J'ai courue me réfugier dans la salle de bain, les mains sur les oreilles et mes longs cheveux noirs devant les yeux. J'avais peur, vraiment peur je chantai en grec ancien pour me calmer, c'était une chanson dont j'ignorai la signification, je sais que c'était une chanson d’espoir, le genre de chanson triste qui vous met du baume au coeur.
Nanny, ma grand-mère adoptive, est entrée dans la salle d'eau la télécommande à la main "désolé Ilé" me disait-elle toute dérangée. Toutes les pièces étaient allumées et la télé éteinte. Nanny à mis des serviettes sur le miroir en face de la baignoire et est venue s'asseoir à coté de moi.
"Calme toi ma chérie, je... Je suis désolée je n'avais pas vu que c'était une émission sur les fantômes, elle me le disait calmement.
Non, les OMBRES Nanny! Les OMBRES disais-je paniquée. Ce sont des créatures des ténèbres elles sont maléfiques... Tu sais de qui elles viennent, tu le sais aussi bien que moi Mergueritte.
Ne m'appel pas par mon prénom Iléonorastus, d'accord? Son ton s'était aggravé, elle n'aimait pas que je l'appel par son prénom. Sinon je risque de m'énerver."

Je me suis levée et suis allée dans la cuisine, j'ai ouvert le frigo et en ai sorti un bout de poulet. Je n'avais jamais aimé les esprits, ni rien qui venait de son royaume... Le royaume des enfers, le royaume d'Hadès... Mon père.

L'air était humide, le vent chaud et la lumière du soleil transperçait mes rideaux roses. Mon baldaquin blanc la reflétait dans toute la pièce. Mes cheveux noirs étaient tressés comme toutes les nuits afin de ne pas avoir trop chaud. Mes cheveux m'arrivaient aux genoux, c'était longs oui en effet.
Le matin, c'était le matin oui, je me suis levée et ai enfilée ma robe lolita ainsi que mes chaussures compensées. Je me suis coiffée et ai mis du mascara sur mes yeux rosés. J'ai dévalé les escaliers comme tout les jours mon sac sur l'épaule, j'allais dans la cuisine. Mon père adoptif était là assis sur une chaise avec une pièce dans la main, une vieille pièce grecque, une drachme. Maman l'avait quitté il y a un an et il ne s'en remettait pas, il regardait cette pièce avec attention et avait les yeux rouges de larmes.
"Alex'? qu'est-ce qu'il y a?" lui ai-je demandé, il ma tendu la pièce et j'ai compris ce qu'il y avait. Je devais allez en lieux sures. Pourquoi? je n'en savais rien, mais je devais aller à long island, seul lui savait pourquoi.
J'ai du allez faire ma valise en vitesse, j'y ai placer une bague en bronze céleste ainsi que des livres sur la mythologie, avec des habits en vracs et pour finir sur le dessus j'y avais posé un bracelet ainsi que des boucle d'oreille très étranges... Divin(e)s.

Une heure plus tard, mon père, enfin Alexsander, me prenait dans ses bras et me conduisait à sa grande voiture de collection afin que j'y monte.
"Tu as les cadeaux des dieux? m'a-t-il demandé.
Dans mon sac j'ai les boucle le bracelet et la bague. Ai-je dis calmement.
Met les vite, on ne sait jamais m'a-t-il dit pour conclure."
J'ai donc mis mes bijoux et me suis ruée sur le siège avant, direction la colonie des sang-mêlé, mais pourquoi devais-je y aller? Alex ne voulait pas me le dire, et ça me tracassait, car je n'aimais pas ne pas savoir.

