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 Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive}

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MessageSujet: Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive}   Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} EmptySam 8 Fév - 1:57




Ethan J. Doorway
« Il n'a que dans le dictionnaire que réussite vient avant travail. » Pierre Fornerod.

PRÉNOMS ◮ Ethan, James. NOM ◮ Doorway ÂGE ◮ 35 ans TYPE DE PERSONNAGE ◮ demi-dieu DATE+LIEU DE NAISSANCE ◮ 26 Janvier 1978, Iowa PARENT DIVIN ◮ Janus, Dieu à deux visages, gardien des portes. ORIGINES ◮ Américaine. DÉFAUT MORTEL ◮ La Lâcheté STATUT CIVIL ◮ Administrativement marié, en réalité séparé ORIENTATION SEXUELLE ◮ Hétérosexuelle GROUPE ◮ Romain. AVATAR ◮ Taylor Kitsch.
RELATION AVEC LES DIEUX ◮ Neutre NUMÉRO DE COHORTE ◮ Deuxième RELATION AVEC LES GRECS ◮ Mauvaise. A LA LÉGION DEPUIS ◮ 23 ans POUVOIRS
- Grâce à son jeu de  clés, donné par son père, aucune serrure ne lui résistent ou presque avec l'une.
- Il peut aussi voyager avec l'autre, en passant simplement une porte. ARMES ET OBJETS MAGIQUES
-Deux clés universelles, dans un métal très raffiné. L'une ouvre les portes, l'autre lui ouvre des portails.
- Un gladius et un bouclier en or Impérial.


questions for you.
► Comment avez vous pris la révélation concernant les grecs ? Quelle réaction cela a fait naître en vous et qu'en pensez vous après tout ce temps ?

Je ne sais toujours pas... C'était étrange. Deux univers si distincts et proches à la fois. Que dire ? Qu'on n'a pas la même vision des choses et que oui, ça finit par être un peu électrique. J'irai pas leur chercher de merde, s'ils viennent pas en chercher, point barre. On la décidé ainsi, même si comme beaucoup, je souhaite la guerre. Après je ne crache pas sur leur aide pour renvoyer Chronos où il était.

Ensuite, la réaction que j'ai eu quand je l'ai su. J'étais étonné. On était bien plus nombreux qu'on ne le pensait. C'est certaine complication, c'est des gens qu'on peut charrier et se moquer au camp, je l'ai vu comme ça. Mais après, personnellement, je pense que je m'en moque un peu. Enfin, tant qu'ils ne s'approchent pas de moi bien sûr.

► Êtes vous satisfait de la vie que vous avez au Camp Jupiter ?

Rien à redire. J'ai retrouvé une nouvelle vie, un peu plus détendu et oui, où j'ai pu être simplement moi même, ou presque. J'ai trouvé comme une liberté. Franchement, entre être un gamin pas trop aimé, canalisé, réduit et fils de demi-dieu, j'ai vite choisi. Puis, oui, c'était militaire et autoritaire, mais ce n'était jamais pire que mon père. J'étais rodé et comme chez moi en mieux. Puis maintenant, je suis à la Nouvelle Rome, mais chaque jour, c'est un plaisir de mettre les pieds au coeur du camp.

► Avez-vous participé à la dernière Titanomachie ? Si oui y avez-vous subit des pertes ? Des blessures ? Des séquelles ? Faites-vous partit de l'armée de Cronos ?

Oui, c'était pas beau à voir... J'ai du faire fasse à mes démons, à mes défauts, mais merci mon dieu, je n'ai pas trop fait de dégâts et j'ai pris un peu sur moi. J'ai encore des moments où j'ai fermé les yeux, alors que j'aurais pu les aider. Ca me hantent... Mais les cicatrices que j'ai gardé, dont une d'une blessure conséquente, me rappelle que j'en ai payé le prix.

► Avez vous eu de la famille ou des proches adultes ayant été au camp Jupiter avant vous ? Si oui avez vous bénéficié d'une lettre de recommandation ?

Euh non. Je me suis débrouillé seul, comme un grand. Encore heureux que mon cher père biologique m'ait donné cet clé, sinon, je ne sais pas si je serai arrivé ici entier. Je me suis battu, j'ai relevé les défi. J'ai été éduqué comme un petit chrétien, alors que je pense être païen, mais jamais on a oublié de me préparer à tout ça. Je comprends mieux ma mère qui ne perdait jamais de temps à m'expliquer certaine chose, à ne pas avoir été attentionnée pour que je me trouve bien plus débrouillard et perspicace. Puis mon père, les coups, le sport, l'autorité, un mode de vie militaire comme il était... Pour ça, je ne le remercierai jamais assez.

► Quelle est votre réaction vis vis de la DLCEM ? Auriez vous jamais pu imaginer que les humains puissent être capable d'une telle chose ?

Bien sûr qu'ils en sont capable. J'aurais pu et je suis aussi vil et pourri qu'eux. Rien n'est pire qu'un humain, si peut-être un dieu...
Après, ils font ce qu'il veulent, mais attention, qu'ils n'osent pas trop, car on est tous prêt à répondre, je pense autant nous que les grecs. On ne se laissera pas faire. Je ne l'autoriserais pas.



le héros derrière l'ordinateur.
Euuuuh, moi c'est kimi ...

"Bonjour kimiiii..."

J'ai pas RP depuis quatre jour si ce n'est plus...

"Bravo Kimiii..."

Mais c'est à cause de cette foutue fiche. Courage à la personne qui la lira.

Non, plus sérieusement, pfff, j'aime pas parler de moi. Je suis folle, je suis la soeur IRL de Meredith Pond. La grande hein ! Pas la petite, mais si on y croit.


fiche by mathie.
crédits gifs & icon ;; tumblr.



Dernière édition par Ethan J. Doorway le Mar 11 Fév - 16:21, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive}   Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} EmptySam 8 Fév - 1:59



who you are.
Il a le vertige ✧ Se signe parfois par habitude ✧ Il adore les femmes, ça oui, un peu dragueur et très frivole ✧ Il est autoritaire, mais aussi impulsif, ne rester pas à côté, quand la colère et la violence s'empare de lui ✧ Il a un berger allemand, qui le quitte rarement ✧ Père d'une fille de 8 ans du nom de Lizzy, dont il partage la garde avec Atia ✧ Il quitte souvent le camp, soit pour voir Atia, ou sa famille ✧ Adore la vitesse et se laisse aller à quelques courses sauvages en ville ✧ Esprit de compétition ✧ Arrogant & fier ✧ Moqueur ✧ Supporte très mal la défaite ✧ A prit le goût de s'instruire et se cultiver via l'influence d'Atia ✧ Quand il mange, c'est sacré ✧ Café ! Café et oh ! Tiens et si on reprenait un café ? Noir bien sûr ✧ Impulsif ✧ Mauvais joueur, même pour un simple jeu de société ✧ Les bruits des cloches d'une église le calme ✧ Lunatique ✧ Il ne fait des compliments qu'aux femmes ✧ C'est un bébé insupportable quand il est malade ✧ S'il est souvent doux, gentil et docile avec quelqu'un c'est sûrement par intérêt ✧ Hypocrite ✧ Il peut-être mauvais et gratuitement méchant ✧ Impartial, inflexible et intolérant dans son travail avec les légionnaires ✧ Haute estime de lui même ✧ Menteur ✧ Il a perdu une molaire en provoquant ce qu'il pensait être un gringalet. Bah, il avait une bonne poigne ✧ Il a quelques tatouage et une cicatrice qui date de la Titanomachie juste au dessus de l'aine ✧ Bien caché derrière tout ça, c'est quelqu'un de tendre avec un coeur, en conflit avec lui même

once upon a time.

