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Sujet: ok man i like you but stOP THAT (lyllian) Lun 25 Avr - 2:22
for like the seventh time, i am not your dog. dumbass. (20 mars 2016)
Avec les temps qui courraient, Charlie ne pouvait malheureusement autant visite à sa famille qu'elle le souhaitait, surtout à sa soeur cadette Monica qui habitait New York (soit l'autre bout des États-Unis). Pour pouvoir avoir une autorisation de sortie de deux jours de la part de la légion (étant donné que le voyage risquait d'être long en voiture) Charlie avait dû batailler ferme, à tel point qu'elle avait cru ne pas obtenir le feu vert de ses supérieurs. Mais finalement, on l'avait laissée partir. Deux jours. Sa petite soeur l'avait hébergée le temps d'une nuit la veille bien qu'aucune des deux n'ait vraiment dormi. Elles avaient beaucoup trop de choses à se dire toutes les deux. Bien sûr, Monica n'était pas au courant de la réelle nature de Charlie; Diego et leur mère, Marta, étaient les seuls à savoir. Esteban et Carla non plus ne le savaient pas. Pour eux, leur soeur était en camp militaire depuis plusieurs années; c'était mieux ainsi. Charlie se voyait mal leur raconter tout ce qu'il se passait autour d'elle. Du coup, faire croire à sa famille qu'elle était en camp militaire n'était pas vraiment un mensonge; la Légion était un camp militaire en quelque sorte. Ce n'était pas un mensonge à proprement parler, plus une sélection d'informations. On se rassure comme on peut, hein.
Comme à chaque fois qu'elle quittait New York après une visite à sa soeur, la fille de Vulcain se rendait à un pub dont elle avait fini par devenir une habituée. Et aujourd'hui, elle avait prévu d'y retrouver Lyllian un associé qu'elle connaissait particulièrement bien depuis quelques temps. Leur rencontre s'était faite dans ce même pub. Charlie se préparait à retourner au camp Jupiter, après une courte visite chez sa soeur. Elle n'était pas tout de suite remarqué cet homme étrange qui semblait analyser ses moindres faits et gestes. Elle n'avait accordé son attention à cet homme que quand il était venu vers elle et avait commencé à lui parler. Méfiante, elle s'était montrée assez froide et réservée envers lui. Jusqu'à ce qu'un monstre ne vienne les tirer de leur petite altercation. La romaine avait l'impression que c'était une coutume pour les monstres de venir emmerder les demi-dieux tout le temps. Cependant, cette attaque permit à Lyllian et Charlie de prendre tous les deux consciences qu'ils étaient des demi-dieux; à partir de cet instant, la brune se montra beaucoup moins méfiante à l'égard de l'homme. Cependant, elle se refroidit un peu en apprenant qu'il était grec.
Ils avaient pu discuter tous les deux plus en profondeur après cette révélation mutuelle, et Charlie laissa échapper un désir de vengeance qui bouillait en elle depuis la première attaque sur les camps. Venger les morts. Venger les siens. Venger les innocents. La fille du dieu des forges ne jurait plus que par cette pensée et était prête à tout pour mettre la main sur ces chiens; c'est comme ça que Lyllian se rendit compte qu'elle était peut-être la personne idéale avec qui s'allier. La mécanicienne finit par devenir en quelque sorte un de ses contacts dans les camps. Elle donnait des nouvelles au fils de Némésis dans les avancées des recherches des deux disparues par exemple, Fanny et June. Ou encore s'ils trouvaient quelque chose concernant les mortels qui les avaient attaqués. Des choses du genre.
