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Sujet: Kassym Petyr Dvorak ♠ " Il n'y a d'autre enfer pour l'Homme que la bêtise ou la méchanceté de ses semblables. " - Marquis de Sade. [en cours] -16 Lun 29 Aoû - 23:48
- Kassym Petyr Dvorak -
dossier n°0666-88 ; informations générales.
NOM •• Dvorak. Un patronyme d'une banalité affligeante, parfait pour se fondre dans une masse qui répond aux clichés, qui ne jurent que par eux. Une énième illusion d'absurde sur la destinée. PRÉNOM(S) •• Kassym, deux syllabes capables d'imposer à elles seules un certain charisme signé par le danger. Il n'y a rien de doux, simplement l'abrupt guttural lié avec le sifflement vicieux. Et Petyr, à l'honneur d'un grand-père mort qui a laissé derrière lui l'occulte à mes origines gitanes. SURNOM(S) •• Aucun. Il n'y avait pas assez d'affection pour que mes camarades osent m'affubler d'un sobriquet comique. Non, il n'y a toujours eu que de la crainte. ÂGE •• Trente et quatre années entières à subir une existence sur le chemin de la destinée divine. Trente et quatre années entières à abattre la chair et à faire couler le sang. Trente et quatre années entières à lutter contre une réalité plus douloureuse que rationnelle. DATE ET LIEU DE NAISSANCE •• Un 31 Octobre dans la campagne de Zagreb, au milieu de la crasse et baignant dans le sang d'animaux. Dans une caravane enfermée calmement dans le camp de gitans, là où aucun enfant n'osait venir réclamer quelques friandises. NATIONALITÉ •• Yougoslave, aujourd'hui considéré croate, immigré dès mon plus jeune âge avant l'éclatement de la République fédérative socialiste de Yougoslavie. ORIGINES •• Aucune, ma mère est yougoslave, mes grands-parents l'étaient également et toutes les générations avant l'étaient aussi. OCCUPATION •• Avocat, capable de gérer plusieurs choses, je suis cependant spécialisé dans le droit pénal. Passionné de photographie, j'exerce uniquement pour mon propre intérêt, mon propre plaisir. ORIENTATION SEXUELLE •• J'aime toute sorte de séduction, usant de flatterie, de charme et du désir comme des atouts majeurs d'une société naïve et arrogante. Foncièrement hétérosexuel, je ne possède aucune limite tant que j'y trouve un intérêt, tant que je peux exercer l'unique objet de mon émoi : la domination pure et virulente. STATUT CIVIL •• Veuf. Elle est morte malgré sa perfection, écrasée par la force de mes propres mains, étouffée par la folle emprise de ma poigne qui se serrait autour de son cou. Sa vie l'a quitté et, depuis, je voyage dans des excès de lubricité assumée et honnête. PARENT DIVIN •• Éris, la déesse de la Discorde. Elle a capturé le désir de l'occulte de ma mère, elle a fécondé cette femme qui ne demandait que ça. Dès lors, elle a répondu à l'appel désespéré de l'humanité qui s'éternise dans la banalité, cet appel à l'aide qui ne faisait que hurler aux cieux d'abattre leur courroux. Et je suis devenu ce châtiment. POUVOIR(S) •• La discorde de la réalité : L'aura même est significative, cette force muette et éteinte dans un charisme absolu scintillant dans un regard sombre et fou. Et c'est cette pression qui englobe mon être qui vous fera défaut. Plongé alors dans un périmètre d'une petite dizaine de mètres à peine, vous subirez l'absurde changement vectoriel que mon pouvoir exerce. Ainsi la droite peut devenir la gauche, un coup en avant fera sa trajectoire aller dans son inverse et je vous regarderais de ma hauteur choir sur votre échec. Plus aucune précision ne peut se voir réussir, les trajectoires se bousculent, les longueurs changent et la force modificatrice de ces vecteurs semblent alors immuable. Bien sûr, ce n'est pas infaillible, les changements ne sont pas aléatoires, il suffit alors d'une période qui varie selon l'adversaire pour s'en accommoder parfaitement. •• La discorde gravitationnelle : Ne disposant pas de force accrue ou de capacité physique exceptionnelle si ce n'est quelques aptitudes et stratégies diaboliques, la gravité joue sur l'exercice de ma force. Je n'allège rien, je forme une pression sur un objet, sur une masse, une gravité qui ne se fait pas comme par magie mais qui augmente peu à peu. Ce sera alors d'abord une endurance qui s'étiole, un essoufflement qui se fait de plus en plus rapidement, puis une immobilité totale au bout d'un certain laps de temps mêlé avec des blessures physiques répétés. Car là est le secret, plus je vous saigne, plus votre masse sera affectée et donc plus elle sera forte et lourde. Cela joue sur le sang qui coule, plus l'effusion est grande, plus le pouvoir s'exerce. Malencontreusement, il suffit de me blesser pour écarter le contrôle, me faire perdre ma concentration et mon sang-froid pour que je doive recommencer la maîtrise sur ma victime. Le sang pour le sang.ARME FÉTICHE •• Les lames. Grandes, petites, fines, larges, tranchantes, pointues, toutes les sortes de lames restent ma préférence et ma prédilection. Malgré tout à l'aise avec les armes à feu, elles sont efficaces et rapides. Dans mes habitudes, je blesse avec une balle, je torture avec une lame et je tue avec le temps qui passe. DÉFAUT FATAL •• L'extrême. Aucune demi-mesure, il n'y a que l'abus, que l'excès, que la virulente impulsion portée à son apogée. LIEU DE RÉSIDENCE ACTUEL •• Manhattan, à New-York, dans un hôtel proche du cabinet dans lequel je travaille. Avec une fortune assez élevée pour y résider quotidiennement, marquant quelques changements par lassitude, avec mes habitudes différentes dans chaque hôtel de luxe qui me reçoit.
