une éducation cadrée, quasiment militaire mon père ne l'était pas, mais il avait toujours souhaité le devenir seulement il ne pouvait pas m'abandonner alors il renonça à son rêve pour moi, son fils. Mon père a toujours été passionné par le milieu de l'armée, tous ses ancêtres avaient fait l'armée. C'était presque un héritage que l'on laissait à son enfant en lui donnant ce mode de vie si stricte. La phrase que mon père adorait me répéter : « Les règles sont faites pour être suivi, on ne les brise pas, on ne les enfreint pas, il faut les suivre. » J'ai toujours été quelqu'un de droit, qui tient parole et qui tient ses promesses, jamais je n'ai manqué à aucune de mes promesses, jamais. Étant plus jeune je n'ai eu qu'une seule amie : Elin. Ce prénom hante mes nuits, mes pensées je ne saurais vous dire tout ce que ça représente pour moi. C'est toute une vie à être enchaîné à une âme. Je suis quelqu'un de très proche de la nature et pour moi, rien ne peut défaire deux âmes qui s'aiment mal grès les difficultés, si deux personnes sont faites pour être ensemble elles finiront par l'être. Peu importe le temps que ça prendra, elles finiront par être réuni. J'y crois encore, à 26 ans.  Il faudrait être connecté à la nature comme je le suis pour comprendre l'importance des liens humains et quand ses deux âmes sont réunies il n'y a rien qui les arrêtent. Comprenez bien, Elin est cette personne, l'âme sœur comme les mortels l'appellent. Je lui ai fait une promesse, celle qu'on se retrouva peu importe où elle sera, que je me fiancerais avec elle. Je l'ai faite plus jeune cette promesse, mais vous pouvez me croire, je la tiendrais jusqu'à mon dernier souffle, personne n'a su me transporte comme elle l'a fait, aucun sourire n'a su rendre à mon cœur toute ses couleurs, personne n'a su me rendre heureux comme elle l'a fait. Je passais mon temps avec elle étant jeune et je repense sans cesse à ses moments que l'on a échangé, j'aurais tout donné pour ne pas partir, pour ne pas déménager et la garder auprès de moi. J'aurais absolument tout donné. Mon père adorait Elin et il savait pertinemment que si nous n'avions pas déménagés, nous serions ensemble aujourd'hui. Il le sait. Les meilleurs souvenirs se trouvent dans mon enfance, tous. Quand je suis parti, quand j'ai quitté Elin, mon cœur s'est brisé en deux morceaux, l'un est resté en moi et l'autre est resté dans ses mains. Lors des premiers mois, nous nous sommes écrits, j'étais inquiet que nous nous parlions plus, seulement, quelque chose dans nos vies à tout changer. Elle avait sûrement dû apprendre ses vraies origines, beaucoup plus tôt que moi. Les années avant que j'apprenne aussi moi aussi, mes origines, je passais mon temps dehors, à me balader dans une forêt qui n'était pas très loin de chez moi, je me sentais incroyablement bien dans la nature, je n'expliquais pas ce bien-être, je le ressentais simplement. Une connexion s'était établie. Bien souvent mon père me retrouvait assis sur les branches d'un arbre, il ne comprenait pas pourquoi j'avais ce besoin de faire ça, à chaque fois qu'il me posait la question je ne savais pas quoi lui répondre, même si lui le savait pertinemment. Je sombrais dans la solitude, il me manquait quelqu'un : Elin. Mon père le voyait mais, il savait qu'il ne pouvait pas y faire grand chose. Personne ne me comprenait réellement, je me sentais plus décalé que les autres enfants et différent. Lorsque mon premier pouvoir se déclara, j'avais treize ans, mon père ne fût pas surpris par ce don, au contraire il n'espérait même plus que cela arrive et il ne m'avait rien dit pour me protéger et pour que mon pouvoir se déclenche seul. La première fois que mon pouvoir fit son apparition, nous traversions un parc avec mon père, au contact d'un arbre, je sentais son passé, ses douleurs, ce qu'il avait vécu, ce qu'on lui avait fait subir c'était comme si nous parlions, c'était une discussion en sens unique, il me donnait des informations et ça s'arrêtait là. Il était très facile pour mon père de savoir quand j'utilisais ce pouvoir, mes yeux prenaient une couleur vert émeraude. A la suite de cette découverte, mon père et moi avions eu une discussion sur le futur qui m'attendait, évidemment il m'avait parlé du Camp Jupiter, il m'avait dit que