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Sujet: Lyllian-A. & Marius ► Une guerre de dieux. v.02 (terminé) Sam 23 Avr - 10:43
Une guerre de dieux.
La situation
Sans savoir comment ni pourquoi, les deux jeunes hommes se réveillent d'un dodo forcé dans une chambre d'hôtel. Ils sont bien loin de chez eux, totalement perdus et pourtant, il semble bien que quelqu'un ait décidé de les confronter. Il semblerait que deux dieux se fassent la guerre en haut pour une jolie nymphe. Eros et Harpocrate, le dieu du silence. Et il semblerait aussi que les deux dieux aient choisis de s'affronter à travers deux pauvres âmes mortelles. Ainsi, Eros désigna le fils de Venus et Harpocrate l'autre demi-dieu. Le jeu était au départ très simple, un simple duel. Mais les dieux étant ce qu'ils sont, Eros tricha, et le demi-dieu se retrouva sous son influence. Quand au mortel, Harpocrate le réduisit au silence. Du haut de leur nuage, les dieux s'amusent.
En plus.
• Marius est donc muet, pour le début du moins du rp. • Lyllian-Aaron est lui sous l'influence d'Eros, qui le pousse à se déshabiller et à se jeter sauvagement sur son adversaire. • La porte est verrouillée, sachez toutefois que l'hôtel n'est pas vide et que de nombreuses personnes circulent à cette heure de la journée.
Sujet: Re: Lyllian-A. & Marius ► Une guerre de dieux. v.02 (terminé) Dim 24 Avr - 19:12
Tu n’as vraiment pas de chance de tomber sur moi...
Marius & Lyllian-Aaron
J’aimerai vous dire que je sais ce qui m’est arrivé… Mais non et je n’ai pas envie de me perdre dans la longue description de ma torpeur lorsque je me suis réveillé. Il faut imaginez une sorte de gueule de bois, car endormi de force vous vous réveilliez jamais en pleine forme. C’était rare. Tout ce que je me rappelle c’est que j’ai eu un rire nerveux en voyant Marius. Je me suis dis que on n’avait peut-être couché ensemble et je m’en rappelais pas car j’avais le gueule de bois. Mais je ne l’avais pas. Je parle de la gueule de bois et Marius non plus. Enfin, ce n’était qu’une question de temps. Toujours pas d’histoire d’alcool, mais j’avais une folle envie de laisser mes inhibitions et mes principes dans le lit que je quittais.
Lilly s’assit simplement au bord du lit et se frottait le visage, encore balloté dans la nébuleuse des nimbes. Son réflexe dans cet endroit complètement inconnu était de tenter de se rappeler quelques petites choses. Puis après, il aviserait pour savoir où il se trouvait. Il y avait une certaine habitude qui le rendait si méthodique. C’était un grand curieux et les expériences l’avait souvent mené dans ce genre de situation. Drogue, envoutement, alcool et il se réveillait dans des places étrangères, parfois bien surpris ou dépouillé jusqu’à ses vêtements. En parlant de vêtement j’allais pas les garder longtemps non plus en cette heure tout aussi inconnue de la journée que de la chambre où on se trouvait. Ah, c’est une chambre d’hôtel… Il attrapa le dépliant à côté du téléphone qui décrivait tout les souhaits que pouvait réaliser le groom-service. Bien sûr sa surprise et son égarement n’allait pas s’arrêté là. Il avait chaud et une folle envie du matin, comme ça peut souvent arriver surtout chez les hommes. « Tu sais ce qu’on fait là ? Tu aurais fini par me dire oui ? » s’osa t-il enfin à parler en tirant ses cheveux en arrière sans même regarder l’autre protagoniste dans la chambre qu’il avait aperçut dès les premières secondes où il avait ouvert l’oeil.
