Bienvenue sur MALUM DISCORDIAE!
Pour les nouveaux petits arrivants, direction le GUIDE qui vous permettra de mieux vous débrouiller sur le forum !
Quoi de neuf sur MD ? Viens te tenir au courrant des dernières nouveautés par ici !
Nous sommes actuellement janvier/février 2019 sur le forum ! Pour toutes demandes liées à la chronologie et aux intrigues/contexte, merci de vous référer à Jean E. Sylar !
Découvrir la chronologie et suivre l'actualité RPG au jour le jour ? C'est possible ! Viens écouter la RADIO HÉPHAÏSTOS !
Sujet: Hillel Davis – L’arroseur arrosé. (mission, terminé) Sam 6 Aoû - 23:02
MISSION - HILLEL (romain)
la mission (wtf).
Camp Jupiter (juin 2016)
Le jeune homme se réveilla les pieds attachés... à une mule. cette dernière était assortis d'un harnais pour le moins étrange couleur bonze et ne semblait pas être perturbé par le faut que ce dernier était relié à une corde, corde de deux mètres où était solidement attaché un petit romain. Les pieds liés mais aussi les mains liées. Il reconnait vite l'endroit, il se trouve sur le champ de Mars. Au beau milieu pour êtres plus précis. Il fait une chaleur à mourir aujourd'hui. Mais qui sont les romains qui auraient pu faire cette blague ? Hillel la voit très bien cette bouteille d'eau, posé en évidence dans un bac glaçon, en haut de cette colonne de deux mètres. La mule elle, est pour le moment endormie. Gare à toi, si elle se réveille, elle risque de courir dans tous les sens et de te faire tourner en bourrique !
les détails sur la missions.
☞ Pour la date, c'est à toi de voir. J'ai mis Juin pour que la mission se déroule avant l'intrigue en cours puisque je crois qu'Hillel si j'ai bonne mémoire y participe. C'est pour t'éviter quelques confusions ou autre !
☞ La mule est un véritable phénomène de foire. Son "cri" déjanté ne ressemble à rien et brise presque les tympans des gens l'entendant d'un peu trop près. Attention à ce léger détail.
☞ Pas d'arme pour le petit romain, il va falloir faire sans.
Hillel ne bougea durant pas mal de temps. L’heure de midi était passée et il avait été posée là en fin de matinée. Il devait déjà être pas loin de deux heures pétantes alors qu’il se mit lentement à mouver. Au milieu des herbes en friche du champs de Mars, on ne le voyait même pas, ni même la mule tranquillement allongée quelques mètres plus loin. Soudain, il fut pris de soubresaut, un scarabée venant lui chatouiller le nez. Et alors il se réveilla en se redressant d’un bond en toussant violemment, recrachant l’insecte un petit peu trop curieux. C’est alors qu’il resta un moment perdu et abasourdi en voyant toutes cette faune qui l’entourait. Il tenta de se redresser sur ses bras, mais étrangement en bougeant une main, l’autre venait avec. Il eut ce doux moment de solitude où sa tête frappa violemment le sol, ayant prit un élan mais ne trouvait pas d’appui. Il loucha alors sur ses mains et leva un sourcil. Un court moment de panique l’envahit quand enfin, il arriva à s’élever un peu pour avoir un meilleur point de vue. Tout en baillant, il s’étira et sentit qu’il y avait donc une corde qui sinuait entre les hautes herbes. Enfariné il leva un sourcil sceptique avant de tirer sur cette corde. Un, deux puis trois mouvement et soudain, elle se tendit. Il tira un autre coup sec dessus. Il hésita un long instant avant de tirer plus fort pour voir si ça se décrocherait.
Il se dressa un peu plus haut, assis au milieu du terrain en friche et vit une masse qui se gonflait et se dégonflait avec apaisement, comme une respiration. Il s’élança pour aller voir, mais voilà que comme avec ses bras, lorsqu’il bougea une jambe, l’autre partie avec. Il se rattrapa de justesse de ses coudes avant de risquer à nouveau de frapper mon magnifique visage sur le sol. Il loucha sur le scarabée téméraire qui passa par-dessus ses doigts avant de voir que ses jambes étaient elles aussi liées. Bon c’en était trop. Il hurla de rage et se laissa retomber en arrière. Les yeux clos, il resta un instant dans cette position pour ne pas se mettre à crier, taper des pieds et des mains (il ne pouvait pas de toute façon), de pleurer, d’insulter quelqu’un (mais il n’y avait personne), ou de se rendormir.