On a traversé la forêt qui entourait notre maison puis avons débouchés sur long island, très vite j'ai vu la colline avec à son sommet un arbre magnifique. Je m'attendais à ce que mon père, je veux dire Alex', me dépose à l'entrée tout simplement, les mortels n'avait pas le droit de pénétrer les lieux divins.  Mais contre toutes attentes, il est rentré tout à fait normalement et m'as dis d'entrer, j'ai hésiter cinq minutes, puis ai passé le pas de la porte. Soudain  une onde de vent chaud aux odeurs romantiques c'est propagée dans la colonie entière, un centaure est arrivé au galop et c'est agenouillé comme il pouvait devant moi.
"Bienvenue princesse!" m'a-t-il dit sans que je sache pourquoi.
Alex lui a dis quelque chose à l'oreille et le centaure s'est redresser puis à dis quelque chose qui m'a permis de comprendre comment mon adopteur avait pu entrer. "Comme tu voudras mon frère", Alex à serrer les dents et m'a pris fort dans ses gros bras musclés, des larmes roulaient de ses yeux dorés et venait s'écraser sur sa chemise en jean déchiré. Sa barbe de trois jours me chatouillait la joue et mes mains se perdaient dans ses cheveux court poivre et sel. S'aillait, j'allais devoir rester ici, seule sans le seul homme que j'aimais vraiment, pas d'amour bien sur, mais je l'aimai tellement, c'était lui qui m'avait élevé et qui m'avait appris à faire du vélo, il m'avait apprit aussi ce chant pour éloigner les esprits du mal. Je lui ai dis "je t'aime papa" à l'oreille, une chose que je ne lui avait jamais dis, jamais je lui avait dis "papa". Après ces parole, il est reparti dans sa voiture et est surement retourné à notre forêt.

Je suis restée agenouillée devant le portique un moment jusqu'à ce qu'un satyre, un jeune homme à moitié chèvre, est venu me dire qu'on m'attendait au feu de camp. Je me suis levée, j'ai tapotée ma robe noir et rose et me suis dirigée vers le feu de camp accompagnée du satyre. Arrivée tous m'ont regardé, ils me scrutaient et soudain le feu est devenu rouge avec des pointes de noir, je ne comprenais pas, mais soudain ma peau est devenue terne puis à commencer à devenir transparente, mes yeux ont rougis et des flammes se son misent à tourner autour de moi... Je ne comprenais pas ce qui se passait, mais les autres si et me foudroyaient du regard.
"Fille d'Hadès, mon frère disait donc bien vrai...." A marmonner le centaure d'un air inquiet... Pour moi.
quand ce fut fini, tout le monde à tourné la tête et ne m'a pas adressé un mot, un geste. Rien. J'ai donc passée ma soirée dans le bungalow de mon père biologique, un bungalow grand tout en dorure et avec quelques ossement. Une fontaine d'eau rougeâtre coulait du mur et se laissait tombée dans une cuve en or au gravures morbides. La fumée qui s'en échappait ne me tenait pas chaud et avec la lumière de la torche en face elle formait un très bel arc-en-ciel. Voilà ma nouvelle demeure!

