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| Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) | |
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| Sujet: Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) Sam 3 Aoû - 12:08 | |
| | PRÉNOMS ◮ Day Zoë-Luna. NOM ◮ Collins. ÂGE ◮ 18 ans. DATE+LIEU DE NAISSANCE ◮ Le 28 Février 1994, à Dublin. PARENT DIVIN ◮ Salacia, déesse des créatures marines, femme de Neptune. ORIGINES ◮ Irlandaises. POUVOIRS ◮ Elle peut communiquer avec toutes les créatures marines, et les comprend très bien. Elle peut aussi quand elle siffle,à condition d'être à proximité de la mer ou de l'Océan, appeler un dauphin tursiops. ARMES ET OBJETS MAGIQUES ◮ Deux katanas jumeaux, Irae et Fidelitas. RELATION AVEC LES DIEUX ◮ Neutre. RELATION AVEC LES DEUX COLONIES ◮ Bonne avec les romains, neutre avec les grecs. STATUT CIVIL ◮ Amoureuse, mais le garde secret. ORIENTATION SEXUELLE ◮ Bisexuelle. GROUPE ◮ La Solitude est un Art. ALIGNEMENT ◮ neutre. AVATAR ◮ Isabel Fuhrman. |
who you are.
Son tursiops est un cadeau de sa mère + Elle l'a appelé Joli-Coeur + Day Zoë-Luna n'est pas son véritable nom + En réalité elle s'appelle Pandora Hope Hopkins + Seuls ses amis les plus proches peuvent l'appeler Hoppy + Elle est franche, directe et un peu trop grande gueule parfois + Son défaut fatal est le fait qu'elle veuille toujours se venger de ce qu'on lui fait + Elle déteste raconter son histoire ou parler d'elle + Ses katanas ont été forgés pour elle + Elle habite avec sa belle-mère + Elle fait des études en Art + Elle a quitté le Camp deux semaines avant le feu de camp + Elle est rentrée dans la Légion à l'âge de six ans + C'est une guerrière-née + Elle est intelligente, mais rebelle + Elle avait une grande-soeur qui est partie à la Colonie + Elle lui en veut parce qu'elle l'a abandonnée et n'a pas cherché à la retrouver. + Irae, son katana a été maudit par Némésis, la déesse grecque. + Elle est sans-gêne + Elle est capable de débarquer chez ses amis de NY, à trois heures du mat' les cheveux en bataille parce qu'elle veut manger des fraises tagada + Ses fugues quotidiennes n'inquiètent plus sa belle-mère + On lui a interdit de faire à manger depuis qu'elle a tenté de mettre des dragibus sauce caramel dans la sauce du rôti. + Son addiction aux produits sucrés est un de ses défauts + Elle est beaucoup trop gourmande. + Hyperactive et dyslexique, c'est un fléau pour ses profs, sauf ceux de dessin + Elle a récemment eu dix-huit ans et est fière de sa majorité. + Si vous entendez quelqu'un chanter le générique des Schtroumpfs dans Central Park, partez pas en courant, c'est elle. + Selon beaucoup, il n'y a qu'un mot pour la décrire : Indomptable + Elle tient plus ou moins bien à l'alcool et ne s'est pris une cuite qu'une seule fois + Elle pousse souvent des jurons en latin quand elle n'arrive pas à quelque chose. + Sa relation avec sa mère est très bonne. + L'été elle travaille dans un aquarium pour avoir de l'argent de poche. + Ca ne la dérange pas, ça lui permet de faire la causette aux poissons. + Elle dérange beaucoup de monde et elle n'hésite pas à faire comprendre qu'elle se fiche des quolibets. + Elle n'aime pas le café, elle préfère le thé aux fruits rouges. + Et elle est tout sauf romantique.
once upon a time.
And will Hope, and will Love, and will Die.
Un bébé se tordait dans ses couvertures et brisait le silence de la nuit par ces pleurs incessants. Une petite fille brune passa la tête par l'encadrement de la porte, alors que son père se baissait pour ramasser le couffin doré posé sur le trottoir. Rien d'autre que cela. Pas de lettre. Pas de nom. Rien. Absolument rien. Juste ce bébé brun aux yeux indéfinissables pour le moment. L'homme partit s'en occuper. Il ne semblait nullement surpris. Comme si ce n'était pas la première fois que ça lui arrivait. Il s'occupa alors de la cadette. Comme si tout était normal. La plus grande, Pleasance ne bronchait pas et suivait chacun des ordres donnés par son père.
