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Sujet: « Les rendez-vous mémorables sont clandestins. » ft. Either & Alexanne Mer 8 Mai - 21:24
Les Romains n'étaient pas forcément méprisables comme se plaisait à le véhiculer de nombreux demi-dieux grecs. En fait Tristan avait été plus proche de l'admiration que de la consternation lors de la rencontre autour du feu de camp. Les choses avaient rapidement dégénéré, forçant les deux groupes à se séparer de nouveau, et les romains étaient repartis d'où ils venaient. Pourtant certains d'entre eux étaient restés en contact. Tristan aimait bien contacter Either, un fils d'Invidia, par le biais des Iris-Mail. Et puis il avait découvert qu'Alexanne, une grecque quand à elle, était également amie avec ce type. Et voilà qu'à présent ils se préparaient à quitter la Colonie en douce pour rendre visite au sang-mêlé Romain.
Tristan tapota doucement le cadran de sa montre et jeta un coup d’œil autour de lui. Les deux demi-dieux s'étaient donnés rendez-vous près du lac, un endroit peu fréquenté en soirée, et le fils de Borée priait pour que sa camarade arrive rapidement. Si les harpies débarquaient, leur projet serait repoussé et ils écoperaient sans doute d'une punition. Oh la jeune sang-mêlée n'était pas en retard, loin de là, c'était simplement lui qui était en avance et qui, impatient comme il l'était, trépignait sur place. Quitter la Colonie n'avait plus vraiment de secrets pour lui qui le faisait si souvent. Ces derniers temps il passait d'ailleurs davantage de temps à l'extérieur, trouvant ces moments de liberté totale plus qu'enivrant, explorant avec curiosité cette vie dont Meredith lui avait parlé, cette vie qui l'intriguait chaque jour davantage. Bien sur il avait déjà songé à quitter définitivement les lieux mais chaque fois quelque chose l'en avait empêché. La peur peut-être... Bref l'expédition du jour l'excitait au plus au point.
Assis par terre, la jambe s'agitant spasmodiquement tandis qu'il patientait, il sursauta lorsqu'une branche s'écarta, révélant le visage d'Alexanne. Tristan se leva d'un bond, triturant son bracelet avec nervosité. Il se rapprocha de la fille d'Hécate avec un léger sourire, toujours sur ses gardes avec les gens qu'ils connaissaient mal. Après tout, on ne savait jamais et tout le monde savait que les enfants de cette déesse étaient plus forts la nuit.
« Alors, prête ? »
Techniquement, si elle était là, c'est qu'elle était prête à partir. Il lui fit signe d'avancer en direction de la frontière de la Colonie - honneur aux dames après tout - et s'engagea derrière elle entre les arbres, effleurant chacun d'eux avec une inquiétude contenue. Ils avancèrent en silence pendant quelques temps et Tristan réfléchissait pour un éventuel sujet de discussion. Le silence ne le gênait pas vraiment, il y était habitué et il avait fini par l'apprécier. Cependant ce n'était pas le cas de tous et le fils de Borée connaissait trop mal Alexanne pour savoir quoi que ce soit d'elle. Excepté le fait qu'elle connaisse Either et qu'elle soit prête à sortir de la Colonie pour le voir bien sur.
« Either, tu l'as rencontré lors du feu de camp ou tu le connaissais déjà avant ? »
Voilà une question très bateau. Si elle souhaitait parler, elle développerait. Sinon... Elle se contenterait de répondre et le silence reprendrait ses droits. Enfin Tristan voyait les choses comme ça. Il contempla la silhouette qui zigzaguait entre les arbres devant lui.
« Nous sommes sortis de la Colonie. »
Simplement constatation, parfaitement inutile, mais Tristan estimait qu'elle avait son importance : les harpies au service de la Colonie ne viendraient plus les ennuyer. En revanche ils avaient une chance de tomber sur un monstre prêt à les tuer. Et ça, c'était à savoir tout de même. C'est fou comment autant de mises en garde et constatations pouvaient se cacher derrière une simple phrase. Tristan hésita à poser une nouvelle question, quasiment vitale celle-là. Si les deux sangs-mêlés avaient réfléchi à la façon de quitter la Colonie, à l'heure du rendez-vous, le lieux et compagnie, s'ils avaient fixé tout ça avec le Romain, ils avaient cependant oublié un super détail : comment se rendaient-ils là-bas ? Car oui ils situaient à peu près le Camp Jupiter mais ce n'était tout de même pas la porte à côté.