01. Bercé par la culture gitane et, surtout, par le mystique de l'occulte, son éducation est étrange. Sa normalité d'enfant est tordue, chaotique et bien sombre et même s'il le sent, même s'il en est conscient ça reste sa normalité. Ainsi, égorger un lapin et boire son sang devant lui ne lui rappellera, simplement, qu'un dimanche en famille. 02. Vivant dans une société soumise à la fortune, il pose souvent la question : "Quel est votre prix ?", que ce soit pour satisfaire son appétit sexuel, son désir immédiat pour une absurdité ou une banalité quelconque. 03. Lubrique, pervers, sadique, soumis lui-même à des pulsions sexuelles, il ne peut se contenir, se contrôler et entre alors dans des rages ou des violences sauvages pour assouvir une tentation qu'il ne maîtrise pas. 04. Charmeur et séducteur, il est sans arrêt dans un jeu de désir. 05. Il porte des costumes, est fumeur, il transpire le luxe et fait en sorte d'inspirer la crainte. Plus que pour son métier, c'est un prédateur dans toute circonstance. 06. Il a déjà été acquitté pour une suspicion d'homicide alors qu'il se représentait lui-même. En réalité, il a tué plusieurs personnes maintenant mais son argent l'en a sortit malgré les rumeurs et la réputation dangereuse qui le suit. 07. Il a une peur panique de ce qui est bien rangé, de ce qui est en ordre, il aime le chaos, la discorde, le bordel. 08. Il ne conduit plus car il ne peut résister à la tentation meurtrière et bordélique de foncer dans les autres, piétons ou conducteurs. 09. Il parle parfaitement anglais même s'il a gardé son accent slave. 10. Rien est cassable chez lui car sinon il casserait tout dans le simple besoin de briser les choses intactes.
interview de Kassym Petyr Dvorak, itinérant sang-mêlé.
01. •• QUE PENSEZ-VOUS DES DIEUX ? ET DES CAMPS ?
Les dieux sont immuables. Ils imposent leurs lois, leurs règles et leurs châtiments. Ils sont l'autorité suprême et une de leurs entités a choisit mon sang pour être son courroux. Je suis dans un cercle très fermé d'élu, digne d'avoir reçu le sang divin et quelques pouvoirs capables alors d'écraser et de punir cette humanité décadente. Ces Hommes ont perdu la foi, ils ont oublié, ils se sont égaré et mon rôle n'est pas de les remettre dans le droit chemin. Je ne suis pas là pour les punir. Non, je suis là pour répandre la discorde, semer l'absurde chaos d'une existence que personne ne soupçonne. Je suis le châtiment à la routine, à l'ennui, la réponse au quotidien moribond d'une vie qui perd de son intérêt. Les camps parviennent à diviser les élus, à rendre concret une adversité là pour les éblouir et les illusionner. Ils n'ont rien compris, ils persistent dans l'erreur et les voilà assaillit par les Hommes fougueux qui osent croire qu'ils font le poids. Les camps ne sont alors que la résidence du fantasme qui s'échappe et s'écarte d'une réalité qui devient trop absurdement douloureuse.
02. •• POURQUOI NE PAS ÊTRE À LA COLONIE/CAMP JUPITER
Parce qu'il n'y a que la jeunesse encore perdue dans le mensonge. Ils se battent, ils se taquinent, ils s'amusent et ils font l'impasse sur une destinée qui se doit d'être exceptionnelle. C'est du gâchis. Rien de plus. Rien de moins. Un entraînement logique et légitime, mais un but idiot. Ils se planquent, attendent péniblement un changement comme ces pauvres âmes vagabondes qui cherchent encore des raisons d'exister ou la naïve idée de trouver un bonheur utopique. Les dominants ne se cachent pas, ils frappent, ils éliminent, ils écrasent, ils manipulent. Ils ne fuient pas la réalité, aussi fragile qu'elle fut, aussi laide qu'elle soit, aussi sanglante qu'elle sera.
03. •• AVEZ-VOUS ENTENDU PARLER DE L'INTRUSION DE MORTELS AU SEIN DE LA COLONIE DES SANGS-MÊLÉS ET DU CAMP JUPITER ?
