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| lewis ► vélo à l'envers ça fait love. j'ai toujours su que c'était un truc de pédales. | |
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| Sujet: lewis ► vélo à l'envers ça fait love. j'ai toujours su que c'était un truc de pédales. Sam 10 Aoû - 15:24 | |
| lewis ylan jones le mec parfait, zéro défaut. | PRÉNOMS ◮ lewis, ylan. purement américains, mes parents ne sont franchement pas allés loin pour me dénicher des noms originaux. mais lewis, ça donne wiwis. les filles l'adorent, celui-là, alors, j'ai franchement pas de quoi me plaindre. NOM ◮ jones. banal, celui de mon père, rien à redire. ÂGE ◮ dix-neuf ans. hé ouais, on entre dans la cour des grands. DATE+LIEU DE NAISSANCE ◮ né un certain quatorze février mille neuf cent quatre-vingt treize, près de san francisco. si c'est pas la classe, être né le jour de la st valentin. dommage que je ne m'appelle pas valentin, ce serait le comble ! ÉTUDES/MÉTIER ◮ suit actuellement des études de droit mais aimerait se consacrer pleinement à sa passion. ORIGINES ◮ américain de souche. PEUT VOIR A TRAVERS LA BRUME ? ◮ oui. PASSION(S) ◮ la musique, la musique, la musique et.. la musique ? mais chut, c'est un secret. C'EST QUOI LA MYTHOLOGIE GRECQUE POUR TOI ? ◮ des conneries. des mauvais souvenirs d'un contrôle raté. des mythes franchement tordus. des filles trop bonnes. UN MONSTRE, T'AS DÉJÀ VU CA ? ◮ un monstre ? mais vous avez vraiment cru qu'on se trouvait dans monstre et compagnie ? arrête tes questions bizarres, si tu veux bien. STATUT CIVIL ◮ j'ai dit, arrêtes tes questions bizarres. (célibataire mais jamais bien seul.) ORIENTATION SEXUELLE ◮ hétéro. GROUPE ◮ quoi de plus normal que la banalité ? AVATAR ◮ will higginson. |
who you are.
Lewis a trois grandes passions dans la vie : la musique, les filles, et les voitures, à peu près dans cet ordre là. + Il n'en a pas vraiment l'air au premier abord, et surtout parce qu'il cache très bien son jeu, mais il joue de plusieurs instruments, dont principalement le piano, et il chante. Il chante très bien même, mais ça, personne ne le sait. + Il n'est pas proche de ses parents qui, selon lui, n'ont jamais été présents pour lui. Ils exercent des métiers qui leur demandent de beaucoup voyager et Lewis se retrouve donc souvent seul chez lui, dans son grand loft au centre-ville de San Francisco. Ce qu'il n'a pas l'air de comprendre, c'est qu'au fond, ses parents font ça pour lui, pour lui assurer un avenir heureux, pour être sur qu'il ne manque jamais de rien. + Il est assez capricieux et surtout pourri gâté. + Aux yeux de ses parents, il est l'élève parfait, calme en cours, incapable de tricher et d'avoir une note en dessous de quinze sur vingt. Ils sont loin de se douter qu'en réalité, il est un vrai cancre qui sait particulièrement comment s'y prendre pour forcer les intellos de la classe à faire ses devoirs à sa place, ainsi qu'un coureur de jupons toujours en soirée et, en plus de ça, un mélomane né qui n'assume pas vraiment sa passion et qui a des rêves plein la tête. + Il est quelqu'un de très relax et n'est jamais stressé ou angoissé, ou seulement dans des situations extrêmes. + Il n'a jamais souhaité intégré cette fac de droit, il fait simplement ça pour ne pas éveiller les soupçons de ses parents quant à sa passion pour la musique, et c'est pour ça qu'il n'accorde aucun intérêt à ses études. + Il a tendance à se prendre un peu pour le roi et est un très bon manipulateur et menteur. + Il est aussi très sportif, il fait de la natation et fait des tournois à très haut niveau. + Il voit à travers la brume mais n'a jamais croisé de monstres, il est dans une ignorance totale quant à l'existence des dieux. + Il cache derrière ses attitudes de badboy et de coureur de jupons un grand cœur, romantique, gentleman, qui rêve de trouver sa princesse mais qui a été très abîmé à cause d'un chagrin d'amour et qui a peur. Peur de s'engager à nouveau. Peur d'aimer à nouveau. Parce que quand on tombe amoureux, on tombe, donc ça fait mal. + Il est je-m'en-foutisme et bordélique sur les bords. + Il ne sait pas être sérieux, toujours l'amusement avant tout. + Il est populaire. + Il adore jouer à Pokémon. + Il est allergique aux poils de chien et n'a peur de presque rien.
