« Hey Hamilton, elle ou ta mère ? encore en train de faire ses trucs bizarres ? bouge de là ! » m'ordonna nathan, un des garçons populaires de l'école. Toutes les filles le voulaient et heureusement pour moi, je ne faisais pas partie de ces filles. Mais comme à mon habitude, je baissais les yeux et n'osais rien faire. J'avais huit ans et tout le monde me détestait, pourquoi ? Pourquoi on m'associait à ma mère ? J'étais certes sa fille mais je n'avais rien à voir avec elle. Suivit de tous ses amis, il commença à rigoler quand mon frère arrive les regarda de haut en bas. Maxwell me prit la main puis on alla vers l'arrêt de bus. le bus arrivé, on rentra. Tous les gens nous regardèrent quand ils virent notre maison. Une bicoque en bois, encore une fois, les gens étaient étonnés. Je soupirai, toujours la même chose. Pour tout le monde, nous étions cette pauvre famille Hamilton, sans argent habitant dans une pauvre bicoque en bois et avec une mère droguée pratiquant des rites étranges. Voilà ce qu'on était aux yeux des gens. Je poussai la porte puis toussa en sentant l'odeur de l'herbe. j'entendis mon frère soupirer. « Maman, on est rentré ! » Cria maxwell. Ma petite sœur, Gaïa, arriva. « Bouge de là, je dois parler à Max' » M'ordonne ma sœur. Je baissai la tête puis jeta mon sac à terre, et alla dans la cuisine. Maman était là, avachie sur la table de la cuisine. Agacé, je pris un verre, la remplie d'eau et le jetai sur ma mère. Elle se leva d'un coup avec un regard noir. « Qu'est-ce qui t'a pris, Flower ? » Demanda ma mère. Je tiquai, je détestais qu'on m'appelle comme ça. Je voulais lui cracher ma haine au visage, lui dire à quel point de la détestais pour ce qu'elle nous faisait vivre, je la détestais pour l'image qu'elle dégageait, qui inconsciemment répercuter sur nous. Mais comme à mon habitude, je ne disais rien, me contenter de la regarder. « Rien, j'ai juste voulu te réveiller. » Maman me regarda, étonnée par mon ton sec. Sans lui laisser le temps de parler, je partis dans ma chambre en prenant soin de claquer la porte. J'étais usé, j'en avais marre et je détestais ma vie.

« Ca va les enfants ? » Demanda maman. Je regardai maman en souriant. Aujourd'hui, elle n'avait rien pris, et ça me faisait du bien. Je savais que ça n'allez pas durer longtemps mais j'en profite. Emmitouflé dans mon manteau, j'étais assise dans la voiture à côté de Gaïa tandis que maman et Maxwell était devant. Je souris, une fois de plus, fini la Nouvelle Orléans, bonjour New York ! Ici, je pourrais avoir une nouvelle vie. Fini la petite Teddie, toute mignonne, toute gentille, toute timide, bonjour une nouvelle Teddie ! « Ca va, on arrive quand ? » M'impatientais-je. Je regardai la fenêtre, les gouttes de pluie tombaient et glissaient sur la fenêtre lentement. Dix minutes plus tard, maman se gara devant une maison, très joli et qui me faisait penser aux anciennes maisons des riches de la Nouvelle Orléans. Un homme se tenait sur le pas de la porte, mon oncle, Jeremy. « Les enfants, on est arrivé ! » « Cool ! » Cria Gaïa, qui depuis le notre départ, n'avait pas parlé. Je sortis de la voiture puis je pris une de nos valises tandis que Jeremy alla vers nous et prit deux valises. Je marchai vers le perron avec la valise en main et la posai à terre. En voyant la banlieue, je souris, une nouvelle vie s'offrait à moi.

« J'y vais maman ! » Criais-je en claquant la porte. Je marchais lentement dans la rue pour aller à l'arrêt de bus. J'avais quinze ans, et beaucoup de choses avaient changé. On n'avait plus de problème d'argent, certes maman continuait à se droguer mais elle n'avait pas la même réputation, celle de mon oncle cachait tout le reste. Nous n'étions plus les enfants de Delilah Hamilton, le drogué de service mais nous étions les neveux et nièces de Jeremy Hamilton, le grand homme d'affaires qui aime aider tout le monde. Mon caractère aussi a changé, fini la petite Teddie, timide et qui se laisser faire, bonjour la Teddie extravertie et qui ne se laisse plus faire. Ma relation avec ma sœur n'a toujours pas changé, je crois même que ça s'est empiré ! Tout d'un coup une douleur me prit à la main, je levai les yeux au ciel vers celui qui m'était tombé et ce que je vis me fit peur. Un cri sortit de ma bouche, une atrocité se tenait devant moi. Une sorte de chien géant avec des crocs géants. Je me levai difficilement tandis qu'il me montra ses dents. je reculai, il avança vers moi, j'avais très peur. En un seul coup, il pouvait m'arracher la tête. une nouvelle fois, je criai mais une flèche se planta dans son front et il se désintégra en une poussière dorée. « Ca va ? Il ne t'a pas blessé » demanda une fille aux cheveux violets. « Oui, enfin, je crois ! » balbutiais-je, encore apeuré. « je suis gillian et toi ? » « teddie-may, mais teddie c'est plus court » annonçais-je en souriant. elle me regarda. « gillian, bouge, si ça se trouve il y en a d'autres qui vont arriver ! » cria un jeune homme blonde, plus âgé que moi. « calmos bill, laisse-moi le temps de lui expliquer au moins. » s'agaça gillian puis elle se retourna vers moi. « écoute, tu vas me prendre pour une folle mais les dieux existent et ils ont des enfants qu'on appelle demi-dieux. il y a un endroit pour les protéger, ça s'appelle la colonie des sang-mêlé. t'as vu ce chien ? ça veut dire que tu fais partie de ces demi-dieux. donc si tu veux pas crever, suis-moi ! » je la regardai, je la croyais. j'avais vu ce chien de mes propres yeux alors pourquoi me mentirait-elle. « d'accord ! » souriais-je, une nouvelle fois.