Puis il se tourna légèrement sur le lit pour jeter un oeil à son copain de chambrée. Et c’est là que le charme agit. Il lui fallut pas grand chose et peut-être que Eros avait pas besoin d’en faire autant. Il en avait déjà de l’attrait pour ce fils de Venus, même si son attirance était un peu spéciale. Vraiment, je pensais que j’étais encore sous l’influence de drogue ou que je câblais et que j’avais perdu raison. J’avais trop envie de lui. Je pensais que c’était moi au début et finalement j’ai lâché la bride dans ma tête qui me retenait encore relativement sage sur le lit. Quand j’ai su que c’était Eros, j’avais presque envie de lui dire merci. Surtout que l’autre pouvait pas crier. Mais je le savais pas encore non plus. Si j’avais su je l’aurais pas joué aussi vicieuse. Je n’aurais pas joué d’une telle ruse aussi ridicule. Je me suis inspiré d’un livre pour enfant en plus !
La lueur que Marius pouvait lire dans le regard de Lilly était proche de ce qu’il avait déjà vu alors qu’il le canardait de sous-entendus et de situation un peu délicates et génante. Là, il allait être servit car dans son regard, la flamme était encore plus grande. Il lui fit signe de se rapprocher de lui, encore dans les vappes. Enfin surtout déjà dans le lit… Il lui tournait légèrement le dos, et discrètement, les boutons de sa chemise sautèrent les uns après les autres. « Viens, approche toi. Je crois que je sais ce qui se passe. Mais, feignit t-il de regarder autour de lui l’air soucieux. Les murs ont des oreilles. Je peux pas le dire trop fort. ». Un sourire en coin, il réitéra son geste de la main pour qu’il vienne plus près. Allez viens, rapproche toi de moi. Juste assez pour être à la portée de ma main… Peut-être sous l’influence d’Eros, il ne perdait pas le nord. Ce n’était pas le pro de l’offensive – Non ça c’est Ofelia – mais plutôt des coups bas ou attaquait des coulisses. Il prenait vraiment sur lui pour ne pas bondir du lit et briser la distance qui les séparait.
Sujet: Re: Lyllian-A. & Marius ► Une guerre de dieux. v.02 (terminé) Dim 24 Avr - 21:52
Sa tête lui faisait un mal de chien. Il avait une migraine terrible. Le genre de chose que les gens avaient une gueule de bois. Le hic était qu'il ne buvait pas. Et qu'il ne se souvenait absolument pas de l'avoir fait. Il avait les paupières encore trop lourdes pour ouvrir les yeux, mais il sentait déjà que quelque chose n'allait pas. Pour commencer, sa langue était pâteuse, il sentait que sa gorge était nouée. Ensuite la pièce dans laquelle il se trouvait était trop calme. Trop calme pour être le dortoir de la quatrième cohorte. Et puis... il était allongé sur un lit ? Il ne dormait plus dans un lit depuis des années... Non, il s'était habitué au confort un peu plus... strict de son dortoir. « Qu'est-ce que... » Il ouvrit enfin les yeux. Ce plafond, il en le connaissait. « Oh c'est pas vrai... » Il n'était plus à la Nouvelle-Rome. La première idée qui lui vint fut celle d'un kidnapping. Mais 1) il aurait vu la chose venir et 2) jamais des kidnappeurs ne laissaient leur victimes non attachée et allongé sur un lit dans une chambre qui semblait être celle d'un hôtel.
Et quand il se redressa il le vit. De toute les personnes qu'il avait envie de moins voir au monde, ce type en faisait bien partis avec sa belle-mère en tête. (et ce n'était pas flatteur d'être hissé au même rang que cette sombre femme). L'autre ne perdit pas une seconde pour sortir une remarque plus que gênante et Marius secoua la tête d'un air complètement paniqué. Ok, les mots ne sortaient plus de sa bouche. Il avait beau faire tous les efforts du monde, rien ne sortait. Rien. Le désert total. Il était muet. C'était la fin. Avec ce cinglé en guise de compagnon. Oui non là il pouvait se jeter par la fenêtre. Et Lyllian-Aaron qui commençait à se rapprocher dangereusement... Ou alors... il bondit hors du lit et se jeta sur la porte de chambre qu'il tenta d'ouvrir en vain.
