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 S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over]

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MessageSujet: S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over]   S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over] EmptyVen 7 Fév - 23:56




Stanislas Kenzo Oswald †
Vulnerant omnes, ultima necat.

PRÉNOMS ◮ Stanislas Kenzo. NOM ◮ Oswald. ÂGE ◮ 27 ans. DATE+LIEU DE NAISSANCE ◮ 12 août 1992. ORIGINES ◮ Américaines. STATUT CIVIL ◮ Célibataire. ORIENTATION SEXUELLE ◮ Hétérosexuelle. GROUPE ◮ D. L. C. E. M. AVATAR ◮ Josh Beech.
OU HABITES-TU ? ◮ San Francisco. PEUT VOIR A TRAVERS LA BRUME ? ◮ Oui. QUAND AS-TU REJOINT LE DÉPARTEMENT ? Il y a 3 ans déjà. RÔLE DANS LE DÉPARTEMENT ◮ Agent de terrain. ARMES ET ÉQUIPEMENT ◮ Un pistolet aux balles en bronze dont il se sert à la perfection. Un SMG lui aussi aux balles de bronze. Un couteau de chasse en or impérial fondu via son ancien équipement et modifié par le département, la lame étant entouré dans léger champ énergétique pour traverser plus facilement la matière. Ses dons sont le Bersek qu'il ne maîtrise absolument pas, sous cet effet, il est incontrôlable et détruit tout ce qu'il se trouve sur son passage. Sa haine et sa violence se signale par ses capacités physiques en augmentation. Il perd conscience de ses actes quand il succombe à cet état. Hormis ça, tout se joue sur ses balles. Premièrement, dès qu'elles touchent quelque chose elles ont la faculté d'augmenter le poids de ce qui est touché. Ainsi que ce soit les épées, les armures, et même les membres, tout deviendra plus lourd. Son dernier don est la faculté d'influer "magiquement" sur ses balles, leurs permettant d'avoir un impact différent ( rebonds, explosions, etc ).

questions for you.
► Comment avez vous appris l'existence des êtres mythologique et depuis quand ? Cela vous fait-il peur ?

Je l'ai appris de moi-même. Je suis le fils de Mars, pas un gueux sans valeur incapable de comprendre ce que le Monde lui montre. Ma dixième année montre mon arrivée au Camp Jupiter, la brume n'existe pas pour moi, c'est tout. Si cela me fait peur ? Rien n'est plus terrifiant que le chaos qui se parsème en moi. Je ne suis pas un pleutre. Je n'ai peur de rien, vous en revanche, devriez trembler.

► Comment avez vous pris connaissance de la DLCEM ? Qu'est-ce qui vous a poussé à les rejoindre ou à accepter leur offre ?

On est venu me chercher. J'ai accepté dans l'unique but d'apporter destruction et vengeance. Je ne fais pas vraiment partie d'entre eux, comme à la Nouvelle Rome je me complais dans ma solitude. C'est ce que je suis. Je fais ce qu'on me demande le temps de parvenir à mes propres buts.

► Quelles sont vos motivations présentes au sein de cette organisation ? Partagez vous leur désir de se libérer de puissances supérieurs passées ? Est-ce simplement de la curiosité et un moyen pour vous de toucher un monde qui vous dépasse ? Autre chose ?

Rien à foutre de leurs désirs. Ils sont humains, ce ne sont que des déchets. J'exècre leur nature. Ma motivation est de tout réduire en cendre, leur monde comme le mien. Que tout soit obscurité.

► Faisiez vous partit du raid sur le centre commercial de San Francisco ? Que ce soit en tant que soldat ou support technique.

Heureusement que j'y étais. Les humains n'ont aucune chance à la longueur face aux demi-dieux. On est naturellement meilleur, et moi encore plus. Je suis un être supérieur et ma prédominance est partout.

► Avez vous déjà été en contact avec un monstre ou un demi dieu d'une quelconque manière que ce soit ? En avez vous déjà tués ?

La question est stupide. Je le suis moi-même, un demi-dieu. J'en ai côtoyé des centaines si ce n'est plus. J'en ai tués, blessés, et tout ce qui s'apparente à les faire souffrir. Et ce n'est qu'un début.


le héros derrière l'ordinateur.
Je suis Zadig ! Pour le reste suffit de demander.


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Dernière édition par S. Kenzo Oswald le Lun 10 Mar - 19:13, édité 2 fois
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S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over] Empty
MessageSujet: Re: S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over]   S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over] EmptyVen 7 Fév - 23:57



who you are.
Aime le poker + N'a jamais eu de relation stable + En manque d'affection + Aimerait parfois être loin du monde dont il fait partie + Regarde le ciel chaque nuit + Pense que les Hommes prient Mars + Regrette de plus voir sa mère + Torture les insectes quand il s'ennui + Boit trop de coca + Voudrait être acteur.

once upon a time.
Lentement l'astre diurne brille de tous ses feux. Éclatant dans son splendide spectacle de couleur, il offre amoureusement un mélange orangé percé de violet. L'étoile brûlante n'apparaît désormais que de moitié lorsque les lumières américaines étincellent dans les rues de la ville côtière. Frustrés sur leurs volants, l'humanité fébrile a hâte de rentrer chez soi, pressés de retrouver leur routine crasseuse et dégoulinante d'ennui. Bientôt la populace s'écarte du centre pour poursuivre leurs conquêtes des banlieues et divers villages aux alentours de la ville qui s'anime. Les gens de la journée s'amassent chez eux alors qu'une nouvelle population débarque. Joyeuse, rieuse, euphorique même, elle s'installe dans le manteau de la nuit alors que, enfin, la Lune règne sur cette partie du Monde. Que nous sommes si faibles et si petits face à la majestueuse Reine de la Nuit, entourée de ses fidèles étoiles, quelques regards se perdent dans un romantisme surfait dans la profondeur de l'obscurité, et d'autres vivent sous ce ciel inquiétant sans réaliser leur petitesse. Avide de tout, perfide, hautain, tant de mauvaises choses habitent les cœurs des Hommes et le regard que je me dois d'offrir à la moitié qui m'incombe me débecte. Évidemment que je possède une autre moitié bien plus délicieuse et supérieure que ces déchets qui croise ma route sans s'en rendre compte, que c'est même cette partie qui excuse l'autre, qui montre une logique imparable face à mes obligations. Oui, je suis obligé d'endurer cette faiblesse, mais je m'en excuse sans vergogne. Les mains dans les poches, je laisse les éclairages des bâtiments et des rues parsemer ma route de lumière. On distingue à peine le ciel lorsque l'on se trouve en plein centre de San Francisco. Soleil factice et c'est à s'y méprendre. Je marche sans m'arrêter, le pas nonchalant, j'évite tout contact imprudent. Au milieu de ces êtres inférieurs, de ces gueux, ces pourritures humaines, je me dirige lentement vers mon coin de tranquillité. M'obligeant parfois à croiser leurs regards, j'offre un spectacle de mépris et de haine à chaque coup d'oeil. Non, je ne réfute pas le fait d'être le mélange des deux races que je ne peux supporter, mais je suis bien forcé de vivre avec ma condition naturelle. L'humanité est décadente, ce ne sont pas les êtres humains qui me pourrissent l'existence, mais leur nature arrogante dans leur ignorance m'insupporte. Ils sont tout aussi infectes que ces demi-dieux faiblards, ces abrutis s'estimant plus qu'ils ne devraient. Je les hais, je les hais tous, j'aimerais tout détruire. Que le chaos s'insère dans nos vies, que la destruction prenne place et que le néant accable l'humanité de toutes ses erreurs. Je m'allume une cigarette et j'avance, insoucieux de ce qui m'entoure. Demi-dieu, j'en étais fier d'un côté, mais je ne l'avais pas choisis.

