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Sujet: Harvey M. Prince "Welcome in a black and white world!" Ven 6 Jan - 15:21
- HARVEY M. PRINCE -
dossier n°xxxx-xx ; informations générales.
NOM •• Prince. Bien que son nom de famille originel soit Mcmillan, Harvey a choisi de le changer afin de se bâtir une nouvelle vie. Il a prit le nom de Prince en hommage au chercheur Morton Prince qui s’est beaucoup intéressé aux troubles de la personnalité multiple. PRÉNOM(S) •• Harvey (sa personnalité principale, plus raisonnée et sage) Murray (sa deuxième personnalité, plus passionnée et instinctive). SURNOM(S) •• Janus ÂGE •• 39 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE •• 30.04.1978 le camp militaire Lejeune en Caroline du Nord. NATIONALITÉ •• Américain. ORIGINES •• Americaine. OCCUPATION •• Harvey fait partie des agents de la DLCEM. Il y occupe le double emploi d’agent des renseignements et agent de terrain. Passionné de psychologique, ce bourreau de travail possède également son propre cabinet à New-York.ORIENTATION SEXUELLE •• Harvey La personnalité majeure d’Harvey est homosexuelle. Il aime le défi que représente la séduction de ses partenaires masculins qu’il sélectionne avec grand soin. Murray est un grand séducteur de femmes. Il aime multiplier les aventures amoureuses auprès de femmes faciles.STATUT CIVIL •• Harvey Il a toujours rêver de pouvoir rencontrer un jour le compagnon de ses rêves avec lequel il pourrait passer sa vie. Murray Grand partisan du célibat, il n’est vraiment pas le genre d’homme à rêver d’une grande histoire d’amour. S’il lui arrive d’avoir quelques partenaires sexuels réguliers, il ne posera jamais en couple. Les grandes déclarations d’amour ont tendance à le faire fuir ! MEMBRE DU DLCEM DEPUIS •• 2014. ARME FÉTICHE •• Son cerveau ! Non blague mise à part, Harvey aime manier les armes à feu de tout genre. Il apprécie les armes de poing, à la fois discrètes et pratiques, telles que les colt et les berretta. Il prend traditionnellement avec lui deux modèle de la même arme lorsqu'il part en mission.
☞ CARACTÈRE.
Harvey possède un caractères très complexe, due à la cohabitation de deux personnalités radicalement opposées dans son esprit. C’est un être extrêmement lunatique ! Passant du calme à la colère, de la tristesse à la joie en quelques minutes, ses réactions se révèlent souvent surprenantes pour son entourage. Un des points communs à ses deux personnalités reste l’intelligence. Il vénère l’esprit au-delà de tout et à tendance à se montrer arrogant devant des personnes faisant parler leurs muscles avant leurs cervelles. Pour le reste, voilà un petit récapitulatif de ses deux personnalités.
Harvey : Malgré son goût pour le combat, Harvey reste un être diplomate. Il préfère l'emploi d'un langage bien sentis à celui de la violence. Il tente d'éviter les conflits avec son entourage. Passionné et déterminé, il se jette à corps perdu dans chacun de ses projets et ne les abandonne jamais avant d’avoir réalisé ses objectifs. Même s’il peut sembler méfiant et froid au premier abord, Harvey est en réalité un être sensible et qui apprécie sincèrement la compagnie des autres. Harvey est un être doux, inspirant au bonheur de ses proches et de la communauté. Très protecteur, il a le cœur sur la main et n’hésite jamais à venir en aide aux personnes qu’il aime lorsque celles-ci le lui demande. Une fois que la confiance est installée, il sait faire preuve d’une loyauté et d’une fidélité à toutes épreuves. Il a un grand respect de l’autorité et même s’il discute parfois les plans de ses supérieurs, il exécute toujours les missions qui lui sont confiée avec grand soin. Harvey est également un perfectionniste et est très exigeant avec lui-même.
S’il se sent très à l’aise lorsqu’il peut se fier à sa raison, il n’en va pas de même lorsqu’il se retrouve confronter aux sentiments. Il ne sait pas gérer ses émotions qui sont très souvent exacerbées. Ainsi il peut fondre en larmes à la moindre petite crise ou piquer des colères indescriptibles à la moindre frustration. Croyant dur comme fer à la loi de Murphy, Harvey est une personne fataliste et pessimiste qui imaginera toujours le pire des scénarios. Il a de la peine à comprendre les sentiments des autres et peut sembler maladroit lorsqu’il s’agit d’encourager ou de consoler quelqu’un. La limite entre le bien et le mal n'est pas très claire dans son esprit. Il est capable de faire souffrir les autres sans se rendre compte de la gravité de ses actes.