Il est en permission


« Mon enfance ? J’ai eu une mère assez distante et pieuse… Mon père ? Alors là, question froideur, il n’y a rien de pire. Un officier chez les Marines… Je vous laisse imaginer comment ça se passait. J’étais pas un enfant heureux quand il rentrait à la maison… »

Il sortait de son école, dans son adorable et propre petit uniforme, parfaitement repassé. Il y avait bien tâche de sauce tomate qu’il se voyait déjà frotté avec vigueur en rentrant à la maison. Tapant de son cartable contre celui de son ami, ce dernier lâcha un ballon sur le terrain de foot grillagée prêt de la rue. Les cartables volèrent au sol, et d’autre jeune garçons s’élancèrent dans un petit match sans règles. On s’attrapait la chemise, on se poussait, entrelaçant les jambes pour récupérer cette balle tant convoitée. On se chamaillaient, on riaient, on traitaient l’autre de tricheur. Une belle petite partie de ballon qui lui souriait, comme le soleil qui tentaient de se faire une place dans le feuillage épais des peupliers qui englobait le terrain.

Ethan, alors qu’il sauta par-dessus la jambe d’un de ses camarades, jetant un autre pour avoir la balle, faisant une petite passe, il reprit son souffle, aussi lentement que la luxueuse berline noire qui venait de se garer devant son école. Il fit mine de rien, tournant le dos au véhicule. Qui sait ? Il ne le verrait peut-être pas. Ses copains courraient. Il essayait de retrouver le groupe, on évita un but. Un klaxon, il courut à l’opposé, quelle chance, là était la balle. «Ethan !» aboya une voix grave et auguste. Il ignora toujours. Il ne joua qu’avec plus d’ardeur. On ne sait jamais, il pourrait comprendre ?

«Ethan James Doorway !» vociféra la voix de son paternel, sans même quitter la voiture, provoquant le silence. Les oiseaux n’osaient plus chanter, les mères ne comméraient plus et son groupe d’ami avait cessé de jouer. Plus rien n’osaient bouger d’un pouce. Ethan donna un violent cou de coup dans la balle, qui vint rebondir contre un poteau, provoquant un bruit violent de métal qui tremble, et secoua le grillage. S’il était fils d’Ares, il aurait crever le pauvre jouet. Il souffla et attrapa son sac, le faisant trainer au sol, jusqu’à la voiture, malgré les menaces de son père «Le cartable Ethan !» qu’il répéta trois fois. Il le jeta dans sur la plage arrière et monta. Il fuyait le regard glacé de son père via le rétroviseur, en se laissant bercé par les ombres de arbres dans le ciel, sous la lumière.

En sortant de la voiture, Ethan se dépêcha de récupérer son sac et s’extirpa de la voiture, mais son père l’interpella si sèchement, qu’il serait suicidaire de continuer sa fuite. Il était là, à mi-chemin entre la voiture garée devant le garage, et le petit sentier de gravier jusqu’à la porte. Il serra les poings, banda ses muscles. Il sentait sa présence approcher, une masse débordant d’autorité et de charisme, bien moins impressionnante que la fessée qu’il lui donna. La douleur le lança jusqu’au bout de ses pieds. Il avait étouffé un gémissement et son père lui arracha son cartable. Il ne le ratait jamais et il était préférable de ne pas fuir...

_Le goûter et on fait les devoirs ensemble. Ta mère m’a envoyé tes résultats, tu manques d’assiduité ! Je veux des résultat Ethan, tu le sais très bien. Si tu travaillais un peu plus avant d’aller jouer, tu pourrais mieux te concentrer. Allez, dépêche toi.

Ethan emboitait le pas formel de l’officier chez les Marines. La porte s’ouvrit sur des douces effluves de muffin chocolat, encore chaud. Il se précipita dans les bras de sa mère, par défaut, cette dernière sortant les gâteaux de la plaque chaude. Elle l’avait kidnapper d’une étreinte maternelle, embrassant son front et caressant ses cheveux. Il la laissa couvrir de ces rares moments d’affection dans la journée : avant de partir à l’école, en rentrant et au couché. Sa main, fut plus malicieuse, pour profiter de ce manque d’attention, et venir chiper une petite gourmandise. La spatule en bois claqua sur ses phalanges, le démotivant d’un nouvel affront.

_Tu sais ce que tu dois faire chéri, lui dit sa mère, un peu absente, comme une habitude de son éducation qu’elle ne relâchait jamais.

Il se mit sur la pointe des pieds pour se laver les mains au-dessus de l’évier. Son père avait le nez dans son cartable, son carnet de texte, le carnet de correspondance, et fouillait les cahiers pour trouver les petits examens de calcule, de français, ... Le muffin boursoufflée et généreux, attendait dans une petite assiette, et un verre de lait se pressa pour l’accompagner, d’un geste prévenant. Il prit place sur sa chaise, et mordit pleine dent dedans. Il avait si faim. Malgré les remontrances de son père sur son écriture, ses fautes idiotes, les commentaires de certains professeurs sur son attitude, parfois insolente, il sut apprécier ce goûter. Les devoirs, ranger sa chambre, à peine quelques minutes pour jouer, il devait descendre mettre la table, attendre le bénédicité, puis le soir, à peine une heures et demi pour s’occuper avec livre, et n’oublions pas la prière avec sa mère.

Mon père est un dieu ?



Source : deviantart by KeypersCove

« J'avais tellement pris de temps à comprendre qu'une nouvelle vie s'offrait à moi. Tout ce que j'avais imaginé, la religion monothéiste que je vénérais était-elle dont factice ? Je suis resté sur le cul et je me suis jamais retrouvé aussi impatient qu'avant d'ouvrir mes cadeaux de Noël.»

Enfermé dans le bureau de la maison, il avait la tête qui piquait sur la page. Bientôt sa joue était posé sur l’un des volets de son cahier de brouillon, sa main, s’étant arrêté dans son calcule mental, pour dessiner des petits soldats.  Il bondit de son siège, tapant le cul de son stylo sur le front, l’air de réfléchir alors que des pas traversaient le couloir. Il soupira. Fausse alerte. Il se frotta les genoux, regardait les médailles devant lui et pivotait sur l’immense fauteuil en cuir. Il s’ennuyait ferme dans le bureau de son père, décoré de médailles et de photos en tenu d’officier, ainsi que quelques brevets. Faisant la toupie sur son manège gratuit, il finit par apercevoir, comme un torchon dans une boutique de serviette, en haut de la bibliothèque, un vieux carton usé. Poussiéreux et abîmé, il était loin des jolies boîtes laquées des insignes de son paternel

Il poussa le fauteuil jusqu’au meuble après avoir tendu l’oreille. Son père était devant la télévision, sa mère préparait le diner. Il était tranquille. Il se mit debout et tendit les bras. Il lui manquait quelques centimètre. Il tapa de sa chaussette l’étagère pleine à craquée de livre, puis s’élança, prenant prise sur celle du dessus. Il était fébrile. Il grimpa encore et là, il transpirait à grosse goutte. Il n’aimait pas être perché, sensible au vertige. Il finit par sentir le carton tâché et au scotch jaunit. Il perdit l’équilibre, emportant le trésor de sa quête avec lui. S'effondra des photos diverses, des dessins de lui, et une petite pochette de velours. En se frottant l’arrière de la tête pour calmer la douleur, il sortit de cette ce petit écrin, une clé, brillante, au travail fin, des entrelacs qui rappelait les motifs de la Rome antique. Il la caressa, la jaugea jusqu’au moindre détail.

