01. •• QUE PENSEZ-VOUS DES DIEUX ? ET DES ROMAINS ? Elle aime les tournés aux ridicules, ces êtres divins, elle aime se moquer des écrits qui content leurs divers péripéties. Bien évidemment, face à eux en personne, elle ferait bien moins la maline la petite rouquine, mais dans leur dos, elle trouve que le ridicule leur colle vraiment bien à la peau, plus qu'au simple mortel en tout cas. Tandis que concernant les Romains, elle n'en sait pas énormément sur eux au fond et elle s'en moque bien, Grecque ou Romain ? Qu'elle est la différence au fond ? Elle n'en trouve pas réellement si ce n'est  une organisation différente. Après tout, ils sont tous dans la même situation, ils ont tous un parent divin, donc elle ne voit pas réellement pourquoi elle devrait s'en préoccuper plus qu'un autre demi-dieux.

02. •• QUE FAISIEZ-VOUS ET OÙ ÉTIEZ-VOUS LA NUIT DE L'INTRUSION DE LA BANDE ARMÉE DE MORTELS AU SEIN DE LA COLONIE ? Elle était dans la colonie, pour une fois le sommeil lourd. Seul l'agitation des alentours la sortie de son lit, des cris, des pleurs peut être, elle l'ignorait, mais instantanément, dès qu'elle comprit que le danger planait, elle bondit hors de son bungalow. Cette fameuse nuit, comme beaucoup de ses camarades elle retrouva des corps sans vie, elle perdit des jeunes qu'elle appréciait et la paranoïa l'envahit. Comme beaucoup de demi-dieux un minimum expérimenter, elle veilla sur les plus jeunes paniqué, son marteau à la main, tentant de les rassurer malgré la peur qui vibrait en elle. Elle sembla apercevoir plus d'une fois une ou plusieurs silhouettes dans les ténèbres de la nuit, sans certitude, c'était sans aucun doute le trouble qui offrait de mauvaises informations à son cerveau. Seul l'aube apaisait quelques peu son esprit troublé, seul le soleil alors lui accorda un instant de répit. Constatant l'ampleur des dégâts, cette nuit là, comme beaucoup elle était démunit face à un ennemi invisible.

03. •• QUE PENSIEZ-VOUS DES MORTELS JUSQU'ALORS ? ET MAINTENANT ?  Les mortels, lorsqu'elle croyait faire partie de cette masse informe et grouillante, elle n'avait pas véritablement d'avis sur eux, aujourd'hui, c'est tout autre, depuis qu'elle a découvert qu'elle ne faisait pas partie à part entière de cette espèce, elle a commencé à développer une certaine méfiance envers l'humain. Elle ignore pourquoi, sans doute par peur d'être un jour révélé au grand jour et traité comme un monstre ou encore pire. Elle sait bien que la différence est souvent mal perçu, elle connaît l'orgueil du mortel et craint que le pouvoir divin qui l'habite soit perçu comme une menace. C'est sans doute une des nombreuses raisons, voir névrose qui font qu'elle quitte très peu l'espace de la Colonie, le monde extérieur, les mortels la terrifie au fond.

04. •• VOUS SENTEZ-VOUS PARTICULIÈREMENT EN DANGER OU DÉMUNI FACE À CETTE MENACE INVISIBLE ET INCONNUE ? Plus que jamais elle se sent fragilisé par cette menace vaporeuse, un ennemi que personne ne semble pouvoir atteindre. Elle ne comprend pas réellement la situation et cette action haineuse, elle ignore complètement qui pourrait bien être à l'origine de cela et au fond, elle craint de savoir. Partager entre désir de vengeance et peur, elle se sait complètement déstabilisé, elle sait bien qu'à cet instant elle serait une proie facile pour n'importe quelle créature. Malgré tout, elle continuera à se battre... Du moins, c'est ce qu'elle souhaiterait, en cet instant elle est surtout déchiré avec le désir de fuir et celui de rester à la Colonie qui n'est plus sûre, le combat n'est pas dans l'ordre des priorités actuellement.

PSEUDO/PRÉNOM •• dormouse ÂGE •• 23 ans COMMENT AS-TU CONNU MALUM DISCORDIAE ? •• un vilain fils de morphée est un sale tentateur    COMMENT TROUVES-TU LE FORUM •• superbe. AVATAR •• karn gillan UN DERNIER MOT •• craignez moi  