Murray : Etre ambitieux et arrogant, il ne prête qu’une oreille distraite aux critiques que l’on peut lui faire et fera tout pour réaliser ses ambitions. Contrairement à son alter-ego, il possède une grande confiance en lui et se sent très à l’aise parmi la foule. Volubile, c'est une personne clairvoyante. Il est capable de séduire même le plus sceptique de ses adversaires. Il apprécie la vie et tout ce qu'elle peut lui apporter. Dragueur, fêtard il profite de tout et souvent avec excès. Il aime l’armée par-dessus tout et est en rechercher constante de sensations fortes. C’est un excellent soldat qui se montre à la fois courageux et combatif. Il respecte l'autorité et reste d'une loyauté sans faille devant ses supérieurs. Il a tendance à ne pas mâcher ses mots et sa franchise le place parfois dans des situations inconfortables. L’intelligence d’Harvey se transforme en ruse et en malice lorsque sa deuxième personnalité refait surface. Terriblement obtu et fidèle à ses convictions, Il combat ses ennemis avec sadisme et violence. Il ressent un plaisir malsain au mal qu’il peut leur faire subir. Très rancunier, il ne pardonne pas facilement une trahison et il pourra passer des années à peaufiner un plan de vengeance.
Qualités : Ambitieux – Bon vivant - Clairvoyant - Courageux – Combatif - Fidèle à ses convictions – Loyal - Grande confiance en lui - Volubile
Défauts : Arrogant – Franc - Manipulateur – Obtus - Sadique - Très rancunier - Rusé - Violent
☞ QUELQUES ANECDOTES.
01.Légèrement autiste depuis son enfance, Harvey possède certains tics dont il n'a jamais pu se soigner. Il a tendance à bégayer dans une situation stressante et peut se montrer agressif en cas de contacts physiques imprévus. 02.Lorsque sa personnalité change, ses yeux couleur bleutée prennent une teinte émeraude et sa voix devient plus rauque. 03. Harvey ne s'est jamais remis de la mort de son meilleur ami, il lui a dédié un virétable autel dans son appartement. 04. La présence d'animaux est un grand réconfort pour lui. Il possède un golden retriever appelé Cookie et un chat Himalayen appelé Everest. 05.Harvey est un fervent chrétien, il garde constamment sur lui la croix en or offert par ses parents à sa confirmation. On trouve de nombreuses icônes religieuses et une collection de chapelet chez lui. 06. Aimant cultiver son intellect, il a une grande collection de livres d'énigmes et de casse-tête en tout genre.07.Il adore passer du temps devant des jeux vidéos guerriers tels que "Call of duty" ou "Medal of honor" qui lui rappelle les meilleures années de sa vie.08.N'étant pas très doué pour parler, il communique beaucoup avec ses collègues par l'intermédiaire d'e-mail ou de l'utilisation de Whatsapp. 9.Il cultive un certain goût pour l'art. Enfant, sa nounou l'encourageait à exprimer ses sentiments par l'intermédiaire de l'écriture et de la musique.
interview de Harvey M. Prince, agent du dlcem.
01. •• VOYEZ-VOUS À TRAVERS LA BRUME ? SI OUI, À QUEL DEGRÉ ET COMMENT VOUS EN ÊTES-VOUS RENDU COMPTE ? Harvey : J’ai toujours possédé le don de voir à travers la brume. Les créatures mythologiques ont fait partie de ma vie depuis ma plus tendre enfance. Le psychiatre qui m’utilisait comme cobaye faisait lui-même partie de cette espèce. Au départ, je n’y prêtais pas attention. Comme tout enfant faisant des cauchemars, je mettais cette vision sur le compte de mes propres frayeurs. Après tout, l’imagination des enfants est illimitée et j’aurais pu me laisser facilement impressionné par cet homme si effrayant et qui m'avait fait tant de mal. Les années passant, je me suis rendu compte qu’il n’était pas la seule personne non humaine dans ce monde. Je devais donc avoir 15 ans lorsque je compris ce qui se tramait autour de moi. Après mon don est vacillant et je ne distingue pas forcément toutes les créatures autour de moi… Je dirais que je peux les repérer avec certitude 1 fois sur 3 !
02. •• AVEZ-VOUS DES CONNAISSANCES DE L'EXISTENCE DES MONDES MYTHOLOGIQUES ? SI OUI, À QUEL DEGRÉ ET COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LEUR EXISTENCE ? QUE PENSEZ-VOUS DE LA MYTHOLOGIE ? Murray : Ah ça oui, je le connais et même plutôt bien ! J’ai découvert ces abominables créatures, lorsque je suis tombé sur un bouquin parlant de ces monstres durant mon enfance ! Au début je ne voulais pas y croire ! Difficile de penser qu’il puisse exister des créatures mythologiques lorsque l’on a été élevé dans la croyance d'un Dieu unique ! J’ai toujours vu ces créatures comme des abominations. J’ai également haïs de tout cœur les fils et les filles de ces soi-disant dieux. Ils se croient tellement supérieurs à nous alors qu’en réalité, il n’en est rien ! Leurs pouvoirs ne les rendent pas exceptionnels, ça fait juste d’eux des petits crétins arrogants ! Je crains pour l'avenir de notre espèce et je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour protéger les nôtres ! Qu’ils s’avisent de nous imposer leur loi, ils seront bien reçus !