La cadette faisait ses premiers pas dans la cuisine. Ses yeux étaient couleur noisette, comme les arbres sous lesquels s'était abritée Salacia quand elle tentait d'échapper à Neptune. Pleasance souriait. Erreur de jeunesse cette enfant de dix ans. La cadette leva les yeux vers sa soeur : "Plea'ance." La concernée sourit. Le père les jaugeait d'un regard froid, la bouteille à la main. L'alcool avait un mauvais effet sur lui, comme sur tout humain normal. C'est alors qu'une femme rousse, un peu moins de la trentaine ouvrit la porte. "-Pleas' ! 'Dora ! Je suis rentrée !" La plus jeune des deux gamines continua de marcher, cette fois-ci vers la rousse. "-Maman. -Coucou mon bébé ! -Juliette ! -Et bah dis-donc, j'ai un super accueil, moi !" Les deux enfants se serrèrent contre la dénommée Juliette qui n'était en rien leur mère. C'était plutôt leur belle-mère. Mais elle s'occupait des deux petites comme s'il n'en était rien. Une jolie petite famille. Hormis pour le père. Il buvait. Beaucoup. Il ne se remettait pas de Salacia. Sa dernière conquête avant Juliette. D'habitude c'était lui le méchant qui s'en allait sans un mot. Mais cette fois, il avait ressenti la même chose que Némésis, dix ans avant. Et il ne s'en remettait pas. Il s'était vu fonder une gentille famille avec cette brune si chaleureuse. Mais rien de tout cela n'arriva. Elle avait disparu le matin. Pas une lettre rien. Juste cette gamine neuf mois plus tard. Il avait su s'occuper de Pleasance, alors il s'était occupé de Pandora. Les mêmes gestes, la même monotonie. Il ne prenait aucun plaisir à élever ses deux enfants. Ce fut rapidement l'aînée qui s'occupa de sa soeur, tandis que le père se noyait dans l'alcool. Il frappait Pleas', mais elle ne disait rien. "Un jour justice se fera." Telles étaient les paroles de l'aîné, qui mûrissait sagement sa vengeance. Juliette était entrée dans leur vie, un an après Pandora. Au début amour d'un soir, quand elle avait rencontré les deux enfants elle avait fini par s'accrocher. Il n'y avait rien entre monsieur Hopkins et elle, à part une colocation. Désormais, grâce à cette femme, les coups étaient plus rares...
... Mais ils étaient toujours présents. Et une fois, quand Pandora avait quatre ans, sa vie bascula complètement. Pleas' en avait quatorze et commençait à être connue des monstres. Elle découvrait peu à peu ses pouvoirs, mais c'était toujours d'une faible amplitude et quand elle était seule. Sa grande prestation se fit sur son père en présence de sa cadette. Juliette travaillait. Pandora était recroquevillée sur le canapé, le visage caché derrière un coussin décoratif. Monsieur Hopkins battait sa fille aînée. Mais celle-ci ne bronchait pas. Elle gardait la tête haute et restait droite comme un piquet. Elle accusait chacun des coups sans rien dire. Elle avait la lèvre supérieure coupée, l'arcade en sang et des bleus à divers endroits, mais elle faisait comme si de rien n'était. Le père attrapa une des nombreuses bouteilles en verre qui jonchaient la table, toutes vides ou brisées et tenta de la frapper avec au visage. Il y parvint, mais ce coup fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Hope ne vit pas la vérité. Elle était trop jeune et la Brume trop puissante pour ses yeux. En tout cas, quand Juliette arriva elle trouva son "mari" étendu au sol, sa cadette se tenant au-dessus de lui, les larmes aux yeux. Dans un coin de la pièce il y avait l'aînée et un de ses amis qui discutaient vivement. Juliette était trop choquée, trop de souvenirs lui revenaient, pour être en