Puis alors que le crochet un peu archaïque d’une vieille porte en formait le bout, elle scintilla, quelques petits flashs et passaient par plusieurs embout avant de trouver celui du bureau. Elle était plus au jour, plus sophistiqué et plate. Subjugué, il s’approcha de la porte, et alors qu’elle était comme happé par la serrure la porte s’ouvrit. Ethan resta sans voix, la peur qui l’avait tétanisé. Son père était là, face à lui et lui arracha sa précieuse découverte des mains.

Vérifiant qu’il n’avait rien, criant à sa femme que tout allait bien. Il avait trouvé la clé, ajouta t-il. Pour la première fois, son père fut doux et affectueux. Il le posa sur ses genoux et la mère arriva. Elle souffla, comme si elle cherchait du courage. Ethan ne comprenait absolument rien, osant à peine se laisser aller sur son paternel, ne voulant le toucher que du bout de ses fesses. Elle était accroupie, rangeant le carton, mais gardant des photos en main. Il était temps de lui dire ce qui se passait.

Il resta interdit devant l’annonce. Son père n’était pas cet homme froid et autoritaire ? C’était un autre ? Mais comment ? Il avait du mal à comprendre, encore un tout petit peu jeune. Qui était-il ? Un dieu ? Comme celui du livre qu’il lisait tout les soirs : Dieux et personnalités de la mythologie romaine ? L’officier, lui caressa la tête, le rassurant, lui disant qu’il le considérait comme son fils et qu’il l’aimait comme s’il était de son propre sang. C’était difficile pour lui de le croire, au vu de l’affection qu’il osait parfois lui montrer comme à cet instant. Ethan comprendrait que bien plus tard, à quel point cet homme n’avait été distant avec lui, du moins pas plus qu’avec un autre, qu’il la poussé à donner le meilleur de lui même et surtout à savoir se tenir. Il avait participer à son éducation, alors qu’il n’y était pas forcément destiné. Il l’aimait bien plus que son vrai père, car lui avait fait le choix de s’occuper de lui et de subvenir à ses besoins pour vivre. Il ne le portait pas réellement dans son coeur, et il pensait que c’était finalement, parce qu’il n’était pas celui qu’il paraissait être... Mais en grandissant, c’est un énorme respect qu’il saura lui porter en remerciement de ses efforts et son «amour».

Deux ans d’impatience



« J’en était devenu fou. Mais vraiment. Je comptais les jours, voire même les heures. Je voulais échapper à tout ça. A mon paternel et sa main aussi lourde qu’un pavé d’acier. Non vraiment. Je voulais partir. Je savais bien que la vie là-bas ne serait pas douce, mais bien plus qu’ici. Puis arrivant enfin … Heureusement qu’ils ont pas un choix-peau pour faire les choix. »

Il avait son allé direct pour la Maison des Loups. Il partait déjà avec un coup d’avance, toutes les chances furent mises de son côté. A lui ensuite de prouver qu’il n’était pas qu’un humain et bien le fils d’un dieu. Il fallait qu’il se montre assez digne de ses origines romaines.  

Il ne fut pas trop lent, ni débutant. Il montra de belle ressource, se donna entièrement pour réussir sa quête et c’est en moins d’un an qu’il sortit des la Maison des Loups, jugé prêt. Il se devait enfin de retrouver le Camp Jupiter. Oh bien sûr qu’il était tenté d’utiliser sa clé, mais on lui demanda bien de la garder contre son coeur et d’affronter les épreuves. Il hésita un long moment et finit par se lancer.

Il a courut, il s’est caché, il a tenté quelques épreuves de force, lâchant toute sa haine et sa colère retenu pour arriver à ses fins, mais surtout par fuite et par esprit logique qu’il trouva enfin l’endroit tant convoité. Encore secoué, perdu, il se retrouva vite acceuilli par ses nouveaux confrères. Ils étaient cinq, là face à lui, entourés de leurs meilleurs éléments et amis. Il était mal et se sentait oppressé. Les discussions fusaient, ils se jaugeaient entre eux, intimidaient certains, faisant tomber des cohortes dans lesquelles j’aurais pu me trouver. Les trois premières s’étaient avancés. Les trois les plus arrogants. Ethan ne disait rien, restant la tête haute, mais son regard était fuyant. Tout les yeux étaient sur lui. Il n'aurait pas trainé en route, il seraient deux là, à être jauger comme des singes savants. Il n'était même pas un bout de viande qu'ils se disputaient, ou à peine. On gardait espoir, tant que l'élite était encore présent. Ils partaient rapidement les uns après les autres. Ils étaient tous là à l'étudier sur une simple première impression. Savaient-ils que le légionnaire qui le précédait ne lui avait servi que de diversion face à un monstre ? Ce dernier avait-il remarqué qu'il s'était fait discret, sans bouger pour l'aider pour éviter de prendre des risques ?  

Il voulait la première... Il voulait viser le plus haut comme on lui avait appris. Il fera de son mieux. Il continuera de donner le meilleur de lui même, enfin autant qu'il le peut.

On lui posait des questions, puis d’autre et ainsi de suite. Il répondait en restant vague sur certaines réponse, précis et clair pour d’autre, ou en en disant peu. La première cohorte se défile, ne le trouvant pas à la hauteur. Il était quand même fort, des yeux vifs et acerbes, un peu insolant. Il avait des ressources et c’est la Deuxième cohorte qui s’empara de lui.



Il lui fallut du temps, effacer des erreurs sur le terrain, envers ses camarades tout simplement, et faire accepter son sale caractère. Il était bon dans ce qu'il faisait et surtout au combat. La stratégie, il s'en sortait pas trop mal grâce à sa lâcheté. Il savait se faire comprendre et entendre, il connaissait bien l'autorité et la respectait sans jamais broncher. Il était un meneur. On le nomma Centurion. Il fut même un très bon Centurion, qui se faisait écouter et qui savait motiver et gérer des gens. Il savait aussi se montrer très efficace dans les jeux de guerre

Il adorait son rôle et le vêtait avec fierté et une certaine arrogance.

Atia, fille de Portunus ?



« Je suis tombé sur le charme au premier regard… Jamais je regretterai d’être allée lui parler. Elle était et est toujours ce qui m'est arrivé de mieux. Je sais bien que je suis le dernier des cons avec elle, mais je n'arrive toujours pas à être à sa hauteur. »

Il était avec ses camarades, ses amis de cohorte et même d’autre. Son petit groupe de grand guerrier, forts, pas trop moche, qui aimaient se battre, un peu chauvin, un peu fétard. Enfin, les beaux et arrogants, vaniteux, insolent jeune homme de leur génération. Ils étaient dans la Nouvelle Rome, à trainer, un peu de répit après leurs corvées. Ils étaient assis sur un perron, discutant de leur journée, faisant un rapport de leur travail, de leur niveau, des gens qui passaient, parfois un peu commères, mais surtout moqueurs et méchants. On se chamaillait parfois, comme toujours, quelques bousculades, des bouteilles d’eau qui arrosent le voisin par cette forte chaleur. Ethan écoutait d’une oreille, riant parfois à leurs bêtises, ajoutant les siennes et il se déconcentra un instant.