Charlie quitta sa voiture, faisant claquer sa portière d'un air machinal avant de verrouiller les portières en appuyant sur le bouton de son badge. Elle avait amélioré ce petit bijoux pour qu'il aille plus vite sans se faire griller par les flashs de mortels, ce qui lui faisait gagner beaucoup de temps dans ses trajets. Autant que ses talents en mécanique servent à quelque chose. Elle entra ensuite dans le pub, passant la porte qui fit sonner une petite cloche - autant pour la discrétion et le côté incognito. Silencieuse, saluant les employés d'un signe de la tête cordial, l'espagnole alla donc s'asseoir à une salle libre. Une douleur la lança soudainement dans le genoux, lui arrachant une grimace. Saleté de blessure. L'attente ne fut pas longue. Quelques minutes après sont arrivée, ce fut au tour d'une silhouette bien connue de se montrer. « Salut. » lança-t-elle à l'attention de Lyllian, un sourire en coin. roller coaster
Sujet: Re: ok man i like you but stOP THAT (lyllian) Mar 26 Avr - 18:40
ill Manors - Plan B
Charlie & Lyllian-Aaron
Ce n’était qu’une journée comme une autre juste avant la tentative de sauvetage des deux jeunes sang-mêlées. Il y a des gens qui lisent leur journal tout les matins, se renseigne sur la bourse une à deux fois par semaine ou se retrouvait tout les dimanche au Country Club pour discuter des dernières mondanités. Ce qui se passait un peu une fois par mois avec ma fratrie quand on se retrouvait au manoir. On crachait nos attaques humiliantes sur nos défauts avec un sourire pour que ça passe mieux (parfois sans sourire et on en venait aux mains… mais ça c’est une autre histoire). Tout ça pour ensuite pouvoir vanter notre supériorité chacun l’un sur l’autre. Notre façon d’aller déterrer les nouvelles avec notre relation fraternellement mauvaise. En tout cas pour aujourd’hui, je ne comptais pas discuter avec les trois autres autour d’un repas qui risquait de se finir en règlement de compte envers moi. Ils avaient souvent un art pour me haïr et me rejetaient, moi seul, tout les trois comme un bloc. J’aurais eu le mérite de leur trouver une cause commune pour laquelle ils peuvent se soutenir. Enfin pour dire que j’avais beaucoup moins embêtant comme programme. J’allais écouter mon Jupiter Camp’s Diary. J’allais voir Charlie qui avait ce côté Vulcain qui la rendait presque aussi entière avec moi alors qu’elle ne me connaissait pas aussi intimement que mes frères. Et ! elle ne m’avais pas supporté aussi longtemps qu’eux. Pour conclure, elle ou eux, c’était parfois le même calvaire. Bon j’exagère. Je préfère mes frangin, je sais où frapper avec eux. Plus sincèrement ce n’était pas comparable à ce que je pouvais vivre avec seulement un de mes frères mais presque… La seule grande différence réside qu’on partage un univers qui explique en partie le rejet de ma fratrie. Oui et aussi car j’ai un sacré caractère de merde. Bon allez, je vais être en retard.
Il arriva au pub après avoir une petite balade en ville à pied de son appartement. Il sortait rarement sa voiture en ville, surtout pour aussi peu de route. Puis il fallait trouver une place où se garer sans risquer qu’un manchot ne lui abîme son oeuvre d’art des années 50-60. Puis que j’avais envie de boire ! La porte s’ouvrit sur son passage et il jeta un coup d’oeil au bar pour saluer d’un signe de tête les employés. Les deux protagonistes avaient prit l’habitude de s’y retrouver pour discuter avant qu’elle ne parte en direction de S.F. avec une certaine régularité. Forcément ils étaient un peu devenu des habitués. Il arrivait au jeune homme d’y passer bien avant d’avoir connu Charlie, mais pas aussi habituellement. Une main dans ses cheveux pour les remettre en place bien plaqués au dessus de son crâne, il s’approcha de leur petite table isolée. Charlie était là avant lui comme souvent. Il retira son imperméable noir de mi-saison et le déposa avec minutie sur le dossier de sa chaise. Un bref sourire à Charlie et lorsqu’il s’assit enfin, n’ayant même pas le temps de présenter ses salutations, un verre de whisky irlandais fut délicatement posé sur la table par une des serveuses. Il attrapa le verre et le porta à l’attention de son contact. Une gorgée et il attrapa la serveuse par le bras avant qu’elle ne s’échappe. Il déglutit et réclama une bouteille. Les yeux de la serveuse s’illuminèrent quand il confirma qu’il voulait la bouteille de ce vingt-ans d’âge. Elle se pressa d’aller la lui chercher…
« Comment tu vas ? Tu as une dégaine… Tu pourrais faire un effort quand tu me vois. Un si joli visage gâché par son père. Quel dommage. » et voilà les politesses affectueuses étaient faites et il s’installa sur la chaise en face de Charlie. Il jeta un coup d’oeil à sa montre au poignet gauche. « Tu pars tard aujourd’hui. C’est presque l’heure de l’apéro. Bon ! Dis moi que tu as des choses à me dire… » entama t-il le vif du sujet avec un sourire carnassier. Il s’avança près de la table pour s’y appuyé de ses coudes, les deux mains jointes. Il fixait la demoiselle du regard et ajouta : « J’oubliais : comment tu vas ? Non enfaite je m’en fou » lui envoya t-il un clin d’oeil amusé. Il tempérait juste son humeur. C’est beaucoup plus amusant que de savoir réellement comment va la personne... Oui et c’était un peu gratuit. J’aime bien sortir les gens de leur gonds.