03. •• QUELLE EST VOTRE PLACE DANS L'ORGANISATION ? POURQUOI ET COMMENT L'AVEZ-VOUS REJOINTE ? Harvey : J’occupe la double position d’agent de renseignements et d’agent de terrain. Mon rôle consiste à traquer les demi-dieux itinérants afin qu’ils puissent être retrouvés par les unités d’intervention. Je n’occupe cette position qu’à mi-temps. Le reste du temps, je prends moi-même part à ces conflits ouverts. Cela me permet de retrouver les émotions fortes que je vivais lorsque je faisais partie des marines dans l’armée des Etats-Unis. Je ne suis pas le leader de ces unités. En revanche, en tant qu'officier en second, j’ai pour tâche de seconder mon chef et de m’assurer à préserver une bonne cohérence dans le groupe. C’est une atmosphère que j’apprécie beaucoup ! Bien que je ne sois pas un radicaliste, je ne remets pas en question les ordres de mes supérieurs. Si on m'ordonnais de tuer un enfant demi-dieux, je le ferais ! C'est mon devoir de soldat après tout !
Murray : Ouais enfin… c’est bien joli tout ça mais ce n’est qu’une partie de la Vérité. Vous voyez, ce que mon looser d’alter-ego ne vous dit pas c’est que c’est surtout pour nous un moyen de nous décharger de notre hargne et de notre violence. Il faut bien que des humains acceptent de se salir les mains pour débarrasser le monde de ces créatures démoniaques ! C’est donc par idéal qu’on a accepté de s’engager dans le groupe du DLCEM ! Dès que leurs agents nous ont tendus la main, nous l’avons saisie en toute confiance ! Après tout, la vie est courte, non ? A quoi bon s’encombrer d’un sens éthique et moral ? C’est pas comme ça qu’on gagne une guerre !
04. •• AVEZ-VOUS PARTICIPÉ À L'INTRUSION DES CAMPS ? QU'ÉTAIT VOTRE RESSENTI ALORS ? Murray : Oh oui ! C’est sûr que j’ai participé à l’attaque des camps ! Je me trouvais au camp Jupiter lorsque nous avons donné l’assaut ! Ce fut un véritable bain de sang et je trouvais cette situation tellement jouissive ! Ces monstres croyaient être à l’abri, bien tranquillement cachés dans leur camp retranché. Ce n’était pas le cas ! Je suis certain que des personnes pourront être choquées par nos agissements… après tout « Ce n’était que des enfants, non ? ». Sauf que je vous rappelle que ces lieux entraînent leurs chères têtes blondes à se battre ! Et que derrière ces jolies frimousses, se cachent en réalité des armes de destruction massive absolues ! Si vous vous demandez si j’ai honte d’avoir participé à cette opération, ma réponse est non ! J’en suis même sacrément fier !
à propos du joueur.
PSEUDO/PRÉNOM •• Miosyz. ÂGE •• 29 ans. COMMENT AS-TU CONNU MALUM DISCORDIAE ? •• Grâce à de bonnes copines à moi. COMMENT TROUVES-TU LE FORUM •• Il est vraiment génial ! AVATAR •• Michael Fassbender. SOUHAITES-TU UN PARRAIN ? •• Oui, bien volontiers ! SI JAMAIS JE PARS •• je n'autorise pas les admins à se servir de mon personnage comme pnj dans les intrigues. (le personnage ne sera pas déformé ni joué par les autres joueurs, il appartient toujours à son créateur) UN DERNIER MOT •• écrire ici.