Je suis né un 12 août, il y a 27 ans. D'après les dires de ma mère, c'était une belle journée. Arrivant dans la soirée, la douce brise rafraîchissante s'était installée et ma mère aimait raconter que le monde avait retenu son souffle un instant. En réalité, elle n'en pouvait plus de souffler et de pousser pour extirper l'être fébrile que j'étais. Je ne suis pas dupe, plus maintenant. D'aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours vécu à San Francisco, ou presque. Mais ça avait toujours été mon attachement particulier, un endroit où je me sentais chez moi. Quelque chose d'important. Vous savez, on dit qu'on se sent chez soi là où des gens vous attendent, et bien c'était dans cette ville que j'étais chez moi. Mes premiers pas, mes premiers amis, mes premiers cours de maternelle, mes premiers amours à s'en tenir la main, mes premiers faux pas, mes premières erreurs, mes premières envies de tout casser autour de moi. San Francisco m'avait vu grandir et je l'avais vu évolué. D'aussi loin que je m'en souvienne également, j'avais toujours vécu sans père. Uniquement ma mère. Elle avait tout sacrifié pour moi. Elle ramenait l'argent comme elle le pouvait, et moi, j'attendais sagement. Je grandissais au même rythme que son attention se concentrait sur moi. Elle ne faisait pas partie des mères passives dans la vie de leurs fils, elle était des plus présentes. Elle surveillait ce que je faisais, ce que je mangeais, elle me grondait lorsque je faisais quelque chose de pas bien, elle me gratifiait de fierté lorsque je réalisais quelque chose qui représentait un monde pour moi. Elle était parfaite. Nous étions tout l'un pour l'autre, fils unique, sans présence paternelle, je représentais ses dures soirées, ses jolies sourires, ses raisons de se lever le matin, j'étais tout ce qui la caractérisait dans son monde familial et elle était ma mère, dois-je en dire plus ?

J'avais pris de l'âge, et on avait prit l'habitude de l'honnêteté. Habitude qui se perd peu à peu dans toutes relations humaines d'aujourd'hui. Et malgré tout ça n'avait rien arrangé à nos soucis. Bref, en grandissant assez pour me rendre compte des différences que mon schéma montrait, je fus en maturité de me questionner, de penser et enfin de demander.

Je rentrais de l'école. Accompagné de Léa, sûrement celle qui s'approchait le plus de cette fameuse amie d'enfance, celle qu'on aime secrètement sans savoir ce qu'est l'amour, celle qu'on défend, celle qu'on invite à nos anniversaires, celle qui partage notre existence dans une bulle d'innocence immaculée. Nous habitions pas très loin l'un de l'autre, et je quittais la petite fille aux couettes pour finir le chemin. Je me souviens de ce jour car je me rappelle que son père me saluait, attendant son enfant au pas de la porte. Je prenais donc le raccourci dont j'avais l'habitude et, alors que ça me taraudait l'esprit depuis un moment déjà, je me mis à penser à mon père. Qui était-il ? Que devenait-il ? Pourquoi n'était-il pas là ? Tant de questions sans réponses qui parsemaient ma logique perturbée par ce qui était mon schéma basique composé que d'une maman, je me laissais porter par mes réponses incongrues jusqu'à l'entrée de ma maison. Nous étions un quartier de confiance, non loin de l'école, très jeune j'eus le droit de rentrer tout seul. Ce n'était pas de l'inconscience, mais de la confiance aveugle en l'humanité et à notre train-train quotidien qui n'avait jamais révélé d'ennuis. Je rentrais chez moi donc, avec mes clés, mon cartable sur le dos, comme un grand. Je me déchaussais, toujours dans la Lune, et dans un élan enfantin habituel je m'écriais.

« J'suis rentré ! »

Dès lors ma mère arrivait et rangeait les affaires que j'allais de toute manière laisser traîner au sol. Elle ne manqua d'ailleurs pas de le faire remarquer. Aujourd'hui, ma mère travaillait à la maison et mon goûter était prêt. Comme d'habitude, il m'attendait sur la table et ma mère m'offrait sa présence et ses questions routinières pour s'assurer que tout se passe bien à l'école. Osant même me taquiner vis-à-vis de Léa alors qu'elle savait très bien que je refusais catégoriquement d'avouer quoique ce soit. Elle riait alors que je boudais un peu, et dans une petite revanche, je décidais d'enfin faire le premier pas et de pénétrer dans ce silence qui, depuis trop longtemps, pesait sur l'immense tableau d'honnêteté que formait notre relation.

« Dis, maman, c'est qui papa ? »


Ne faisant aucune distinction entre « mon père » et « papa », je n'avais de base aucune raison de vraiment lui en vouloir. N'ayant aucune information sur ce qu'il était, je préférais n'avoir que de l'espoir dans mon cœur. Le silence gêné et surpris fut sa première réponse. Normal après tout, ça sortait de nulle part. Elle cherchait ses mots, balbutiait lentement avant d'oser répondre. Elle me racontait donc cette rencontre si particulière. Elle dans une détresse sans fond, et lui, assurément robuste et charmeur. Elle développait un peu, avouant qu'il avait une bonté bien cachée mais qu'elle avait surtout besoin de bras solides pour la tenir à la surface. Elle fabulait dans ses récits, je restais suspendu à ses lèvres, attendant un nom, une description, quelque chose de plus concret qu'une rencontre ou qu'un souvenir envolé. Elle poursuivait son histoire, sans me nommer l'homme, elle me disait qu'il ne pouvait rester avec nous mais qu'il veillait, quelque part, qu'il me reconnaîtrait, que j'aurais sa force et que, parfois, il lui arrivait de le revoir dans mes yeux. Elle attachait une importance capitale à en faire une éloge malgré les torts qu'elle pouvait lui donner. J'avais donc une vision plutôt héroïque de mon père. Elle terminait enfin.

« C'est un dieu romain. Mars. »

Elle semblait sérieuse, presque soulagée de l'avouer, étonnée même que cela soit sortit si facilement de ses lèvres, mais pour moi, ce n'était qu'une taquinerie. Qu'une esquive. Je ne voulais pas reprendre, j'étais prêt à entendre mais pour moi elle n'était pas prête à le dire.