Alors que depuis près de deux semaines presque personne ne m'adresse la parole, je me sens à l'aise à la colonie. J'ai un bungalow propre, décoré de magnifique fleurs noires et dorées, de vasque en marbre noir, de dorures et tout ce qui peut donner un coté luxueux. Hadès n'aillant pas d'autres enfants que moi, il n'y a qu'un grand lit deux place qui trône au centre de la pièce, mis sur une estrade avec un baldaquin d'or et de fer stygien. Chaque semaine j'étais placée seconde, derrière les aphrodites, dans le classement des bungalow.
En deux semaines je ne me suis pas fait une grande masse d'amis, un magnifique garçon de chez les Apollons, Andrew. C'est un garçon de 18ans au cheveux noirs et bouclés soyeux, aux yeux vert foncé et à la peau mate. De plus il dépasse tous les autres garçon ou presque depuis ses 1m96, et il est impressionnant à voir, musclé et toujours en marcel blanc ou beige... Le plus beau garçon du monde! Bien sure, je n'ai pas qu'Andrew dans mes amis, je compte aussi un garçon des Arès, Jason. Il est plus petit qu'andrew car il ne fait que 1m86, mais il en est pas moins musclé. Il a des yeux bleu glace à vous donner des frisson, les cheveux noirs légèrement grisés taillés en brosse et porte toujours des vêtement militaire laissant apparaître ses bras en été afin de ne pas mourir de chaud. Pour finir le tour de mes amis, nous comptons un autre garçon, Merwan. Lui est très différents de ses frères et des deux autres garçons, c'est un enfant d’Héphaïstos. Il mesure pas plus d' 1m78 et est assez mince. Il porte toujours des bermudas et des chemisettes très colorées. Ses cheveux cendre sont envoyés en vrac vers l'arrière et ses yeux noisette lui donne vraiment un air de gentil.
C'est de ce dernier dont je suis la plus proche, on rit ensemble on échange nos petits secret et tout ça quoi, c'est -je crois- mon meilleur ami. D'ailleurs il m'a confier récemment qu'il éprouvait une attirance pour les hommes.
"-Tu sais, ça peut te paraître étrange me disait-il, mais tu vois, je n'éprouve aucuns désires envers la gente féminine...
-Vraiment? Lui demandais-je avec le sourire. Pourquoi je trouverai ça étrange? j'ai rien contre tu sais.
-T'es vraiment une fille cool Iléonore. Il souriait. Et tu sais, je suis particulièrement attiré par un homme en particulier...
-Andrew?! ai-je demandé brusquement lui coupant la parole.
-Non non, par contre toi il à l'air de te faire de l'effet! Me taquinait-il en rigolant. Non, moi celui qui me plait c'est celui avec qui il ne se passerai jamais rien même aux enfers...
-Qui?
-Des indices? Il est plus petit qu'and' et plus grand que moi. Il a environs 20 ans soit 4 ans de plus que moi et est toujours vêtu de tenue militaire.
-JASON???!!!
-Heu, ouais, jason ouais. Il rougissait.
-Décidément tu  choisis pas le plus facile à avoir mon pauvre..."
Nous avons donc parler de son... Coup de coeur durant au moins une heure. Il me racontai leur complicité et l'amitié qui les liaient ainsi que ses sentiments que se développaient de jour en jour. J'avais entendu dire que Jason avait une attirance cachée pour les hommes, mais qu'avec son père ultra-viril etc. il ne voulait pas le montrer et n'était jamais sorti avec personne. Bien évidemment je n'en ai jamais parlé à Merwan, pourquoi le faire espérer le pauvre?