Sujet: Re: Harvey M. Prince "Welcome in a black and white world!" Ven 6 Jan - 15:22
HISTOIRE
Il y a des souvenirs qu'il serait bon d'oublier
Je suis né le 30 avril 1978 en Caroline du Nord, plus précisément au camp militaire Lejeune appartenant aux forces des marines des Etats-Unis. Fils d’un haut dignitaire de l’armée, le colonel Thomas McMillan, mon avenir était tracé bien avant ma naissance ! Ma mère, Marlène, était infirmière dans le même camp. Mes parents s’étaient rencontrés durant la guerre du Viet Nam alors que mon père était en convalescence dans l’infirmerie où ma mère travaillait. Le coup de foudre fût immédiat et ils se marièrent quelques mois après la fin de la guerre. Trois ans plus tard, ma mère donna naissance à un magnifique petit garçon à la chevelue châtain et aux yeux bleux qu’ils prénommèrent Harvey Thomas. Cette naissance combla mon père de fierté qui était dès lors assuré que la lignée martiale de la famille serait garantie. Ma mère en revanche ne pouvait pas partager la joie de mon père. Soumise à des dépressions depuis des années, son fils finit par en pâtir à la naissance. Elle plongea dans une profonde dépression post partum qui dura presque une année. Privé du contact réconfortant avec ma mère, je ne pouvais compter que sur le soutien d’un père absent et souvent très occupé par ses propres affaires. Autant dire que les premiers mois de ma vie ne furent pas évidents. Certains spécialistes qui me suivront dans le futur prétendront que ce fait aura eu des impacts sur ma future vie sociale.
Fort heureusement, ma mère se porta lentement mieux et put rattraper ces mois d’absence avec tout l’amour et l’affection dont elle était capable. J’étais entouré de tout ce qu’un petit garçon pouvait rêver d’avoir. Le camp Lejeune était, selon mes parents, le lieu parfait pour élever un enfant. Ecole, hôpitaux, église… tout ce qu’il fallait à un fils de bonne famille ! De primes abords, c’est d’ailleurs ce que nous semblions être aux yeux de tous. Une parfaite famille de militaire où le grade du père et les engagements communautaires de la mère suffisaient à rendre notre famille véritablement exemplaire. Hélas, la réalité était bien plus sombre que cela ! Après tant d’années de violences quotidiennes, mon père qui possédait une discipline extrêmement stricte finit par utiliser la force pour corriger les comportements et les déceptions que ma mère et moi lui faisions vivre au quotidien. La découverte de problèmes psychologiques de son fils ne calma en rien sa sévérité. A l’âge de 4 ans, les psychiatres diagnostiquèrent chez moi un léger autisme. Ils étaient parvenus à cette conclusion après avoir observé ma difficulté à m’intégrer auprès de mes petits camarades. Je restais souvent seul à jouer dans mon coin, plongé dans mon propre univers et évitais les réunions de famille ou de groupe qui me mettaient terriblement mal à l’aise. Ces évènements pouvaient d’ailleurs créer chez moi des comportements violents qui me poussaient à agresser verbalement ou physiquement mon entourage. Je souffrais également de problèmes de langage. Je n’étais pas capable d’énoncer mes idées très clairement et mes phrases étaient souvent incompréhensibles et parsemées de ci, de là par des balbutiements et des mots répétés de manière non intentionnelle. Mes parents avaient alors peur pour mon avenir. Comme bien souvent à cette époque, ma maladie fut expliquée de la manière la plus cruelle qui soit. On accusa ma mère d’y être responsable. Après tout, si j’avais développé cette maladie c’était bien parce que ma mère était absente durant la première année de ma vie, non ? Ces médisances et ces regards en coin étaient si inconfortables que ma mère plongea une nouvelle fois dans une longue et profonde dépression.
Hospitalisée, ce fut mon père qui une fois de plus devait se charger de l’éducation de son petit garçon de 6 ans. Cet évènement fut une véritable tragédie pour moi car malgré tout ce que les détracteurs de ma mère pouvaient affirmés, j’aimais profondément ma mère. Ma douleur fut encore augmentée devant le comportement distant de mon père. Il semblait croire que si ma mère était aussi malheureuse, c’était de ma faute ! Que j’étais responsable de cette situation et que si je n’étais pas venu au monde, ma mère ne serait jamais tombée malade. Mes rapports avec mon père devinrent alors froids et distants. Mon père ne s'adressait à moi que pour me faire des reproches et ils me battait bien plus souvent qu'auparavant. Son comportement violent, mêlés à mes problèmes sociaux dus à mon autisme ne firent qu'aggraver les choses dans mon psychisme. Afin de me protéger psychologiquement, je finis par développer une nouvelle maladie appelée communément, troubles dissociatif de l'identité (TDI).
Fort heureusement pour moi, mon père n'était pas la seule personne chargée de mon éducation. Doris Summers et je m’attachais très vite à cette femme très douce et pleine de vie. Ce n’était pas la première fois qu’elle s’occupait d’enfants autistes et elle m’aida beaucoup à améliorer mes problèmes de dictions et même mon intégration dans des groupes sociaux. Elle m’encouragea notamment à m’exprimer par l’écriture et la musique et me proposa même de jouer quelques fois avec son fils Arthur, pour m’apprendre le plaisir de jouer en groupe.