c'était comme l'armée mais pour les sangs-mêlées. Il ne m'épargna aucun détail jusqu'à l'identité de ma mère, il m'expliqua en détail ce qui m'attendait. Pendant mes études j'étais un élève brillant et je m'appliquais à contrôler mes pouvoirs même si je n'avais aucune idée de quelle direction prendre pour qu'ils évoluent. Ce fut de longues années à cacher qui je suis vraiment, bien évidemment mon père me soutenait. Mon père m'expédia immédiatement au Camp Jupiter, une fois mes études finit, c'était mon destin. J'aimais énormément mon père, mais il pouvait parfois se montrer très froid, comme le jour où il me confia au Camp. Dès mon arrivée, on m'essaya à plusieurs armes, l'épée était trop lourde et trop imposante pour moi, elle ne me correspondait pas. Les armes blanches comme les poignards, les couteaux, étaient trop agressifs et je n'étais pas d'un naturel très brutal. Un arc et quelques flèches traînaient parmi les armes lourdes, un arc qui n'avait pas servi depuis des siècles. Je le saisis en main et tous ceux qui m'entouraient riait, c'est pour eux une arme inutile. Je plaçai l'arc dans mes mains et avec l'aide de mon entraîneur qui le plaça correctement et attendit quelques minutes, j'inspirai profondément, je sentais le vent qui soufflait, l'humidité, la température, je tirai ma première flèche et je ne manquai pas ma cible, le silence se fit, je pris une deuxième flèche et une fois de plus en plein dans le mil, l'arc n'étant pas de bonne qualité, la flèche non plus, je manquai ma troisième cible à cause de l'équipement usagé, mais ça ne m'empêcha pas de suivre un entraînement draconien, j'avais beaucoup de lacunes en attaque, je n'étais pas quelqu'un de méchant ou agressif, mais je défendais assidûment mes camarades et assurait leur protection, j'excellais dans ce domaine. Je passais des heures à m'entraîner pour rattraper mon retard, seulement je m'isolais aussi des personnes de mon Camp, j'étais pratiquement tout le temps en contact avec la nature, seulement mes pouvoirs ne grandissaient pas dans la norme, j'étais toujours dans une découverte moyenne de mes capacités et je ne comprenais pas pourquoi. Je passa les tests avec brio, j'étais l'un des meilleurs au sein du camp et je fus appeler par Lupa, c'était une consécration pour moi. J'étais dans l'obligation de devenir un légionnaire, c'était comme une seconde nature pour moi. Au fur et à mesure, ma communion avec la nature cessait et personne n'expliquait ça. Je devais être plus à l'écoute de mes sens, un point était sensible : mon alimentation.   Je défendais la nature, mais je sacrifiais des animaux pour m'alimenter, les dieux n'apprécient pas que l'on aille contre notre nature, par la force des choses j'étais dans l'obligation de bannir les aliments d'origine animale. Autrement dit j'étais devenu végétalien. Dans les jours qui suivirent, j'entendais à nouveau les paroles silencieuses de la nature, je pouvais échanger avec elle et ça n'était plus un dialogue à sens unique, elle m'écoutait. Je vouai ma vie aux dieux, je les écoutai, je les comprenait. Ils me donnèrent accès aux informations les plus précieuses, je pouvais où sentir était passé, quel parcours un homme avait emprunté, combien il mesurait, quelle pointure il faisait. J'étais devenu excellent aux entraînements de chasse. Pendant des années je m'étais enfermé dans une bulle de travail et de rigueur. Il n'y avait qu'une seule personne qui avait dû traverser cette bulle, Lux. Depuis que j'étais arrivée elle avait été la seule personne à ne pas me fuir comme la peste. Je n'étais pas quelqu'un de démonstratif, mais à vrai dire, j'ai appris avec le temps à pouvoir lui faire confiance et ainsi m'attacher à ce petit bout de personne. Lux est devenue ma meilleure amie...et rien d'autres même s'il est arrivé qu'une seule et unique fois nous avions...tenté plus, mais nous nous sommes rendu compte que ça ne fonctionnerait pas... . Heureusement pour notre relation cela n'a rien changé elle n'a fait que confirmer sa force. Lux est ma sœur même si nous n'avons aucun parent en commun, elle est ma sœur, le mot comme n'a rien à faire dans cette phrase. Aujourd'hui, je continue d'être un légionnaire même si les 10 ans sont révolus, je tiens à défendre les miens, quoi qu'il en coûte.