Sujet: Re: ok man i like you but stOP THAT (lyllian) Ven 29 Juil - 3:18
for like the seventh time, i am not your dog. dumbass. (20 mars 2016)
La jeune femme adressa un regard à Lyllian, les jambes croisées, le fixant d'un air sceptique tandis qu'il prenait place en face d'elle. Tiens, il n'avait pas encore fait de petite commentaire - il était rouillé ou quoi? Les bras croisés sous sa poitrine, adossé sur le dossier de sa chaise, la demi-déesse le regarda faire son petit manège avec la serveuse pour lui demander une bouteille de whisky - irlandais, patriote jusqu'au bout. L'espagnole porta elle aussi son verre à l'attention de son interlocuteur avant de boire elle aussi. Une manière comme une autre de se saluer. « Comment tu vas ? Tu as une dégaine… Tu pourrais faire un effort quand tu me vois. Un si joli visage gâché par son père. Quel dommage. » Elle fronça les sourcils et lui donna une tape sur l'avant-bras, qui était à sa portée. Depuis le temps, elle s'était habituée aux piques de Lyllian mais à chaque fois qu'il parlait c'était plus fort qu'elle, elle mourrait d'envie de le cogner jusqu'à ce que mort s'ensuive. Ce con. « Ferme-la Lyllian. » marmonna-t-elle, le regard sombre - cependant, sa lèvre s'étirait en un léger sourire, signe de son amusement. Il ne perdait pas de son piquant.
Charlie porta à ses lèvres le verre de whisky qui lui avait été apporté quelques minutes plus tôt. Elle avait beaucoup à faire et un petit remontant avant qu'elle ne se remette en route pour le camp Jupiter n'était pas de refus - il en fallait plus pour troubler l'esprit d'un demi-dieu, ils résistaient tous très bien à l'alcool. Du moins une bonne partie d'entre eux - surtout les enfants de Bacchus. De vrais murs. « Tu pars tard aujourd’hui. C’est presque l’heure de l’apéro. Bon ! Dis moi que tu as des choses à me dire… » La fille de Vulcain haussa légèrement les sourcils. « Peut-être. » laissa-t-elle tomber, histoire de le faire mariner un peu juste histoire de. C'était sans compter son répondant légendaire. « J’oubliais : comment tu vas ? Non enfaite je m’en fou. » Un grognement s'échappa des lèvres de la romaine qui leva les yeux au ciel, reposant brutalement son verre sur la table à laquelle ils étaient assis. « Tu veux tes infos ou qu'on passe la soirée à se balancer des vacheries à la gueule? Parce que j'en ai tout un stock. » s'exaspéra-t-elle, le regard devenu tempétueux. « La prochaine fois je te te l’explose à la gueule. » ajouta-t-elle en agitant frénétiquement son verre dont le whisky bien entamé sous le nez du grec.
La brune s'adossa contre sa chaise et posa sa main droite sur la table, l'autre étant posée sur son genoux qui tressautait - foutue hyperactivité qui ressortait toujours quand il ne le fallait pas. « On cherche toujours l'identité de ces enfoirés. » marmonna-t-elle pour lancer le sujet, car c'était bien pour ça qu'ils étaient en contact depuis tout ce temps - la vengeance, la haine contre ces mortels qui les avaient attaqués. « Notre augure cherche sans relâche à entrer en contact avec les dieux pour qu'ils lui envoient une vision, n'importe quoi qui pourrait nous aider à récupérer Fanny et June. » Mentionner les noms des deux capturées ne fit qu'attiser en elle ce feu intérieur qui la consumait et nourrissait toute la haine qu'elle ressentait. « Les esprits sont toujours agités. Tous veulent retrouver ces ordures - et je suis complètement de leur côté. » Court, clair, net et précis - elle n'y était pas allée par quatre chemins.
(hrp; mon dieu je suis affreusement désolée pour ce retard et je comprendrais totalement que tu veuilles qu'on abandonne ce rp, je m'en veux terriblement :c)roller coaster