La contre-attaque d'une humanité qui sent le danger, qui voit son évolution menacée par une race supérieure. La première erreur fut de sous-estimer un peuple capable de décimer les siens sur une idée, sur la voix d'une seule personne. La deuxième erreur fut de croire que l'humanité ne serait pas assez forte, assez intrépide pour terrasser quelques élus embourbés dans la nonchalance et la stupide vanité soi-disant cartésienne. Voilà où mène la prétention lorsqu'elle n'est pas accablée de charisme et de lucidité. Il y a eut trop d'années perdues dans le laxisme, trop d'années conduites par une jeunesse en perdition qui préfère jouer aux mortels plutôt que d'assumer le rôle d'élu qui l'incombe.
04. •• VOUS SENTEZ-VOUS PARTICULIÈREMENT EN DANGER OU DÉMUNI FACE À CETTE MENACE INVISIBLE ET INCONNUE, VOUS QUI ÊTES ISOLÉ À L'EXTÉRIEUR ?
Il n'y a que le danger qui m'excite. Cette sensation de pouvoir mourir à chaque coin de rue, de pouvoir se faire attaquer par n'importe qui. Il n'existe que ce sentiment chaotique qui me permet de jouir encore plus de mon statut de dominant. Car une fois que le regard vantard de l'assaillant se croise au mien, que son espoir tente de transcender mon être dans un élan joyeux bercé par l'illusion de la réussite, je peux détruire chaque parcelle d'adrénaline dans son corps. Briser son être par la simple voix du désespoir, de créer dans son existence le véritable écho d'un chaos mortel. De faire choir sur son regard abattu, la discorde d'une réalité en échec.
à propos du joueur.
PSEUDO/PRÉNOM •• Dies Iræ. ÂGE •• 6 ans. COMMENT AS-TU CONNU MALUM DISCORDIAE ? •• J'ai connu, très succinctement, Divina Bellum. Et je suis ici par le biais de Lethario, Hillel et Ofelia. COMMENT TROUVES-TU LE FORUM •• Prêt pour aller dîner. AVATAR •• Michael Fassbender. SOUHAITES-TU UN PARRAIN ? •• Non merci. UN DERNIER MOT •• Mot.
Sujet: Re: Kassym Petyr Dvorak ♠ " Il n'y a d'autre enfer pour l'Homme que la bêtise ou la méchanceté de ses semblables. " - Marquis de Sade. [en cours] -16 Lun 29 Aoû - 23:48
Merci de prendre en compte la notification d'âge dans le titre et l'avertissement qui suit : Cette fiche contient des passages qui peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes ainsi que des âmes sensibles.
HISTOIRE
sous-titre.
Le sexe est une chose fascinante. À l'égard d'une curiosité juvénile, peut-être un peu à cause d'élans immatures, cela peut paraître absurdement douloureux. Il y a des mouvements étranges, des cris et les visages crispés dans le plaisir sont parfois difficilement dissociables à ceux reconnus dans la souffrance. Mais, aux fracas d'une enfance tourmentée et noyée dans un libertinage certain, le sexe fait alors l'objet d'une liberté effroyablement jouissive. Nous avions déménagés depuis quelques années maintenant, quittant la Yougoslavie prête à éclater dans une lutte qui n'avait que trop duré. On avait tout laissé sur place, fuyant avec le peu d'économie que l'on pouvait avoir pour rejoindre d'autres familles slaves prêtes à nous accueillir. Des familles qui avaient compris avant nous que le communisme subirait un échec face à la pression des américains alors, première puissance mondiale. L'avenir se trouvait là-bas, dans une nouvelle forme de misère, toujours enfermé avec notre communauté gitane, paisiblement crainte et calmement endormie dans nos caravanes usées. C'était un russe mal rasé, gras et étrangement sympathique qui louait ses terres à des réfugiés slaves, il ne faisait pas de distinction, demandait très peu d'argent et vivait lui-même au centre d'une communauté qu'il arrivait à faire vivre. Il avait fuit l'URSS en même temps que la mort de Lénine, s'installant chez ce qu'il nommait encore « l'ennemi » pour s'asseoir sur une petite fortune qui lui suffisait amplement. Après tout, Grigori ne vivait que d'alcool et de pute, il n'avait pas besoin de grand chose. C'est en observant cet étrange personnage que naquit dans mon regard, déjà perdu sur quelques lueurs indicibles de perversité, l'épouvantable notion de richesse et par-dessous tout, le voyeurisme malsain et lubrique.