Il ne la vit pas tout de suite, il la sentit. Elle dégageait un si doux parfums léger et fruité, peut-être du litchi ? Ou alors était-ce citronné ? En tout cas, elle était arrivée comme une brise fraiche. Le groupe de jeune homme s’était arrêté de parler, alors qu’Ethan laissait ses yeux remonter d’immense jambes fuselées, une petite jupe crème aérienne qui flattait ses cuisses, laissait à peine deviner la forme de ses fesses, puis ce débardeur, tout aussi léger, blousé, presque transparent et impalpable. Elle se déplaçait comme une nymphe, d’un pas gracieux et presque céleste. Ethan écrasa sa main sur le premier ami qu’il avait sous la main. Sa surprise, sa délectation lui fit serrer avec force sa main sur le biceps d’un fils d’Apollon.

_Vous la connaissez ?
_Laisse tomber, elle est à des kilomètres de toi.
_De nous tous même. Elle m’a tellement rembarré l’autre fois, j’ose à peine la regarder dans les yeux encore, exagéra un autre compère.
_Je suis pas un naze comme vous ! Dites ! C’est qui ?!
_Atia... Quatrième cohorte. Mais arrête, tu vas foncé dans un mur. C’est une cervelle, pas une guerrière, elle nous supporte pas.
_Je m’en fou, je regretterai de pas essayer.

Les jours passèrent où quand il le pouvait, il la cherchait ardemment du regard, l’observait,  il voulait la connaitre, savoir comment l’approcher. Il avait fini par comprendre ce qu’ils voulaient tous dire par elle était à des kilomètres d’eux. Toujours une pile de livre et de cahier sous la main. Elle était calme, économe sur ses gestes, même quand elle vous souriait, c’était comme le drap qui bruisse sur une épaule quand on respire. Elle dégageait une aura très supérieur, la rendant presque hautaine, alors qu’elle débordait de gentillesse et de patience. Elle avait toujours une oreille pour parler. Elle était intelligente, l’ayant déjà entendu débattre avec des personnes de son genre, sur des sujets qui dépassaient parfois tout le monde. Ouais, elle était «au-dessus». Il se sentait si idiot et ne savait comment l’approcher. Il fallait l’étonner, la marquer... Mais comment ?

Il était allé au bluff, au culot. Il était dans une bibliothèque et la suivait, l’air de rien, un livre en main. Elle se déplaçait tel un astre dans cette galaxie de reliure, de pages, de livre. Elle en sortait un, puis un autre, douce, gracieuse, flottant dans les rayons. Elle était juste en face, à une portée de livre, de l’autre côté. Elle souriait, puis alors elle planta ses yeux d’un vert malicieux dans les siens. Il en lâcha presque son alibi, le rattrapant de justesse. Il n’entendit qu’un petit rire lorsqu’il cherchait à rattraper son fichu bouquin, jonglant, roulant, feuilletant d’une main à l’autre. Quand il releva la tête, plus rien que l’arrête poussiéreuse d’oeuvres oubliés ou ignorés. Il pesta, claquant sa langue.

_Bah alors... Hmm, comme ça, je pense bien que tu va avoir du mal à le lire, dit-elle après s’être baissé pour lire le livre d’Ethan.

Elle lui faisait un sourire las. Ethan encore sous le choc de l’avoir si prêt, à porter de main, à portée de voix, resta simplement silencieux, les yeux qui cherchaient du secours. Il porta enfin ses yeux à son livre et vit qu’il était à l’envers. Il se sentait mais alors, tellement sot. Son estime de lui même, chuta bien plus quand il vit que la demoiselle tenait un livre de Platon entre les mains.

_Je suis grillé ?
_J’ai pas de temps à perdre avec vos conneries franchement. Arrêtez de me coller comme ça, de vous moquer de moi. Cela devient très enquiquinant à la longue.
_Non, mais non ! Mais on a l’âge pour perdre du temps avant qu’il ne soit trop tard. Désolé si on pense tous comme ça... Moi, tu sais, je suis venu en sachant que tu m’enverrais chier, mais au moins j’aurais essayé. Je voulais le tenter.

Atia qui s’était éloignée en leur demandant de la laisser en paix, s’arrêta. Elle se retourna et il était là, un grand sourire aux lèvres. Elle lui rendit son sourire. Il s’avança vers elle. La lionne l’avait laissé s’approcher. Au fond de la bibliothèque, ils purent discuter.

_Tu sais, je fais des recherches sur toi. Enfin, sur ton père. C’est Portunus, c’est bien ça. Et bah tu sais qu’on a presque le même père, on les cite souvent ensemble. Une fonction très proche, toi d’un point de vu fluviale et sauf que le mie-
_Il a deux têtes, une pour regarder vers le passé et l’autre vers le futur, gardien des clés et des portes. Janus. Je le sais, le coupa t-elle

Elle ne finissait pas de l’étonner. Non, elle ne savait pas qui était tout le monde, mais il y avait des profils qui la marquait.



Ils ont continué de se voir. Elle l’aidait à potasser son histoire, à retenir les plans stratégiques, les retenir et les manipuler sur le terrain. Puis alors, quand il lui donnait un coup de main sur les entrainements physiques, elle lui parlait, philosophie, d’actualité, de mythe et légende et il adorait ça. Elle lui apportait tellement. Elle supportait ses sautes d’humeur, savait le canaliser, sans non plus se laisser marcher dessus. Elle était comme cette moitié qui lui manquait pour être totalement accompli. Leur couple se forma très vite, et sans être collé l’un à l’autre dès qu’ils le pouvaient, on les sentaient tout l’un pour l’autre.


Je ne pouvais ! Je ne voulais pas...



« J’en suis pas fier… Ce n’était pas la première et tout le monde sait que ça n’était pas la dernière… »

Le jeune Centurion traversait le camp, avec qu’un bras, une poigne loin de la force de son père, mais aussi sèche lui attrape le bras. Il se laisse emporté. Une habitude. Tu ne fuiras point quand ton père aura raison de te punir. Il croisa le regard d’un légionnaire. Il était d’une autre cohorte, ami d’un des jeunes comme eux avec qui Ethan trainait. Ce dernier savait très bien pourquoi il se montrait aussi intimidant envers lui.

_Il se fait remonter le bretelles !
_De ?
_Fais pas le con ! On sait tous que c’était toi ! Pourquoi tu fais ta mauviette comme ça ?
_Soit plus précis, continuait-il à jouer l’ignorance.
_C’es toi qui aurait du te rendre. Shawn n’y était pour rien ! C’était bien toi. On pensait… Non, tu te devais de te rendre et tu lei laisses porter le chapeau.
_Et pourquoi ? Je n’avais aucune raison de le faire. Il est le seul responsable, baragouina t-il, l’air fuyant.
_Mais menteur ! T’es qu’un putain de menteur, s’énerva l’antagoniste. Ramasses les tes couilles elles roulent dans le sable.
_T’étais là ? Alors, qui peut dire le contraire ? C’est tout, personne ne sauras jamais la vérité. C’est ma voix, contre la sienne, lui dit-il clairement, l’attrapant par le col et le rapprochant de lui. Il le déplaça sans effort. Il ajouta plus bas : celle d’un centurion de Deuxième cohorte contre un légionnaire de Quatrième, lui répliqua t-il simplement par provocation.
_Connard ! T’es qu’un lâche ! Tu mérites pas ta place. T’as aucun honneur à être là où tu es maintenant.

