Etre demi-déesse n’est pas de tous repos. Surtout quand ton parent divin est du coté tu sais pas quoi et que toi …bah… tu te casses la gueule en direct ! Bon pour comprendre mon histoire, faut PEUT-ETRE que je commence par le début .Eh ouais…et au fait, tu savais que l’eau, ça mouille ? Bon d’accord j’arrête…Alors, tous a commencé un après-midi d’automne, à San Diego avec ma grand-mère. J’étais en train de faire du skate .Oui je sais,j’ai dit y’a pas longtemps que j’étais à New York mais mon père est hyper célèbre .Il travaille à la Banque de New York , à Wall Street .C’est le vice-président de la banque et tous ,donc voilà .Bon,mon père est franco-américain .Français par sa mère (qui est avec nous)et américain de son père(qui n’est PAS avec nous).Bon,et après,les origines ,on verras ça plus tard. Donc, nous étions à San Diego avec ma grand-mère .Mon père aurais bien voulu venir mais il avais une réunion .Il devait être dans les trois quatre de l’après-midi quand un grand blond approcha ma grand-mère .Il la salua avec respect, comme s’il la connaissait .Je n’entendais rien de ce qu’il disait. Je faisais celle qui ne voyait rien mais je les surveillais du coin de l’œil. Un quart d’heure plus tard, ma grand-mère m’appela .Je m’arrêtais donc et partis les rejoindre .Ils avaient pris un air grave, ce qui avait le don de me rendre nerveuse et de me faire lâcher des bêtises .Ce que j’ai fais .J’ai balancé ça : « Vous revenez d’un enterment ou quoi ? »Et ça a surpris l’homme .Puis ma grand-mère m’a dit qu’on y aller .Vu sa tête,j’est pas osée m’y opposé .L’homme nous a proposé de nous amener à l’aéroport,ce que ma mamie a accepté sur le champ .Rentré sur la 5eme avenue,ma grand-mère a appelé mon père pour lui dire que l’on étais rentré .Ma grand-mère m’a dit de ne pas bouger de l’appartement et de dire à partir de cet instant précis où je vais,avec qui,à quelle heure je rentre,qui je cotois,etc.…à mon père et si il n’est pas là,à elle .Je suis sous résidence surveillé .Et ça était comme ça pendant 8 mois .Puis ,j’ai eu la visite des trois rigolo habillés comme des clowns,accompagnés de trois ados qui n’étaient pas mieux habillés,se trimballant avec des armes ,à 9heure du soir .Heure habituelle pour des visites .Mon père les a fait entrés poliment comme s’il était au courant leur visite depuis un moment,puis d’autres débarquèrent puis ma grand-mère arriva. Je me levai donc discrètement  pour m’éclipser dans ma chambre .J’aurai pu rester et les écouter,mais non .J’entrai dans ma chambre,pris un sac de sport sac à dos,y fourra tout ce donc on a besoin lorsque l’on fugue ,me regarda une dernière fois devant le miroir et  attacha mes cheveux en tresse puis sortit par l’escalier de secours .J’avais mis une veste à capuche pour ne pas me faire reconnaître et attirer des ennuis à mon père .Je mis ma capuche ,ajusta mon sac sur mes épaules ,puis commença à sprinter vers la gare .Tous le monde criait sur mon passage .J’entendais mon père m’appelait derrière moi .Tant pis,je ne me retournai pas et continuai à courir .Arrivée à la gare,je pris un billet pour Chicago. Il a fallu que je persuade la femme du guichet pour qu’elle me donne un billet et que ma mère m’attende. Tout le monde dans la gare me regardait de travers. Je sautais dans le train puis couru jusqu’à mon compartiment, arrivée là-bas, je m’y enfermais à double tours puis m’asseyais par terre, adossée à la porte. La chambre, autrefois, en bon état, changea d’aspect. Elle était tous simplement devenue une réserve d’armes. Et c’était moi qui lui avais affligé cela. Au décompte de 3, je vais hurler :3, 2, 1, …AAAAAAAAAAARGH !!!! Bon, voyons le coté POSITIF des choses : si jamais je suis à court d’armes, je saurai comment en avoir. Durant une heure, on toqua à ma porte, puis plus rien. Deux heure plus tard je me levai et me risquai à jeter une coup d’œil dehors .Et j’ai bien failli avoir un arrêt cardiaque ! Un homme de police accompagné de mon père .J’ai voulu fermer la porte mais le mec a placé son pied. Bon, sympa. Je tournai mon regard vers la fenêtre et murmura :
‘Maman, si c’est à cause de toi…’
J’entendais crier le policier. Puis BAM !
J’ouvrai la porte avec précaution. Mon père avait assommé le policier. Il risque d’avoir de sérieux ennuis ! Il me pris la main et m’attira dehors. Nous rentrâmes à la maison. Je me préparai à me prendre l’engueulade du siècle mais au lieu de ça, il m’ordonna de m’asseoir à coté de lui. Je m’exécutai.
‘-Désolée papa.
-Tu n’as pas à l’être. C’est moi. J’aurai dut te le dire dés le départ.
-Quoi donc ?
-Qui tu es réellement.
-Qui je suis ? Mais je suis Alys Careen, fille de Laurent Careen et…
-Et de Enyo.
-Enyo, c’est Bellone version grecque, non ?
-Si.
-Euh, faut arrêter les joins là papa. Même si je sais que t’en prend pas.
-Alys, je vais t’emmener dans un endroit sur pour les personnes comme toi.
Bon.’
Je partis faire mon sac. Puis nous prîmes la voiture pendant une heure puis nous arrivâmes à Long Island. Un homme moitié humain moitié cheval. Je n’ai RIEN bu.
Il parla à mon père. Celui-ci lui dit qui j’étais et enfant de qui.
Puis le bonhomme se présenta : Chiron.
D’accord. Alys Careen, enchantée.
Puis mon père me dit qu’il me confiait à Chiron. Ce dernier me sourit.
‘-Tu sera en sécurité ici, Alys.
-Je n’en doute pas.’
Puis Chiron me fit enter à travers une arche. La dernière chose que je vis fut mon père sourire.

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