Échec cuisant donc. Et qu'est ce qu'il foutait à se déshabiller comme ça ? Évidement, pour lui ça devait être Noël avant l'heure. Pourquoi fallait-il que la seule personne qui semblait lui prêter un tel... intérêt soit un homme complètement barge ? Du moins, il l'avait trouvé barge depuis la seconde où il avait voulu lui sauter dessus. Il le pointa du doigt, l'air menaçant, comme avant de proférer des menaces. Sauf qu'évidement, rien ne sortit à nouveau de sa bouche. « Aller Marius, réfléchis... T'es plus grand que lui. T'as des muscles... sert t-en si besoin... » Ou au pire... non, il chasse l'idée qui venait de germer dans son esprit. Le soucis était que l'autre demi-dieux avait l'air particulièrement décidé à... à il ne savait trop quoi, il ne voulait pas en voir d'avantage, ni en savoir plus. Il supplia sa mère de le sortir de là mais quelque chose lui disait que Venus avait d'autres chats à fouetter que de s'occuper d'un fils semi-mortel. Tout se lisait dans son regard à présent. Ses yeux bleus lançaient des éclairs, si l'autre s'approchait, il s'en prenait une. Il n'aimait pas se battre, mais il savait quand une telle chose était nécessaire.
Sujet: Re: Lyllian-A. & Marius ► Une guerre de dieux. v.02 (terminé) Mar 26 Avr - 5:43
Tu n’as vraiment pas de chance de tomber sur moi...
Marius & Lyllian-Aaron
Il n’avait encore rien remarqué de l’état de Marius. Perdre la voix n’était pas chose aisée à deviner surtout quand la personne d’en face lui adressait que très peu la parole habituellement. Dans ce cas, comment aurait-il pu deviner qu’il était sous l’emprise d’un dieu. Et quand bien même je le savais, on ne se bat pas contre les dieux. Enfin pas tout seul avec son esprit sachant que le miens était déjà prédisposé à avoir des envies folles avec le fils de Venus. Arg… Quel dommage pour lui.
Marius avait quitté le lit. Lilly baissa la tête, las. Il doit connaitre l’histoire du pain d’épice. Le coup du renard est trop classique. Je devrais penser à changer. Si tu le prends comme ça. J’arrive… Le fils de Némésis leva alors ses yeux de glace et eut un léger rire en voyant le jeune homme pris au piège contre la porte. Un sourire mauvais se dessinait sur les lèvres. « C’est de toi la mise en scène ? Ta façon de dire que tu veux mais que tu n’assumes pas. Je suis sûr que c’est toi qui a caché la clé. Sinon… Tu vas passer un sale quart-d’heure. » lui envoya t-il un clin d’oeil avant de retirer lentement sa chemise. Puis tel un félin il avait plongé sur sa proie, traversant le lit et la chambre en un rien de temps. Les deux mains plaqué sur la porte et Marius face à lui, il ne le quittait pas des yeux.
Il lui tapota alors le torse de son index : « Tu sais que de ne rien dire ne m’arrêtera pas. Parce que c’est presque comme si ça m’ennuyait pas cette situation étrange, j’ai beaucoup trop d’idée en tête pour y penser. Mais, il y a une petite voix qui me dit qu’il me faudrait des réponses à un moment… Petit angelot » lui caressa t-il alors la joue du dos de sa main avant de l’attraper brusquement au visage de ses deux mains. Il le plaquait fermement contre la porte et s’approchant pour venir lui arracher. Ou c’était tout comme. Juste assez près pour se l’imaginer et se retenir plus que tout car il connaissait ses pouvoirs. Pouvoirs qui lui avait donné encore bien plus d’intérêt. Il était comme une gourmandise déposé devant Tantale. Il le tenait de tout son poids contre la porte, son corps désormais tout contre le sien : « Tu ne me dis pas non ? C’est bizarre… Qui ne dit rien y consent » chuchota t-il.
