Jules E. Sand IULIUS DIVINUS ∇ localisation : Camp Jupiter. ∇ messages : 335 ∇ parmi nous depuis le : 06/03/2016
| Sujet: Re: (jules) i lose my rhythm, lose my soul (terminé) Ven 25 Aoû - 13:17 | |
| Un place en tant que dessert. Gloups. Jules déglutis avant de se tourner une nouvelle fois vers le fils de Cupidon. Bon, dans le fond, il était deux contre un, c'était toujours ça. Ils avaient, comme dirait certains, un petit avantage. Le détail c'était qu'ils faisaient face à un monstre, qu'il avait tous les deux bu et que oui, même si Jules aimait se persuader du contraire et même s'il tenait la boisson, cela pouvait altérer pas mal de choses, surtout en situation de combat. Pour l'heure, le fils de Mars avait mis ce « léger » détail dans un coin de sa tête. Tout le reste de son cerveau s’activait pour trouver la meilleure attaque et parade possible face à cette redoutable chose qui leur faisait face et qui n'avait de cesse de se léger les babines. C'est alors qu'Orion tenta quelque chose. Un truc que les enfants de Cupidon et de Venus avaient en eux et dont certains abusait beaucoup trop d'ailleurs. Malheureusement pour Orion, et pour lui du coup, son envoûtement ne fit pas effet sur le monstre. Mais alors pas du tout. Au contraire son sourire presque sadique ne manqua pas de s’agrandir un peu plus plus, dévoilant une rangée de dents à faire frémir. Autre chose lui demandait Orion ?
« Heu... Ouais. Dès que tu vois que c'est le bon moment, tu te retourne, hop, par la fenêtre et tu traces jusqu'à la voiture et tu démarre. »
Diantre que son idée était mauvaise. Mais son cerveau refusait de lui pondre un plan d'attaque potable (et puis merde, le domaine de la stratégie guerrière c'était les Athéna, pas lui) alors il faisait avec les premières idées qui lui venaient. Il ignorait de si le monstre (trop occupé à blablater un beau discours comme quoi il allait les manger tout cru pour commence,r puis rôtis une fois leur tête engloutie, eurk) avant entendu ces chuchotements ou pas, mais il jugea que c'était le bon moment pour agir. En se concentrant et en faisait appel à son don décidement pratique quand il s'agissait de démonter des lieux publics, il empoigna la première porte des toilettes qu'il trouva et l'envoya valser sur le monstre qui, surpris d'une attaque presque ridicule, se la mangea en pleien poire.
« MAINTENANT ! »
Ils avaient dix secondes top chrono avant que le monstre – un peu sonné – se redresse et se jette sur eux. Assez pour Orion pour qu'il se dirige vers la fenêtre et assez pour que Jules démonte toutes les portes des toilettes pour lui permettre de fuir. Pour son propre cas, il aviserait une fois les chiottes entièrement démontée. La suite ? Ce fut une succession de lavabo, de portes de toilettes, de lunettes de toilettes et de papiers wc qui volèrent la pièces. Le monstre hurlait, tentait des esquives et Jules paniquait en son fort intérieur mais tentait de donner l'air de maîtriser tout ça. Au fond, bastonner du monstre lui avait manqué depuis quelques temps. |
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