le héros derrière l'ordinateur. | Je vous invite fortement à faire un passage dans ma fiche de liens après validation faire un tour sur la fiche du beau goss Eytàn Brown. |
(c) fiche par cassou.
Dernière édition par Lewis Jones le Sam 31 Aoû - 15:19, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: lewis ► vélo à l'envers ça fait love. j'ai toujours su que c'était un truc de pédales. Sam 10 Aoû - 15:24 | |
| 1999, san francisco. Assis dans le canapé blanc cassé situé en plein milieu du grand salon du loft de ses parents, Lewis regardait son dessin-animé préféré à la télé. Il suivait les images avec un grand intérêt qu'on ne lui connaissait étrangement pas. Lewis avait toujours été un garçon turbulent qui ne savait pas tenir en place, mais c'était à croire que la télévision était et resterait un remède miracle à tous ces petits garçons. Mrs Grinwall, la gouvernante, quant à elle, préparait un bon gâteau aux trois chocolats pour son petit protégé, qui, grâce à cette recette secrète dont elle seule avait le secret, annonçait un gouter délicieux pour le garçonnet. Depuis qu'il était tout petit, Lewis avait grandi avec cette vieille femme d'une soixantaine d'années, peut-être même plus, mais qui, dans sa tête, était encore une grande enfant. Elle aimait regarder des séries pour enfants avec le petit Jones et faire des parties de cache-cache dans la maison, malgré sa hanche droite qui commençait à sérieusement la faire souffrir. Elle était une vraie pro du yoyo et connaissait toutes les cartes Pokémon par cœur. Mais s'il y avait bien quelque chose qui étonnait un peu plus Lewis de jour en jour, c'était cette joie et ce bonheur qu'elle dégageait, ce sourire habituel et constant sur ses lèvres, qui en devenait souvent contagieux et presque rageant, elle paraissait tout le temps heureuse, invulnérable, comme si rien ne pouvait l'atteindre. Elle passait pourtant ses journées à s'occuper d'un petit garçon un peu trop capricieux, pourri gâté par ses parents qui ne passaient même pas la moitié de leur temps avec lui et qui, de plus, était un vrai pitre à l'école, cependant intelligent et qui, par on ne sait quel miracle, rapportait des bonnes notes sans fournir le moindre effort. Franchement pas de quoi se réjouir tous les jours. Lewis ne savait même pas ce qui avait poussé Mrs Grinwall à accepté ce travail. Mais le fait était qu'il avait grandi avec elle, et que d'une certaine manière, elle était devenue comme sa grand-mère, presque jusqu'à remplacer sa mère. Lewis, veux-tu bien jouer un peu de piano pour moi, s'il te plait mon chou ? Lewis releva la tête et adressa un large sourire à sa gouvernante. Aussitôt, il éteignit la télévision en plein milieu de l'épisode et se précipita sur l'instrument majestueux prenant une place considérable dans la pièce. Le garçonnet ne savait même pas pourquoi ses parents avaient autant tenu à acheter un piano pour que jamais, au grand jamais, il ne soit utilisé. Enfin, ce qu'il ne savait pas, c'était que secrètement, Mrs Grinwall avait enseigné les rudiments du piano à Lewis et qu'il s'avérait que le petit brun était extrêmement doué. Durant toutes ces années, il avait développé une certaine passion pour cet instrument sans vraiment le savoir, mais surtout sur la musique en général. Il était très doué. Passant ses doigts sur les touches blanches laquées, il ferma les yeux pour se souvenir d'une mélodie. Alors, il entama les premières mesures d'un de ses morceaux préférés que Mrs Grinwall elle-même lui avait appris. C'était dans ces moments là qu'il se sentait bien, qu'il se sentait libre, qu'il se sentait lui-même.