« Au fait, on y va comment là-bas ? En taxi ? »
Après tout, s'ils trouvaient un véhicule, le trajet ne serait plus si long et ils seraient même à l'heure. Restait à trouver un taxi en soirée. Il se souvint alors de ce qu'un héros lui avait dit, l'un de ces héros qui ne vivait plus à la Colonie mais qui parcourait le monde, à propos des Soeurs Grises. Le temps qu'il se souvienne des détails ils atteignirent une petite route qui slalomait entre les collines et plaines.
« Prête à être secouée ? »
Tristan sortit une drachme de sa poche et ajouta d'une voix peu convaincue la phrase correcte en grec ancien, un équivalent de « Arrête-toi, chariot de la damnation. » Bref pas de quoi sauter de joie ou d'être surexcité. Le fils du vent lança la pièce et celle-ci continua sa route, même après avoir touché la route, comme si de rien n'était. L'asphalte se mit à bouillonner, prenant une inquiétante couleur rougeâtre et une voiture se matérialisa : un taxi gris fumée.
« Euh... Je suppose qu'au moins, on sera à l'heure... »
Les Soeurs Grises : elles n'avaient qu'un oeil, qu'une dent, pour trois. Il paraît qu'elle était d'une grande sagesse. Tristan avait l'impression qu'elles étaient plus proches de la maison de retraite. Quoi qu'il en soit il ouvrit la portière, son coeur faisant un sobre-saut bizarre quand il entrevit les grosses chaînes qui faisaient office de ceinture. Il se glissa à l'intérieur à la suite d'Alexanne et jeta un coup d'oeil aux trois bonnes femmes.
« Deux passagers pour le Camp Jupiter. »
L'une d'elle acquiesça, ses curieuses paupières closes les dévisageant bizarrement, et le taxi se mit en branle, accélérant petit à petit. Tristan se hâta d'attacher sa ceinture et contempla ses pieds. Il n'avait pas le mal des transports mais il sentait que ce voyage promettait d'être... Particulier. La prochaine fois, ils prendraient peut-être un taxi parfaitement normal et mortel. Les trois soeurs commencèrent à se chamailler, débattant sur la dangerosité de déposer deux grecs pile devant un camp de romains. Elles n'avaient peut-être pas tort pour le coup.
Sujet: Re: « Les rendez-vous mémorables sont clandestins. » ft. Either & Alexanne Ven 10 Mai - 22:37
Les rendez-vous mémorables sont clandestins
« Nous avons le choix, vivre, ou exister. »
feat Tristan & Either
La plupart des Grecs trouvaient les Romains détestables, idiots ou même pire. Ils voient en eux une rivalitée éternelle. Pourtant moi, je n'arrivais pas à avoir le même avis. Je n'ai jamais trouvé qu'ils étaient très différents de nous. Ils sont simplement un peu plus entraînés. Enfin non, même pas. Ils sont différement entraînés. Et puis, je ne pouvais rien dire sur eux, j'avais des amis là-bas. Dans un soupire, je rassemble mes cheveux en arrière, et les fixe avec un élastique. Un regard sur ma montre, m'informe que je suis déjà en retard. C'est donc en trombe que je sort de mon bungalow presque vide. Je cours sur les premiers mètres, avant de me stopper et de repasser à une allure normal. Je me rendit souvent dans les parages la nuit, quand je suis incapable de me rendormir. Je connais donc parfaitement le chemins, et le fait qu'il ne fallait pas trop traîner dans les parages la nuit, ou même le soir. Je préfère ne pas imaginer quelle punition nous devrions endurer. Je sens un léger frisson me parcourir le dos à l'idée de devoir récurer les toilettes de la colonie. Si Tristant et moi nous étions donnés rendez-vous au lac, je doute que Chiron ou même certain pensionnaires serait du même avis que nous si ils apprennaient où nous nous rendions. Lors du feu de camp, je me rendit compte que je n'étais en fait pas la seule à avoir sympatisée avec un Romains. Un fils de Borée avait passé un moment avec Either, un garçon que je connais depuis que je suis enfant. Bien qu'il habitait à San Fransisco, il se rendait souvent à New York, et nous pouvions parler. Nous sommes devenues amis, et nous sommes retrouvés au feu de camp organisé entre Romains et Grecs. Sur le chemin, je me prends quelques branches dans la tête, mais je fini tout de même par bientôt arriver non loin du lac. Cela faisait longtemps que je n'était pas sortie de la colonie. Et j'étais particulièrement heureuse de pouvoir aller dans le monde exterieur, même si ce petit voyage n'était pas autorisé. Au moment où je poussais la dernière branche qui me séparait du point de rendez-vous, Tristan sursaute en me voyant. Il se lève alors, et s'approche de moi. Je fais quelques pas vers lui, et il affiche un sourire