La journée c'est déroulée comme toujours, je faisais quelques entrainement avec les garçons puis on allait se balader. A chaque pas toute la gente masculine me dévisageait comme si il voyait la plus belle chose du monde, ce qui me gênait beaucoup, sachant que si je leur parlai ils m'envoyaient valser car j'étais la fille d'Hadès... J'allais m'en voir pour me faire aimer dans cette colonie.
Après deux jours à ne rien faire de particulier, j'ai pris seule l'initiative d’interroger mon ami de la guerre sur ses relations et préférences amoureuse.
"Jason! Je peux venir avec toi à l'arène?
- De? Ha, ouais viens, tu gardes juste ton épée loin de moi quoi.
- Ouais ouais t'en fais pas. Qu'avaient-ils tous contre le fer stygien?. Dis, je peux te poser une question indiscrète?
-Genre quoi? m'a-t-il demandé avec appréhension.
-Ba, tu sais des bruits qui court sur...
-Sur mes préférences sexuelles? Tu veux que je te dise quoi? "Oui j'aime les hommes" ou bien "Non je suis attiré par les femmes"?
-Je... Dis moi juste la vérité, ai-je dis. Tu es mon ami, et je trouve ça dommage de ne pas parler de ses secrets à ses amis.
-Donc t'es persuadée que je kiffe les mecs?
-Non non!! Enfin, je sais pas, mais si c'est le cas, tu sais que tu peux m'en parler sans problème...
-On peut pas plutôt s'entraîner et parler de tout ça après? demanda-t-il tracassé.
-Pas de soucis. De toute façon j'ai presque ma réponse ai-je pensé tout bas."
Notre entraînement c'est bien passé, enfin comme toujours. Mon épée, "faucheuse" était très légère mais très peu ergonomique ce qui fait que j'ai failli toucher mon ami à au moins 10 reprises et je n'avais pas touché plus de 10 mannequins en une heure. J'étais une vrai catastrophe et je voyais qu'au bout d'un moment Jason en avait marre de me voir tout rater. En même temps quand on est fils de guerre, c'est normal qu'on aime pas voir quelqu'un ne pas réussir dans ce domaine.
Après notre entraînement, enfin si on peut appeler ça comme ça, Jason était tout suant mais avait toujours la classe, quant à moi je ne ressentais pas la chaleur ni ne transpirai, c'était cool d'avoir ces avantages!
"-Alors? on reprend notre discussion? ai-je demandé en marchant.
-Tsss, tu lâche rien toi hein?
-Non jamais. J'ai ris.
-Ha...Ha... Ca ne le faisait pas rire. Bon tu veux savoir quoi au juste?
-Ba savoir si les bruits qui courent sont vrais, si tu aimes vraiment les hommes ou non.
-Ca changerai quoi à ta vie? Tout le monde sait que tu en pinces pour Andrew, alors pourquoi tu veux savoir ça?
-c'est parce-que M... Je ne pouvais pas dénoncer mon ami. Parce-que même si je n'éprouve rien pour toi, c'est important de savoir les choses "intimes" de nos amis.
-... Il n'avait pas l'air convaincu. Allez viens on va en parler dans ton bungalow. On est donc allez dans mon logement discrètement.
-Alors? Tu vas me répondre maintenant? car tu cherches à détourner la discussion à chaque fois!
-Ouais ouais je vais te répondre. Mais tu le gardes pour toi ok? j'aime l'idée que le doute plane!
-Heu ok. Décidément il était étrange ce gar.
-Alors ouais c'est vrai, j'ai une certaine attirance pour les garçons, pas tous bien sure, certain ouais.