Cela en fut trop et alors qu’il se dégageait, Ethan lui plaqua sa main derrière la nuque et lui claqua simplement le genoux sur le front. Le jeune homme plein de loyauté tituba. Quelque peu sonné, il ne perdit pas de temps pour se reprendre. Ethan lui fonçait dessus, le repoussant de toute sa carrure qu’il avait gagné grâce à déjà plusieurs années d’entrainement. Il le provoquait, l’insultait. Les gens commençaient à se rassembler autour d’eux. Il ne voulait pas se laisser faire à ce menteur arrogant. Il donna le départ du premier round. Des gens hurlaient, s’excitaient, supporteurs de celui pour qui le coeur allait, ou simplement par la technique.

Atia fut vite appelée, lui ayant annoncé que sa moitié se bagarrait. Elle donna des coudes dans la file, sans même réfléchir. Un autre centurion essayait de calmer les tensions, mais Ethan était parti. Elle fut secouée par les deux hommes, trop enivré par leur fierté et arriva à se faire entendre. Il la regarda enfin. «Ethan !» Elle fut ferme mais aussi compatissante. Il prit son temps, mais enfin son souffle se calmait et il lâcha prise. Le plus amoché fut rattrapé par ceux qui tentaient désespérément de calmer les deux fou-furieux.

Elle s’isola avec lui. En larme dans ses bras, à bout de nerfs, il lui raconta ce qu’il avait fait à son camarade, ce que l’autre lui avait dit, et la colère impulsive qui s’était éveillée. Elle n’était pas choquée, car habituée à ses petites crises de nerfs, où seule la violence et la méchanceté arrivaient à sortir. Or, elle était calme et avait son caractère, puis très patiente, la tête sur les épaules : elle le canalisait. Il suffisait des fois d’un sourire, d’une étreinte presque immobilisante, lui dire les bons mots, éclater une vérité ou simplement attendre…

Je l’ai su et vite compris



« Je suis tombé sur le charme au premier regard… Jamais je regretterai d’être allée lui parler. »

Il poussa difficilement la porte de l'appartement et le clic ainsi que le grincement de ses béquilles étouffaient le bruit de ses pas.

Il passa l'entrée. Atia était dans le canapé, devant son livre. Sur la table basse, une assiette d'un repas avait déjà séchée depuis un moment et il restait toujours un fond de bière dans sa bouteille. Il faisait nuit et la lumière derrière elle illuminait de somptueux reflets dans ses yeux concentrés sur son ouvrage. Elle ne l'avait même pas entendu. Plus rien n'existait dès qu'il y avait un livre qui l'absorbait ou un reportage prenant  la télé.

Il rentrait souvent tard. Comme toujours et surtout depuis qu'ils habitaient ensemble, ils n'avaient pas besoin d'être l'un sur l'autre à longueur de journée ou de semaine. Cela avait toujours été ainsi, depuis le début : ils respectaient l'un l'autre leurs occupations et leur temps. Elle ne s'en inquiétait donc pas et ne l'attendait pas pour manger, surtout quand le soleil se couchait.

Il soupira. Pour une fois qu’il aurait aimé avoir de l’attention. Il lâcha ses béquilles sur l’accoudoir et retira son pull avant de le jeter sur sa moitié. Il attrapa la petite bouteille de bière pour en finir le fond en une goulée vivifiante. Elle sortit enfin de son ouvrage en pestant et jetant ce sweat qu’elle se plaignait d’être malodorant. Il tomba ensuit sur le canapé de tout son poids. Atia eut juste le temps de retirer ses jambes avant qu’elles ne se retrouvent dans le même état que son compagnon.

Soudain, elle remarqua le plâtre sur le pieds droit de son homme. Elle écarquilla les yeux, subitement affolée. Elle lui posa mille et une question. Elle vint se blottir contre lui et lui reprocha de ne pas l’avoir appeler pour qu’elle vienne le chercher.

_C’est bon, c’est rien je te dis, le mal est passé. Juste il y a autre chose…
_C’est grave ? demanda t-elle, en cherchant ses yeux alors que les siens fuyaient.
_Non, ou peut-être... J’étais tout seul. Je t’en voulais de pas être là. Je me suis fait super mal à avoir une envie de tout casser. Tout ça parce que je me suis pris la tête avec un connard. T’aurais été là, on serait pas allé aussi loin et même après ! T’aurais pu me calmer, surtout quand je sais que là, je dois pas trop bouger pendant deux semaines…
_Je suis désolée Ethan, mais je ne peux pas être partout à chaque fois. Même toi, tu ne supportes pas quand je suis tout le temps sur ton dos.
_Je sais… Alors, j’ai réfléchis, à l’hosto pendant que la jolie petite infirmière me bandait le pied, lui fit-il, se retenant de sourire en voyant le regard mauvais d’Atia.

Elle se détacha de lui, reprenant son livre. Elle ne lisait pas, car elle ne l’écouterait pas, mais elle allait s’y mettre. Elle ne voulait pas en entendre plus. Elle se prenait des reproches et en plus il disait ouvertement qu’il avait lorgné une autre fille qu’elle. Ne disait-il pas qu’il était la plus belle ? Tous des menteurs ! Surtout quand ils aiment… En résumé, c’était un vrai malpropre et ce n’était pas la première fois.

_Tu m’écoutes ?
_Hm… Oh, un nouveau chapitre qui ne va pas en finir, murmura t-elle avec ironie.
_Je m’en fou, je continue quand même. J’ai imaginé ma vie sans toi, même quand je rentre, après n’importe qu’elle mésaventure. C’était simplement inconcevable. Je peux pas avancer sans toi Atia. Puis que j’aurais jamais l’infirmière. Tu es tout pour moi. Tu as ce pouvoir que personne n’aura jamais sur moi, mon tempérament, ma vision du monde… Alors… Je voulais savoir si tu voulais devenir ma femme et pas simplement ma copine.
_, tourna t-elle la page, concentrée.
_Hey ! Mais t’es sérieuse là, fit-il voler le livre d’un simple claque. Tu te rends compte de ce que je viens de dire ! Ca fait un moment que j’y pensais et que tout à l’heure, j’ai pris le courage de te prendre une bague merde !
_Y’a une bague ? Elle est belle ? Attend, refais alors, tout change ! se moquait-elle totalement de lui.

Ethan secoua la tête, las, avec un petit sourire en coin. Il lui sauta dessus pour la chatouiller, la chamailler un peu et se retenir de lui foutre une baffe mémorable pour son insolence. Une fois les jeux finis, elle le regardait droit dans les yeux, caressant ses cheveux toujours mal peigné. Au fond d’elle, elle était si émue, mais c’était bien trop tentant de le faire marcher comme il venait de le faire avec son infirmière.

_Oui, je veux être ta femme. Sans hésitation.

Ethan fondit sur elle, pour venir lui voler mille baiser que son coeur réclamait. Il était à cet instant, totalement sincère. Ils avaient la vingtaine.

Elle ou une autre...