discret. Je ne connais pas tellement le demi-dieux en face de moi. Je sais simplement qu'il à connut Either au feu de camp, et qu'il est fils de Borée. Je ne pense pas connaitre d'autres informations sur ce garçon. "Alors, prête ?" Je lui répondis par un simple sourire, parce qu'il n'avait pas vraiment besoin de réponse à cette question. Nous nous engageons vers la sortie de la colonie, et je ne suis pas surprise de voir qu'un silence s'installe. Aussitôt, je me sens mal à l'aise. Je peux bien evidemment le supporter, mais il me donne cette impression de vide qui me gênais. A ma plus grande surprise, Tristan prit la parole une seconde fois. " Either, tu l'as rencontré lors du feu de camp ou tu le connaissais déjà avant ? " Alors que j'allait lui répondre, mon regard se perd sur une silhouette vers ma droite. Interpellée, j'en oublie la questionde Tristan, qui se retrouve sans réponse. A nouveau, le silence s'installe, et semble durer longtemps. Le soleil se couche, et je sens mes forces s'emplifier. Bientôt, nous arrivons à la frontière de la colonie. Je suis contente de pouvoir mettre un peu d'ambiance dans ma vie de demi-dieux. Car bien qu'une vie comme celle-ci n'est jamais normale, je m'ennuie légèrement en ce moment, et cela faisais ongtemps que je n'avais pas fais de sortie entre amis. Surtout que là, il s'agit d'Either, et que je ne l'avais pas revue depuis le feu de camp. " Nous sommes sortis de la Colonie." Ce n'était que des mots balancés comme ça, mais en faite, ils avaient leurs importances, car dès à présent, toutes les sortes de monstres pouvaient nous arrivés dessus. Surtout deux demi-dieux la nuit, je pense qu'on allait pas passer inaperçut.. Maintenant que nous sommes hors de la colonie, nous avons réussi à sortir sans nous faire remarquer, tout devrait bien aller à présent. Seul petit détail : Les Romains, ce sont pas nos voisins.. Alors que j'étais justement en train de réfléchir à notre futur moyen de transport, le fils de Borée pris la parole. " Au fait, on y va comment là-bas ? En taxi ? " A l'entente des deux derniers mots de Trsitan, mes lèvres forment un sourire. J'ai toujours voulu prendre le taxi des enfers. Et le jour était venu pour moi de réaliser mon rêve. J'avais entendu tellement d'histoire sur ces trois folles. Nous continuons notre chemins jusqu'à une petite route deserte. J'interroge Tristan du regard. Pourquoi nous amenés ici pour prendre un taxi ? " Prête à être secouée ?" C'est avec un grand sourire que je lui répond. Je l'observe sortir un drachme de sa poche. Il murmura quelques paroles inaudible, et un instant, je crut qu'il avait râté son coup. Après quelques minutes, un nuage de fumée nous arriva dans la figure, pour finalement former un taxi de brume étonnement mal en point. Je pense qu'il aurait fallut nous filmer quand la portière arrière s'ouvrit sur des chaînes en guise de ceinture, et des prises pour les mains, comme dans les grands-huits. " Euh... Je suppose qu'au moins, on sera à l'heure..." Non, ça c'est certain. Tristan, galant comme il est, me laisse rentrée en première. C'est tout de même avec sourire que je m'installe sur mon siège. Cependant, alors que Tristan s'installe à côté de moi, je reste choquée par les trois femmes, -puis-je vraiment les nommées ainsi ?- moi qui ai toujours pensé que cette histoire d'un oeil et une dent pour trois, était simplement poru rajoutée de l'humour. Mais mon coeur fit un bon dans ma poitrine quand je les vit se battre pour avoir l'oeil. Tristan annonça que nous étions deux passagers pour le camp de jupiter, et elles se misent à se demander si cela était une bonne idée. Ma mâchoir se décroche, et je tourne la tête vers Tristan. Je lui murmure juste audible, pour que lui seul puisse l'entendre. "Avant qu'on y passe, je voulais répondre à ta question, et te dire que non, je connais Either depuis que je suis petite, et aussi te dire que je sais pas si c'est une très bonne idée finalement le taxi." Bien évidemment, je rigolais. Enfin non, pas tellement, mais on ne pouvait y aller que par ce moyen de transport. "Bon, on vous y emmene, mais on vous laisse pas un peu plus loin que l'entrée ; On veux pas d'ennuis, et puis si vous voulez vous faire tranchez la tête, c'est votre porblème, pas l'notre." Je hoche la tête, et elle nous ordonna de nous accrocher. La conductrice fit rugir la voiture, et au dernier moment, prit la parole. "Hum.. Aucuns de vous n'est cardiaque ?" La réaction fut immediate, je me détache, et tente de sortir de la