-Et les filles?
-Non, ça non aucunes. Les filles sont belles hein? mais je n'éprouve rien pour elles.
-C'est super! enfin, que tu me fasses confiance.
-Ouais, maintenant pourquoi tu voulais vraiment le savoir?
-Je te l'ai dis, par curiosité. Et c'est quoi ton genre de mec?
-Hein?! Heu, je sais pas, Il avait l'air hésitant. J'aime bien les mecs plus petits et pas trop musclés, après heu je sais pas. Tant que c'est pas une poule mouillée ça me va quoi. Et puis avec mon père je préfère évité de tenté le diable, enfin heu, tu me comprend quoi.
-Ouais ouais, genre des gars comme Merwan? Ai-je demandé innocemment.
-Heu... Il a rougit légèrement. Ouais un peu comme lui, simple, gentil, courageux, pas trop grand et musclé comme il le faut... Attend, pourquoi lui comme exemple? il est... Enfin, attiré par les mecs?
-J'en sais rien, peut-être, je sais pas. Et je prend lui comme exemple car c'est celui qui m'est venu en premier.
-Ok ok, tu lui parles pas de ce que je t'ai dis s'il te plais? je veux pas passer pour un crétin, tu me comprends?
-Oui oui, t'en fais pas. Merci de me l'avoir confier! Maintenant file avant qu'on te vois!
-Ouais, bonne soirée ma belle!"
Il est parti discrètement, enfin comme le pourrait un pachyderme dans un magasin de porcelaine quoi. Le soir j'ai relevé mes très longs cheveux noir et ai mis une robe blanche avec des spartiates en cuir. Allez savoir pourquoi, pour moi assortir les vêtements, me coiffer et me maquiller était aussi simple que de dire bonjour. Pourtant on ne peut pas dire que mon père, et même mon père mortel-enfin Alex-, soit un grand styliste.
Je me suis rendue au feu de camp et me suis assise vers mon ami "Héphaïstos". Les flammes se sont un peu ternis et raccourcies à mon arrivée. Comme tous les soirs d'ailleurs. J'ai demandé à Merwan de me suivre vers la forêt pour parler un peu. Quand je me suis levée avec lui, j'ai vu dans l'ombre le regard paniqué de Jason, mais je lui ai dis d'un regard "t'en fais pas!" et nous sommes partis.
"-Que veux-tu me dire au juste Ilé? Demandait-il un peu perplexe.
-Et ba... Faut que je te parles de ce que tu m'as dis dans la semaine... Au sujet de jason.
-Hein? vas-y je t'écoute! Il avait surement deviné qu'il était gay.
-Et ba, comme le disent les bruits qui court il est/
-Gay? ouais et?
-Et heu, ba il m'a expliqué son type de mec.
-Ha? Son visage s'est vite assombri. Et alors? Le genre "j'ai besoin que tu me protège et j'aime quand tu fais ton inaccessible. "?
-Non t'y es juste, pas du tout. Il aime les garçons intelligents, pas efféminés, pas trop grand, un peu musclé, gentil, courageux, cool, amical et apparemment les blonds cendré aux yeux noisettes lui déplaisent pas non plus.
-Tu crois que, enfin, je lui plais?
-Honnêtement, oui tu lui plais, après il ne veut pas s'exposer ni rien, donc lui dis pas que je t'en ai parler, essaie d'aborder le sujet avec lui quoi, mais t'attends pas à quoi que ce soit avec lui, il n'est pas près à se mettre en couple.
-Ha, Ok, je tenterai ma chance quant même, on sait jamais. Mais t'en fais pas, je parlerai pas de toi!