J'étais trop jeune pour faire la séparation entre ma réalité et celle des gens normaux. Je n'osais croire cette histoire qui n'était pour moi qu'un détournement maladroit de ma mère. J'étais trop vieux pour croire à une telle fantaisie. Je poursuis ma balade dans les rues de la ville plus lumineuse que jamais. Je passe par des chemins que je prenais enfant, je trépasse les rues bondées et j'avance lentement vers le pont qui signe toutes les cartes postales. Mes pas sont toujours un peu lent, et je divague lentement, évitant les gens par simple réflexe. Je fume pour faire quelque chose de mes mains plus qu'autre chose, et je replonge dans ce passé qu'est le mien. Je n'avais pas cru à cette histoire, j'aurais du, avec le temps je m'en suis bien rendu compte, mais sur le moment ça me semblait si irréel. Tellement, que croire en cette vérité fut bien plus dur que de la réfuter.

Quelques années avaient passées, et j'avais pu voir de mes propres yeux cette particularité qui m'animait. Je n'étais pas un gamin comme les autres, et la seule explication plausible était effectivement la correspondance entre mon père et Mars, le Dieu de la Guerre. Je l'avais remarqué naturellement, parce que j'étais le meilleur pour shooter les pigeons avec un lance-pierre, parce que dès que je me faisais embêter par les plus grands et qu'ils me frappaient il était arrivé un jour où sans me toucher le pied d'un garçon était repartit dans l'autre sens. Ils ne m'avaient plus embêtés depuis ce jour là, ils avaient peur, ils me qualifiaient de bizarre. Heureusement que j'avais ma troupe d'amis. L'assimilation de ses choses surnaturelles qui n'arrivaient qu'à moi me fit me rendre compte de l'évidence. Ma mère n'avait pas menti, et lorsque je le compris, ma fierté l'emportait sur la raison. Je l'avais annoncé à un peu tout le monde autour de moi, et très vite, la nouvelle s'était répandue dans l'école et le quartier. Je surprenais ma mère dire que ce n'était que des rêves de gamins, que j'avais pioché ça dans un dessin-animé ou un film de gladiateurs. Bref, on se retournait contre moi et je ne pouvais me défendre vraiment. Les journées se ressemblaient, et c'est aux récréations que la cruauté juvénile explosait.

« Hey voilà Stanislas, le fils d'un Dieu ! »

« Quel menteur ! »

« Ouais, j'suis sûr que sa mère ose pas lui dire qu'elle connaît pas son père parce que tout le monde lui ait passé dessus. »

Ils riaient en cœur, les plus grands de la cour, les plus forts, les plus vicieux. Bien plus forts que moi et malgré tout, je ne pouvais les laisser s'en prendre à ma mère et mon père. Je ne pouvais que répondre et comme les mots n'avaient jamais l'impact voulus, je serrais les poings et essayais tant bien que mal que d'ébranler leur assurance face à plus faible et petit qu'eux. Je ne réussis jamais à me faire entendre, mais je pouvais me croire digne. Sûrement aussi mature qu'eux, après tout, ce n'était pas si mal pour quelqu'un de plus jeune. Et c'était souvent le même résultat, je me faisais engueuler, d'abord par la directrice de l'école, puis par ma mère. Lentement je perdais contact avec les autres, m'enfermant dans cette solitude et cette haine que je ne pouvais calmer. J'avais envie de les fracasser, je ne voulais plus les voir, j'en arrivais à sans le vouloir vraiment à m'imaginer les battre si fort qu'ils ne pourraient plus jamais se relever. Bientôt ma troupe d'amis me trouvaient plus assez stable pour eux, Léa même ne souhaitait plus vraiment rentrer avec moi, les parents des gamins me dévisageaient et j'étais rapidement devenu « un voyou ». Tout ça parce que j'avais dis qui était mon père, pour moi rien ne semblait étrange ou particulier, c'était véridique. Pour moi, tout n'était qu'injustice et cela suffisait pour attiser un comportement de plus en plus violent et des idées toujours plus sombres


J'avais finalement pas réellement changé depuis ce temps-là. Sauf qu'aujourd'hui je ne revendique plus rien, j'exerce l'oubli en scission face à tout ce qui me rattache aux romains et aux demi-dieux en général. Malgré tout je garde mes idéaux de destruction, de chaos, d'obscurité. Toujours très haineux, j'ai simplement détourné mes désirs sur d'autres personnes. Depuis cette époque-là, ma haine ne m'a jamais quitté, elle a toujours été la prédominance en moi, celle qui me permettait de redoubler d'effort, d'avancer, de construire ce que je suis. C'était habituel pour moi, obligatoire. C'est à mes 10 ans, lorsque, enfin, je fus reconnu qu'on m'assignait au camp Lupa pour mon développement de soldat. J'avais une vocation toute faite et j'allais pouvoir laisser libre court à ce sentiment sombre qui bouillonnait en moi.

Plusieurs mois s'étaient écoulés au Camp Lupa. Nous avions des équipes que j'avais en quelque sorte abandonné, ce n'était plus mon genre de faire équipe de toute manière. Si je devais réussir, je le ferais seul, je n'avais besoin de personne. Sauf de ma mère, mais ce n'était pas quelque chose qu'on disait à nos âge. Bref, soumis à l'autorité divine de la déesse louve, je me laissais conduire lentement dans ce que j'avais à faire. Mes capacités à me battre était rudement bonne pour mon âge, ma logique se faisait propre à elle-même et digne de ce que j'étais, et mes instincts dévoilaient forcément ce que j'avais d'enfoui en moi, cette partie de mon être donné par mon père, Mars. Je passais sans trop de soucis ce test, un peu d'une année suffit à la déesse pour savoir que j'étais digne de mon paternel, que je serais utile et que mon sang bouillonnait d'avance pour ce qui allait suivre. Je survivais le temps de trouver le camp Jupiter, m'armant d'un lance-pierre artisanal pour manger et me cachant la nuit, ma détermination et la haine envahissait toujours autant mon corps et mon esprit. On lisait dans mes yeux que j'étais fais pour me battre, que j'étais destiné à détruire ce qui s'opposait à moi et à mes idéaux, j'étais ce guerrier digne de Mars, et je saurais le rendre fier.

Enfin ma vie de demi-dieu pouvait commencer, j'allais pouvoir vivre pour ma destinée, loin de ces déchets qui avaient déclenchés cette obscure part de ma personnalité. Si jeune mais si avide de destruction, voilà ce qu'on pouvait dire de moi. Rien ne m'empêcherait de protéger ma mère, de rendre fier mon père, de détruire ces sourires moqueurs que je ne pouvais plus supporter. Non, plus personne ne se moquerait de moi.