L’autre demi-dieu avait l’air soucieux et déterminé, et Lilly l’avait vu mais il lui en fallait plus pour l’arrêter.
Sujet: Re: Lyllian-A. & Marius ► Une guerre de dieux. v.02 (terminé) Dim 1 Mai - 16:02
C’est de toi la mise en scène ? Ta façon de dire que tu veux mais que tu n’assumes pas. Je suis sûr que c’est toi qui a caché la clé. Sinon… Tu vas passer un sale quart-d’heure.
Ce type était fou ! Il devait être enfermé, et au plus vite ! Pourquoi ce genre de type était encore dehors, là, à lui parler ? Et pourquoi fallait-il qu'il le veuille lui ? Il y avait des tonnes de fils de Venus, d'autres blonds si c'était ça qu'il voulait ! Et d'autres yeux bleus ! Qu'il aille voir ailleurs ! Mais non, non non monsieur préférait revenir vers lui. Toujours et encore ! Quand comprendrait-il que... que Marius était loin, très, très loin d'être intéressé ? Il lui attrapa le visage, Marius sentait ses deux mains collés contre ses joues, il avait envie de... hurler. « CASSE TOI CONNARD ! » il aurait aimé hurlé ces mots, si rare dans les parole du fils de Venus. Mais tout cela lui était impossible. Oh, il voulait jouer ? Qu'il joue ! Et à ce petit jeu, il était presque sur de pouvoir prendre de l'avance et de gagner la première manche. Il aviserait pour la suite. Ce fut à lui de lui tenir le visage entre les mains et de sourire comme un fou furieux. Il voulait l’embrasser, hein ? Et bien il allait être servit le con. Il lui déposa un baiser furtif sur la joue et le repoussa. Il n'aurait jamais cru qu'un jour le pire de ces pouvoirs lui serait utile. Jamais. Et pourtant, aujourd'hui, il venait de lui sauver la mise pour quelque temps. Oui, quelque temps car les effets étaient sans cesse variable. L'individu pouvait rester des heures figé comme juste quelques minutes. Quoi qu'il en soit, il s'essuya les lèvres, fier de son coup. Et dans un élan de vengeance, il le poussa en arrière. « On se dit à bientôt espèce de malade... » pensa t-il, toujours penché sur le demi-dieu. Bon, où en était-il ? Ah oui. Inspecter la chambre pour trouver une porte de sortie. La porte, fermée. Les fenêtres ? Il s'y dirigea et inspecta l'élément en question. Oh non. Il étaient bien trop haut pour qu'il tente de sortir d'ici ? Soudain, quelqu'un frappa à la porte. Il aurait voulu dire qu'ils étaient bien occupé mais là encore, être muet était un lourd désavantage. Il se gratta la gorge, espérant pour que ça passe pour un non mais en voyant la poignet tourner, un élan de panique le submergea. Alors sans réfléchir il tira le corps de l'autre demi dieux derrière le lit tandis que la porte s'ouvrait sur une femme de chambre tout à fait charmante.
Tout va comme vous voulez monsieur ?
La porte, elle avait ouvert la porte ! C'était le moment ou jamais. Mais si... mais si elle continuait d’avancer vers lui en quête de réponse elle allait tomber sur l'autre et... trop tard. La femme avait déjà poussé un cri de terreur en s’avançant un peu trop.
Sujet: Re: Lyllian-A. & Marius ► Une guerre de dieux. v.02 (terminé) Lun 2 Mai - 19:54
Tu n’as vraiment pas de chance de tomber sur moi...