Ce fut à l'aube de ma dixième année, après avoir vu probablement une cinquantaine de femmes aux provenances diverses et variées aller et venir dans sa caravane branlante et crasseuse que je me suis posé la question. À l'éveil de ma curiosité, j'avais attendu que la nuit froide et quelque peu agitée n'arrive pour éteindre lentement l'excitation des habitants du camp et je m'étais faufilé à l'arrière de sa demeure pour y jeter mon regard. Tout avait été soigneusement préparé, j'avais patienté jusqu'à ce que ses éclats de rire s'arrêtent et qu'ils se transforment en des sortes de grognements bizarres pour décaler le petit tabouret qui me servirait à me hisser assez haut pour choir mes yeux sur la fenêtre. Minutieusement, je grimpais dessus et la scène se dévoilait devant moi. Grigori comme sa chère amante d'un soir étaient totalement nus, son gros ventre pendouillait et son regard fou jaugeait la jeune demoiselle bien trop alléchante pour lui. Quelques minutes de batifolage seulement avant qu'il n'empoigne la jeune femme et qu'il la retourne sauvagement. Il attrapait ses cheveux pour créer la force d'attraction contre son corps et l'acte prenait forme alors que j'humidifiais mes lèvres, quelques étoiles dans le fond de mes yeux. Il y eut des gémissements, petits d'abord, quelques cris soudain, à peine audible, puis des hurlements, gracieux et fascinants. Aucune caresse, aucun amour, aucune tendresse, le spectacle qui se déroulait devant mon éblouissement n'était rien d'autre que l'expression bestiale d'un désir les plus primaires et propres à l'Homme. Ils se déchaînaient, l'un et l'autre mélangeant alors fluide, cri et passion dans un besoin irrépressible et insatiable de consumer une beauté fascinante. Ils se désiraient, changeaient de position pour qu'elle puisse à son tour prendre la domination et griffer le dos de son partenaire dans un plaisir qu'elle ne pouvait contenir, soufflant son souffle chaud et humide pour faire frissonner l'énorme tas de graisse qu'elle montait. C'était sale, presque effrayant, bruyant aussi et pourtant je n'avais rien vu d'aussi incroyable que ça. Il finit par porter sa maîtresse pour la poser contre la table de la cuisine. Mon regard se perdait sur sa délicieuse poitrine qui rebondissait à chaque coups de reins du vieux russe. Une telle fascination pour la beauté lubrique s'offrait à moi que je ne pus remarquer le regard sévère et violent de Grigori sur mon être immobile devant sa fenêtre, se délectant d'une scène interdite avec le diable au fond des yeux.
La jeune demoiselle se redressa tandis qu'il passait un peignoir sur lui pour sortir armer de son bâton fétiche. Elle me fit un sourire coquin, totalement libérée du poids moral et ce fut bien la dernière chose plaisante que je vus ce soir-là. En trombe, le vieux russe débarquait à ma hauteur et poussait dans un excès de rage le tabouret qui me retenait. Je chutais au sol et lorsque je relevais la tête, il abattait sa colère sur mes bras, mon visage et la totalité de mon corps d'enfant. Ce n'est qu'après quelques minutes qu'il se stoppa. Bien que ses yeux s'étaient calmés un peu et que son manque de souffle lui faisait défaut, ce n'est pas la raison de son arrêt. Non, ce fut la surprise. L'air étonné de me voir toujours aussi souriant, le regard assombrit par le désir de consumer à mon tour cette fascination incroyable. Il bloqua quelques secondes avant de retenir son coup et c'est à cet instant que ma mère intervenait.
« Éloigne ce bâton de mon fils si tu ne veux pas voir ta virilité choir à tes pieds. »
Ma mère était une véritable gitane, elle avait tout appris de son père qui lui avait légué les arts de l'occulte. Elle tirait les cartes du tarot et s'adonnait à une culture machiavélique, sacrifiant des animaux, lacérant sa peau ou buvant du sang dans des rituels nauséabonds et aux formules gutturales toujours l'air menaçant sur le visage. Si bien qu'on ne savait jamais si elle parlait croate ou si elle jetait un sort.
« Il y a le diable dans les yeux de cet enfant. Katherina, ton fils est un démon ! »
Elle se mit à rire aux éclats, me relevant pour me couvrir d'un châle noir et légèrement transparent. Mon sang gouttait tandis que j'observais leur échange, attentif et confus. Je ne ressentais pas vraiment de douleur, encore émoustillé et excité par l'étrange expérience de pouvoir que je ressentais. Jusqu'à ce qu'il me trouve, j'exerçais alors mon désir à travers des fantasmes de puissance, je ne réalisais pas encore mais ce soir-là ce fut le malsain qui s'était éprit de mon âme. Et rien ne pourrait m'en défaire.
« J'espère bien et tu finiras égorger comme le vieux porc que tu es en sacrifice à son règne. »
Sa langue sifflait doucement et elle riait toujours lorsqu'elle poussait mon dos pour que nous rentrions. Ce soir-là, elle m'avait défendu mais isolé dans l'intimité de notre foyer, elle me battue, fouettant mon dos à maintes reprises comme elle avait l'habitude de faire. Elle me punissait, accablant mon corps d'un châtiment car c'était ce en quoi elle croyait. Pour elle, il n'y avait que le mal pour triompher, et il fallait qu'elle soit dans le bon camp lorsque l'occulte prendrait le dessus.