mesure de former une phrase complète. L'ami de Pleasance s'approcha doucement de la belle-mère. "-Juliette ? -Hm ? -Pleas' et moi on doit partir. -Hm. -Il vaut mieux pour vous que vous le fassiez aussi, avec Pandora. -Hm. -La petite a prévenu les forces de Police que sa soeur avait accidentellement tué leur père. Il sont à sa recherche. -Hm." Pandora écoutait silencieusement, mais elle n'avait pas tout très bien compris. Elle avait besoin de sa grande-soeur. Juliette était dans un état de mutisme, elle avait besoin de celle qui lui servait de mère en l'absence d'adulte responsable. Mais Pleasance était bien trop choquée par ce que venait de lui apprendre son ami pour faire preuve de gentillesse à l'égard de sa cadette. Et quand Hoppy lui demanda d'une voix timide et secouée de sanglot si elles allaient rester ensemble, c'est d'une voix froide que l'adolescente répliqua : "-Non. Je vais partir seule. Et je ne veux plus jamais entendre parler de toi. Parce que c'est de ta faute si "Papa" a commencé à boire. C'est de ta faute s'il me frappait ! Et si t'avais pas appelé la Police tout ce serait bien passé ! C'est de ta faute aussi ça ! J'te déteste !" Alors la gamine fondit en larmes tandis que Pleasance s'éloignait à grands pas. La Police la recherchait, elle, la Criminelle qui a tué son père, mais ils ne trouvèrent que l'adolescente qui ne comprend rien au pétrin semi-mythologique dans lequel elle est. Ils finirent par la relâcher, la Brume et Némésis aidant.
Quant à Hope, elle fut intégrée au Service de Protection des Témoins, comme Juliette. Elles changèrent alors de nom. Day Zoë-Luna Collins, née aux Etats-Unis, à San Francisco, ayant pour mère Katie Alice Collins, née de père inconnu. Bien évidemment, la vérité n'échappait pas à la maintenant Day. Elle savait qui elle était véritablement. Mais elle le cachait bien. Elle savait qu'elle était née à Dublin, qu'elle s'appelait Pandora Hope Hopkins, et que son père était mort, tué par sa grande soeur. Et les changements n'avaient pas encore finis d'être.
Là, tu vois, faut une citation, les paroles d'une chanson... Pour faire un changement de chapitre super classe. Et comme j'ai aucune idée de ce que je vais mettre ici, on va faire comme si c'était fait. Ce sera notre petit secret.
Katie et Day aimaient bien aller à la plage l'été. Se baigner, jouer dans les vagues et pêcher les tous petits poissons qui vivaient au bord de l'eau. Day était insortable de l'Océan. Elle ne voulait jamais en sortir. Elle était décidément "vraiment trop bien !". Et puis elle aimait bien parce que des fois des dauphins passaient au large en poussant leur cri bizarre. Day avait cinq ans et demi quand une fois, un dauphin passa un peu plus loin, bondissant dans les vagues. Soudain, la petite ouvrit de grands yeux et courut vers Katie : "-Katie ! Katie ! J'ai entendu le dauphin me dire bonjour ! -C'est ça, ma puce. Il t'a demandé comment tu allais ?" Katie riait. Alors la petite se vexa. Elle croisa les bras sur sa minuscule poitrine et dessina une moue boudeuse sur ses lèvres : "-C'est vrai ! Je raconte pas des mensonges !" L'enfant tourna les talons, bien décidée à prouver à sa "mère" qu'elle avait tort. Elle plongea la tête dans l'eau et entendit comme des milliers de petites voix dans sa tête. Elle avait les yeux fermés et ne put donc le voir, mais devant elle, il y avait un banc de minuscules poissons. Et cela continua jusqu'à ce qu'elle sorte de l'eau, se sentant extrêmement fatiguée. Alors sans rien dire, elle s'écroula sur sa serviette et s'endormit.