Marius & Lyllian-Aaron
Il n’avait toujours pas piper un mot alors que le fils de Némésis était contre lui, avec la folle envie de lui voler un baiser langoureux et suave. On le devinait à son regard qui détaillait sa bouche sans s’en lasser. Bien sûr, il adorait jouer, comme un chat avec sa souris, alors il se moquait un peu de lui, avec ses belles phrases qui excuseraient tout. Ou presque. Les deux contre la porte, Lilly hésitait réellement s’approcher encore un peu plus. Marius réagissait à peine, si ce n’est être braqué contre cette pauvre porte qui le séparait de la liberté et la tranquillité. Oh que je m’amusais. Je prenais vraiment plaisir… Il était trop mignon et si vulnérable. Ou presque…
Ce fut alors que par miracle, il vit le blond bouger sous sa prise pour se rapprocher de lui. Ce n’était pas un baiser langoureux et suave, mais un chaste sur la joue. Un chaste et fatal. L’autre demi-dieu avait poussé son assaillant un peu trop chaleureux, avec une violence qu’il avait sûrement du tirer sa frustration de ne pas lui dire ce qu’il pensait de tout ça et de lui. Lyllian s’écrasa mollement sur le sol. Petit con ! Petit emmerdeur. Mais merde quoi ! J’ai quoi à vouloir coucher qu’avec ce genre de personne. Entre Ofelia et lui, mais la paralysie va me rendre dingue. Je veux bouger ! Espèce d’espiègle petit enfoiré même ! Avec Ofelia, il ne luttait pas et attendait simplement que ça passe. Sauf que là, le pouvoir d’Eros qui était en lui et sa colère à être toujours traité avec autant de lâcheté finissait par avoir raison de sa patience. Il s’y donnait corps et âmes pour tenter de remuer ne serai-ce que le petit doigts.
On toqua alors à la porte. Lilly ne pouvait même pas bouger les yeux pour tenter de regarder ce qui se passait. Il n’avait droit qu’au fichu plafond et ses tâches jaunes de tabac. Marius apparut alors au-dessus de lui et osait le trainer au sol pour le cacher derrière un lit. C’était vraiment humiliant…Il entendit alors la voix du groom service et la porte qui s’ouvrait. Il devinait facilement les pas de la femme qui s’approchait par un bruit plus fort et distinct. Il se rendit compte alors qu’il arrivait déjà à presque remuer la bouche. Alleluia ! Pardon, je ne blasphème pas, un réflexe d’une éducation monothéiste.
Puis le cri de la femme le fit enfin sortir de sa torpeur et sa léthargie. Il s’enroula brusquement et se tourna sur le côté. Un peu sécoué par la surprise, il s’aida du lit et de la table de chevet et se releva. Dans le même mouvement, il avait pris le téléphone et vint violemment le percuter contre la tempe de la demoiselle. Le geste fut sec et rapide, à un endroit précis. La femme tomba dans les pommes et Lilly la rattrapa au vol pour l’accompagner dans sa chute. Il balança le téléphone à côté du corps inerte et s’éloigna de Marius. La porte se referma de la main de Lilly qui s’y appuya de dos avec un sourire taquin. « On en était où ? dit-il munit d’un sourire carnassier. Finalement j’ai plus autant envie de t’embrasser que ça. J’aurais pas le temps d’apprécier… Mais après je suis pas obligé de toucher ta bouche. Je peux faire sans. Ne t’inquiète pas pour la porte, quand on aura profiter de la chambre, on aura tout le temps de trouver comment en sortir. Il y a des toilettes, une salle de bain, un lit, la télé et de quoi manger dans la mini-bar. Ca pourrait être pire » il pianota ses doigts sur la porte derrière lui et regarda un instant ailleurs avant de reposer ses yeux sur le fils de Venus. « Bon va falloir que je te cours après et que je t’immobilise ? »