Le crépuscule s'annonce dans le calme et le mystique d'une journée chaude et longue si coutumière à l'été. Personne dans les alentours si ce n'est la paisible brise estivale qui caresse doucement la longueur de mes cheveux. Assis sur mes genoux, imperturbable, les yeux clos et concentré sur un désir mystifié de silence, je pose ma respiration dans un rythme lent et maîtrisé. L'astre diurne regorge de ses couleurs orangées et frappe mon dos nu, déjà entraîné et marqué par les nombreux coups de fouet qu'il a subit. Mais la douleur n'est plus là, il n'y a que le glas d'une enfance se terminant, s'échouant sur un rite étrange pour le passage à l'âge adulte. Quelques frissons font trembloter mon corps que mon esprit tente de garder inerte tandis que je peux sentir sa présence avancer derrière moi. Ma mère avait toujours eu une aura puissante couplée de ce parfum fort, cette odeur si significative qui envahissait une pièce dans sa globalité avec un seul et unique passage. C'était une partie de son charisme, de cette aura magique qu'elle arrivait à dégager autour d'elle, son insatiable besoin d'attirer l’œil pour y faire naître une étincelle de désir et de séduction. Affriolée de ces longs et grands voiles transparents, toujours confondue dans des couleurs sombres et des motifs proches d'une écriture antique. Elle avait toujours été une femme magnifique, ses longs cheveux bercé dans un roux obscur et très foncé, ses yeux éclatants de bleu, presque translucides pour lui admettre un regard plein de mystère et des lèvres pulpeuses, prêtes à se mordiller pour émoustiller les pulsions primaires des hommes comme des femmes. Ses pas couchaient les brins d'une herbe légèrement brûlée par les chaleurs d'un climat étouffant, mon cœur battait à un rythme effroyable, toujours tendu et immensément craintif lorsqu'elle se trouvait près de moi. Mon enfance n'avait rien d'un cadeau, rien d'une bénédiction, elle regorgeait d'une violence sans précédent. Les coups de ma mère, ceux des voisins, l'effusion de la drogue dans les pupilles dilatées de mon entourage, la lubricité d'une poitrine dévoilée ou d'un sexe ouvertement montré sans pudeur, c'était ce qui peuplait mon quotidien. Une éducation absente, des discussions exclusivement slave sur un apprentissage succinct de l'anglais et des valeurs tant morales que sociétales absentes, voir contraires, à celles qui régissaient dans ce que les autres pouvaient nommer comme banales.
L'incompréhension de mon existence parmi ces êtres qui étaient si différents, parmi une foule qui me regardait avec mépris et dégoût. Ce jugement immédiat sur mes origines, sur l'étrange routine qui parcourait mes habitudes. À cette époque, je ne savais ni lire, ni écrire mais je savais me battre, cracher du feu, voler et chasser sans le moindre soucis. Existe-t-il une normalité différente de la mienne ? Suis-je né soumis à vivre dans la marge ou, au contraire, suis-je un insoumis ? Tant d'interrogation qui pullule mon esprit en pleine croissance, en pleine philosophie qui cherche inlassablement les réponses absurdes de l'existence. Tout ceci n'a aucun sens, et pourtant, je suis bien en train de vivre, capable de percevoir un monde que mes croyances me poussaient à voir comme des esprits ou des créatures hantant une humanité lasse et décadente. Mes battements s'accélèrent alors que mes paupières tremblent en sentant les mouvements de ma mère qui s'active autour de moi. Elle tourne, j'entends, je ressens, et enfin, ses doigts touchent mon visage. Trois d'entre eux glissent sur mon front jusqu'au bout de mes lèvres, laissaient derrière eux le badinage d'un sang de provenance animale. Les traces du liquide s'écoulent doucement sur moi tandis qu'elle recommence, faisant glisser ses mains sur mes épaules, mon dos et mon torse. Ma musculature encore jeune frissonne dans l'étrange sensation de chaud et froid que forme la fraîcheur du sang et la chaleur du contact de nos peaux. Ma mère peint quelques signes et ses mots brisent le silence funeste. Est-ce une malédiction ? Ou simplement un sort qui m'entraînera à rejoindre les terribles forces qu'elle semblait invoquer ? Elle n'était folle. Peu importait ce que tout le monde pensait, ce que tout le monde disait, elle n'était pas folle. Sa lucidité était simplement différente, son vécu, son désir, son émoi pour l'occulte, tout avait été familial ou plongé dans des circonstances qui avait perturbé sa réalité.
Je l'avais toujours écouté. Je l'avais toujours suivi. Après tout quand votre mère vous plonge dans une culture qui est la sienne avant même que vous ne puissiez comprendre ce qu'il se passe, vous abdiquez sans vous défendre. Je ne l'avais jamais contredis, de toute façon si j'avais essayé j'aurais probablement terminé empalé sur un autel de sacrifice. La cruauté, la violence, la débauche, c'était devenu un quotidien noyé dans le mystique d'une histoire qui n'avait aucune fausse note malgré l'absurde de sa véracité. Alors j'avais toujours cru à ma différence, au fait que je sois spécial, que ma destinée au sein de ce monde n'avait rien de commun. Et j'ai agi comme tel. Capricieux comme un enfant-roi, sévère comme un tyran, strict comme le juste et noble comme l'élu. Je n'avais jamais rectifié tous mes travers, je ne m'étais jamais excusé, je me contentais d'avancer la tête haute et d'imposer alors la domination naturelle car ce qui coulait dans mon sang était immuable. Un demi-dieu, un être de puissance qui plane au-dessus d'une plèbe prête à s'agenouiller. Ma mère capturait mon visage entre ses mains et j'ouvrais les yeux pour que nos regards se mélangent.