Plusieurs mois après, à la plage, alors qu'elles étaient seules dans leur petite crique préférée, Day et Katie virent un loup s'approcher. Doucement mais sûrement. Day prit peur et s'accrocha à celle qu'elle considérait comme sa mère en criant. L'adulte, elle, gardait son calme. La louve alla jusqu'au bord de l'eau, et se mouilla les pattes. Les accidents comme quelques mois avant, quand Day entendait les animaux marins parler s'étaient reproduits plusieurs fois. Katie avait fait mine d'ignorer les signes qui ne trompaient pas. La louve se rapprocha encore des deux filles. "-Juliette. Tu aurais mieux fait de rester à la Nouvelle-Rome, plutôt que de te mettre dans de tels pétrins. Tu avais plus de jugeote lorsqu'on est venus te chercher. -Veuillez m'excuser si je vous déçois Dame Lupa. -Tu ne me déçois pas tant que ça. Tu as su protéger cet enfant coûte que coûte que ce soit de l'identité de ses pouvoirs que des monstres. Tu as gardé un semblant d'intelligence, dirait-on. -Tenez, Dame Lupa. Voici l'enfant." Day jeta un regard de détresse à sa mère. Elle avait l'impression d'être Boo dans Monstre & Cie, son dessin animé préféré. Elle s'accrochait désespérément à Katie, mais l'adulte la posa au sol. "-Tu dois apprendre à être ce que tu es. Sois forte, comme tu l'as toujours été. -Je veux pas aller avec un loup qui parle !" Malgré les protestations de l'enfant, Lupa finit par l'emmener. Plusieurs mois de travail intensif, d'apprentissage et d'entraînements furent nécessaire pour transformer la petite fille en grande fille responsable et mature digne d'un soldat de la douzième Légion. Dix ans passèrent. Au cours de ces dix ans, l'ancienne Pandora devint Centurion de la quatrième cohorte. Grande gueule, elle n'hésitait pas à dire ce qu'elle pensait. Elle se montrait parfois un peu froide, et ressemblait beaucoup à leur prêteur féminin. Elle méprisait les lâches. Et elle vouait une rancune secrète à celle qui un jour fut sa soeur pour les avoir abandonnées sans savoir pour quelle raison. Elle avait fini par comprendre que c'était une demi-déesse, et sûrement une fille d'Invidia. Mais elle ne l'avait pas retrouvée parmi les légionnaires. Ses ordres étaient irrévocables, mais malgré ses airs de Cerbère, il suffisait d'être assez fidèle à la cause pour qu'elle devienne amicale et loyale. Une quête lui avait un jour été accordée. Lors de celle-ci elle rencontra sa mère. La première chose qu'elle remarqua fut la ressemblance. Les même cheveux noirs et lisses, les mêmes yeux noisettes ou noirs selon la lumière, et ces quelques tâches de rousseur. C'était bien évidemment dans un rêve, à cause des lois divines qui faisaient que les dieux n'avaient le droit d'intervenir dans les quêtes, mêmes celles de leurs enfants. Mais Day et son compagnon de quête étaient coincés. Ils devaient traverser la mer et aucun moyen de transport mortel n'avait été possible pour le moment. Alors, la belle Salacia fit une offrande à sa fille. Un tursiops. Quand elle se réveilla, le premier réflexe de la jeune fille fut de tester si ce n'était qu'un rêve sans importance, comme tous les mortels en faisaient. Elle porta deux doigts à sa bouche et poussa un long sifflement. Alors un dauphin gris anthracite sortit des flots. Il salua la jeune fille. Pour montrer qu'elle acceptait l'offrande, elle donna un nom à son dauphin. Joli-Coeur.
Son meilleur ami a forgé pour elle les deux katanas après l'avoir vue combattre avec des armes similaires lors de leur quête. Il a gravé dessus les noms Irae et Fidelitas dessus, noms des épées japonaises.
Ghost keeping me alive
"Centurion-en-chef de la quatrième cohorte, collègue d'un fils d'Aquilon. Ca claque, hein ? Bah moi ça me plaisait pas. Depuis trois ans j'avais décidé de me mettre au dessin. J'avais bien assez de modèles de statues antiques. Je réalisai mes croquis le soir dans ma caserne lors des nuit d'insomnies. Je voulais faire une école d'art. C'était mon rêve, vous savez ? Quand j'ai atteint douze années de bons et loyaux service à ma légion, j'ai demandé la permission de me retirer. La permission a été acceptée. On allait me préparer un appartement à la Nouvelle-Rome quand j'ai déclaré que je voulais habiter chez ma belle-mère à New-York. Il y a eu beaucoup de regards noirs, de travers, en biais... Mais qu'importe. Je voulais partir faire ce que je voulais. Douze ans c'est largement suffisant.