acidbrain
HRP:
Désolée, je me suis laissé emportée par mes divagations ><
Sujet: Re: Lyllian-A. & Marius ► Une guerre de dieux. v.02 (terminé) Dim 22 Mai - 11:16
Bon sang. Son don n'avait pas agit terriblement longtemps cette fois ci. Pourquoi fallait-il qu'il soit toujours à son minimum avec des gens comme ça ? Quant le jeune fils de Venus en avait réellement besoin ? Franchement, déjà qu'il était parfaitement inutile (son maudit don) mais en plus... Mais là tout de suite, il n'avait pas le temps de se lamenter sur son sort, l'autre revenait à la charge. Il avait l'impression d'avoir à faire à un de ses frère bourré qui tentait de se taper toutes les filles du coins avec des blagues lourdes et ringardes. Le psy... en était pas loin de son point de vu. « Tu peux toujours rêver... » Grand avantage de Marius, sa taille. Et la masse musculaire, que certes il n’entraînait pas beaucoup, qui allait avec. Face à lui, ce type. Clairement plus petit. Nettement moins musclé. Il avait horreur de faire ça. Il n'était pas un garçon violent, ne l'avais jamais été sauf quand on le poussait à bout or là.. Ce type commençait à lui taper sur les nerfs. Et à lui faire peur aussi. Il haussa d'abord les épaules, l'air de dire qu'il ne cherchait plus à fuir. Et lui il colla un droite. Une droite magistrale, bien placé, avec toute l'énergie et l'envie dont il disposé en ce moment même. Il aurait aussi pu l'envoyer par terre et l'écraser, mais non. Profitant de ce bref moment de répit il fonça vers la salle de bain et s'y enferma à double tour. Il avait évalué l'option fenêtre, ce n'était pas la bonne chose à faire. « Voilà, le temps que ma voix revienne... » pensa t-il. Il avait les joues rouge, et sa tête tournait. Au pire, avec quoi pouvait-il s défendre ici ? Sèche cheveux, non. Peigne ? Non plus. Il ne pouvait as compter sur les savons ou les shampoings donné avec la suite.
Bon sang, les images de la pauvre femme qu était rentré ici lui restait à l'esprit. Elle n'avait rien demandé elle ! Et lui, gros violent qui... certes, c'était pour leur défense mais tout de même ! « Tu peux toujours parle,r tu viens de l’assommer à moitié en le frappant... » Oh si seulement il n'était pas seul. Que quelqu'un entendait ses cris à l'aide ! Bon, il était muet. Mais si seulement les gens autour de lui entendait tout le raffuts qu'ils faisaient dans leur chambre ! Boum, quelqu'un donna un coup sur la porte de la salle de bain. Est-ce que 'autre fou furieux revenait à la charge ? Malheur. Il avait déjà vu shinning et la terrible scène de la salle de bain, il n'avait pas envie de revivre la même chose. Oh que non. « Calme toi, il ne va pas en arriver là quand même... » Mais puisqu'ils semblaient tous les deux pris au piège d'une malédiction, tout pouvait arriver. Alors il s'écarta de la porte et entreprit de fouiller la pièce dans son ensemble à la recherche d'une arme potentielle. Au pire, il allait se la fabriquer.
Sujet: Re: Lyllian-A. & Marius ► Une guerre de dieux. v.02 (terminé) Mer 25 Mai - 18:44
Tu n’as vraiment pas de chance de tomber sur moi...