Un jour, alors que nous nous amusions tranquillement avec Arthur dans la rue, une bande d'adolescents vinrent nous embêter. Ils nous lançaient des insultes, cassèrent nos très chers jouets et s'en prirent physiquement à nous. Le plus costaud d'entre eux m'avait alors saisit par le col de mon T-shirt et me menaçaient de me faire subir les plus atroces des traitements. Bien qu'Arthur tentaient de prendre ma défense, cela n'y changea rien. A la plus grande surprise de tous, ce fut ma deuxième personnalité qui résolus le problème. Restant impassible, plus effrayé que jamais, le petit garçon qu'il tenait entre ses mains n'était plus le même. Plus sûr de moi, je repoussais ses assauts avec violence. Mon changement de comportement fut si radical que quelques coups et paroles bien placées suffir à faire fuir les importuns. Arthur n'en revenait pas ! Le petit garçon qu'il connaissait n'avait rien à voir avec la personne qu'il voyait à présent. Il était capable de parler sans même bégayer et il n'était soumis à aucun tics physiques. Le plus étrange, c'est que son regard semblait vide et absent. Comme si je me trouvais en pleine transe, ce qui était effectivement le cas. Je ne reprise le contrôle de moi-même qu'au moment où mon ami m'interpella. Je redevenais alors le petit garçon timide et réserveré qu’il avait toujours connu. Intrigué, il en parla tout de suite à sa mère. La pauvre Doris eut bien évidemment de la peine à le croire. Ce phénomène se reproduisit pourtant plusieurs fois et titilla la curiosité de ma nounou au point qu’elle finit par en parler à mon père. Il finit lui aussi par assister lui-même à cet étrange phénomène lorsque furieux contre lui, j'avais osé prendre ma propre défense un soir où il voulait me battre.
Jamais je ne l’avais vu aussi heureux que ce jour-là ! Il avait l’impression qu’il pourrait enfin avoir le fils dont il avait toujours rêvé. Persuadé qu’il pourrait exister un remède miracle contre ma maladie psychique, il me conduisit chez un psychiatre qu’il connaissait bien, le docteur Robert Stuart. La diagnostic tomba alors. Je souffrais de ce qu'on appelle communément aujourd'hui le TDI, un trouble dissociatif de l'identité. A l'intérieur de mon esprit cohabitait deux personnalités totalement différentes. Très intrigué par mon cas, le docteur Stuart déclara qu’il pourrait m'aider et proposa de me suivre en thérapie. Acceptant ses conditions, il laissa son fils de 10 ans à ses bons soins. Si seulement mon père avait pu s’attendre à ce qui me serait infligé, peut-être n’aurait-il jamais fait ce choix-là !
Sous des dehors avenant, le docteur Stuart était loin de posséder un sens de l’éthique et une moralité irréprochable. Il remarqua bien vite que ma deuxième personnalité ressurgissait dans les situations stressantes et effrayantes. Il me plaça donc dans des situations très difficiles pour voir à quel niveau de stress ou d’anxiété je devais être soumis pour voir ressortir cette deuxième personnalité. C’est sans doute pour cette raison que ma deuxième personnalité admirable de primes abords devint plus violente et vindicative. Au cours de ces séances, mon alter ego prit le prénom de Murray, une identité qu’il garderait à jamais dans mon esprit ! Au cours de ces mois de thérapie, mon état ne s'améliora pas, bien au contraire. J'avais régulièrement des absences et des amnésies. On me punissait pour des bêtises que je ne me rappelais pas avoir commises. Je m'égarais dans les couloirs de l'hôpital sans me souvenir de comment je m'y étas rendu. Finissant pas constater les problèmes liés à ma thérapie, mon père perdit sa confiance en mon médecin et me fit arrêter cette thérapie..
Cette expérience traumatisante, me conduisit à faire d’atroces cauchemars. Des images horribles de mon psychiatre défilaient dans mon esprit. Je me mis à me rappeler de lui sous une forme d’autre qu’humaine. Une apparence qui ressemblait à s’y méprendre à celle d’un satyre qui peuplaient mes livres d’histoires sur la mythologie grecque. Oh bien sûr, je ne pensais pas une seconde que ces images étaient vraies ! S’imposer ce genre de pensées alors que l’on a à peine 15 ans est déjà suffisamment perturbant. Je ne voulais pas que mon entourage s'inquiète et je refusais donc d’en parler autour de moi et me convainquis qu’il ne s’agissait que du fruit de mon imagination !
Sujet: Re: Harvey M. Prince "Welcome in a black and white world!" Ven 6 Jan - 15:24
HISTOIRE
Soldat un jour, soldat toujours !