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who you are.
Fumeur + Méprisant + Hautain + Colérique + Il aime se battre + Il déteste tout + Arrogant + Il perd les pédales quand on se moque de lui + Il comprend pas la logique des autres.

once upon a time.
Les souvenirs se bousculent au même moment que s'entrechoquent mon épaule avec celle d'un inconnu. Il se retourne un instant, accablant mon être d'un regard désolé et nos yeux s'électrisent alors qu'il n'ose prendre la parole, voyant le mépris s'échappant de mon regard furibond. Nos routes diffèrent et il sort de mon existence comme il en est entré, rapidement, silencieusement, malencontreusement. Mes pas continuent à s'accélérer, et j'enchaîne les cigarettes, occupant mes mains comme je sais si bien le faire. La nuit m'entoure, et le silence m'étouffe alors qu'il n'y a plus aucune oppression de la foule. Seul, je divague à travers les ruelles, sachant exactement où mon repos se trouvait. Ils étaient tous coupables. Sans exception j'aimerais que le sang s'extirpe de leurs veines, qu'il coule promptement sur leur peau tremblante et qu'ils agonisent tous dans l'étranglement de leurs cris apeurés de pitié. Les idées toujours plus sombres, mon arrivée au Camp Jupiter marquait l'instance de mon nouveau terrain de jeu, de chasse. Personne ne se doutait des atrocités que j'amènerais avec moi. Il était loin le temps paisible, il était bien trop inaccessible. Les rires résonnaient à jamais en écho dans mon esprit, et pour m'apaiser seul le silence comptait. Beaucoup de gens pourront croire que ce n'était pas grand chose, passer à autre chose en grandissant, moi, j'ai gardé ce mépris. Confiné dans la haine, élevé dans la barbarie des méandres de l'humanité, je me vengerais des âmes corrompues par simple avidité, sadisme plaisant du sang frémissant sur mes doigts tâchés. Le test de Lupa m'avait confronté à mes capacités, à ce pouvoir qui montait en moi. Je réalisais ma possibilité d'affluer sur le monde, d'influencer l'entourage qui m'assaillit sans cesse de cette perversion dégoulinante. Je me voyais déjà grand, fort, remplis de succès et digne d'un fils du grand Mars. Je m'imaginais pouvoir protéger les êtres qui importaient, ma mère, et terrasser ces cauchemars qui me hantaient. Chasser cette hostile lumière aveuglante, et pénétrer dans cette solitude obscure qui était des plus adéquates face à l'arrogante prétentieux que je possédais. Et pourtant, ils avaient bien essayés, oui, ils avaient tentés de m'affaiblir.

Chaque nouveau devait obligatoirement passer par une période d'essai d'une année complète. La Probatio. S'attacher des basses besognes, être esclave de ses légionnaires futiles et tous plus abrutis les uns que les autres. Ils pensaient réellement que j'allais me soumettre si facilement, les gueux. Je dus me faire à cette idée pour les premiers mois de mon entrée au camp, m'entraînant sans relâche, je remarquais mes points forts, mes faiblesses, et j'observais tous ces légionnaires trop sûrs d'eux qui pourraient aisément tomber dans ce que je prévoyais. C'était simple, et évident. Ma seule et unique chance de me sortir de cet esclavagisme ennuyeux et méprisant, était de faire mes preuves, faire en sorte qu'on me remarque et qu'on m'engage sur le champ. Je ne pensais devoir le faire, après tout, j'avais été placé en Première Cohorte, mon potentiel était clairement supérieur à tous ces êtres inférieurs. Personne n'était à la hauteur pour apprivoiser le fils de Mars. Dieu de la Guerre, la destruction était une évidence, je me devais de les défaire et de replacer cette confiance trop assurée là où elle méritait d'être. J'excellais dans les arts du combat, vif, puissant, rapide, agile, précis, je faisais tout pour être le meilleur. J'avais l'ambition d'être digne de ma parenté et je ne pouvais perdre, je ne pouvais me faire avoir par ces déchets. Isolé du reste du groupe, je passais mon temps à m'entraîner. Rechignant mes tâches ingrates, je dominais les faibles. Et le grand jour était arrivé, je voyais ma porte de sortie, mon engagement et enfin le passage aux choses sérieuses. Il y avait, comme partout, une grande gueule. Quelqu'un qui criait ses capacités comme un crieur annonçant l'apocalypse, quelqu'un tellement sûr de lui qu'il sous-estimerait n'importe qui devant lui. Il était des plus simples de provoquer son énervement, attiser son tempérament de simplet et en venir à se faire proposer en duel. Tout ce qu'il y avait de plus officiel, un combat singulier pour défaire l'autre. Je me voyais déjà le remettre en place.

Les préparations furent rapides et déjà ça s'activait dans le camp. Quelques paris pour l'amusement, et les spectateurs s'esclaffaient déjà de ma défaite. J'étais jeune, et ils me pensaient guerrier sans intelligence. J'avais toute la prétention du monde à être plus malin qu'eux, pour moi, tous s'apparentaient à des ordures. Armé de mon pistolet, d'une dague à la ceinture, lui se battait à l'épée. Le duel démarrait et je le gardais à distance avec des tirs réguliers, alors que doucement, nous avancions l'un vers l'autre. Il était plus expérimenté et plus fort physiquement, bien que plus agile, le corps à corps se scellait dans un ennui des plus pesant. Ma médiocrité à l'épée m'empêchait de prendre le dessus, et contre toute attente, il avait l'avantage. Je ravalais ma fierté lentement, et je subissais les dégâts dans la surprise de ma défaite qui approchait. Je ne comprenais pas. J'étais si certain, et je refusais de croire que la différence médiocre d'âge pouvait autant jouer. Je ne pouvais me résigner à perdre. Je le regardais, je voyais dans ses yeux son arrogance face à la victoire. Il était stupide mais il comprenait son avantage, et jouait de sa provocation.

« Tu croyais quoi, gamin ? »


Et il se mit à rire alors que je gisais au sol, le goût du sang dans la bouche, les muscles atrophiés dans la souffrance de sa force supérieure à ma résistance. Tremblant à la remontée, son rire portait bien au-delà de l'agacement. Je serrais les dents et fermais les yeux. L'enflure. Un flot de violence décidait de m'envahir. Ce n'est plus la raison qui m'habitait mais bien cette sombre haine. À l'ouverture de mes yeux, plus rien ne semblait ressembler à ce que je connaissais. C'était comme un moment suspendu, une solitude monstrueuse dans un décor noir des plus chaotique. Sans aucun contrôle sur la réalité et mes actes, je me perdais dans l'inconscience et l'absence, déconnecté de toute logique. Bien qu'incapable, je me trouvais presque spectateur de ce qui m'arrivait. Un regard perdu dans la douce folie, un corps poussant ses limites, un potentiel dévoilé dans la destruction. Je me voyais bloquer son arme avec la mienne. Me relever lentement, calmement malgré cette sensation enivrante de faire jaillir son sang sur le sol. Faisant un vif écart pour écarter sa garde, mon autre main cognait. Sans m'arrêter, l'effroi frissonnait sur ses lèvres et le plaisir se dessinait sur les miennes. Je grimpais sur lui, immobilisé, la suite triturait son visage dans des expressions mêlant douleur et peur. Et mon esprit s'évadait, jouissant de ses cris et de ses prières avant de disparaître dans une absence totale et non plus floue.