J'suis allée à New-York et j'ai commencé une vie normale avec Katie, Irae et Fidelitas. Je sais qu'au Camp Jupiter on prononce mon nom comme une insulte et qu'on me considère comme traître. Mais j'en ai que faire et je ne me garde pas de le faire comprendre. Ceux qui étaient de véritables amis le sont toujours. Les autres... C'est pas grave pour les autres.
J'ai entamé mes études. Pas très très douée au début par rapport aux autres, mais à force de leçons j'ai fini par m'améliorer. Il est rare de me voir sortir sans un crayon à la main, et mon carnet de l'autre. J'ai fait des rencontres à New-York. Des humains, d'autres demis-dieux, notamment des "Graecus". Les jurons en latin restent toujours au sommet des mots qui se font le plus entendre chez moi. Les grecs en fait, ils sont pas si monstrueux que ça. Moi je dis cette guerre dont j'ai entendu parler, elle sert à rien. T'façon si j'suis une traîtresse, ils peuvent attendre que Jupiter meure pour que je les aide. Naméoh.
Et il y a quelque mois, mes insomnies ont repris de plus belle. Insomnies mythologiques. Des rêves atroces en fait et je préfère pas dormir plutôt que de les voir. Tout ça à cause d'une Graecae Dei. Némésis. Chez nous ce serait Invidia. Je traînais en ville, seule. Dans Central Park. Tranquille, les mains dans les poches, mais Irae dans ma main, sait-on jamais. Je fais confiance à la Brume pour cacher ça aux yeux des mortels. J'avais senti l'odeur du danger en me promenant le matin même, alors en revenant j'avais pris mes précautions. Mon intuition me disait qu'une menace était très proche. Et là je vois une femme adulte. Je lui donne dix ans de plus que moi. Et je reconnais ses yeux. Des yeux froids, glaciaux, comme la dernière fois que je l'ai vue. Elle a des dagues recourbées en croissant de lune dans les mains et commence à m'attaquer. Je sors alors mon katana. Commence alors un combat qui me parut sans fin. Jusqu'à ce que je lui inflige un coup, tranchant une cicatrice à la lèvre. Mais elle reste droite. Et, par mégarde, je transperçai d'un coup de lame son estomac. Le sang tâcha son T-shirt blanc. "-Hoppy. Désolée." La seule personne qui peut s'excuser en m'appelant Hoppy c'est elle. Pleasance. Je ne pleure pas. Je ne suis pas faible. Pleurer c'est pour les faibles. Je me suis vengée de ce qu'elle m'a dit. De la manière dont elle m'a abandonnée.
Mais cette nuit-là fut horrible. Je vis une femme qui ressemblait énormément à Pleasance, une épée dans la main droite, et une balance dans la gauche. Invidia. Ou plutôt Némésis. "-En te vengeant tu as tué ma fille. Pour un abandon tu lui as donné la mort. De par ta lame tu as tranché le fil de sa vie. Ton épée Irae puisse-t-elle être maudite ! Elle te tuera toi aussi, quand tu voudras ôter la vie à ton véritable ennemi"
Et chaque nuit, je me voyais me battre contre différentes personnes que je haïssais et me faire tuer, en plus des rêves que je qualifierais de "classiques" pour un demi-dieu. Alors pour échapper à ses visions je dessinais. Ou je regardais la télé. Ou je fuyais de chez moi pour revenir au petit matin. Il est arrivé plus d'une fois que je débarque chez des potes, en pleine nuit, habillée à l'arrache, pas coiffée en gueulant "JE VEUX DES FRAISES TAGADAS" ou tout autre bonbon. Certains me foutaient dehors. D'autres me disaient d'entrer et on bouffait toute la nuit en regardant des émissions débiles à la Télé. Pas grave. Et parfois j'allais vers la mer. Je portais deux doigts à ma bouche et je sifflais longuement. Joli-Coeur apparaissait et j'allais faire un tour en mer.