Espérant toujours guérir son fils, mon père me plaça entre les mains du docteur Jennifer Borckman. Les choses s'améliorèrent alors radicalement. En une année de thérapie, mon psychiatre parvint à calmer les manifestations de ma deuxième personnalité. Plus de cauchemars ou de troubles de mémoire ! Elle fut d'ailleurs la première à expliquer clairement les raisons de ma maladie. Apparemment, mon TDI se développa à la suite des mauvais traitements physiques que mon père m'avaient fait subir. Mon subconscient avait alors crée une deuxième personnalité qui représenterait le fils parfait dont mon père avait toujours rêvé. C'était un moyen pour moi de me barricader et de me protéger. Car si je correspondais enfin à l'image que mon père se faisait de moi, il arrêterait de me battre. Elle comprit également que mes crises de personnalité étaient liées à des éléments me rappelant les terribles sévisses que j'avais subis comme être enfermé dans des endroits sombres et humides, qui me rappelaient la cave où j'étais violenté. Bien sûr, ma thérapeute n'en toucha pas un mot à mon père ! Non, ce fut ma mère qui entendit toutes ses horreurs ! Prenant son courage à deux mains, elle se sépara de mon père et demanda au tribunal une ordonnance d'éloignement contre lui. Craignant une mauvaise publicité pour le camps Lejeune, mon père dut quitter l'armée et l'endroit où ma mère et moi vivions. A partir de là, je pus enfin de bâtir une vie meilleure ! J'étais à présent cliniquement guéri et pouvait envisagé l'avenir plus sereinement.
Le plus étrange, c'est que l'absence de mon père ne m'éloigna pas de l'armée. Bien au contraire, je demandais moi-même à ma mère d'entrer à l'académie militaire. . Je découvris alors pour la première fois l’art de la guerre et je me passionnais très vite pour ce domaine. La stratégie militaire ainsi que l’ingénierie de l’armement devinrent mes matières fétiches. Je pouvais passer des heures le nez plongé dans mes ouvrages historiques et scientifiques sans jamais m’en lasser. La partie pratique de mon instruction me posait cependant plus de problèmes. J’étais maladroit et les exercices de parcours du combattant ou les courses d’obstacles me paraissaient difficiles à réaliser. En revanche, je possédais un talent certain pour le tir. C’est sans doute ce qui me permit de conserver ma place sur le terrain. Possédant une réelle motivation pour le métier des armes, je fis mon possible pour améliorer mes compétences physiques dans l’espoir de pouvoir un jour partir sur le terrain.
La fin de mon adolescence fut également la période des premiers émois et des hormones en folie. Je compris alors que mon autisme ne serait pas la seule chose qui me distinguerait de mes camarades. J’avais toujours eu conscience de mon attrait pour les hommes mais je dus attendre ma formation à l’académie pour en avoir la certitude. Je gardais cependant ce secret pour moi ! Avouer mon homosexualité dans ce milieu n’était pas une chose évidente et je craignais plus que tout que ma mère, très conservatrice, puisse se douter de quoique ce soit ! La pression subie par la conservation de ce secret ne fit qu’augmenter l’influence de ma deuxième personnalité provoqua le retour de ma deuxième personnalité. Bien que bégnine, il m'arrivait parfois quelques scènes très étonnantes. Je me réveillais dans les bras de filles que Murray avait séduit la veille, je reprenais conscience au volant de ma voiture dans des lieux où je ne me souvenais pas m'être rendus. je gardais cependant ce secret pour moi, ne désirant pas alarmer mon entourage. Il ne s'agissait après tout que de petits évènements occasionnels. D’un certain côté, j’enviais l’assurance et l’envie de croquer la vie à pleine dents que possédait Murray. Je voulais prouver à tous que j’étais capable d’être une personne et un fils admirable sans que mon alter-ego n’intervienne dans ma vie !
Me jetant à corps perdu dans mes études, je finis par terminer ma formation avec une mention « excellente ». Mes faibles compétences physiques me firent renoncer à partir sur le terrain. Je devins donc sergent instructeur et choisis d’enseigner mon savoir auprès de nouvelles jeunes recrues prometteuses. Ce travail me plus énormément et je le pratiquais jusqu’à l’entrée en guerre des Etats-Unis avec l’Irak en 2003. Dans sa lutte contre le terrorisme, notre armée était désormais engagée sur 4 fronts à la fois et avait grand besoin d’hommes sur le terrain. A ma plus grande surprise, je fus convoqué dans le bureau du général de la base. Il me confia alors qu'ils auraient besoin de mes services sur le terrain. Je ne rajoutais rien acceptant cette nouvelle affectation qui serait à présent la mienne en Irak. La guerre était cependant très difficiles et les situations stressantes ne manquaient pas. Je voulais absolument éviter le retour de Murray dans ma vie et c'est pourquoi, je pris rendez-vous avec le docteur Brockman avant de partir. Cette dernière me donna de précieux conseils, me recommandant de me concentrer sur les exercices de méditations et sur la prière qui m'avaient toujorus aidé dans les situations de panique.
