01. •• QUE PENSEZ-VOUS DES DIEUX ? ET DES ROMAINS ? Ils me font penser aux hommes politiques. Les dieux se dissimulent derrière richesse et pouvoir en prétendant avoir des responsabilités, alors que leur seule et unique occupation est de savoir comment ils seront vénérés aujourd’hui. Néanmoins je crois en leur existence, ce qui est normal quand on est soi-même issue d’un dieu pas vrai ? les temps ont changé, les mœurs aussi et je ne peux pas dire que je me sente en sécurité. Il y a eu tellement d’attaques, et parfois je me suis demandée : mais où sont les dieux ? que font-ils en ces temps de guerre ? est-ce qu’ils vont aider leurs enfants ? c’est aussi leur bataille après tout non ?

Les romains, je n’en ai pas souvent rencontré. Ce n’est pas que je suis anti sociale bien au contraire, mais, la Colonie est comme une famille pour moi, et c’est compliqué d’intégrer des gens inconnus. Cependant, je me rassure en me disant qu’ils sont comme des alliés, qu’ils défendent les mêmes intérêts que nous. J’attends de voir comment ils peuvent se battre avant de me forger un avis solide.

02. •• QUE FAISIEZ-VOUS ET OÙ ÉTIEZ-VOUS LA NUIT DE L'INTRUSION (FÉVRIER 2015) DE LA BANDE ARMÉE DE MORTELS AU SEIN DE LA COLONIE ? ET LORS DE L'ATTAQUE A LA FÊTE DE MONSIEUR D ? (SEPTEMBRE 2015) Lors de l’attaque, j’étais en train de dormir. Ou disons que j’essayais de lire mais dans le noir, alors je les ai entendus arriver. Je pensais que c’était simplement un animal ou un troupeau. J’aurai dû insister plus je pense. C’était une période où j’étais assez perturbée, je n’arrivais pas encore à me faire totalement au règlement de la Colonie, malgré mon âge, j’étais comme folle. Quand j’ai entendu le boucan dehors, je suis allée chercher de quoi me battre et je suis tombée sur un bâton de bois, c’était suffisant, malheureusement, avec la folie extérieure, c’était comme si j’avais tout perdu dans mes capacités, j’étais effrayée, ou disons lâche. Je me suis défendue, j’ai couru, je suis restée aux côtés d’une blessée pour la cacher afin qu’on ne l’achève pas. Elle est décédée de ses blessures pendant la bataille.

J’étais la première debout pour la fête de Mr D. je n’allais pas rater une occasion pareille de faire la fête ! ça ne me ressemble pas du tout. Je ne m’étais pas encore vraiment remise de février 2015. Je pensais à cette demi-déesse qui est décédée, et je faisais pas mal de bêtises à ce moment-là, comme si la provocation me rassurait. Quand l’attaque a eu lieu je dansais ce qui m’a protégée tout le long car les gestes que je faisais rendaient des ennemis déments si bien que certains sont tombés dans les pommes.

03. •• QUE PENSIEZ-VOUS DES MORTELS JUSQU'ALORS ? ET MAINTENANT ?  Jadis, je m’en fichais un peu. Ils étaient là ou non, peu m’importait. Certains étaient gentils, d’autres moins accueillants. Quand j’étais dans l’Ohio, mes amis étaient des mortels.

J’ai nourri une certaine haine. Si bien que je ne peux accepter aucun mortel. Ce sont tous des assassins, et au fond, bien que certains sortent du lot, ils sont tous semblables. Ce sont des êtres vaniteux, jaloux, possessifs et stupides. L’humain a toujours cherché à tromper son frère, l’aidant à grimper dans la société pour mieux le détruire. Ils se sont attaqués aux mauvaises personnes. je sais que si je croise un mortel un jour, je ne pourrais pas m’empêcher de lui faire du mal.

04. •• VOUS SENTEZ-VOUS PARTICULIÈREMENT EN DANGER OU DÉMUNI FACE À CETTE  MENACE INVISIBLE ET IMPRÉVISIBLE QU'EST LE DLCEM ? Ça ne sert à rien de le cacher. J’ai peur. Déjà parce que je ne contrôle pas assez bien mes capacités, ensuite parce que je n’arrive pas à être réfléchie et enfin, parce que je ne suis pas aussi informée que je le souhaiterai. Comment se battre contre un ennemi que l’on ne sent même pas dans le vent ? ce qui est certain c’est que ma terreur s’est transformée en une force qui me sert pendant les entrainements. J’ai cette volonté de les vaincre, de les écraser, parfois trop extrême, parfois trop investie. Je resterai loyale à la Colonie peu importe le danger que cette ombre représente.

PSEUDO/PRÉNOM •• immortan joe ou adé. ÂGE •• 19 ans. COMMENT AS-TU CONNU MALUM DISCORDIAE ? •• demandez à Jordan et son charisme légendaire, et à la superbe joueuse derrière. COMMENT TROUVES-TU LE FORUM •• je verrai bien mais déjà j’aime le contexte. AVATAR •• aya shalkar. SOUHAITES-TU UN PARRAIN ? •• un volontaire ? UN DERNIER MOT ••  .

song awake.