Les nuages glissaient lentement dans le ciel, les mains liés sur son front, il finit par ouvrir les yeux et les observer. C’est alors que dans son champs de vision, il vit quelque chose scintiller. Le soleil lui brûlait la peau et il avait de beau coup de soleil sur les bras et le visage. Ce qui brillait alors qu’il se laissait bercer par le long écoulement du temps si bien symboliser par ces nuages flottants, était une simple bouteille d’eau. Rien de sensationnelle, mais mon dieu qu’il la voulait. Tel un poisson sur la terre ferme, il se jeta pour tomber allonger de l’autre côté et rampa au milieu des herbes tout en suivant la corde. Quand il se retrouva nez à nez, ou plutôt nez à cul avec la mule, il déglutit. Il se tortilla comme un ver sur le côté pour mieux constater et c’était bien ce qu’il pensait. Son visage se figea. Pour avoir plus fait des punitions que des entrainements, il s’était forcément occupé des animaux. Ces saletés, il les avait déjà croisé dans les écuries. Elles étaient vraiment commode que de loin ou endormie. Hillel loucha et resta allongé un instant sur le sol, fermant les yeux comme pour affronter le sort qui s’abattait sur lui.
>> La mule se réveille : oui : et elle s’en va en courant. non : il va pour s’approcher d’elle discrètement et constater.
acidbrain
Dernière édition par Hillel Davis le Sam 6 Aoû - 23:23, édité 1 fois
Sujet: Re: Hillel Davis – L’arroseur arrosé. (mission, terminé) Mar 9 Aoû - 9:49
Mission WTF
Il savait pertinemment d’où cette mauvaise blague devait venir. C’était un coup de la Première Cohorte, il n’en voyait pas d’autre. Ils s’étaient simplement rabaissé à son niveau, mais avec un trait bien plus mauvais que les siennes. Hillel l’avait vu dans le film Le Monde de Charlie et il s’était toujours dis que c’était une bonne blague à faire. Il avait peint toutes les armes de la première cohorte avec de la peinture rose. L’australien s’était dit que c’était étrange qu’on ne l’ai pas obligé à nettoyer ses bêtises. Normal, il lui avait prévu pire. Enfin, si c’était bien eux.
La bête dormais toujours tranquillement dans l’herbe sauvage du Champs de Mars, ayant prit le temps même de s’allonger. C’était sa chance. Hillel ne perdit pas de temps après avoir observer une dernière fois l’horizon en pestant contre les demi-dieux de la Première Cohorte. Il commença par ses jambes qui dans un sens étaient les plus faciles à libérer et surtout le plus handicapant attaché. Bon cela prit beaucoup plus de temps qu’il ne l’avait imaginé, avec ses mains elles aussi enclavées par une corde bien serré et des noeuds dignes d’un marin. Il réussit tout de même à se débarrasser de celle qui entourait ses chevilles en s’armant de patience. Il avait tiré dessus, détendu les noeuds, et bientôt, il parvint à déloger un pied, sans chaussure. Et d’un coup de l’autre, il fit voler le serpentin de corde. La basket basse et noire reposait non loin et il se précipita pour l’enfiler, tout en se dressant comme un faisan au milieu d’un champs.
Il bondit, mais il était beaucoup plus faible qu’il ne l’imaginait, à avoir sécher ainsi au soleil. Ce qu’il n’avait pas vu était les coups de soleil qui avait frappé sur ses bras, épaules et le visage. Il tangua alors, toujours les mains liées. Il tirait sur ces dernières pour les faire sortir de la corde. Il s’en sortait bien pour l’instant. S’il faisait assez vite, il aurait le temps de leur faire regretter à la Première Cohorte. Rien n’y fit, même en frottant ses mains à toutes vitesses grâce à ses pouvoirs, il n’avait réussit qu’à se faire une brûlure superficielle sur la paume de la main, au niveau des pouces. Sa tête tournait. Il devait vraiment trouver de l’ombre et la bouteille d’eau. La bouteille d’eau ! et il se tourna subitement, et il son pieds pris un mauvais appui sur un cailloux aussi gros qu’une balle de golf et pointu. Il perdit l’équilibre, tirant sèchement sur le mors de la mule et en se rattrapant, il passa carrément par-dessus la bête.