On m'apprit que d'autres m'avaient arrêté alors que je sortais ma dague. Je n'aurais pas hésité à égorger ce porc avec l'art et la manière. Un sourire se crispait sur mon visage, et mes pas se poursuivaient. Ce duel m'avait montré sous un jour nouveau. Un deuxième don développé en moi, un cadeau de Mars probablement. Il n'était pas tellement rare d'avoir ces élans de violence lorsqu'on avait le sang d'une telle divinité. Après tout, la guerre, la violence, la haine, tout ça me caractérisaient par le simple fait de la paternité que je possédais. Quoiqu'il en soit, après avoir défait le légionnaire, je fus promus dans la légion. Plus de Probatio, simplement de l'entraînement. Encore et toujours plus d'entraînement. Le perfectionnement de mon talent, ma domination qui s'installait doucement au sein de la meilleure cohorte des romains. Prenant la confortable place d'atout au milieu de mes médiocres compagnons d'armes, je me souviens de la fausse joie qui avait parcouru mon esprit. Ma mère, de nouveau enceinte. Je ne pouvais que me réjouir, pensant dans l'immédiat à la joyeuse euphorie du retour de Mars. Je voyais le Dieu, fier, retournant enfanter ma mère dans l'espoir d'avoir un autre vaillant guerrier. Je m'imaginais source d'inspiration, exemple, magnificence. Le bonheur à l'état pur dans mes yeux empêcha même ma mère d'extirper la vérité de ses lèvres. Liant un secret pesant, et exécrable. Mes résultats à l'entraînement ne faisaient qu'augmenter, cette bonne nouvelle remplissait mon être de fierté. J'avais en si peu de temps réussi à atteindre la dignité, j'avais pris une revanche sur ces moqueries et le manque de considération dont on m'acculait. Je me sentais bien, pour une fois, j'avais laissé la noirceur s'éclaircir. Et c'est ce moment de faiblesse qui détruit à jamais l'espoir de ma renaissance.

Les cris ne s'arrêtaient plus. Mon jeune âge m'empêchait de tenir la main de ma mère, elle ne pouvait que m'imaginer sur le pas de la porte de sa chambre. J'attendais, trépignant dans l'impatience de découvrir le visage de mon petit-frère, celui qui suivrait mes exploits. Pleins d'étoiles dans les yeux, j'attendais que les longues heures de labeurs s'écoulent. Bientôt ma mère ne criait plus et ce n'étaient que d'autres cris qui remplaçaient les siens. Enfin. Il était là. Je patientais encore un peu avant qu'on ne me donne l'autorisation d'entrer et de voir le visage de mon frère et de mère, souriante. Je souriais aussi, probablement le dernier instant d'un sourire sincère qui s'affichait sur mon visage. À peine n'eus-je de profiter de cet instant que les paroles de ma mère frappaient mon bonheur, dévastant l'espoir qui régnait en moi.

« Stan', je dois t'avouer que ton frère, Timothy. Il n'est pas de Mars.. Il est de Pavor. »

Pavor ? Ce Dieu de seconde zone ? Comment était-ce possible ? La trahison de ce silence effleura mon cœur et arrachait lentement son flux sanguin. Je loupais quelques battements, et je fuyais dans une réaction de tristesse exagérée. Les larmes coulaient sur mon visage sans même que je ne puisse comprendre pourquoi. Tout se brisa en moi. Mars n'était pas revenu, mes exploits n'avaient plus aucuns sens, son fils, mon demi-frère, Pavor avait profité de la faiblesse de ma mère. Elle n'était qu'un ustensile, un déchet abandonné sur le côté d'une poubelle. Je ne pouvais leur pardonner ça. Non seulement les demi-dieux n'étaient que pourritures, qu'êtres inférieurs, mais les Dieux aussi appréciaient le confort de leur prétention. Je ne pouvais accepter ça, toute nos croyances s'envolaient, et je ne pouvais donner mon corps, mon sang et mes prières à ces imposteurs. Je perdais foi, je sombrais doucement, et mon gouffre était sans fond.


Je serrais les dents rien qu'à l'idée de repenser à Timothy. Cette enflure, cet ingrat. Il était l'objet de ma haine, je ne pouvais vivre tant qu'il respirait. Sa simple existence polluait mon bien-être. Sa naissance marquait la séparation de mon attachement aux Dieux, de mon amour pour la famille, de mes habitudes. Je m'extirpais de ma logique pour m'enfermer toujours plus fortement dans une haine sans précédent. Je n'avais plus besoin de raison, désormais, le chaos était ma raison de vivre. Tout ne sera que destruction.


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MessageSujet: Re: S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over]   S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over] EmptyVen 7 Fév - 23:57



who you are.
Vulgaire et insolent + A gardé ses vieilles peluches + Est nul avec la technologie + S'est tatoué par dessus le SPQR + Ambidextre + Il lui arrive de peindre + Ne sourit que d'hypocrisie + A une logique qu'il ne suit pas + Mauvais joueur + Ne fais jamais de blague drôle + Aurait préféré être un cowboy qu'un légionnaire.

once upon a time.
Ma vie avait été bouleversée depuis l'arrivée du petit-frère. Normalement, ce genre d'événement s'apparentait gentiment vers quelque chose de positif, tout avait été si vite, que moi-même je n'avais vu l'entourloupe. Mars, mon père, il n'était pas revenu. Il avait utilisé ma mère pour sa descendance et était allé voir ailleurs comme tous les autres. Je n'avais rien de spécial, je n'étais que le fruit du hasard, un être peut-être même non désiré, juste là parce que c'était comme ça. Il ne sera jamais fier de moi, de mes exploits. Non, il vivait sa confortable situation sans se préoccuper de ce qu'il m'arrivait. De là, Pavor, cette enflure, en avait profité pour enfanter ma mère et Timothy était arrivé. Croyez moi que si j'avais su j'aurais tout fait pour que ma mère ne puisse avoir cet enfant, cette pourriture de gamin. Forcément un incapable. D'énervement je jetais ma cigarette avant d'enchaîner avec une nouvelle. Encore un tube cancérigène qui se plaçait entre mes lèvres, je devais me calmer. Après tout, Timothy provoquait en moi ces élans de haine, de violence, cette envie meurtrière de tout détruire autour de moi. Les demi-dieux et les divinités aussi d'ailleurs, mais c'était encore plus chaotique lorsqu'il s'agissait de mon frère. Je ne pouvais l'accepter, ce traître, son visage me dégoûtait. Il avait de mon sang et je devais le vider comme un porc, comme cet animal qu'il était, comme le vaurien qu'il représentait. Je faisais quelques pas et me dirigeais vers le pont de San Francisco, la nuit avait déjà bien été entamée, et mon simple avancement passait sur les années routinières de mon existence. J'avais terminé mon service dans la légion, je sortais de la première cohorte comme j'y étais entré, en soldat.

Nos journées se ressemblaient, quelques temps déjà que j'étais dans cette cohorte qui était devenu un peu ma famille. Bien que je sois celui qui ne se mélangeait jamais, celui qui ne venait pas aux fêtes ou à divers rassemblements. Comme si j'allais me mêler à la populace, pour moi, c'était presque comme s'ils étaient contagieux. Je les fuyais comme la peste, j'étais le fils de Mars, pas celui d'un pauvre dieu de seconde zone. Certains avaient un peu plus de valeur, mais j'exécrais tout de même leurs comportements, leurs fausses classes, cette prétention de se penser au-dessus de tout. Il n'y avait que moi qui les surpassait, ils me devaient tous le respect. Et dans cette logique qui accablait mon esprit, je devais monter en grade. Ouvrir la voie, leur prouver à quel point j'étais supérieur. Après tout, je faisais partie des meilleurs combattants, bien que l'épée n'était pas mon fort je compensais ailleurs, et j'excellais dans la plupart des domaines. J'étais le mieux placé pour être promu, l'évidence même. Penser à quelqu'un d'autre était dérisoire et honteux. Malgré tout, je ne passais jamais au-dessus...