Marius & Lyllian-Aaron
Lilly eut beaucoup de chance pour être sorti si rapidement de sa léthargie. Enfin, il devait surtout remercier l’ardeur que lui injectait Eros sans qu’il en ait conscience. Cette fougue lui avait donné des forces. Par contre la pauvre dame employée à l’hôtel aurait du faire attention à son arme en entrant dans ce chambre. Sa première rencontre avec des demi)dieux ignoblement sous l’influence de dieux et voilà le résultat. Elle se réveillerait sans dommage si ce n’est une bosse et un sacré mal de crâne. Lilly avait frappé assez fort (malgré lui pour qu’il ne lui reste que peu de souvenir de tout ça. De toutes les façons, ce n’était pas sa préoccupations première. Le fils de Némésis était donc debout, la menace mortelle neutralisé et la porte fermée. Lilly n’avait pas perdu ses objectifs de vu et comptait bien les atteindre. Les préliminaires vont pouvoir reprendre ! Pour lui tout ça n’était qu’un jeu dont l’attente créée par la fuite ne rendait que la victoire plus attrayante. Toujours contre la porte, il prit le temps d’admirer toute la beauté du jeune homme qui lui faisait bien trop envie depuis un petit moment. Depuis le premier jour où il l’avait croisé. Il aimait très peu les enfants de Venus ou Aphrodite avec leur esprit à l’eau de rose et souvent trop influencé par leur peine de coeur. Par contre physiquement, femme ou homme, il ne crachait pas dessus. Il leur reconnaissait au moins ça. Marius était encore plus beau que certain même. Il avait en tout cas réussi à émoustillé son esprit. Immense, une charpente qui faisait honneur à ses origines scandinaves, et le bleu de ses yeux ne faisaient que sublimer son visage aux traits fins et gracieux. Il avait envie de le dévorer à le reluquer encore plus longtemps. Il s’en mordit la lèvre. Et si un voeux se réalisait aujourd’hui et ici. Rien qu’à cette idée, Lilly serra très lentement les poings en faisant gratter ses ongles sur le bois de la porte. Il n’eut le malheureusement pas le temps de faire travailler plus son imagination noyant ses désirs d’ivresse.
La situation échappa au plus vieux, recevant un poing magistral qui lui décala légèrement la mandibule de son logement et l’arrière de son crâne avait continué son chemin sèchement contre la porte à cause du choc. Un son bref et sourd et la seconde d’après il glissa lentement le long de cette même porte. Complètement sonné, il resta un moment dans les vapes. Au début, il n’y avait rien qu’un sombre néant et doucement son état d’éveil lui venait progressivement or la force ou la conscience de terminer ses projets étaient encre trop faible. Pour ne pas dire absente. Il ne sut combien de temps il était resté ainsi dans son état de semi-conscience, mais il finit par émerger. Sa mâchoire le lançait et était ankylosée. Il la bougea avec de grands mouvement pour étirer ses muscles. Un craquement lui fit rapidement constaté d’un ménisque à gauche et il se rappela en même temps de ce qui s’était passé. Son attention se porta sur les chevilles gracieuse de la jeune femme encore gisante sur la moquette épaisse. Ce genre de vision l’aurait refroidit d’ordinaire, mais c’était sans compter l’influence des dieux. J’en avais clairement rien à foutre…
Il se releva mollement encore une fois et se massa les muscles inférieurs de la mpâchoire. Peut-être que Lilly rappelait à Marius sa fratrie mais en cet instant, c’était pareil pour Lyllian. Le blond avait presque autant de force que son grand frère Keenan. Officier chez les marines. Des coups, il avait l’habitude d’en prendre et ne s’en offusqua pas. Le seul soucis – pour Marius – c’est qu’il avait encaissé la totalité du coup. Il n’avait pas su s’y préparer et ce qui ne me tue pas, me rend littéralement plus fort…. Il chercha alors Marius du regard. Rien. En observant la pièce et lui encore trop près de la porte, il déduit qu’il était encore là. Il n’y avait qu’une deuxième autre porte. La salle d’eau. Un sourire mauvais se dessinait sur son visage, se concentrant déjà pour charger ses Représailles. Il s’en approcha lentement et tenta de l’ouvrir. Fermée. Il toqua d’un grand coup. Juste pour l’intimider, d’un geste purement mortel et débordant de rage. « Je vais ouvrir cette porte et crois moi, tu vas prendre très cher. Je te dirais pas comment… » Il prit alors tout son temps pour poser ses mains à plat sur la porte. L’une vers la serrure et l’autre vers le gond du haut. Il déchargea alors son pouvoir, la porte trembla un court instant avant d’être violemment expulsé à travers la salle de bain, provoquant un fracas monstrueux et soudain. Elle s’écrasa à moitié sur le lavabo, brisant le miroir et faisant voler une partie de l’étagère. Lilly entra fier de lui, portant juste son boxer. Ah oui, petit détail, avant de s’occuper de la porte, il avait prit le temps de se dévêtir un petit peu.
acidbrain
1 à 3 : Utilise ses pouvoirs contre la porte, qui l’expulse avec débris. 4 à 6 : il prends le pieds de chaise après avoir détruit la chaise et finit par faire céder la porte. Et lui donne une petite décharge d’onde de choc pour le faire tomber dans la baignoire.