Et là ce fut le drame. Elle fait un bond, tombant sur le côté et battant des jambes. J’ai évité de peu un coup de sabot. Dans le même sentiment de panique, elle hennit à rendre sourd n’importe qui et se releva avant de galoper, en continuant de geindre. J’ai encore les oreilles qui siffle. J’ai cru que j’allais perdre connaissance. Je hais ces bestioles ! Il voulut porter une main à ses oreilles qui lui faisait atrocement mal, son appareil auditif qui en vibrait encore. Pas le temps car la mule le traina sur plusieurs mètres. Là, pour le coup, il en avait marre. Hillel avait tiré sur ses bras en espérant pouvoir se protéger le visage de ses bras, et attendit la fin de son calvaire. La mule ralenti doucement.
acidbrain
>>Il entreprend d’enlever ses liens. Il réveille la mule ?
Oui, elle part au quart de tour et il est bien trainé derrière lui. La mule finit par s’arrêter. Ne voyant plus hillel dans les hautes herbes. Il reprends son souffle. 1 à 2 : il éternue. elle repart pour un tour 3 à 4 : elle commence à brouter tranquillement, il trouve un cailloux et essaie de se défaire de ses liens à la jambe. Y arrive. 5 à 6 : une vipère passe, il hurle et la jeté, atterri sur la mule et lui croque une jambe avant de s’enfuir.
Non, il arrive à les retirer sans réveiller la bête. Trébuche et réveille la bête. 1 à 3 : elle part en cabrant et courrant, mais il la maitrise en faisant le tour de ses jambes à toutes vitesses. 4 à 6 : Elle hennit avec violence. Il est sonné et a un acouphène.
Dernière édition par Hillel Davis le Mar 9 Aoû - 10:14, édité 2 fois
La mule eut l’air enfin de se calmer. Le réveil était un petit peu violent, il fallait bien l’avouer. Hillel resta un moment allongé au sol, gigotant pour calmer la douleur peu confortable qui le parcourrait sous la peau. Surtout au niveau de ses bras qui devait être brûlés au premier degré à cause du soleil. Il s’étonnait même de ne pas avoir fait d’insolation. Merci mon soleil d’Australie… Bon l’autre teuhpu… Il roula et se releva en tanguant un peu d’un pied à l’autre. Il se prit alors les pieds dans un objet meuble qui faillit le refaire tomber au sol dès son premier pas. Il se baissa et allait shooter d’un grand coup de pied dedans avant de se reprendre à la dernière minute et le ramasser brusquement. Un silex ! A la guerre comme à la guerre ! Oh putain… se démotiva t-il en un instant en voyant qu’il était entièrement dans sa carapace brute et poli par l’érosion. Il fallait qu’il le brise pour qu’il soit utile. Je suis sûre qu’ils ont fait exprès ça aussi, que tout cailloux ici soit inutilisable. S’il y avait une arme qui trainerait, elle serait en mousse ! Bande de ******* ! Il regarda autour de lui, quand il croisa le regard de la mule.
Hillel jeta deux, trois fois en l’air le cailloux qui faisait la taille de sa paume de main, le rattrapant avec agilité avant de le fourrer dans sa poche. Il avait longuement hésité à le jeter à la bête. Pleine tête. Il l’affronta alors un instant du regard, un sourcil levé. Si elle pouvait lire dans les pensées, elle saurait qu’il n’avait pas des paroles tendres pour elle. Attrapant le lien qui le retenait attaché à l’équidé, de ses deux mains handicapées pas leurs enclaves, il tira dessus doucement. « Allez bouge toi l’cul ! Là-bas ! Allez viens ! Petit ! petit ! petit ! » et elle commença à geindre. Hillel s’arrêta net de tirer sur la corde, figé. Ah non tu vas pas gueuler deux fois ! Je te le dis ! et il lui fondit dessus à toute vitesse. Il attrapa la corde près de son mors et lui entoura le museau de plusieurs tours solides. Peut-être qu’elle ferait moins de bruit comme ça. La mule cabra un petit peu, secoua la tête et finit par abandonner, décidant d’aller à l’opposé du pilier où se trouvait cette si désirable bouteille d’eau. Là où avait décidé de trainer Hillel.