« - debout princesse. » début d’un jeu vidéo des années 2000. Elle ne reconnait pas l’endroit, elle ne saisit pas l’odeur, ses yeux se plissent, ses cheveux tombent dans son dos et devant elle se dressent quelques personnes ; des jeunes, des gens faisant visiblement partie d’un quelconque personnel. Mo se frotte le crâne, comme si on l’avait assommée « - ne t’en fais pas chérie. Nous n’avons pas touché à ta belle frimousse. Lève-toi, ton père t’attend. » on s’éparpille. On laisse la méduse émerger. Son père ? elle ne l’a pas revu depuis qu’elle avait atteint de justesse sa majorité. Elle suit cependant le mouvement, sans savoir où elle va. Il y a beaucoup de monde ici, beaucoup d’agitation ; ça respire le jouvenceau. « - monica. » un homme s’avance, pose une main sur son épaule en guise de signe d’affection et elle comprend qu’il s’agit de Dionysos « - où est maman ? » lâche la jeune adulte de 22 ans, les sourcils froncés et les poings serrés. « - maman t’a envoyée ici, elle est restée dans l’ohio. » ; « - pourquoi elle aurait voulu se séparer de moi ? tu l’as forcée ? » l’homme parait tranquille malgré l’hostilité de sa fille « - c’est pour ton bien. Viens, quelqu’un va t’expliquer les règles de la colonie. » une colonie ? une colonie de quoi au juste ? de vacances ? d’entrainements ? à quoi ça se résume tout ça ?

song chick habit.

« - viens je te dis qu’il n’y a pas de dangers ! » elle file la souris, se glisse entre les bungalows assomme de son pouvoir les possibles obstacles sur son chemin. Sa comparse ne la suit pas. elle hésite. Triture ses doigts et ses lèvres avant de secouer la tête « - on ne devrait pas faire ça mo. Si on se fait attraper on peut avoir de gros ennuis ! » elle recule. Monica avance. « - t’en fais pas, mon père ne laissera jamais sa fifille avoir des soucis. » ce qui est totalement faux. Mr D ne fait pas dans la subjectivité et elle le sait très bien. « - je veux juste voir ce à quoi ressemble la nuit qui tombe sur l’eau ! on pique un canot, on rame quelques mètres et tout ira bien ! » ce n’est pas la première bêtise ni la dernière que la brune fait depuis qu’elle a intégré la colonie. Elle n’arrive pas à rester en place, à lire et à respecter ces règles. Elle a hurlé les premiers jours, s’agitait partout comme si elle souffrait de démence, pleurait. Elle était faible, sensible, épuisée, nauséeuse. Aujourd’hui elle est beaucoup plus calme en apparence, mais sa soif d’aventure n’est jamais assouvie. Elle a le goût du risque, fait tourner en bourrique le personnel de la Colonie. Elle se fait punir aussi, parfois sévèrement. C’est comme une enfant qu’on essaie de dompter alors qu’elle n’écoute que son instinct.

song girl you’ll be a woman soon.

Elle le fixe ce professeur. Le regard sévère alors qu’il explique simplement le but de cet enseignement. D’où a-t-elle besoin de maitriser ses pouvoirs ? monica croise les bras mâchant nerveusement l’intérieur de ses joues alors que son regard glisse vers le terrain d’entrainement. Elle se saisirait bien d’une lance pour taper sur quelques mannequins, comme la fois où elle en avait neutralisé un entièrement, s’étant alors résignée à le jeter dans le lac ni vu ni connu. Monica a 24 ans et elle s’est apaisée depuis son arrivée ici. Mr D l’a obligée à prendre des cours avec un fils de Déméter afin qu’elle puisse bien utiliser ses capacités. Mais elle, ça l’ennuie. Elle aimerait courir, hurler encore, respirer un air qu’elle trouve certes, bien meilleur que dans l’ohio. Sa mère lui manque mais beaucoup moins qu’avant. ses désobéissances sont devenues moins régulières, plus contrôlées et désormais, elle a nourri une espèce de respect pour les gens qui prennent soin de ces jeunes de la Colonie. Mais un esprit libre dans une personnalité téméraire reste d’un côté indomptable bien qu’elle soit devenue une membre loyale du groupe des demis dieux. Elle a envie de lui tirer la langue à cet adulte se tenant debout devant elle. il a un air menaçant et à la fois compatissant, ses cheveux sont bouclés, son physique est imposant, et sa voix se perd parmi les explications qu’il donne. Monica, elle, dandine ses épaules, change régulièrement de position ; cet apprentissage risque d’être long, au fil des jours, et elle a bien envie de s’amuser un peu avec ce maitre.

song bang bang.

Ça commence comme d’habitude, par une naissance de père inconnu, un tiers donneur lui avoua sa mère alors que monica avait 12 ans. elle était curieuse la gamine, mais on interdisait, dans ce genre de situation, de rechercher celui qui avait engendré l’enfant. columbus était la ville la plus peuplée de l’ohio. Il y avait une université où la brune se voyait bien étudier plus tard. Elle voulait garder les mêmes amis que ceux qu’elle s’était fait quand elle était petite. Ils étaient une team, une famille, mais mo était différente. Des yeux persans, des cheveux noirs, la pointe des joues toujours rosées, une tâche de vin sur la côte, la même caractéristique que son père d’origine. Le refus de savoir n’était pas dans les habitudes de l’enfant, qui, devenue adolescente, posait de plus en plus de questions embarrassantes pour sa jeune mère qui l’avait eu à, à peine 17 ans. les dieux aimaient s’entourer de beautés légèrement fleuries. Ces interrogations menaient bien souvent à des conflits et ensuite à des réconciliations légères. Monica aimait sa maman, elle était comme la femme de sa vie. Si fraiche, si envoûtante. On pouvait comprendre pourquoi Dionysos avait craqué à cette époque. C’était un père absent pour mo, mais présent pour sa maitresse. Il ne connut réellement sa fille, qu’à sa majorité, où mme cobb avait organisé une rencontre entre les deux protagonistes. Monica sut alors que l’existence qu’elle s’était imaginée vivre, ne serait qu’un rêve qui resterait dans un coin de sa tête. Le destin avait prévu d’autres plans pour elle.