2000, san francisco. Le cours de mathématiques avait commencé depuis une demi-heure déjà, mais Lewis n'arrivait vraiment pas à se concentrer et à suivre les paroles de la maîtresse, comme souvent d'ailleurs. Comme tout le temps, plutôt. Il avait des capacités hors du commun, c'était un fait, et si ses parents s'étaient un jour décidés à l'emmener chez un psychologue pour enfant, il n'y aurait pas eu de doute ; Lewis était un enfant sur-doué. Cependant, ses parents n'avaient jamais pris le temps de le faire. Ils ne prenaient jamais le temps de rien en ce qui concernait leur fils, de toute façon. A leurs yeux, Lewis était l'élève parfait et l'avait toujours été, sage, calme et intelligent, qui posait des questions pertinentes et qui travaillait autant à l'école qu'à la maison pour obtenir de bons résultats. Ils avaient faux sur toute la ligne, et c'était bien la preuve qu'ils ne portaient vraiment aucun intérêt à leur seul enfant. L'avaient-il voulu, déjà, cet enfant ? Lewis s'était déjà posé la question, malgré son jeune âge. Mais lorsqu'on grandit sans parents, et simplement avec une vieille femme, on se pose beaucoup de questions. Elle était gentille Mrs Grinwall, oui, Lewis l'adorait vraiment mais.. elle n'était pas sa maman, même s'il venait jusqu'à la considérer comme telle par moment. Il avait besoin d'un amour maternel, d'un soutien paternel. Lui, il n'avait pas un papa pour jouer aux jeux vidéos, au foot ou aux voitures avec lui. Il n'avait pas une maman pour lui lire une histoire le soir, avant de s'endormir, pour lui préparer son gouter en rentrant de l'école, pour lui faire des câlins à n'importe quel moment de la journée. Il ne voyait ses parents qu'environ une fois toutes les deux semaines et souvent, ces journées ne se résumaient pas à grand chose de plus que son quotidien. Il commençait vraiment à croire que la seule personne qui lui vouait de l’intérêt dans ce monde était Mrs Grinwall. Les consoles, les vêtements de marque, les voitures collectors, les BDs par milliers, c'était bien beau tout ça, mais ça ne remplaçait pas un papa et une maman. Lewis, pourrais-tu essayer de te concentrer un peu ! C'est la troisième fois que je te reprends, la prochaine fois, j'appelle tes parents ce soir ! Le garçonnet releva la tête, stoppant net sa discussion avec son voisin de table. Il avait été plusieurs fois changé de place, mais après de nombreux échecs, l'institutrice avait fini par se rendre à l'évidence ; Lewis était un cas désespéré et même si elle le plaçait dans la salle à côté, il réussirait par elle ne savait quel moyen à perturber le bon déroulement de la classe. Elle avait fini par abandonner. C'était du gâchis, cet élève était si brillant. Elle s'était toujours demandé ce qui pouvait bien se passer dans sa vie pour qu'il se comporte ainsi. Lewis se redressa, glissant une de ses jambes sous ses fesses. Il ne pouvait pas tenir en place, il était constamment en train de changer de position. Il planta son regard dans celui de la maîtresse, et ne faillit pas. Réputé pour répondre aux professeurs, il prouva une fois de plus qu'il n'avait décidément pas froid aux yeux. Eh bien, appelez les ! De toute façon, ils s'en foutent ! Je ne sais même pas où ils sont en ce moment, à Dublin peut-être, à New York, à Hong Kong, dans le trou du cul du monde, je sais pas et je m'en fou ! Ils ne savent même pas que j'existe et c'est pas vous qui allez leur faire comprendre ! Maintenant, lâchez-moi tous, ouais, foutez moi la paix ! S'écria-t-il. Sans s'en rendre compte, il s'était levé, et le ton de sa voix était fort, il