« Vous ne me croiriez pas si je vous disais que c'est plus fort que moi. J'aime Atia et je suis le plus heureux du monde à ses côtés. Je ne me contrôle pas. Je ne suis plus moi même. Puis Maya est ce qu'elle est. On s'entend très bien, elle est belle comme un coeur. Des formes, hm... J'en rêve souvent la nuit. Atia est merveilleuse aussi, mais il est vrai qu'on a la même vision des choses, les mêmes principes. J'adore passer du temps avec elle, autant qu'on puisse rire ou se battre. Eh, c'est que des fois on en vient aux mains et je raffole de ça. »

Il ne savait jamais vraiment pourquoi il en arrivait là, à retirer à un à un les vêtements d’une demoiselle qui n’était pas sa femme. Il avait finit par s’y faire à l’adultère. Maya se laissait faire, totalement emportée, faible et vulnérable de part l’attirance qu’elle lui portait. De longs baisers langoureux, des étreintes passionnées et trop longtemps retenues, des soupirs d’aise, des caresses sensuelles et désirées avec ferveur. Elle n’était pas la première et ne serait pas la dernière. Elle ou une autre ? A quoi bon. C’était des pulsions, une incapacité à se retenir, une aliénation. Quoique Maya était différente… Il avait prit son temps, il ne l’avait pas vu venir.

Il n’en pouvait plus, il avait craqué, lui forçant un peu la main. Elle il la voulait plus qu’une autre. Ils s’entendaient si bien, se rejoignant sur plusieurs plans. Ils se ressemblaient, plus qu’ils ne pouvaient l’être Atia et lui. Atia ? Ils se complétaient, elle le comprenait et le connaissait comme personne. Ethan c’était autre chose. Il adorait l’impact qu’elle pouvait avoir sur elle. Avec Maya, ils étaient plus complice, ils se comprenaient l’un l’autre et malgré leurs prises de becs incessante de part leur deux caractères de feu qui se rencontraient, il se sentait à son égale. Atia, il était tellement en dessous. Jamais à sa hauteur.

Maya lui avait dit quelque chose d’assez blessant, de dur à accepter, dans leur agacement perpétuel. Ils en étaient arrivée aux mains. Ils se chamaillaient gentiment, avec la brutalité d’ancien légionnaires qui avaient tout donné dans leurs années d’études.  Il ne se rappelait plus comment il s’était retrouvé au sol. Elle l’avait presque passé au-dessus de son épaule, après une longue épreuve de force, un bras autour du cou. Sa longue jambe fuselée en travers de la sienne, il bascula. Il la tira conte lui. Elle resta droite, suspicieuse et quand il lui vola un baiser, elle le gifla.

_Tu dépasse les limites Ethan !
_Rien que ça ? Avoue que t’y a déjà pas pensé.
_Tu es marié, trouva t-elle comme simple argument.
_Ose dire que tu n’en as pas envie…

Elle se retira du jeune homme, mais rapide comme un fauve, il fondit sur sa proie. Elle ne résista pas longtemps. Il lui plaisait autant qu’elle pour lui. Oui, elle y avait souvent pensé, mais n’espérait rien. C’était un homme pris.

Ce n’était pas non plus pour cela, qu’aux autres occasions, elle lui tombait dans les bras à chaque fois. Il devait la mériter. Oh oui… Surtout quand elle sut qu’elle n’était pas la seule à le pousser à l’adultère.

Souvent, ils se sont demandés : et s’il n’était plus avec Atia ?

C’est sa faute, d’avoir été si délicieuse...



« Je lui en veux de m’aimer autant. Je ne la mérite absolument pas, mais je suis trop égoïste pour lui laisser sa liberté. Qu’elle s’en aille, je ne la retiendrais pas, je n’ai pas le droit, mais ce n’est pas moi qui partirais. J’en n’ai pas la force, ni le courage. J’en ai surtout pas envie… »

On était en pleine rue. Elle criait, s’égosillait. Maïa, la cible reculait d’un pas méfiant, puis un autre, alors que l’impassible et calme Atia était emprunte de folie. Elle était hors d’elle, brisée. Les larmes lui rougissaient les joues de rages. Ethan était resté un instant sans rien dire, un peu choqué. Un peu coupable... Il la prit dans ses bras, la bloquant alors qu’elle se débattait pour cracher son venin sur cette femme, mais surtout sur son mari. Il la traina sur le sol, et finit par la soulever. Tout le monde les regardais.

Dans leur appartement, il la lâcha, qu’une fois la porte claquée d’un coup de pied. Elle resta là, détruite au milieu de la pièce. Elle ne savait quoi dire, mais lui, c’était bien pire. Il était prit sur le fait. Enfin, il n’avait encore rien fait, ni rien dit à Maïa, mais elle le savait. Atia était consciente de l’adultère de son conjoint. Il avait honte et s’en voulait. Un silence pesant régnait dans la pièce. Lizzy était encore à l’école. Dos à dos, il n’entendait que les sanglots de la jeune femme. Il aurait du réfléchir : la Nouvelle Rome était une si petite ville.

_Tu comptais m’en parler un jour ? brisa la voix légèrement grave d’Atia.

Il resta silencieux et ne bougeait pas. Il se passa les mains sur les visages et tira sur sa tignasse mal peignée. Elle se retourna, ne faisant face qu’au dos musclé et imposant de celui qui lui avait juré fidélité.

_Sale fils de dieu... Tous des malpropres, grogna t-elle. Tu veux me quitter ? Tu ne m’aimes plus ?
_J’ai pas envie d’en parler...
_Quoi ? Tu te moques de moi ? J’ai déjà été assez patiente jusqu’à maintenant. On va en parler ! Tu vas me répondre. Tu comptais me le dire quand ? Quand est-ce que tu allais me dire que tu me quittais. Tu veux qu’on se sépare ?
_Je ne sais pas ! Je ... Et toi, pourquoi tu ne me quittes pas hein ! explosa subitement Ethan, au pied du mur.
_Parce que moi je t’aime toujours comme au premier jour, mais là... Tu me dégoutes. Prend une décision Ethan, sa voix était glaciale, presque sombre.

Il ne disait toujours rien, lui faisant face, les yeux humides de culpabilité. Atia finit par souffler et laissa tomber sa tête en arrière, la cognant doucement sur le mur contre lequel elle venait de s’appuyer. Les bras autour d’elle même, elle cherchait du réconfort, la force de ne pas hurler et pleurer avec hystérie. Son coeur était en mille morceau.

_Tu n’es qu’un lâche et un égoïste !
_Un lâche ? Tu sais pas de quoi je suis capable ! Comment tu peux me dire ça, s’emporta le jeune homme. Je me suis donné à fond pour mes camarades lors de mon apprentissage, si j’en suis arrivé là, ce n’était pas parce que j’étais lâche. C’est facile à dire pour toi, toujours cloitrée dans les bibliothèques, dans t’es livres. Toi, tu t’es vraiment donné sur un champs de bataille ?! Comment tu peux me juger ?
_Peut-être que t’es brave sur le terrain, mais là, fit-elle en montrant son coeur. Tu n’as aucun courage. Tu aurais pu arrêter si tu ne m’aimais plus Ethan, mais non... Tu préfère te cacher la tête sous terre... Tu as pensé à moi. Tout le monde le savait ! Je n’ai pas voulu y croire, je te faisais confiance. Tu m’as humilié ! Je suis passée pour la dernière des idiotes. Non, là tu n’avais pas le courage de me dire que je t’ai suivie aveuglément et que tu t’es bien foutu de ma gueu-

Il lui fonça dessus, frappant le mur tout prêt de son visage. Atia resta coite, sous le choc. Elle voyait déjà sa main massive s’écraser sur son visage. Elle tremblait. Il la fusillait du regard. Puis bientôt, il baissa la tête, rapprochant lentement son corps du sien.

_J’ai toujours été sincère avec toi à propos de mes sentiments. Je t’aime tellement Atia, mais... Je ne sais pas... Je...