Soudain, il eut une idée et approcha sa main du mors de la bête. Un maléfice, lorsqu’il défaisait la corde, elle se renouait aussitôt. Okay… J’espère que c’est pas le même délire qu’avec mes mains, car pour le coup ma vengeance sera terrible. Enfin si je fini pas sécher comme une momie. Putain, mais bouge ! Il attrapa la mule par le cou et la tira vers le pillier. Avec de l’eau, j’aurais les idées plus claires. Et si je me rapproche de ce putain et solitaire pillier, je pourrais peut-être péter le silex… Mais pourquoi elle ne veut pas avancer. Hillel se mit à hurler, juste de rage et ajouta : « Avoue t’es de la première cohorte ! Bon cocotte… J’ai gérer des kangourous, des dingo et même approché des diable de Tasmanie, si tu crois que tu me fais peur. Tu vas pas faire la maligne longtemps ! Putain, mais j’fais des animations avec pire que toi au zoo bordel ! » continua t-il de beugler avant de poser sa main sur la nuque de l’animal et la tapoter fermement. Ce qu’il voulait, la monter. Peut-être qu’avec un cavalier sur le dos, elle serait plus docile.
acidbrain
Il trouve un silex : oui - non Il arrive à baillonner la mule : oui - non
Dernière édition par Hillel Davis le Mer 10 Aoû - 20:29, édité 2 fois
Sujet: Re: Hillel Davis – L’arroseur arrosé. (mission, terminé) Ven 26 Aoû - 21:48
Mission WTF
Il l’attrapa par la crinière au niveau de l’encolure et se jeta sur la bête un peu maladroitement. Fallait dire qu’avec les deux mains prises pour reprendre son équilibre, c’est un peu difficile ! Bon alors avant de commencer, trouver son équilibre. Ce n’était pas quelque chose de relativement difficile pour moi. Je suis né agile. En accouchant, bim je suis retombé sur mes pattes et tout ! Non je déconne. C’est limite si j’étais conscient en naissant en plus. Je suis un préma. Bref, j’en étais où ? Ah ouais… Cette put*** de mule. Avance ! Ah non… Elle lit pas dans les pensée c’te c*nne. « Avance allez ! Taïaut ! Taïaut ! » s’excitait-il en frappant des talons sur ses flancs. Je m’exictais, je m’excitais… BOF ! Disons qu’elle n’avait que ce qu’elle mérite ! Et elle bougeait pas c’te catin des près ! Ah… Ah ! Si ! Youpi… Un pas lent et elle balance son énorme croupe en rythme avec à son interminable progression. Elle s’est alors arrêtée pour brouter un peu d’herbe. Bah oui, c’est pas comme si elle avait eu tout le temps pour le faire avant. Je tente encore de lui faire comprendre qu’avancer est la meilleure des solutions et que c’est moi le maitre dans cette histoire. Ne suis-je pas un humain, donc une intelligence bien au-dessus de ce crétin d’animal ? Oh que j’ai honte de dire ça. Surtout qu’en réalité je pense qu’on ne vaut pas mieux qu’eux. On n’est des pervers nous… Enfin pour cette fois, j’ai décidé que j’étais le maitre ! Et elle ne l’écouta pas. Hillel se laissa lourdement tombé contre l’animal, la tête reposant sur sa crinière rêche et hirsute, les bras ballant d’un côté. Il soupira. Bon okay, je ne suis p’t’être pas le maitre dans cette histoire…
Mais elle ne resta pas immobile. Elle finit par avancer et Hillel profitait de cette occasion pour la diriger du mieux qu’il pouvait. Elle n’avait aucune envie de se presser. Elle prenait tout son temps et surtout pensait à s’arrêter pour venir attraper quelques brins d’herbe si gourmands encore fraîche car à l’ombre. Ou s’arrêtait sans raison. Le temps semblait s’arrêter et Hillel pouvait prendre le temps d’observer l’animal se secouer parfois, donner des coups de queue contre les mouches coriaces et sa propre peau qui commençait à clairement virer au rouge et le brûler. Il s’était même amusé à s’allonger sur le ventre en travers du dos de l’animal et eut tout le loisir de voir chaque muscle de ses jambes quand elle daignait bouger un sabot.