criait presque. Un lourd silence tomba sur la classe de classe. Ne se sentant nullement gêné, il dévisagea ses camarades avant d'entendre Robyn pouffer, ce brun d'un an de plus que lui, qui avait redoublé et qui faisait surement de la musculation chez lui pour être aussi baraqué. Il n'hésita pas une seconde et se jeta sur lui, lui assénant un coup de poing au visage et il hurla. Robyn saignait du nez et l'institutrice demanda -en hurlant- aux autres élèves de s'écarter tandis que Lewis laissait se déchainer sa colère et sa rage sur Robyn. Elle réussit enfin à les séparer et, attrapant Lewis par le col du tee-shirt, le regarda droit dans les yeux en se baissant, le regard sévère. Dans le bureau du directeur. Maintenant. Se dégageant d'un geste brusque, se retenant de cracher sur le blessé qui se tordait de douleur au sol, répandent du sang sur le sol, Lewis quitta la salle en prenant soin de claquer la porte derrière lui.
2006, madrid. Le voyage scolaire. Ou autrement, le moment que les élèves attendaient le plus dans l'année. Il se passait toujours pleins de trucs de toute façon, à l'étranger. Les petits couples qui se formaient, les rapprochements entre différentes classes, les engueulades à tout casser, les conneries entre potes. Cette année-ci, le collège américain de Lewis avait choisi comme destination l'Espagne, cette langue étant enseignée dans l'établissement. Il fallait bien l'avouer, Lewis avait un franchement très piètre niveau en espagnol et depuis le début du séjour, il comptait sur l'aide de ses camarades pour prendre les devants lorsqu'il s'agissait de parler. Madrid était une grande et belle ville, il y avait tant de choses à voir, tant de choses à découvrir. C'était étrange d'être ici, sur un autre continent que celui où il avait passé toute son enfance, et le début de son adolescence. A quatorze ans, il n'avait jamais quitter les USA, tandis que ses parents, eux, avaient déjà visité les quatre coins du monde, délaissant leur 'petit bébou' qu'ils laissaient systématiquement à la maison. « Pour des besoins professionnels. » Ma foi, ils en avaient un paquet de besoins professionnels. Lewis ne les avait jamais cru sur ce point là. Ils n'avaient jamais voulu de lui, et bien, soit, mais qu'ils l'assument. Enfin, Lewis avait décidé de ne pas trop penser à ses parents pendant le voyage. Ils lui avaient payé la petite participation financière et c'était tout ce qui comptait. Il voyait toutes ces demoiselles presque en pleurs en se collant contre les vitres du car qui se dirigeait vers l'aéroport. Il voyait tous ces adolescents de son âge acheter des colliers, bracelets, souvenirs, cartes postales pour leur famille. Lui, il n'en avait pas, de famille. Ou si, il avait Mrs Grinwall. D'ailleurs, il avait pensé à elle, et avait dépensé près des deux tiers de ses euros dans une magnifique bague en argent vieilli ornée d'une perle émeraude qui se marierait à merveille avec les yeux de la vieille dame. Mrs Grinwall avait pris une place très importante dans la vie de Lewis et même si, souvent, il se chamaillait pour un oui ou pour un non avec elle, il ne se privait jamais pour la serrer dans ses bras ou lui faire un gros bisou sur la joue. Elle était comme sa mamie, mais en deux fois mieux. Hé, fais attention où tu marches ! Lewis releva la tête. Perdu dans ses pensées, il n'avais pas fait attention et avait marché sur les pieds de cette ravissante jeune fille de son âge. Comment s'appelait-elle déjà ? Ah oui, Lily. Elle était dans une autre classe, mais Lewis n'avait jamais eu l'occasion de la côtoyer. Elle ne