Il se mordait les lèvres. Il n’avait aucune explication. Il n’avait aucune volonté et incapable de respecter une parole, comme celle du mariage. Atia se déroba et attrapa ses clés.

_Je pars... C’est décidé. Ce n’était qu’envie et projet, mais je vais le faire. Pour toi. Tu n’as pas la force de prendre la décision.

Ethan restait contre le mur, les larmes qui perlaient à son tour. Il la suppliait de rester, de ne pas partir, qu’il saurait être un homme meilleur. Il ne pouvait l’être sans elle. Il s’excusa mille fois. Atia l’écouta, l’entendit, et sortit prendre l’air. Elle dormit chez une amie ce soir. Les derniers mots furent qu’elle récupérait Lizzy.



Le lendemain, elle ne coucha pas dans le même lit. Ils se parlaient à peine. Il lui fallut une semaine pour rassembler ses affaires et trouver quelque chose en dehors des zones protégées. Il essaya, avec le plus grand espoir de la retenir, en disant que le poste de Sénateur lui était toujours possible. Elle refusa. Ensuite, s’en suivit la dispute pour la garde de Lizzy. Elle finit par accepter qu’il la garde à la Nouvelle Rome, pour question de sécurité. Elle savait bien au fond, qu'il lui avait imposé ça aussi par rancoeur. Elle allait bientôt attiré des créatures jamais repus d’âmes innocentes.

Avant de partir Atia l’embrassa et lui caressa la joue.

_C’est mieux ainsi... Je serais toujours là Ethan, si besoin. Puis, je passerai voir Lizzy.

Et après ?



« Ce fut dur sans elle et ça l'est parfois, encore maintenant... »

Il l’avait longuement cherché, puis finalement, c’est au  bord du Petit Tibre qu’il la trouva. Elle était assise, au bord de l’eau, sa peau halé qui se nourrissait avec gourmandise du soleil, une belle cascade de cheveux couleur jais qui coulaient nonchalamment le long de son épaule, sur sa douce poitrine. Il la contourna, lui faisant de l’ombre et la sortant de son repos. Elle ouvrit les yeux, en pestant car elle empêchait les bienfaits des rayons d’attendre son corps si délicieux. Il s’assit près d’elle. Lizzy était encore à l’école et pour un moment. Autrement, il ne se serait pas donné la peine de venir trouver Maïa. Il avait besoin de compagnie.

_Je n’ai pas la tête à ça, je te préviens tout de suite, siffla t-elle, les yeux plissé par l’éblouissement du soleil, même paupières closes.
_Je ne viens pas forcément pour ça, râla Ethan.
_Neuf fois sur dix, si...
_J’avais juste besoin de...
_De passer du bon temps avec moi.
_Mais arrête merde ! pesta t-il. Je voulais juste être avec toi. C’est tout. Rien de plus. Passer du temps en ta présence.

Elle se tourna sur le côté, et observa le jeune homme, le regard perdu sur la petite rivière qui traversait la Nouvelle Rome. Elle ne dit rien pendant un moment. Le bretteur ne lui jetait même pas un regard. Il était absent, le reflet de l’eau qui scintillait sur sa peau bronzé à force d’entrainer les jeunes recrues sous le soleil de plomb. Elle finit par sourire.

_Atia n’est pas disponible, c’est ça ? laissa t-elle éclater, d’une voix pourtant douce.
_Tu me fais chier, grogna Ethan avant de se lever avec effort.

Elle avait vu juste, mais il ne voulait pas qu’elle le voit ainsi. Il s’en alla, sans demander son reste, lui laissant tout le loisir de faire bronzette.

Ethan, bretteur impartial et père



« J'adore mon travail, je suis bien avec la vie que je mène maintenant... Enfin... Ouais, il manque quelque chose. »

Les légionnaires se faisant des passes, répétaient les bottes, travaillait les techniques de riposte, un simple échauffement. Ethan circulait entre eux avec un oeil critique. Il faisait excessivement chaud. Son regard froid mettait une pression à certains jeunes avec des lacunes. Les compliments se faisaient rares. Bien sûr, parfois, il posait une main sur une épaule, crachant un "C'est bien" ou encore "Continue comme ça", mais cela se méritait.

On passait ensuite au combat libre. Tout se passait bien. Il continuait d'observer. Cinquième cohorte en fin de 4e année. Il avait bien fini de leur apprendre durement son savoir. Il y en avait un qui l'agaçait. Il ne régressait pas, mais ne montait pas non plus. C'était comme ça depuis le début. Lui, sans ses camarades, il se ferait anéantir aux jeux guerre. Il était mou, il était faible, il était peu confiant. Ils n'étaient pas là que pour jouer à la guerre.

_T'en a pas marre de frapper comme une fille, gueula Ethan en arrachant le glaive de son adversaire. Hein ! Répond, donna t-il un coup sur le jeune garçon qui se cacha tout juste derrière son bouclier. Tu crois quoi ? qu'ils vont gentiment t'attendre et te ménager dehors ? Déjà la Première cohorte ne fait pas de cadeau, encore un coup, plus fort. C'est à cause de toi que vous ne partez jamais gagnant, jamais deux sans trois. Tu mériterai de servir d'appât. encore un, toujours plus massif. A quoi te servent tes gros bras si tu ne t'en sers pas. Fumiste !

Il lui hurlait dessus, sec et autoritaire. Il l'assena de coup de glaive toujours et encore plus robustes. Il ne mettait pas toute sa force.

_Défend toi bordel de merde ! C'est rien encore là ! aboya t-il.

Bientôt, toute l'équipe à l'entrainement s'était arrêté, même que légionnaires qui passaient à côté. Le non-chalant s'était écrasé au sous le bouclier prêt à se briser. Il tremblait et sursautait à chaque bruit tétanisant d'angoisse. On n'entendait que l'arme sonner sur la plaque de métal et la voix du bretteur qui braillait. Ethan voulait le pousser à bout, le faire réagir et comprendre qu'on ne chômait pas ici. Il n'obligeait pas que l'a Première cohorte à donner le meilleur d'eux même. Le plus jeune était prostré, agrippé au bouclier comme si c'était son âme.

La protection vola subitement par le coup latéral d'Ethan qui perdit patience. Le jeune y était tant accroché que son poignet craqua. Il ne fit que pleurer encore plus, totalement retourné. On l'emmena à l'infirmerie comme s'il était estropié. Ce n'était qu'une entorse. Il ne portait déjà pas le bretteur dans son coeur et angoissait les jours où il était animait le cours. Il finit par sécher ses cours.

Après l'entrainement, il prit une douche, se changea et sonna chez Maya. Elle lui ouvrit, de la farine plein le visage et le tablier. Ethan resta interdit,  agréablement surpris par la vision qui s'offrait à lui et prenant le temps de l'apprécier.

_Elle voulait des pancakes et j'en fais pas assez souvent je crois.

Il lui baisa la commissure des lèvres et entra. Lizzy traversa la maison pour venir étreindre son père et lui donner un pancake. Après l'avoir déguster et quelques câlins, il remercia Maya encore une fois de bien vouloir la garder. C'était toujours mieux que d'attendre à l'école pour faire ses devoirs avec ses professeurs. Les deux dames s'entendaient très bien plus.



Elle avait sa petite main dans celle de son père. Elle sautillait sur place, fascinée par l'objet magique de son paternel. C'était leur petit moment à eux. Il veillait toujours à être un père, mais bien plus aimant que la famille qu'il avait eu. Enfin, il ne fallait pas non plus abuser de sa gentillesse. Leur main enveloppaient la clé. Elle glissa d'elle même dans la serrure, tourna et la porte s'ouvrit sur un port.