« Légionnaire Stanislas Oswald, vous ne suivez pas assez les ordres pour être capables d'en donner. »


Ils répétaient ça, à longueur de temps. Pour moi, ils étaient juste effrayés. Ils avaient peurs que je ne devienne encore plus puissant, qu'ils ne puissent contrôler cette force et cette violence qui résidait en moi. Ces imbéciles n'avaient rien compris.

« Suivre les ordres ? Pourquoi m'abaisserais-je à des supérieurs incapables ? Vous me faites marrer. »

Mon insolence se faisait réprimander par quelques entraînements forcés, des punitions physiques. Je n'en avais rien à faire, j'étais le mouton noir mais chaque punition me donnait la foi d'un jour les pulvériser comme il se doit. Ces déchets. Il était évident que je ne suivais pas les ordres. Attaquer le flanc, formation machin, retraite, que des paroles de pleutres, d'enfants apeurés par la bataille. Foncer dans le tas, et montrer la prédominance, voilà ce qu'il fallait faire. Ce n'était pas le plus stratégique, mais il ne fallait pas essayer de faire n'importe quoi alors qu'il était aisé de les écraser. Les entraînements étaient ennuyeux. J'en avais simplement marre de devoir me tenir en formation et d'attaquer comme un moins que rien. Je voulais taper plus fort que tout le monde, voir sur leurs visages tellement d'effroi que c'est la peur au ventre qu'ils viendraient m'assaillir. Je n'en faisais qu'à ma tête. Après tout, j'étais le fils de Mars, Dieu de la Guerre, qui de mieux placé que moi pour battre les opposants?


Je lâchais un sourire narquois sur cette vieille philosophie qui s'était éteinte en même temps que ma foi. Mars, cela représentait bien plus une barre chocolatée que ma parenté aujourd'hui. Je ne voulais plus rien avoir à faire avec les divinités. Tous dans le même panier, dans cette haine viscérale. Ils étaient rongés jusqu'à la moelle et je n'allais pas suivre leurs idéaux plus longtemps. Trois ans déjà que je ne fais plus partie de Rome, et je ne m'en porte que bien mieux. Le combat reste le même, se montrer à l'ennemi et le détruire sans passer par quatre chemins. Quelques stratégies étaient utiles lorsqu'on cherchait à ne pas être impliqué, mais lorsqu'il s'agissait d'un affrontement, la seule solution était de défaire l'adversaire. Peu importait les moyens. Lorsque j'avais enfin terminé la légion, cet esclavagisme détestable, je restais un peu légionnaire. Sans ordres, simplement libre, me baladant et prenant l'expérience de l'entraînement intensif que je me faisais subir. C'était la découverte de la liberté, et j'adorais ça. Les années défilèrent et j'étais plus qu'un guerrier accompli. Toujours au-dessus, le même qu'avant avec plus de puissance, plus de maturité, plus de haine. Je m'étais repris un peu sur mon père, calmant mes ardeurs et ces déceptions qui m'avaient brisés en mille morceaux. Je me réconciliais lentement, me disant qu'il avait été le passage entre ce petit garçon prit en grippe par ses camarades et l'adolescent accompli que j'étais devenu à cette époque. A contrario, Pavor devenait une hérésie.

Les années étaient passées et je revenais enfin au camp. Juste pour retrouver la nostalgie des moments que j'avais détesté. C'était pas un adieu, c'était simplement un désir, et aussi, je voulais voir de mes yeux la peine de mon frère. Impossible qu'il soit devenu comme moi, fils de Pavor, je voulais le voir échouer. Essayer d'arriver à ma cheville. Je jubilais de sadisme et de méchanceté, il ne passait pas un jour où je ne sortais pas La Regia pour prier mon père et le supplier de faire de mon frère, un échec cuisant. Je me baladais au sein de la Nouvelle Rome, allant directement à la Première Cohorte. Timothy en faisait partie, après tout, il avait un peu de mon sang en lui, il ne pouvait être totalement mauvais. Je me dirigeais dans mes vieux quartiers lorsque l'on me demandait mon nom.

« Stanislas Oswald. »


Je regardais l'homme réfléchir. Le gueux, il n'avait pas retenu mon nom. Un rictus se plaçait sur mes lèvres et j'exécrais sans grande raison cet incapable lorsqu'il reprenait.

« Oh, Oswald ? Vraiment ? Comme Timothy Oswald ? »


Un sourcil s'arqua et la surprise envahit mon corps. S'en suivait honte, dégoût, colère et étonnement. Il ne me connaissait pas mais connaissait mon frère ? Cela était impossible. Je le faisais parler alors qu'il m'expliquait lentement presque des étoiles dans les yeux les prouesses d'un jeune prodige. Stratège, merveilleux combattant, mes exploits étaient restés sous silence alors qu'il allait bientôt être promu Centurion. Je serrais tellement les dents qu'un léger dérapage me fit mordre ma lèvre. Un filet de sang s'en échappait et je fuyais. Oui, moi, fils de Mars, je fuyais. Comme un lâche, honteux de pouvoir battre un simple fils de Pavor. Timothy m'avait surpassé ? Incroyable, la gêne que je ressentais se transformait en une rage incommensurable. Je consumais cette haine lentement et je devenais fou face à une telle chose. C'était impossible. Il ne pouvait être meilleur que moi, j'avais été l'un des meilleurs, j'étais un maître dans l'art de la guerre. Soldat puissant, doué, un génie du combat. Et un simple fils de Pavor avait balayé mon nom pour y mettre le sien. C'en était terminé, je ne pouvais le laisser vivre. J'avais jusque là supporter le fait de partager un nom et une mère, maintenant c'était lui ou moi.


J'avais laissé quelques temps s'écouler, m'entraînant un peu et je prévoyais de revenir. Timothy, tu n'allais pouvoir t'en sortir ainsi.


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who you are.
Ne mange pas de Mars + Aime le vice et la débauche + Aurait aimé une famille parfaite + Rêve parfois d'être un Dieu + Mange pas de fruit + Aurait aimé s'appeler Timothy + N'a plus de contact avec sa mère + Déteste les films sur la Rome Antique + A jeté sa Regia + Bien qu'excellent tireur, n'arrive jamais à tirer dans les jeux vidéos + Adore la solitude + Joue de la guitare + S'amuse à faire peur aux gens.

once upon a time.
La journée avait été consumé lentement et simplement. J'avais flâner un peu, fais quelques exercices, et j'assumais désormais l'habit d'un combattant digne de ce nom. J'avais presque mes 24 ans et je vivais dans l'ombre de mon petit-frère. De cette ordure qui avait sans vergogne voler la vedette à mon égard. Je pouvais accepter le fait qu'il devienne plus fort. Cela ne pouvait être vrai. Et je le prouverais dès ce soir. L'astre diurne se couchait, et le Champ de Mars était mon lieu de recueillement. Mon duelliste allait arriver. Je l'avais prévenu et la meute des curieux s'était déjà assembler sur les terres qui m'entouraient. Personne ne se doutait de rien. Je jubilais d'avance, l'excitation me prenait à vif et je jouissais de joie à l'idée de faire couler le sang. Surtout le sien. Les minutes défilaient et il était là. Cet être inférieur, cette pourriture, ce déchet. Je le dévisageais. Un mépris monstrueux dans le dédain de mon ton. Hautain et ne voulant presque pas croiser ses yeux, je vomirais sur place si comme à son habitude il souhaitait une quelconque sympathie de ma part. Bien fort, que tous entendent, je prenais la parole, un sourire narquois et excité sur le visage.