Je vivais normalement, squattant parfois chez mes amis les plus proches, ceux qui pouvaient m'appeler Hoppy sans que j'essaie de les tuer. Si au début Katie appelait presque tous les jours la Police pour signaler ma disparition, elle avait fini par remarquer que je ne faisais rien d'autre que d'aller chez mes amis, et que je revenais toujours. Elle me laissait faire maintenant. Et puis j'suis majeure j'fais c'que je veux ! Ah et au fait, quand je suis revenue, Katie m'a expliqué qu'elle est la fille de Trivia. J'ai cru que j'allais m'évanouir quand elle m'a lancé ça comme ça pendant que je tentais de faire à manger (c'est ce jour-là le coup du rôti aux dragibus. Je reste persuadée que ça aurait été très bon).
En parlant d'amis, je m'en suis fait un. C'est un humain tout ce qu'il y a de plus normal. Enfin presque, parce que cet idiot voit à travers la Brume. Il a vu mes katanas. Obligée de tout lui expliquer de Rat à Zèbre ! Au début il m'a dit d'aller me faire interner dans un asile. J'lui ai répondu que c'était déjà fait et que j'étais sérieuse. Alors il a fini par me croire en voyant un Cyclope dans une boutique Prada. C'est chez lui que je passe 80 % de mon temps quand je me barre de mon appart'. Et c'est lui qui a les Schtroumpfs qui piquent. Vous vous rendez compte ? Et non contrairement à ce que vous allez penser il n'y a rien d'autre que de l'amitié entre nous. 'Fin, je crois."
le héros derrière l'ordinateur. | C'est toujours Andros, le commandant suprême de ses persos barjows (oh ça rime *o*) J'ai treize ans maintenant YEAH Ca fait deux ans que je fais du rp, et les dragibus dans le rôti je suis persuadée que c'est bon. J'suis triste d'avoir dû enlever les tortues ninja de la fiche. Parce que voilà quoi Mikey et Bandeau Violet (me souvient jamais de son nom) bah ils ont la classe. Sinon voilà à part des conneries j'ai plus rien à dire. AH SI. VOUS NEEEEEEEEEEEEM. Et HG ceylebien. |
(c) fiche par cassou.
Dernière édition par Day Z.-L. Collins le Lun 5 Aoû - 19:11, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) Sam 3 Aoû - 17:04 | |
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| Sujet: Re: Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) Sam 3 Aoû - 17:14 | |
| Non mais ça c'était déjà écrit dans ma tête qu'il me fallait un lien avec tes deux persos. Et ouais les Irlandais ceylebien. Et Jade parce que voilà j'adore ses gifs. Sinon : MERCIII. (On essaiera de faire des spaghettis aux tagada quand tu passes chez moi ?) |
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| Sujet: Re: Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) Sam 3 Aoû - 17:26 | |
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| Sujet: Re: Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) Sam 3 Aoû - 17:51 | |
| J'réfléchis à nos liens ma folle préférée. |
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| Sujet: Re: Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) Sam 3 Aoû - 17:53 | |
| J'adore ton perso ! Re-bienvenue et réserve-moi un lien au chaud ! |
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| Sujet: Re: Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) Sam 3 Aoû - 17:55 | |
| Merci ! Et pour le lien, c'est sans problème (j'le mets au four pour qu'il reste au chaud) *sorttrèèèèèèèèèèsloin* |
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| Sujet: Re: Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) Sam 3 Aoû - 18:28 | |
| J'adore ton nouveau personnage, vraiment fun ! Surtout son addiction au sucre XD Par contre avant de te valider il faudrait que tu fasses une petite relecture, après ça ce sera tout bon ! |
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| Sujet: Re: Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) Sam 3 Aoû - 19:52 | |
| Re-Bienvenue alors =) Excellent choix d'avatar *.* Et je suis fan du personnage, je risque de venir te harceler afin de créer un super lien |
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| Sujet: Re: Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) Sam 3 Aoû - 23:18 | |
| Re-Bienvenue parmi nous Hâte que tu fasses la relecture pour qu'on puisse te valider |
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| Sujet: Re: Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) | |
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| | | | Là faut mettre une phrase trop classe, pour faire un titre qui déchire tout. Mais comme j'ai pas d'idées on va faire comme si c'était le cas. Ya pas de réglement, non ? (Day, mais en mode on reprend tout et on recommence) | |
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