HRP:
Tu m’as fais tapé une barre avec l’hésitation sur les savons de l’hôtel comme arme possible XD
Dernière édition par Lyllian-Aaron McLochlainn le Mer 25 Mai - 19:29, édité 5 fois
Sujet: Re: Lyllian-A. & Marius ► Une guerre de dieux. v.02 (terminé) Ven 15 Juil - 20:40
La porte explosa. Complètement. Il fit éclater le miroir, actionna le robinet de la baignoire ou plutôt le bloqua sur eau froide. Bon sang mais c'était qui ce type là ? Enfin, il savait qui c'était mais... honnêtement ? Les mecs comme lui étaient bon à interner. C'était le genre de personne que Marius ne serait pas triste de voir partir pour un autre monde. Le genre de personne avec qui il se permettait d'être violent, et grossier. Quand il avait le droit à la parole or en ce moment précis, le fils de Venus en était privé. Alors quand la porte explosa et que l'autre fit son apparition en caleçon... Son regard parla pour lui. Plus noir que jamais, on pouvait même y apercevoir une lueur assassine. S'il y avait bien une chose dont il avait horreur, c' était qu'on se foute de sa gueule. Et qu'on essaie de lui forcer la main. Alors il se releva (et pour une fois jugea sa grande taille plutôt utile) et s'avança doucement. Plus il marchait, plus il réfléchissait. Il posa ses mains sur les épaules de son agresseur et... Il aurait pu l'envoyer bouler, le frapper encore une fois mais visiblement ce type avait mal à comprendre le mot non. Non, au lieu de ça, il le fit basculer brutalement dans la baignoire. Il allait voir. Voir sa tête plonger sous l'eau lui fit plaisir, vraiment. Il la ressortit alors. S'il avait pu parler, il lui aurait balancé un « maintenant ça suffis ! » mais rien n'y faisait, il ne pouvait pas parler. Peut-être que le plongeon aiderait l'autre type à sortir de son délire ? Il recula d'un pas, regardant l'homme toujours dans l'eau. Le robinet n'avait toujours pas arrêté de couler, l'eau arrivait au milieu de la baignoire. D'une main le fils de Venus s'empara du premier outil (plutôt bien trouvé) qu'il avait à sa disposition et, affichant un air victorieux, brandit le sèche cheveux. Il l'alluma, l'agitant sous le nez de son agresseur. Il le lâchait, il était cuit, dans le premier sens du terme. Alors maintenant, il allait se calmer, arrêter de faire le con et l'écouter. Enfin, le lâcher. C'est alors que des bruits sourds se firent entendre de l'autre côté de la pièce. On toquait (ou plutôt frappait) à la porte. Et on hurlait de l'ouvrir au plus vite. Enfin ! Des sauveurs. Des sauveurs qui allait le sortir de là, prendre ce fou et l’emmener loin de lui. Cependant il ne baissa pas tout de suite sa garde, le sèche cheveux toujours dans les mains. Il ne pouvait pas hurler de défoncer la porte, mais ni le lâcher et voir le risque de voir se fou s'échapper à nouveau. Ils allaient bien finir par défoncer la porte. Il n'avait jamais eu autant envie de hurler. Et l'autre qui le regardait toujours avec cet air indescriptibles... Il le répugnait complètement ? Qu'avait-il fait pour... pour mériter ça ? Était-il si horrible avec les autres ?