« Sème le chaos Kassym. Ta destinée est celle de ta parente. Oublie l'humanité crasseuse et sois l'élu de la discorde. »
Elle se relevait et versa alors le reste du seau sur moi. Le liquide pourpre s'accrochait à mes cheveux et plongeait l'ensemble de mon buste dans un rouge éclatant. Les gouttes de sang s'écoulaient sur les extrémités de mon visage et le goût âcre venait teinter mes lèvres et tâcher mes dents. Ce fut à cet instant qu'elle me reconnut, Éris, déesse de la Discorde, illuminant alors mon être dans un flash rapide pour apparaître un instant derrière moi, une pomme d'or entre les mains. Un hurlement arracha le silence, ma mère pleurait et finit par sortir un poignard sous sa robe. Un dernier regard d'affection et elle se trancha les veines pour se laisser mourir devant mes yeux.
Me voilà demi-dieu, prêt à rejoindre la colonie, ne laissant derrière moi qu'un incendie emportant avec mon passé tout ce qui me rattachait à l'humanité.
Mes années au sein des autres demi-dieux n'avaient rien d'exceptionnelles, tandis que les premiers contacts furent restreint à cause des différences flagrantes sur nos culture, les tentatives vaines de mes camarades à percer la solitude déterminée et l'ultra-violence de mon être n'avaient fait qu'augmenter la crainte et la colère qu'ils pouvaient me porter. Isolé par ma propre volonté, j'avais consacré mon temps à l'apprentissage, celui de l'anglais, celui du pouvoir, celui de mes dons. Je n'avais aucunement le temps, ni même l'envie, de m'attacher à des êtres pour lesquels je vouais un véritable désintéressement. Mon existence était signée par le chaos, et je sèmerais la discorde par le simple goût de voir s'étioler devant moi l'espoir et l'ennui. Je fracasserais les rêves de quiconque sur ma route, séduisant pour mon intérêt, avançant dans l'unique but de voir ce monde s'autodétruire. Il n'y a que la destruction sauvage au fond de mon âme, que cette abominable colère pour régir les actes malsains d'une domination totale. Sans abus, il n'y a pas de réussite. Sans extrême, il n'y a pas de limite à dépasser. Sans moral, il n'y a pas d'échec possible.
Agenouillé devant l'autel que je m'étais construis à mon arrivée à la Colonie, je caressais calmement le petit lapin que j'avais attrapé dans la journée. Les cheveux plaqués en arrière, passant ma main dans la barbe hirsute de ma puberté en avance, et jetant un regard sur mon corps à demi-nu reflété par le miroir devant moi. Je laissais le silence submerger mon être. On pouvait entendre le souffle de ma respiration puissante résonner dans le calme froid d'une soirée qui s'amorçait dans l'attente précédent le pathétique spectacle de l'arrogance. Calmement je pose l'animal sur le devant de l'autel, les bougies scintillantes autour de l'effroi qui commençait à naître dans son regard. Mes pouces bloquaient sa tête, et je l'observais un instant. Si dans un soucis de qualité, on doit tuer la viande sans qu'elle ne s'en rende compte, ici, ce n'est pas pour un festin. Ma force se serre et l'animal couine comme dans des hurlements qui me supplieraient d'arrêter. Une grimace de dégoût et enfin un sourire malsain de plaisir lorsque, sous ma persistance, son cou craque dans un bruit d'os brisé. Je laisse chuter le pauvre lapin avant d'attraper une lame qui vient s'abattre avec violence dans le creux de sa nuque. Son sang gicle et jaillit sur moi pour déposer quelques gouttes coulantes le long de mon visage et de mon corps. D'un trait sec, le bout de la lame grinçante sur la plaque de l'autel, j'étripe le pauvre animal pour recueillir son sang dans un petit bol. Un petit bruit strident avant de retrouver le calme froid d'un rituel qui marque le souvenir de mon enfance.
À la mort de ma mère, il n'y eut aucun traumatisme. Alors qu'elle se vidait de son sang devant mes yeux et que sa vie quittait son corps, elle souriait. Elle avait accomplit le rôle qui lui incombait comme si ça avait toujours été sa destinée. J'avais tout brûlé pour respecter son désir de partir au sein de sa roulotte qui comprenait alors toute son existence, pour respecter son désir de partir paisiblement. C'était la logique, rien de plus. Il n'y avait pas d'autre finalité pour son existence. Trop humaine pour ne pas ressentir, trop humaine pour être courageuse, elle avait fuit lâchement pour ne pas assumer le chaos qu'elle avait instauré. Mes deux mères pouvaient désormais me regarder parcourir la destinée qu'elles m'avaient, toutes les deux, préparée. Elle avait été le sacrifice nécessaire pour libérer mon être et lui offrir alors la chance d'incarner à mon tour le rôle que les dieux me donnait. Elle me manque, mais je n'ai pas de larme à lui offrir.