Il arriva enfin devant le pilier et son Saint-Graal qui l’attendait à son sommet.
acidbrain
Il grimpe sur son dos et elle veut bien avancer ? Oui-Non. Si elle avance : 1 à 2 : prend le chemin qu’elle aura décidé 3 à 4 : avance mais lentement en faisant plein de pause 5 à 6 : elle est très coopérative.
Dernière édition par Hillel Davis le Ven 26 Aoû - 23:50, édité 1 fois
Sujet: Re: Hillel Davis – L’arroseur arrosé. (mission, terminé) Dim 4 Sep - 9:41
Mission WTF
L’esprit vidé, il regarda le pilier avant de bien se mettre à ses pieds. Levant haut la tête, il se concentra. Il puisait en lui le peu d’énergie qui lui restait entre l’envie de boire, les brûlures du soleil sur sa peau parfaite, ou encore la faim et le ras-le-bol. Il inspira profondément, si bien que ça lui tirait sur la poitrine. Surement à cause du sale quart-d’heure que j’ai passé trainé comme un vulgaire prisonnier derrière la bête. Et puis j’expirais. Je l’ai fais… Deux, trois fois. Un peu plus. Bon, il était temps que je me lance. Mais j’avais tellement la flemme. En vrai, je me serais bien posé dans l’ombre du poteau pour refaire une sieste et attendre qu’une bonne âme vienne me sauver. Le soucis, c’est que je vais devoir penser à bouger toutes les heures pour être toujours dans l’ombre. Je devrais même essayer de rouler progressivement au fil des minutes. D’un millimètre par seconde ! Donc, je vais le faire…
Et il s’élança, sans réfléchir. La super-vitesse en action, il arriva facilement à presque deux mètres de la colonne qui s’effritait ici et là à cause du mal le plus cruel du monde : le temps. Il s’aida de ses mains en prenant quelques prises et finissait les mètres qui manquaient. Il était toujours à vive allure et il donnait l’air de s’envoler comme une fusée sur son rail de lancement. Il la vit. La bouteille était là et brillait de son éclat cristallin avec le soleil tuant de cet après-midi. Il eut juste le temps de l’apprécier un peu plus des yeux pour être frustré encore plus. La corde était trop courte et voilà qu’il revint presque comme un élastique. Il glissa un peu sur le pilier après s’être violemment cogné la tête dessus. Puis il s’écrasa lourdement sur le sol, le souffle coupé. La mule n’avait presque pas bougé d’un poil. Il pensait bien l’avoir entendu beugler, mais il en aurait pas mis sa main à couper. Il poussa un petit cri de soulagement lorsqu’il retrouva son souffle. Il avait vu sa vie défilé. Chose qui m’arrivait un peu trop souvent… Entre les monstres et mes sensations extrêmes. Les requins…. L’animal leva la tête pour le fixer un bref instant, puis reprit tranquillement ses occupations : brouter l’herbe sèche et mastiquait longuement sans même lui jeter un regard. Hillel resta un long moment sur le sol, la respiration sifflante. Son nez saignait. Rien de grave, un bon coup sur le cartilage et son nez n’avait pas aimé être frappé de la sorte. « Bor-del… » gémit-il avant de rouler sur le dos. « Je veux mourir… J’ai trop mal ! j’ai trop mal ! j’ai trop mal ! » se mit-il à geindre, en le répétant à toute vitesse. Il n’avait qu’une hâte que la douleur s’estompe un peu. Un peu beaucoup ! Je viens de tomber de trois mètres et j’ai des coups de soleil genre de malade… Vous pensez vraiment que c’est supportable ? « Putain que ça fait mal… Je vais pleurer. Je vais pleurer. Je vais pleurer… »
Prochain objectif : me débarrasser de cette putain de corde !
acidbrain
Il s’élance en super vitesse pour grimper le poteau. La corde est assez grande entre la mule et Hillel pour atteindre le haut du pillier ? Oui -Non ?
Dernière édition par Hillel Davis le Sam 8 Oct - 10:10, édité 1 fois