« Je te provoque en duel, Timothy. Toi et ton fameux « talent ». Je vais remettre l'ordre des choses en place, et ton existence subira le courroux de Mars. Ce soir, Timothy, l'un de nous va mourir. »

Il avait beau vouloir stopper l'entendement d'un duel à mort, je prenais en main mon arme et je lui tirais dessus. S'il ne voulait me tuer, j'allais l'obliger. Je ne le laissais rien dire, aucun réponse n'était acceptable, il devait simplement se taire et crever comme l'animal qu'il était. Je le chassais, tirant à maintes reprises. Chaque touché sur son arme, sur son armure, n'importe où, augmentait le poids qu'il portait. Je ne m'arrêtais pas et je riais dans la haine furieuse qui se lisait dans mon regard. C'était un beau duel, je devais avouer qu'il se défendait bien et qu'il usait de ses talents à bon escient. Mais je ne pouvais pas perdre, Mars était de mon côté. Déchaînés on s'affrontait à en faire frémir les spectateurs. Ils pouvaient tous voir la puissance de notre sang. Peu importait les blessures, le duel s'activait et offrait un bras de fer fraternel. L'envie de gagner était là et je ne perdais pas de ma détermination. Je tirais encore et toujours, il ne pouvait approcher. Je ne pourrais dire le temps qu'il lui fallut pour trouver une faille, mais il la trouva. Se décalant sur le côté, pour éviter l'assaut de balles qui arrivait sur lui, jetant un couteau m'obligeant à me décaler et stopper les tirs, il courait vers moi sans que je ne puisse le voir. Un coup de poing, un coup de pied derrière le genou, l'épée me désarmant ce n'est qu'impuissant que je subissais sa victoire. La rage m'envahissait mais j'étais à sa pitié, il n'avait plus que le dernier coup à donner et ça en était fini du fils de Mars. Bien que haineux et dans l'incompréhension de ma défaite, je ne pouvais rien faire. Timothy rangeait ses armes alors, qu'incrédule, je le regardais me tendre la main. Était-il sérieux ? Allait-il m'humilier plus qu'il venait déjà de le faire ? Insupportable pitié qu'il m'offrait, il me renvoyait aux moqueries que j'avais subis, il me renvoyait à la gueule sa domination. C'était impardonnable. Il ne pouvait s'en tirer comme ça. Un sourire sur les lèvres, j'attrapais sa main et il me relevait. L'autre main planqué dans le dos, je sortais ma dague. À la guerre, la faiblesse n'est pas de mise et la loyauté n'est que factice. Il allait l'apprendre, prêt à faire une accolade comme si j'allais me mélanger et me réconcilier avec cette ordure, je plantais ma dague dans son ventre. Forçant bien comme il fallait, je glissais à son oreille.

« On se retrouvera Timothy. Je ferais couler ce sang sur l'honneur que tu m'as volé. »

Je ne l'avais pas tué. Je ne pouvais le tuer ainsi, il fallait que je montre ma prédominance avant, perdre et gagner si futilement n'était pas digne de moi. Je relâchais l'étreinte avant de le laisser au sol, dans son sang, et je criais pour tous puisse cette fois entendre ma vengeance.

« Un jour, le chaos envahira ces terres, et dans un murmure, la destruction de Mars frissonnerait à travers les cendres de votre souffrance. »

Je riais les mains pleins de sang, et je partais. Je partais de cette Nouvelle Rome qui n'avait rien de bon. Je fuyais, désertant, plus jamais je ne serais romain. Non, plus jamais je ne serais Stanislas. Je serais Kenzo Oswald, et je réduirais en souffrance ce monde détraqué.


Depuis ce jour, pas une seule fois je n'ai imaginé ma main égorger mon frère. Pas une nuit ne s'est passée sans que je ne vois détruire ces enflures. La haine, la colère, la destruction, rien n'avait jamais été si fort en moi. J'avais scellé leur destin, ils étaient perdus, et je serais leur bourreau. Tous pouvaient bien me rechercher, je les défaisais et fuyais pour errer avant de pouvoir réaliser mon but. Jamais ils ne pourraient m'attraper, j'étais bien trop au-dessus de leurs forces. J'avais erré quelques temps avant qu'on m'offre ma chance. Oui, enfin, ils allaient tous périr de mes mains.


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Dernière édition par S. Kenzo Oswald le Lun 10 Mar - 17:39, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over]   S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over] EmptyVen 7 Fév - 23:57



who you are.
Sportif + Nul en maths + N'a pas lu depuis son enfance + A brûlé la Bible pour les conneries qu'il y a dedans + Conduit comme une brute + Ne sait pas faire de machine + Mange que des trucs rapides + Téléphone rarement + Traîne dès qu'il peut + Préfère la pluie au beau temps + Subit des pulsions de violence + Bon danseur.

once upon a time.
Enfin mes pas s'arrêtent. Mes souvenirs s'apprêtent à arriver à mon présent, et je ressens une nostalgie face à tous ce qu'il m'est arrivé. Je regrette tout mais je n'ai aucun remords. Je n'ai pas le caractère pour avoir un quelconque remord de toute façon. Ayant toujours agit comme je le souhaitais, j'assume mes choix. Malgré tout, je regrette d'être romain, d'être si spécial, j'aurais voulu vivre normalement. Vivre libre. Lors de mon errance, j'ai toujours essayé de me venger indirectement. Je me suis mis en danger et j'ai eu quelques atouts, mais je n'ai jamais réussi à prendre le dessus. A avoir enfin cette satisfaction d'engendrer un chaos, une tristesse, une souffrance. Je rêve de destruction mais il m'arrive de me penser incapable de réaliser ces buts qui m'incombent. Je me sens faible même si j'ai conscience de ma force. Partagé entre deux mondes, en plein milieu d'un doute constant et blessant. Mon ego souffre plus que moi, mais je me force à croire en mon destin. C'est bien tout ce qui me reste réellement. J'arrive enfin sur le côté du pont. Les lumières se font plus faibles et moins présentes, les gens aussi. Je descends le long d'une échelle pour arriver à un petit bloc de béton. Je m'assois et devant moi se dévoile l'eau tremblante. Je me perds un instant dans l'étendue qui me fait face et je souris. Devant moi brille les lumières des trottoirs vivants de la ville. À ma droite la hauteur gigantesque du pont me cache une partie de la Lune. Me perdant dans les étoiles, je fume une clope avant de fermer les yeux et de repartir un instant dans les méandres de mon passé toujours aussi virulent.