« aïe ! putain, je suis tombé ! » cria bill. je m'arrêtai et me retournai pour aller l'aider. « arrête-toi ! on a un monstre sur le cul ! » « j'essaie de t'aider espèce de crétine finie ! » criais-je. je m'énervais, pour qui se prenait-il ? cela devait faire au moins quatre heures qu'on marchait ou plutôt couraient et quand je voulais l'aider, il me prenait de haut ? je le regardais. « t'es malade ou quoi ? je veux t'aider et tu me prends de haut ? faut que tu te calmes ! » criais-je, encore plus énervé. il me regarda puis se leva, il commença à rire, tout seul. puis il prit son couteau et le regarda avec admiration. quand tout d'un coup le monstre arriva et montra ses crocs vers Bill . mes yeux se posèrent sur bill puis le monstre et encore une fois bill. je sautai sur le bill puis lui prit son couteaux en bronze céleste et le lança sur la tête du chien et comme le précédent, il se tomba littéralement en poussière. bill me regarda puis redevint normal. « bravo teddy bear » sourit bill.

« teddy bear, j'y vais ! » me cria gillian. je soupirai, ce surnom était devenue un surnom officiel. je souris, j'étais heureuse. cela devait quatre ans où j'étais à la colonie, chaque semaine, j'allais voir ma famille. je disais à ma mère et à mon oncle que j'étais dans un internat et seul maxwell savais à propos de la colonie, il était partie quand il avait quinze ans. comme moi. et il y est resté deux ans. Gaïa, elle avait disparu il y a deux mois. maman ne semblait pas inquiète, comme si c'était normal. je soupirai puis passèrent les mains sur le visage. je m'affalai sur le lit quand Augustin vint vers moi. c'est un enfant de dionysos, tout comme moi. mon père m'avait présenté en tant que telle et m'avait donc reconnue comme une de ses filles. mon père m'avait offert un thyrse magique. de plus, j'avais découvert mes pouvoirs que je m'efforçais de les contrôler. je soupirai une nouvelle puis sortis dans mon bungalow quand je vis mon père parler avec un jeune homme qui me semblait familier. je m'approchai encore plus et mon très cher père se retourna vers moi. « teddie, que fais-tu là ? » demanda mon père. le jeune homme se retourna et fronça les sourcils. « teddie ? comme teddie-may hamilton ? » demanda le mec. « d'où tu me connais toi ? » demandais-je froidement « nathan de la nouvelle orléans, tu te souviens pas ? » « quoi ? » je le regardai encore étonné par sa nouvelle. pourquoi moi ? il n'aurait pas pu rester là-bas ? « bon vu que vous avez l'air de vous connaître, teddie tu vas t'occuper de lui  » répliqua mon géniteur. était-ce une blague ?

« tu sais teddie, je suis désolé pour ce qui s'est passé à la nouvelle Orléans. » je tournai ma tête vers nathan. il avait changé, il n'était plus ce gamin arrogant et énervant, au contraire. je souris mais je ne l'ai jamais pardonné. il avait été horrible. « c'est pas des mots qui vont effacer ce que j'ai vécu » répliquais-je. nathan me regarda et posa guitare. ont été assis près du champ de fraise entretenue par la magie de mon père. en quelques sorte, ça me rapproche de lui. « écoute, je sais que ce n'était pas bien ce que je te faisais vivre ma... » « nathan, ce n'était pas bien, d'accord mais c'était surtout horrible. tu sais ce que ça fait de se faire juger ? de se faire maltraiter ? de se faire insulter à tout bout de champ ? non ! tu ne sais parce que toi, tu ne t'es jamais fait juger à cause de ta mère. à cause de ses agissements. maintenant c'est terminé, je suis là j'ai changé. ça veut pas dire que j'ai oublié ce que tu m'as fait subir mais ça sert à rien de se rappeler du passé. le passé reste le passé et ne peut être changé alors à quoi bon discuter. » nathan me regarda. « tu verras, je vais réussir à te faire oublier. » je souris en baissant la tête et e rougissant. il me faisait un de ses sourires. « tu peux tenter buckley, tu peux tenter. » rigolais-je. je me levai puis lui lança un sourire. « à plus, je vais avec gillian ! »

Bienvenue ici ! Bonne chance pour ta fiche ♪

Bienvenue, et bonne chance pour ta fiche !

Bienvenue ici et bon courage pour ta fiche. (:

merci tout le monde, ma fiche est terminé trois jours, un record !  

Plop !
Alors avant de te valider, il faudrait que tu te relises encore un coup et, surtout, que tu mettes des majuscules aux noms propres et surtout en début de phrase. (:

d'accord, je vais me relire. mais pour les majuscules, j'aime bien rp comme ça mais si ça te gêne réellement, je peux changer

Pour les majuscules, j'apprécierais que tu les ajoutes, au moins dans ta présentation. Pour les RP, tu verras ça avec tes partenaires, ça ne me concerne pas.  

bravo!bienvenue!