Lizzy resta à côté de Maya. Ethan sortit le premier et fit signe à sa fille de le suivre. Elle trottinait, son petit sac à l'éfigie d'une tête de lion qui rebondissait sur son dos. Elle courut sur le ponton, en direction d'une grand chalutier qu'elle reconnaitrait entre mille : celui de maman. Ethan était au pas de course derrière elle. Il essayait d'être détendu, mais ses yeux s'obligeaient à regarder toujours partout en cas de danger.

La silhouette d'Atia apparut sur le pont. Même dans un quotidien peu féminin désormais, elle dégageait tant de beauté, éclatante de charisme. Elizabeth sauta dans les bras de sa mère, pour recevoir tout ses baisers en retard.

_Je la récupère vendredi, ça te va ?
_Et l'école, demanda Atia en caressant la tête de sa fille.
_Elle est en vacance. Tiens, elle t'a préparé ça, lui confia t-il le plat entouré de papier d'aluminium.
_C'est des pancakes ! Maya m'a aidé, s'écria Lizzy.
_C'est gentil ma chérie, dit-elle, un sourire pincé et morose, faisant fuir le regard d'Ethan.
_T'as pris un peu de poids non ? Ca te va bien... Je m'inquiétais, tu maigrissais à vu d'oeil.
_Je travaille moins, j'ai le temps de me nourrir. Merci.

Elle invita Lizzy à gagner sa cabine. L'un face à l'autre, ils restèrent un moment comme deux inconnus dans un ascenseur. Il était si beau et il lui manquait atrocement. Surtout aujourd'hui, de la voir là...

_Tu fais quoi demain ?
_Je ne sais pas encore. Pourquoi ?
_Tu as bien le temps de manger avec nous ? lui fit-elle avec un petit sourire malicieux.
_Ouais, mais je vais être fatigué avec la digestion.
_Tu parles ! Tu n'as qu'une porte à passé. Mais bon, il y a toujours de la place pour toi. Surtout si tu as du temps devant toi.

Elle s'était endormie dans le creux de ses bras. Il la trouvait si ravissante. Nue, la peau légèrement pailleté de sueur, les cheveux un peu secoués par tant d'amour et d'ardeur, il ne se lassait de l'épier secrètement.

Après mangé, elle avait couché Lizzy, fini son vin avec Ethan et lança les hostilités. Il était rare que cela vienne d'elle, Ethan était le plus gourmand des deux. Le mari était toujours celui qui réclamait ces petits moments charnels. Elle le faisait fondre quand elle était ainsi : taquine et amoureuse, une femme.

Il savait qu'il était con en la regardant avec tant de transports. Il aimerait tant lui demander de revenir ou lui promettre fidélité... La quitter pour qu'elle trouve un homme meilleur. Il l'aimait trop, mais incapable de se contrôler. Il passa la nuit à caresser sa peau douce, embrasser sa chaleur, respirer son parfum de fleur, sans oublier d'apprécier ses formes seulement du regard en l'écoutant respirer.

Il partit comme à chaque fois, après ces moments plutôt précieux, en se disant qu'il était qu'un idiot. Il préférait les entrevues froides et brèves. Il regrettait moins ce qu'il était...



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Dernière édition par Ethan J. Doorway le Mar 11 Fév - 16:14, édité 18 fois
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MessageSujet: Re: Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive}   Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} EmptySam 8 Fév - 2:21

T'es ma soeur, ai-je vraiment besoin de te souhaiter un bon retour ? XD
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MessageSujet: Re: Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive}   Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} EmptySam 8 Fév - 10:09

Bienvenue ici ! bril
Si tu as la moindre question, le staff est là (mais tu as Meredith à portée de main, so je ne m'inquiète pas). Bon courage pour ta fichette ! :hearty:
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MessageSujet: Re: Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive}   Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} EmptySam 8 Fév - 13:29

Re-bienvenue miss, soeur de Mere chéri  What a Face Je suis contente de te revoir sur ce forum, à fond yeah Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} 150811060 (Promis, je ne te ferais plus attendre si on fait des rp's Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} 217225153 )

Bon courage avec cette fiche  :hearty: Même si je suis certaine que tu vas assurer pour jouer ce pv'  :smile: Arrow 
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MessageSujet: Re: Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive}   Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} EmptySam 8 Fév - 16:34

Mdr merci pour tout ces messages de bienvenuuuue ^^

Mered : ouais, quand même, j'aurais bien aimé ouesh !

Ely : t'inquiète pas que mon frère en a même marre de répondre à mes questions xD

Theo : non on refera plus jamais de RP ensemble -_- JAMAIS (je rigole hein !) Sinon, ouais, je pense que le PV, ca va aller oui xD je l'ai aimé depuis sa confection.
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MessageSujet: Re: Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive}   Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} EmptySam 8 Fév - 20:45

*Fait un passage éclair*

Ah nan, pas toi !

*Repart tranquillou*

 :hug3: 
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MessageSujet: Re: Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive}   Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} EmptyDim 9 Fév - 13:00

    HELLCOME parmi nous I love you
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MessageSujet: Re: Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive}   Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} EmptyLun 10 Fév - 20:59

Judi : Eh bah si ! Héhé, je ne te quitterai jamais ...  :3 

Ken : Merci bien  yeah 
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MessageSujet: Re: Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive}   Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} EmptyMar 11 Fév - 22:29



Bienvenue
ethan j. doorway !

Sois le bienvenu sur Divina Bellum, Ethan ! Te voilà donc -enfin- validé ! Tu peux être un vrai héros, maintenant ! Ce que je pense de ta fiche, c'est qu'elle est juste ... woaw bril Et oui, c'est bizarrement moi qui te valide :mdl: Enfin j'ai adoré lire ce que tu as écrit, tout est fluide et je ne regrette vraiment vraiment pas de l'avoir lue yeah Puis je suis conteeente de te voir à nouveau parmi nous  Ethan J. Doorway - Bretteur {attention à ses coups de glaive} 150811060 

Maintenant que tu fais partit des notre, voici un petit tour des lieux ! Tout d'abord n'oublis pas d'ouvrir ta fiche de liens à cet endroit et ta fiche de sujets pour que tes petits camarades puissent venir te proposer tout plein d'idées folles ! Si vous souhaitez obtenir plus de responsabilités veuillez vous rendre sur ce sujet pour les grecs et ce sujet pour les romains. Mais attention, ils faut être motivé car il ne s'agit pas de postes facilement pourvus ! Et voila, tu as normalement toutes les clés en main pour commencer sur Divina Bellum. Nous espérons que tu t'amuseras bien et passeras un bon moment parmi nous !

Enfin, si t'as une question, une suggestion, une demande, une idée, bref, n'importe quoi, ou même si t'as juste envie de causer, n'hésite pas à t'adresser à Tristan E. Langley, Théodore N. Williams ou Lethario A. Mulligan, les maîtres suprêmes des colonies, du forum, de l'Olympe, des héros, des mps. 'Fin bref, tes administrateurs qui sont là pour toi et qui attendent avec impatience d'être harcelés de mps.

Amuse-toi bien sur Divina Bellum, essaye de pas te faire tuer trop vite par un monstre, on veut pas être déjà responsable d'un accident, encore moins du tiens! Et surtout, puissent les dieux veiller sur vous!

N'oubliez pas surtout pas de voter pour les topsites toutes les deux heures !

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