voiture. Je n'en ai pas le temps, la voiture démarre, et en quelques secondes, nous atteignons une vitesste supérieur à la moyenne. Pire que les montagnes russes. Je me retrouve plaqués contre mon siège. J'essaye vainement de m'attacher, mais un virage viens compromettre mon plan, et je suis projetée contre ma portière qui faillit s'ouvrir, mais soudainement, une main vint la fermée, je me replace sur mon siège, et boucle ma ceinture, enfin, ma chaîne. Une petite larme coule sur ma joue. Rien de grave, c'est juste la vitesse qui exerce tellement de pression que j'en pleure légèrement. Les trois cinglées n'ont même pas tiltés que j'avais faillit me prendre le plus grand vol de l'année. Ma respiration est sacadée, mais bientôt, je m'habitue à la vitesse, et me calme. Je tourne la tête vers Tristan, et se dernier ne semble pas plus rassurer que moi. La raison, elles se disputent encore l'oeil, mais cette fois-ci, ce n'est plus la conductrice qui le possède. Elle ne voit donc plus où elle va. Malgré la peur qui me tenaillais, cette impression d'être dans un manège me faisais comme des papilons dans le ventre. Beaucoup de virages s'enchaînent, puis tout à coup, elle stop tout et je me prend le siège avant dans la tête. Ce n'est rien, à présent, j'ai vu pire. " Arrêt, Camp de Jupiter, descendez tout de suite." J'ouvre de grand yeux étonnés devant cette manière brusque de nous virés. Quelques secondes plus tard, nous nous retrouvons dehors, et le taxi vol une fois de plus en fumée.
Spoiler:
Pardon pour toutes ces fautes, je ne me suis pas corrigée..
Sujet: Re: « Les rendez-vous mémorables sont clandestins. » ft. Either & Alexanne Mar 21 Mai - 18:11
Les rendez-vous mémorables sont clandestins. Alexanne, Tristan & Either
J'étais dans mon petit coin, je réflechissais, un peu a ce que j'allais faire faire à ma colonie, il fallait qu'on s'entraine à fond, comme chaque jour, je savais que je n'étais pas le plus apprécié par les jeunes car je ne les laissais pas deux minutes de répits, ils devaient être les meilleurs vraiment... Je réflechissais, j'établissais des plans, ça allait être vraiment formidable. On devait d'être les meilleurs tout simplement, mieux que les grecs, évidemment. Meme si je me surprenais à bien m'entendre avec certains d'entre eux, Alexanne était une amie d'enfance, comment je fus surpris d'apprendre qu'elle était ici mais du mauvais coté, mais bon ça n'enlève pas le coté qu'elle est mon amie et voila, je tenais a elle malgré le fait que je puisse être un fameux bourreau, mais pas avec tout le monde , y avait aussi Tristan avec qui tout se passait bien a croire que c'était assez surprenant tout ça vraiment mais voila,on se parlait souvent, même si on n'avait pas trop l'occasion de se voir en vrai...
Je venais de me stopper un peu , j'avais la tête qui allait éclater tout simplement... Je me posais en machouillant mon crayon, un tic que j'avais garder, cela calmait mon hyper activité tout simplement ; et ça fonctionnait toujours, je le savais... Je regardais le plan que j'avais décidé, pour l'entrainement, il n'était pas trop mal pensé... j'avais même dans lidée de réveiller tout le monde en gros stress, j'adorais faire ça, les reveiller en pleine nuit juste pour les ennuyer, je savais que ce n'était pas correct mais bon, à coté de ça, je les adorais mes gamins il ne fallait pas croire non plus. On passait malgré tout de très bons moments tous ensemble mais il me haissait malgré tout les pauvres..
Je finis par me dire que j'avais besoin de prendre un peu l'air, a force de rester enfermée je n'en pouvais vraiment plus... Je déposais mes plans et tout dans le tiroir de mon bureau, et c'était le grand moment de la sortie, j'allais en profiter pour vérifier le terrain, verifier le matériel. J'enfilais ma veste et je me mis en marche, le camp était bien calme et ça faisait du bien, mais je savais que ce calme allait rapidement être oublié, mais je devais en profiter longuement. Je voyageais de gauche à droite... Et de le long en large, limite il fallait que je sois tout le temps en mouvement. J'en profitais même pour aller jeter un oeil aux troupes qui étaient occupées a manipuler des armes, d'un calme ça faisait un réel plaisir de les voir comme ça vraiment. Je finis par m'éloigner pour aller me poser un peu contre un arbre, tranquillement, je pouvais un peu profiter pour moi c'était ce dont j'avais envie... De profiter un peu du soleil qui venait se poser sur mon visage, tout semblait si calme, je disais bien semblait...