Après ça je suis rentrée à mon bungalow et me suis couchée. La nuit j'ai rêver , mais c'était étrange. Je voyais Hadès torse nu avec une femme. Ce n'était pas Perséphone, elle avait des beaux cheveux bouclés et une robe rouge glamour. Je ne voyais que ses lèvres, puis mon père détachait la robe et allongeait la femme sur un lit magnifique. Je me suis alors réveillé, et je sentais une chose, cette femme était ma VRAIE mère!

Andrew me saoul!! C'est juste pas croyable quoi, il passe son temps avec les pimbêches de la colonie et de moins en moins avec moi, il a de la chance que je n'ai pas de relation forte avec mon vrai père sinon il aurait fini en steak dans le tartare il y a déjà un bon moment! Merwan arrête pas de me dire "calme toi" ou "t'en fais pas" mais je peux pas me calmer quand mon petit copain, enfin il sait pas encore qu'il l'est, rigole avec des filles toutes plus belles les unes que les autres! Mais aujourd'hui c'est pire que d'habitude car il était avec Marie Jolie, une cruche des aphrodites, raaah je l'ai jamais aimée elle avec ses cheveux blond et ses yeux vert, son bonnet C et sa taille 38, jamais j'ai pu la supporter! Et en plus elle le sait très bien, et elle se permet de tourner autour de mon apollon, quel culot! Si j'avais eu le droit de meurtre sur les colons qui m'entouraient elle aurait été la première de la liste à goûter au fer noir!
En fin d'après-midi il est venu à moi le sourire aux lèvres, ses yeux fermés en accents circonflexe, ses beaux cheveux bruns dans le vent le bras en avant comme si il n'avait rien fait de la journée. Je ne l'ai même pas regardé et quand il a voulu me prendre dans ses bras je l'ai poussé, enfin comme une fille peut pousser un gar de 2 mètres, et lui ai dis de me laisser.
"-Qu'est-ce que t'as ile? me demanda-t-il.
-Rien laisse moi.  
-Qu'est-ce que t'as? dis le moi!
-LAI-SSE MOI! articulai-je avec la colère dans la voix
-Qu'est-ce que t'as iléonore? dis le moi, S'il te plais.
-Non maintenant laisse moi avant que je te mette mes bagues dans ton nez plissé!
-Qu-est-ce qu'il a mon nez?
-Rien mais bientôt il y aura une grosse trace rouge dessus!"
Je me suis levé des marches de l'escalier et me suis diriger vers mon bungalow, pourquoi les garçons ne comprennent jamais rien? Je les comprend pas ça parait clair pourtant que je veux plus qu'il me touche.
Arrivée à mon bungalow j'ai pris le balai et me suis mise à nettoyer le pas de la porte, enfin j'ai voulu mais un talon gris a stoppé mon balai dans son élan. J'ai regarder la personne face à moi, une jupe rosé et un chemisier gris, des cheveux blonds et des yeux verts, Jolie était en face de moi!
"-Qu'est-ce que tu me veux? Ai-je dis avec plus de froideur que l'aurais fait Hadès.
-Te parler, enfin si c'est possible de parler avec une fille comme toi.
-T'as quoi à me dire?
-Je t'aime que très peu tu le sais.
-Non! Jure!
-Arrête de te moquer. Bref, je t'aime pas beaucoup mais Andrew t'aime bien, en amie a-t-elle glisser dans la phrase. Alors je pense qu'il serait intelligent qu'on apprennent à se connaitre.
-Mouais, je ne sais pas si je peux te croire, tu vas te rapprocher de moi pour me la mettre à l'envers et avoir andrew pour toi toute seule!
-Décidément je vois pas comment on peut être ton ami, mais crois moi si jamais il vient à devoir en choisir une de nous, ça sera moi, car comme tu as pu le voir aujourd'hui, il m'adore. Que dis-je! il m'aime!"
Elle n'a pas pu parler plus que je lui au serrer la gorge et l'ai jeter au sol, mauvaise idée quand on sait qu'elle avait des talons. Je lui ai mis ma chevalière en plein visage et elle m'a mis un coup de talon dans la cheville, on était partie pour la plus grande des batailles médiocres de l'histoire. On se tirait les cheveux, tapais les mains, insultait le maquillage l'une de l'autre -oui on faisait ça- jusqu'à ce que Jason et Merwan nous voient et nous séparent.
"-JE VAIS L'EGORGER LA BLONDE! Hurlais-je.
-VIENS LA SALE SQUELETTE! Rétroqua-t-elle."
Jason me tenais avec facilité, mais merwan avait plus de mal avec Marie qui le tapait et lui mettait des coups de pieds.

Il aura fallut encore deux autres garçons pour nous séparer définitivement et nous forcer à rentrer dans nos bungalow. J'était furieuse, elle avait osée dire que mon ami la préférait elle! j'avais envie de mettre feu à son bungalow, la seule chose qui me retenais était que je ne voulais pas finir l'été dans les rues de new-york.

Le soir venu je me suis préparée pour le feu de camps, robe longue noire, mitaines en dentelle rosées et collier en quartz rose. J'avais fais de mes cheveux un chignon tenu par des fines tresses dans tous les sens.
Je suis arrivée encore une fois en dernière au feu et les aphrodites m'ont fusillées avec leur regards. Les Héphaïstos les ont encerclés pour éviter une bataille de rouge à lèvre et faux ongles. Jason est venu me chercher et m'a emmener vers les Arès pour m'avoir à l'oeil.

Nous avons chanté toute la soirée avant d'aller nous coucher. La journée avait été agitée et je m'en serai bien passé. La nuit j'ai rêver d'Aphrodite, allez savoir pourquoi mais elle me souriait en me disant "enfin te voilà Ileonorastus" . Elle avait une aura chaleureuse et derrière moi je sentais de la chaleur, une chaleur intense et réconfortante. Des bras d'homme mon serrer la taille mais avant que je puisse voir qui c'était, mon réveil sonnait.

U.C