Je trempe mes doigts dans le sang frais pour tirer trois traits sur mon visage. Quelques points dans le creux de mes clavicules, des signes antiques et étranges sur la totalité de mon torse et je finis par renverser ce qui me reste de sang dans mon dos pour y laisser choir une traînée bordélique. Ils m'avaient défié, aussi hautains qu'ils pouvaient être, ils m'avaient insultés, aussi naïfs qu'ils pouvaient être, ils m'avaient énervés, aussi stupides qu'ils pouvaient être. La sentence allait tomber, il n'y avait pas d'autre solution face à la bêtise et au mépris, il n'y avait que la violence pour faire comprendre l'absurde réalité qui emprisonnait ce monde. L'excitation pouvait déjà faire frissonner mon corps entier, ce sentiment de danger, cette crainte d'y laisser la vie, existait-il plus vivifiant ? Il y avait-il, en ce bas monde déplorable, une émotion plus forte que celle du danger ? Je me relevais, laissant tomber sur mes hanches mes deux épées courtes. Je n'aurais pas besoin d'armes, juste de l'aura dévastatrice d'une bête sauvage qui agit en prédateur. Mes pas m'amenaient calmement vers le lieu décidé, d'autres soi-disant camarades étaient rassemblés autour des investigateurs. Voilà donc les corbeaux, ces charognards qui seront prêt à tout pour voir le sang couler, pour exciter leurs quotidiens avec une dose partielle de chaos qu'ils ne sauraient même pas maîtriser. Ces imbéciles se délectant de la vie des autres dans le fantasme d'être meilleur. Risibles sont les existences des naïfs qui pensent.
Quelles raisons les avaient poussés à m'attaquer ? Peut-être était-ce l'indiscutable sourire malsain sur mes lèvres alors que je moquais leurs existences ? Ou était-ce mes actes fourbes qui les enfermaient dans quelques colères de frustration ? La raison importait peu, ils avaient voulu jouer et je ne jouais pas.
Le clair du jour qui s'éteint éveille le terrain vide et les regards se portent sur moi. Certains s'interrogent sur la nature du sang qui recouvre mon corps, d'autres retiennent leurs craintes et se confondent dans l'effroi comme si un cauchemar allait venir les frapper. Ils n'attendent pas, aucune discussion ne vaut la peine d'être amorcée. L'un d'eux court, il fonce vers moi sans même craindre le chaos qui va venir l'abattre sèchement. Il entre dans un périmètre dangereux, il commence son geste et son cerveau pense alors petit coup de pied bas à droite, uppercut et coup de pied gauche au niveau de la taille. Il attaque fort mais à son premier geste il ne comprend pas pourquoi son pied qui devait frapper devant lui, s'agite dans un spasme en arrière. Et le voilà confus, incapable de comprendre, alors que par réflexe il souhaite faire un pas en arrière, il avance. À cet instant précis, les vecteurs s'inversent, la discorde s'agite sur sa réalité et mon poing vient fracasser son visage pour qu'il chute au sol. Le deuxième assaillant arme son épée et attaque. Ils ne maîtrisent pas bien leurs dons extravagants, et ils n'ont pas en eux la volonté d'ôter la vie, voilà ce qui manque à ces cœurs trop bons, trop naïfs pour croire qu'on leur laissera ne serait-ce qu'une seconde de répit. Sans pouvoirs qu'ils disaient, ne pensant pas que ma parole n'était rien face à la jouissance de la domination. S'ils étaient assez stupides pour me croire, ils ne pouvaient alors qu'assumer l'idiotie de leurs existences. Au même titre que son collègue, son coup part dans l'autre sens, plongeant son arme dans un coup latéral, il se retrouvait dos à moi. À peine eut-il le temps de comprendre que ça n'était pas normal que mon bras emprisonnait son cou, il étouffait, se débattait tandis que je pliais ses genoux avant d'attraper ses deux bras pour planter mon pied à plat sur son dos. Ma force tirait comme si je voulais lui arracher les membres et je finis par le lâcher pour que son crâne se fracasse contre le sol. Je reviens sur le premier qui se relève et je fauche son bras dans un violent coup de pied qui vient frapper le plat de son visage qui vole. Il crache du sang, perd probablement quelques dents et reste au sol. L'autre se relève hâtivement et contre-attaque, ses coups virent dans tous les sens sans qu'ils ne puissent m'atteindre. Son calme l'a quitté, sa frustration le pousse lamentablement dans le pathétisme. Il crie à l'injustice, se lamente dans une tentative vaine de retrouver un semblant de contenance pour son ego brisé alors que je regarde sa chute lasse, laissant choir mon regard dur sur l'ignominie de sa prétention étiolée. Sans un mot, je le laisse au sol, essoufflé, énervé de ma tromperie sans pouvoir faire autre chose que subir. S'il attaquait avec ses pouvoirs maintenant, sa crédibilité s'effondrerait, tenant trop à son image, il préférait assumer la défaite plutôt que perdre le contrôle. On pouvait encore entendre l'écho de ses dents grincer.
Je partais dans ce souvenir représentant parfaitement les cinq longues années de ma présence ici. Cinq années futiles, perdues dans l'espoir d'atteindre un but qui n'avait aucune place ici, comme si la Colonie n'était que le lieu fantasmé d'une existence magique qui n'aurait nul autre objectif que celui de se cacher. Je devais quitter cet endroit pour vivre mon existence, pour suivre la destinée que mes parents m'avait offert. Je n'avais pas de temps à perdre avec la naïveté, avec la croissance lente et modelée dans l'échec. Je ne désirais pas la victoire, je ne désirais pas la compétition, non, je désirais le chaos. Ayant profité de ces années pour parfaire mon éducation, je me suis construis plus Homme que demi-dieu, en perdition, c'est l'amour qui m'a fait dévier.