Seulement voilà, rien ne pouvait être éternellement stable... la seule et unique femme que je voulais dans ma vie, avait refait son apparition dans ma vie. Elin, je l'avais malencontreusement croisé en la percutant, dans le camp où elle se trouvait elle... . Un grand choc, c'est comme si le sol s'ouvrait sous mes pieds et que rien n'avait eu d'importance à ce moment, que le monde était sur pause et le temps aussi. Mon cœur avait du bien mettre plus d'une minute à repartir normalement, mon visage avait été si expressif qu'il était impossible de rater ma réaction. Je ne savais quelle émotion traversait mon esprit...vraiment il n'y avait aucun mot pour les décrire. Depuis, j'essaie de reprendre contact avec elle, de réapprendre à la côtoyer mais c'est difficile de rester impartiale devant l'âme sœur de toute ma vie. Impossible.

Depuis mon arrivée dans la vie d'un sang-mêlés, je n'étais peut-être pas un des plus apprécié surtout avec les descendants de Mars mais je peux vous assurer que je ne manque aucune occasion de les battre au tir à l'arc, je gagne toujours. Je me suis fait quelques amis et quelques partenaires de combat seulement j'en ai perdu aussi durant deux tristement célèbres attaque que nous avons subit aussi bien Romains que Grecs. A chaque fois, j'y ai perdu même si ça n'était pas des amis proches, ils faisaient partis de mon entourage. A chaque fois je m'assurais qu'Elin n'avait rien. Lors des attaques je défendais les miens mais il n'y a absolument rien que je n'ai pu faire de plus pour en sauver. La première fois se fut le combat contre l'Hydre pendant que les mortels nous attaquaient, je pourrais me venter d'avoir abattu un ou deux mortels et avoir participé à la mise à mort de L'Hydre seulement, une perte reste une perte et lorsque l'on retire une vie qu'elle appartienne à une mauvaise personne, c'est une vie et cela restera toujours précieux. Je n'aime pas particulièrement les mortels mais je tente de rester objectif avec le reste du monde seulement la deuxième attaque n'a pas aidé. J'étais endormi à ce moment là et ce sont d'affreux cris qui m'ont tiré de mon sommeil, j'ai encore une fois défendu les miens mais se fut une fois de plus un coup de massue pour les sangs-mêlés puisque la menace est invisible mais partout à la fois.

Comprenez bien que dans votre vie, rien ne sera millimétré et orchestré comme vous l'entendrez, il y aura toujours un violoniste qui fera une fausse note, un batteur qui ne suivra pas le rythme ou un guitariste qui ne viendra pas jouer le soir prévu. Il faut vous adaptez en permanence. Votre vie aura de bons et de mauvais imprévu, souvenez-vous qu'une vie est un enchaînement de connerie et qu'à la fin le meilleur gagne.