« Phoenix, c'est une gamine au tempérament de feu. » Oui, c'est un fait, la jeune Alicia, rarement appeler ainsi, n'est pas une enfant facile à vivre, une demoiselle à la chevelure de feu, capricieuse et ardente comme un volcan. Elle n'a pas beaucoup d'amis, elle fait fuir les jeunes filles qui la trouve trop masculine et les jeunes garçons souvent blesser dans leur fierté. La petite rouquine, elle ne sait pas parler avec tact, elle est franche, brute et jamais elle ne se tait. Jamais elle ne baisse les yeux, jamais elle n'obéit, oh que oui, qu'elle est difficile à vivre cette petite, pourtant on l'aime, on s'attache si facilement a ce doux regard, pétillant de vie. Oui, sa mère n'a jamais put résister a cette petite diablesse au visage d'ange, pourtant elle connaissait les défaut de sa fille. Malgré cela, elle n'a jamais haussé le ton, c'est toujours avec la douceur d'une mère qu'elle apaisait les cris de la petite rousse, c'est toujours avec un doux baiser sur le front qu'elle séchait les larmes de cette enfant parfois au cœur brisé. Car malgré cette carapace enflammé, Phoenix c'est une fille fragile, une enfant sensible et un peu naïve, elle s'accroche facilement puis elle pleure, parfois sans raison, d'autres fois lorsqu'elle perd un ou une amie. Car oui, plus les années défilent, plus ils sont rare et deviennent précieux pour elle, elle qui ne supporte pas la solitude mais qui souvent s'y enferme par dépit. Elle qui a toujours regorgé de vie, souvent mauvaise élève, dyslexique sans savoir pourquoi, elle n'était pas non plus très douée en mathématique, ni en science. Il n'y avait que dans le sport où elle se sentait bien, mais trop souvent rejeté car encore une fois, elle blessait les uns dans leur stupide fierté et ne convenait pas aux ridicules exigences des autres. Alors elle retient ses larmes, s'éloignent jusqu'à ce retrouver seule et explose... Presque littéralement, elle s'embrase pour la première fois, ne comprenant pas d'où cela vient, elle court dans tout les sens, enflammée de la tête au pied et trébuche dans un étang. Finalement, l'adolescente ouvre une nouvelle fois les yeux, trempé jusqu'aux os face à tant d'interrogation, peut être étais-ce simplement le fruit de son imagination ? Elle l'ignore et c'est finalement l'esprit en proie au doute ainsi qu'à de nombreuses question qu'elle rentre silencieusement chez elle.

Au fond, était-elle véritablement à sa place dans ce monde comme n'importe qui ? Ce n'est que quelques semaines plus tard qu'elle découvre que non, sa place était ailleurs... Elle n'était pas qu'une simple fille comme tant d'autres vivants au cœur de Brooklyn avec sa mère et un père qu'elle n'avait jamais connu. Non, elle était l'enfant d'un dieux d'un panthéon antique, presque féerique à ses yeux, Héphaïstos, forgeron de l'Olympe. Elle commença par refuser de croire a cette révélation, mais cette longue conversation face à sa génitrice et cette étrange créature qu'on appelle satyre troubla sa notion de la réalité. Avait-elle put vivre dans le mensonge pendant tant d'années ? C'était dur à croire, surtout pour une gamine de quatorze ans en plein doute, pourtant elle se souvient encore très clairement de ce brasier qui c'était manifesté autour d'elle, de ses nombreuses bouffées de chaleur que seul un bain glacé parvenait à apaiser, étais-ce à cause du sang divin qui coulait en elle ? Elle découvrit que ce n'était pas les seules manifestations de ses origines, cette fameuse dyslexie et son hyperactivité étaient aussi des symptôme de sa véritable nature. Finalement, l'enfant accepta de suivre la créature jusqu'à ce qu'il appelait la Colonie des Sang-mêlé, avec l'approbation de sa génitrice.

C'est sans doute à cet instant que la rouquine trouva sa place dans l'univers. Même si dès lors, un long apprentissage s'enclencha, de nombreuses heures d’entraînements et de cours, jamais elle ne s'était senti aussi bien dans un groupe. Pourtant, malgré cela, une certaine tristesse persistait a briller certaine fois dans son regard, sans doute un éclat de son père divin lui-même perçu, car à peine venait-elle d'intégrer la colonie depuis quelques semaines qu'il se présenta à elle dans les forges qu'elle explora et la reconnue comme sa fille, sans doute espérait-il que cela ferait disparaître cette étincelles glaciale dans son regard. Pourtant, jamais elle ne disparu complètement, à certain moment même elle rayonna plus que jamais, cette tristesse, cette peur persistante. La jeune Phoenix avait été profondément blesser par le passé, bien trop pour que cette douleur disparaisse complètement. Au final, elle restait une enfant blessé, incapable d'avancer sous cette carapace volcanique. Certes, elle semble bien plus confiante aujourd'hui, rayonnante de vie, une flamme dans l'obscurité, dans la brume. Mais en cette période tumultueuse, la coquille se fendit peu à peu, elle se fragilise, exposant le cœur de la petite rousse à la cruauté du monde. Après des années de reconstruction, cet ennemi invisible semble troublé l'harmonie qu'elle avait finalement trouvé et aujourd'hui plus que jamais elle perd peu à peu pieds.