Sujet: Re: Kassym Petyr Dvorak ♠ " Il n'y a d'autre enfer pour l'Homme que la bêtise ou la méchanceté de ses semblables. " - Marquis de Sade. [en cours] -16 Lun 29 Aoû - 23:49
HISTOIRE
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Sujet: Re: Kassym Petyr Dvorak ♠ " Il n'y a d'autre enfer pour l'Homme que la bêtise ou la méchanceté de ses semblables. " - Marquis de Sade. [en cours] -16 Mar 30 Aoû - 2:16
tututu, tututulu ! Biengvenue, et j'arrive pas à te faire un mot de bienvenue original Au moins je te fais un mot Bon courage pour l'écriture o/ Je t'attends au troisième tournant (puisqu'on t'attend déjà pour les deux premiers) si jamais c'est nul
Sujet: Re: Kassym Petyr Dvorak ♠ " Il n'y a d'autre enfer pour l'Homme que la bêtise ou la méchanceté de ses semblables. " - Marquis de Sade. [en cours] -16 Mar 30 Aoû - 5:56
Ofelia B. Schreave a écrit:
tututu, tututulu ! Biengvenue, et j'arrive pas à te faire un mot de bienvenue original Au moins je te fais un mot Bon courage pour l'écriture o/ Je t'attends au troisième tournant (puisqu'on t'attend déjà pour les deux premiers) si jamais c'est nul
Ouais c’est clair, toi au moins t’as un mot de bienvenue de sa part
f’in bref ! Bienvenue à toi sur le forum ! Que dire le feat Le parent divin est extra aussi ! Puis le prénom ! J’ai hâte de voir les idées que tu as eu, toi qui "savais pas trop" quelques heures plus tôt Bon courage !
Dernière édition par Hillel Davis le Mar 30 Aoû - 18:41, édité 1 fois
Sujet: Re: Kassym Petyr Dvorak ♠ " Il n'y a d'autre enfer pour l'Homme que la bêtise ou la méchanceté de ses semblables. " - Marquis de Sade. [en cours] -16 Mar 30 Aoû - 9:48
Un fils d'Éris J'adore le parent divin, bon courage pour la suite de ta fiche !
Sujet: Re: Kassym Petyr Dvorak ♠ " Il n'y a d'autre enfer pour l'Homme que la bêtise ou la méchanceté de ses semblables. " - Marquis de Sade. [en cours] -16 Mar 30 Aoû - 11:05
J'approuve totalement le choix d'avatar ainsi que le parent divin Sinon bienvenu & courage pour ta fiche
Sujet: Re: Kassym Petyr Dvorak ♠ " Il n'y a d'autre enfer pour l'Homme que la bêtise ou la méchanceté de ses semblables. " - Marquis de Sade. [en cours] -16 Mar 30 Aoû - 12:01
Ofelia - Il y a tellement de tournant, j'ai vomi, puis j'ai glissé. Merci bien !
Hillel - J'aime quand tout est génial comme moi ! Merci !
Rahne - Je ne peux qu'approuver ton parent divin en retour ! Merci !
Elin - Merci beaucoup ! Éros est vachement chouette aussi !
Sujet: Re: Kassym Petyr Dvorak ♠ " Il n'y a d'autre enfer pour l'Homme que la bêtise ou la méchanceté de ses semblables. " - Marquis de Sade. [en cours] -16 Mar 30 Aoû - 12:57
Bienvenue parmi nous ! Comme Rahne, j'adore le parent divin et je suis content de voir que ces trois là nous ramène toujours des gens sur le forum Bon courage pour ta fiche et si tu as des questions n'hésite pas !
Sujet: Re: Kassym Petyr Dvorak ♠ " Il n'y a d'autre enfer pour l'Homme que la bêtise ou la méchanceté de ses semblables. " - Marquis de Sade. [en cours] -16 Mar 30 Aoû - 15:07
Marius - Merci bien ! Je crois que j'ai déjà posé toutes mes questions à Lethario donc je devrais m'en sortir. Si jamais quelque chose me viendrait en tête, je te solliciterais !
J'en profite pour préciser que je commence l'histoire et qu'elle sera probablement terminée ce soir ou demain. Plutôt demain même. Je notifierais dans le titre un avertissement que je réitérerais dans le début de ma fiche pour les quelques passages susceptibles de pouvoir heurter la sensibilité des plus jeunes et des âmes sensibles. Au besoin, je pourrais placer ces dits passages sous les balises hide.
Sujet: Re: Kassym Petyr Dvorak ♠ " Il n'y a d'autre enfer pour l'Homme que la bêtise ou la méchanceté de ses semblables. " - Marquis de Sade. [en cours] -16
Kassym Petyr Dvorak ♠ " Il n'y a d'autre enfer pour l'Homme que la bêtise ou la méchanceté de ses semblables. " - Marquis de Sade. [en cours] -16