Après m’être fait les dents sur le terrain dans un premier régiment, je reçus très vite l’ordre de rejoindre une seconde unité. Le capitaine de cette unité, Benjamin Moonstar, venait de perdre son second dans des circonstances tragiques. Etant donné mon grade de lieutenant, je fus désigné d’office comme nouveau second. Dès le départ, cette situation m’inquiéta. Le capitaine Moonstar était réputé pour être extrêmement strict et peu enclin à changer d’homme au sein même de son unité. Je me doutais que mon nom et que quelques conseils stratégiques avisés ne suffiraient pas le convaincre que j’étais bien à ma place. Je fis donc tout mon possible pour mériter mon rang dans l’équipe et mes efforts furent récompensés. Au fur et à mesure que le temps passait, je me rapprochais de mon capitaine au point de devenir son plus proche confident. Il devient également mon premier amant. Notre liaison n’était pas bien sérieuse, cependant notre amitié était pour moi un réconfort inestimable. Ben était la première personne à me respecter en tant qu’Harvey, sans se préoccuper des qualités que possédait ma deuxième personnalité. Son affection m’apporta une certaine stabilité. Il m'aida bien plus que mes exercices à empêcher les apparitions de Murray. Les deux années de service que j’effectuais sous ses ordres furent les plus belles de ma vie. Malheureusement toutes bonnes choses ont une fin et celle de Ben fut l’une des plus horribles qui soient.
Alors que nous effectuions une mission de reconnaissance dans le désert, pour établir un nouveau campement, nous traversions à notre plus grande surprise un terrain miné. L’une des jeeps sauta sur une mine et l’explosion propulsa le véhicule dans les airs qui vint s’écraser à deux pas de la camionnette qui le suivait. Dans un réflexe malheureux, le chauffeur de la camionnette qui lui suivait tourna le volant. Elle finit sur le toit et son moteur avait pris feu. Hors, il se trouvait que le chauffeur du véhicule n’était autre que Jake, le plus jeune frère de Ben. Il refusa de l’abandonner et sans prendre en compte mes recommandations, notre capitaine se précipita vers la camionnette dans l’espoir de pouvoir le dégager. Ce fut peine perdue ! Au moment-même où il rejoint son frère, le véhicule explosa à son tour. C’est ainsi que je perdis mon meilleur ami.
Cette perte fut une terrible tragédie pour moi. Je venais de perdre la seule personne qui me permettait de conserver le contrôle sur moi-même. La mort de Ben provoqua le retour en force d’un Murray vengeur, plus violent et agressif que jamais. Je commençais à prendre un plaisir sadique à faire souffrir nos ennemis plus que de raison. Devenu le capitaine de mon unité, je ne cessais de maltraiter mes hommes et de les pousser à bout. Même ma première personnalité finit par en pâtir de ce grand malheur. Je devins beaucoup plus sombre et finis par plonger dans une profonde dépression. Je finis par tenter de me supprimer moi-même à plusieurs reprises. Devant la gravité de la situation, l’Etat-major décida de ma mise à pied définitive.
Ce fut le début d’une véritable descente aux Enfers pour moi. Je me trouvais enfermé en hôpital psychiatrique pour me guérir de ma dépression. Cette hospitalisation dura un peu plus d’une année. Je réintégrais ensuite ma famille, espérant pouvoir y trouver un peu de réconfort. Ce ne fut hélas pas le cas ! Ma famille ne s'en remettait pas de mon renvoi de l'armée. Pour couronner le tout, mes parents eurent beaucoup de mal a accepter la révélation de la nature de ma relation avec Ben. J’avais l’impression d’être isolé, rejeté par ma famille dans tout ce que j’étais. Renvoyé de l’armée, je devais à présent changer d’orientation professionnelle. Je me tournais dès lors vers la psychologie pour laquelle je nourrissais une grande passion. Je joignis dès lors l’université de Chapel Hill en Caroline du Nord, réputée pour son enseignement de grande qualité. Elève studieux, j’effectuais de brillantes études. Elles ne me permirent hélas pas de retrouver un semblant de vie normale, bien au contraire !
A cette époque, je commençais à nourrir une profonde aversion et une haine farouche face à tout ce qui pouvait appartenir au monde mythologique. Durant des années, je m’étais contenté d’ignorer les créatures mythologiques qui croisaient ma route. Ce détail n’avait que peu d’importance pour moi. Après tout, à l’époque où j’appartenais au corps des marines, mes camarades demi-dieux faisaient pour moi partie de la famille. Cependant, après la mort de Ben, ma foi religieuse avait prit des propention inquiétante. J’avais développé un profond fanatisme religieux. Cette institution représentait pour moi un phare dans la nuit et je me résolus à combattre toutes les créatures démoniaques qui faisaient affront à l’Eglise à laquelle j’appartenais. Ma violence s’exprima tout d’abord au travers d’accrochages avec des étudiants ou des bagarres dans des bars. Elle devint cependant beaucoup plus sournoise avec le temps. Par curiosité scientifique pour Harvey, par goût de la torture pour Murray, je suivais l’exemple de mon ancien psychiatre. Je choisissais avec soin mes sujets d’étude et, dans le plus grand secret, je séquestrais et torturais des cobayes qui avaient tous comme point commun d’appartenir à l’espèce des demi-dieux. Bien sûr, je conservais le résultat de mes recherches pour moi. Cela n’empêcha pourtant pas la police de découvrir le pot aux roses. Je finis par être arrêté et passais trois années de ma vie en prison jusqu’en 2013.