faisait pas partie de ces gens dits « populaires », et Lewis avait tout de même une réputation à tenir. Il croisa le regard foncé de la belle brune. Son cœur rata un battement. Il n'avait jamais remarqué à quel point elle était belle. Un trait d'eye-liner et une couche de mascara sublimaient son regard, mais c'était tout. Elle était belle au naturel. Eum.. Excuse-moi. Inutile d'en dire plus, on décelait un certain gêne et un grand trouble dans sa voix. Les traits de Lily se firent plus doux, moins sévères. Elle lui adressa même un sourire avant de faire volte-face. Alors qu'elle s'apprêtait à rejoindre ses amies, Lewis le retint par le bras au dernier moment. Moi c'est Lewis, au cas où tu ne le saurais pas. Je sais. Répondit-elle du tac au tac. Lewis eut un petit sourire amusé. Décidément, cette fille avait vraiment quelque chose qui lui plaisait.
2007, san francisco.
2008, san francisco.
2011, san francisco.
Dernière édition par Lewis Jones le Dim 8 Sep - 8:15, édité 6 fois |
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| Sujet: Re: lewis ► vélo à l'envers ça fait love. j'ai toujours su que c'était un truc de pédales. Sam 10 Aoû - 15:28 | |
| Re-Bienvenue parmi nous Et ton avatar est ... miam Tu vas avoir du succès Bonne chance pour cette fiche Je sens vraiment qu'elle va déchirer ... Je ne dois pas oublier de lire fur et à mesure pour ne pas mourir Je te dirais bien que si tu as besoin d'aide, je suis là mais ... cela serait complètement ridicule
Dernière édition par U. Blanche Robinson le Sam 10 Aoû - 19:14, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: lewis ► vélo à l'envers ça fait love. j'ai toujours su que c'était un truc de pédales. Dim 11 Aoû - 10:50 | |
| De la chair fraîche, il nous faudra un lien petit humain Plus sérieusement, même si oui j'exigerais un lien. (a) REBienvenue et bon courage pour la suite de ta fiche, j'ai hâte de voir ce que tu nous prépares =) |
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| Sujet: Re: lewis ► vélo à l'envers ça fait love. j'ai toujours su que c'était un truc de pédales. Dim 11 Aoû - 12:39 | |
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| Sujet: Re: lewis ► vélo à l'envers ça fait love. j'ai toujours su que c'était un truc de pédales. Mer 14 Aoû - 14:39 | |
| Merci bien à vous trois. |
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| Sujet: Re: lewis ► vélo à l'envers ça fait love. j'ai toujours su que c'était un truc de pédales. Mer 14 Aoû - 15:32 | |
| tient un humain (cool ton avatar) bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche |
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| Sujet: Re: lewis ► vélo à l'envers ça fait love. j'ai toujours su que c'était un truc de pédales. Mer 14 Aoû - 15:47 | |
| Je t'ai même pas dit rebienvenue du coup voila, je me rattrape : Rebienvenue ! *o* En plus ton personnage s'annonce super intéressant, comme toujours d'ailleurs, détestable à souhait en plus d'être fucking hot. Il faudra trop que Meredith et lui ait un lien, tout à fait le genre à ne pas se supporter car ils sont semblables sur leur piédestal, héhéhé.
Et c'est quoi cette vieille remarque sur le fait d'être un kiri ?! XD
Bref, bon courage pour ta fiche ! |
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| Sujet: Re: lewis ► vélo à l'envers ça fait love. j'ai toujours su que c'était un truc de pédales. | |
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| | | | lewis ► vélo à l'envers ça fait love. j'ai toujours su que c'était un truc de pédales. | |
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