J'errais depuis pas si longtemps que ça lorsque je l'ai rencontré. Elle était vieille, imposait son charisme comme si elle avait une quelconque importance. Brune, sévère, elle forçait le respect bien que mon dédain soit évident. Elle me parlait, semblant me vouloir quelque chose. Dans ma méfiance je ne parlais pas. Écoutant simplement ces présentations qui m'importaient guère. Buvant ma bière, seul, dans ce bar malfamé, je ne savais pourquoi elle venait me parler. Ça m'intéressait pas de toute manière.

« Je suis pas intéressé pour coucher avec des vieilles, donc, si tu pouvais garder au moins trois sièges entre nous. »

Terminant au goulot ma bière, elle souriait, moqueuse. Je soupirais un agacement alors qu'elle allait droit au but.

« Je sais qui tu es. D'où tu viens. Et ce que tu as fais. »


Je prêtais une oreille à ce qu'elle disait. Elle avait trop de confiance et d'assurance pour une personne lambda. Ça cachait forcément quelque chose.

« Ancien légionnaire Stanislas Oswald. J'ai besoin de toi. »

J'arquais un sourcil, prêt à dégainer mon arme dans ma veste. Si elle venait de Rome, rien ne m'empêcherait de la descendre là, en plein milieu du bar. Je n'avais aucune peur, aucune gêne, me suffirait de fuir. Ou de garder sous silence chaque témoin. Elle poursuivait donc, me parlant d'un groupuscule qui montait, rempli d'humains. Je riais, ces déchets d'humains voulaient faire quelque chose contre les demi-dieux ? Qu'ils étaient naïfs. Malgré tout elle avait confiance en elle et paraissait maître de la situation. Elle m'intriguait, et me proposait de les rejoindre. C'était ma chance, bien qu'absurde, j'avais un moyen d'avoir un repère, des personnes derrière moi, fini l'errance. L'argent que j'avais me poussait à accepter. Mais je posais mes conditions.

« Si je rejoins votre machin là. Qui me dit que vous allez pas me descendre ? »

Ils détestaient les demi-dieux, j'en étais un. Je m'assurais que ce soit pas un piège. Après que la satisfaction de sa réponse finissait de me convaincre, je me disais, qu'après tout, ce n'était pas plus mal. J'avais plus d'avantage que d'inconvénient, et même si je n'étais qu'un vulgaire outil au sein de leur organisation, ça allait m'aider à approcher la Nouvelle Rome.

« J'accepte si je peux tuer Timothy Oswald. Centurion de la Première Cohorte... »

« Vendu. »

« Et c'est vous qui payez mes conso's ! »

Prenant une dernière bière avant de partir avec elle. Je rentrais dans la D.L.C.E.M, organisation pour abattre les demi-dieux et les dieux. Parfait pour moi, je tuerais mon frère, me vengerait de Pavor et montrerait à Mars l'erreur qu'il a faite en abandonnant ma mère. Tout ne sera que souffrance.


Je m'endormais lentement sur ce bloc de béton. Au bruit du clapotis de l'eau, la clope se consumant d'elle même. Je souriais sur ces trois dernières années où j'avais réussis quelques petites choses. Timothy, attend moi, bientôt ton sang coulera sur mes mains.



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Dernière édition par S. Kenzo Oswald le Lun 10 Mar - 18:07, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over]   S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over] EmptySam 8 Fév - 0:22

Et le malade est arrivé !

Bien entendu je te souhaite bienvenue mais ... je sens que je vais pleurer au moment de valider ta fiche Rolling Eyes
Heureusement que monsieur à une plume divine !

Enfin bref, pour le reste tu sais où me trouver !
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MessageSujet: Re: S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over]   S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over] EmptySam 8 Fév - 0:27

Zaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaadig  :smile: (Ma touche a été bloquée sur le "a" oui uu Par mon doigt certes mais elle était quand même bloquée 8D)

Contente de te voir parmi nous espèce de psychopathe en manque de sang et de sang, de fous alliés  :3 J'ai vraiment hâte de lire cette fiche  yeah Je suis certaine qu'elle va déchirer  mouton
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MessageSujet: Re: S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over]   S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over] EmptySam 8 Fév - 10:12

So, bienvenue ici et bon courage pour ta fiche ! :trois: :
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MessageSujet: Re: S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over]   S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over] EmptySam 8 Fév - 11:31

Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche (classe l'avatar  classe )
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MessageSujet: Re: S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over]   S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over] EmptySam 8 Fév - 13:17

Désolée, mais je ne pouvais pas ne pas passer ici quoi ! Rolling Eyes

Oh, un Mécréant !  What a Face Manque plus qu'un Pleutre et le quatuor de boulets est réuni. Peut-être à éviter ça, on traumatise déjà bien assez un forum, pas besoin d'en ajouter un deuxième !   :smile: 

Et une fois de plus, tu vas faire un pavé pour ta prés' ! Bien contente de pas devoir lire ta fiche !  :wof: : (Même si en fait, je la lirais par curiosité --" ) D'ailleurs, je croyais que tu devais l'écrire la nuit dernière....  hem 

Allez, écris donc, sale gueux !  sadique 
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MessageSujet: Re: S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over]   S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over] EmptyJeu 13 Mar - 2:28



Bienvenue
S. Kenzo Oswald !

Bon bah comme je m'y attendais, la fiche est tout simplement sublime ! Longue mais pour notre plus grand bonheur car une fois qu'on commence on peut juste pas s'arrêter, c'est super bien écrit ! Et c'est cool, tu as rendu ce taré encore plus taré, je t'adore XD
Du coup c'est sans surprise que je te valide ! et va bien foutre le merde chez les demi-dieux S. Kenzo Oswald - Hey les romains, vous êtes des romaines ! [Over] 521084209


Maintenant que tu fais partit des notre, voici un petit tour des lieux ! Tout d'abord n'oublis pas d'ouvrir ta fiche de liens à cet endroit et ta fiche de sujets pour que tes petits camarades puissent venir te proposer tout plein d'idées folles ! Si vous souhaitez obtenir plus de responsabilités veuillez vous rendre sur ce sujet pour les grecs et ce sujet pour les romains. Mais attention, ils faut être motivé car il ne s'agit pas de postes facilement pourvus ! Et voila, tu as normalement toutes les clés en main pour commencer sur Divina Bellum. Nous espérons que tu t'amuseras bien et passeras un bon moment parmi nous !

Enfin, si t'as une question, une suggestion, une demande, une idée, bref, n'importe quoi, ou même si t'as juste envie de causer, n'hésite pas à t'adresser à Tristan E. Langley, Théodore N. Williams ou Lethario A. Mulligan, les maîtres suprêmes des colonies, du forum, de l'Olympe, des héros, des mps. 'Fin bref, tes administrateurs qui sont là pour toi et qui attendent avec impatience d'être harcelés de mps.

Amuse-toi bien sur Divina Bellum, essaye de pas te faire tuer trop vite par un monstre, on veut pas être déjà responsable d'un accident, encore moins du tiens! Et surtout, puissent les dieux veiller sur vous!

N'oubliez pas surtout pas de voter pour les topsites toutes les deux heures !

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