Une fois dehors de ma prison, je partis à New-York avec la ferme intention de me faire oublier. Je changeais de nom de famille et adoptais celui de Prince, en hommage au génie de Morton Prince, ce génie qui avait été l’un des pionniers en matière de recherche sur les personnalités multiples. Je créais alors mon propre cabinet de psychologie que je pus maintenir durant une année. Ce fut tout d’abord pour moi un réel plaisir mais passer des heures à entendre mes patients parler de leurs problèmes ne me permettait aucunement de retrouver cette dose d’adrénaline des combats qui me manquaient horriblement. Mes deux personnalités parvinrent à cohabiter pacifiquement même si un Murray un peu trop effacé venait à se plaindre dans mon esprit de la vie trop monotone de son alter-ego. Et puis un jour, comme une opportunité tombée du ciel, je fus contacté par le gouvernement. Le résultat de mes recherches sur les créatures mythologiques, publiées de manière anonyme, avaient fini par tomber entre leurs mains. Ils avaient fini par remonter la piste jusqu’à moi. Après avoir pris connaissance de mes états de services, non seulement en tant que scientifique mais également en tant que soldat, ils me proposèrent de rejoindre les rangs du DLCEM, unité qui avaient pour but de lutter contre les créatures mythologiques. D’un commun accord avec mon alter-ego, je finis par accepter. C’est ainsi que je fis mon entrée au DLCEM en 2014. Disposant de la double fonction d’agent au sein du département de recherches et du département d’intervention. Ce travail me plaisait et aux pris de beaucoup d’efforts, je finis par me faire une place de choix au sein de mes différentes équipes.
Une année plus tard, j’eus le privilège de pouvoir participer à l’attaque des camps dissimulés des demi-dieux. Je faisais partie de la troupe déployée sur le camp Jupiter. Ce fut une véritable boucherie ! Suivant à la lettre les instructions de mes supérieurs, je me lançais à corps perdu dans le combat avec une fureur et un plaisir qui m’effrayaient moi-même. Je ne sais pas combien de personnes je tuais ce jour-là. Ce que je savais en revanche, c’est que mes convictions n’avaient jamais été aussi fortes qu’en ces instants.
Désormais, je vis au rythme de mon unité, me tenant prêt à combattre si les demi-dieux s’avisaient de se lancer dans une contre-offensive ! Quoiqu’il en coûte, je suis fier d’appartenir au DLCEM !
Sujet: Re: Harvey M. Prince "Welcome in a black and white world!" Sam 7 Jan - 15:51
OMG, je suis tellement fan du choix d'avatar et de parent divin ! (re)Bienvenue avec ce nouveau personnage, je suis curieuse de découvrir la suite de ta fiche ! (Attention simplement avec les deux personnalités à ne pas tomber dans l'excès de la bonne personnalité/mauvaise personnalité, mais je te fais confiance là-dessus. )
Sujet: Re: Harvey M. Prince "Welcome in a black and white world!" Sam 7 Jan - 17:14
Merci beaucoup pour ton message !
J'espère qu'il vous plaira ! C'est tout à fait le genre de personnages qui est dans mes cordes. Par contre, je ne comprends pas ce que tu veux dire par excès de bonne et de mauvaise personnalité ? Je vais essayer de varier les deux personnalités pour que l'une et l'autre puissent avoir chacune des qualités et des défauts qui leur sont propres... Est-ce que c'était à ça que tu faisais référence ?
Sujet: Re: Harvey M. Prince "Welcome in a black and white world!" Sam 7 Jan - 18:18
Non, je faisais plus référence au côté parfois cliché que l'on peut retrouver avec ce type de personnage et justement une personnalité gentille, innocente et tout ce qu'on veut et l'autre bien plus méchante, so d4rk quoi (juste pour illustrer ma pensée). Un passage m'inquiétait un peu quand à cette dérive un peu trop fréquente et vue mais tu as dû avancer dans ta fiche puisqu'il n'y est plus ! Bref, ça n'a pas d'importance, je parle dans le vide vu que je n'ai pas encore lu ta fiche ! C'était juste un « Attention ! » au cas où !