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 Quelle question as-tu à poser pour ta défense ? [HOLMES&ROSS]

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MessageSujet: Quelle question as-tu à poser pour ta défense ? [HOLMES&ROSS]   Quelle question as-tu à poser pour ta défense ? [HOLMES&ROSS] EmptyDim 4 Aoû - 21:54

Jade E. Holmes & K. Billie-Faye A. Ross
Ce matin, levée aux aurores, j’avais descendu un de mes sacs de voyage qui traînaient en haut d’une de mes armoires. La pièce fut envahi de poussière dans la seconde qui suivie. Il faut dire que la dernière fois que j’avais utilisé ce sac remontait au jour où j’avais décidé de claquer la porte de chez l’ami de mes parents. Il y a de ça déjà deux ans maintenant. Deux ans que j’avais établi mes quartiers  dans cet appartement. Quelques minutes et fenêtres ouvertes plus tard, la poussière ayant disparu, je m’attelais à préparer les affaires que j’allais emporter pour ce week-end. En effet, j’allais passer mon week-end entier chez des amis, habitant maintenant sur la côte Californienne. Ils étaient partis de l’autre côté des Etats-Unis pour leurs études d’arts si je me souvenais bien. Ils m’hébergeaient lorsque je venais et je faisais la même chose lorsqu’ils venaient sur New-York. Prenant des affaires pour deux jours, ainsi que tout le nécessaire pour aller à la plage – car oui, ils n’arrêtaient pas de me vendre les mérites des plages Californiennes – je finis finalement par boucler ma valise. J’avais au préalable déjà acheté mon ticket de train sur Internet, et j’attrapais ainsi la petite pochette renfermant mon fameux billet. Sac sur mon lit, je fouillais dans mes poches, histoire de voir si j’avais tout : clefs, portable, papiers et billet. L’essentiel était là, je pouvais m’en aller tranquille : claquant la porte de chez moi, je pris ainsi la route pour l’autre côté du pays… Après avoir fait la queue et passé vingt minutes à enregistrer mon seul bagage à Grand Central  Station – merci du retard – je pris enfin place sur un siège. La tête contre la vitre, je me laissais bercer par la vitesse du train, regardant les paysages qui défilaient sous mes yeux à plus ou moins grande vitesse. Passant des rues surchargées de New-York, jusqu’aux campagnes les plus vertes que je n’avais jamais vu : hormis lorsque j’étais petite dans un de mes livres de géographie sur l’Irlande ; ces paysages m’intriguaient au départ et gardaient mon esprit en éveil. Jusqu’à ce que je m’habitude à tout ça, et ferme lentement les yeux, dû à une nuit trop courte : dédiée à terminer mon dernier TP avant de quitter New-York. Et moi aussi, je quittais le monde des vivants pour m’enfoncer dans celui des rêves… Des images me revenaient alors en tête, des brides de ce fameux jour : le jour de la mort de ma grand-mère. Cette nuit horrible où je m’étais retrouvée face à ce monstre. Je revoyais cette scène que je connaissais par cœur, ce visage et ce mot. Ce même mot, toujours le même : Exterminer. J’ai d’ailleurs des sueurs froides rien qu’à prononcer ce mot. C’était un mot que j’avais tout simplement rayé de mon vocabulaire. Ce mot résonna une dernière fois dans ma tête, avant que je ne me réveille ; essayant de maîtriser ma respiration ainsi que de faire baisser mon rythme cardiaque. Une voix nous annonça que nous arrivions bientôt à destination : j’allais pouvoir me changer les idées, heureusement…

Cherchée par mes amis, ils m’avaient conduit jusqu’à chez eux, et m’avait laissé m’installer dans la chambre d’ami. Leur maison était non loin de la plage, et j’avais une magnifique vue sur celle-ci. Des parents qui financent vos études, ça aide, non ? La soirée était déjà entamée lorsque je finissais tout juste de déballer mes affaires. N’ayant pas vraiment préparé quelque chose, voulant plutôt faire ça à ‘’la bonne franquette’’ comme on peut le dire en français, le seul gars décréta mon amie et moi-même devions sortir, afin d’aller chercher des pizzas, dans une petite pizzeria pas très loin de chez eux dans leur quatier. Je mis une petite veste en cuir par-dessus mon T-Shirt dans l’éventualité d’une attaque à la brise par surprise. Main dans les poches, je sortais avec mon amie, parlant un peu de tout et de rien sur le chemin nous menant à l’établissement. Mais une ombre attira mon regard du coin de l’œil. Me retournant j’eus juste le temps d’apercevoir une queue d’un animal de grande envergure. J’avais une impression de déjà vue, à New-York même. Ce genre de queue, je savais à quel genre d’animal ça reliait, ou plutôt à quel genre de monstre, car ce serait le terme le plus exact. Mon amie qui s’était elle aussi retournée, m’affirma qu’il n’y avait que des rats par ici. Elle en avait déjà surpris plus d’un en train de fouiller dans les poubelles le soir. « Continue sans moi, je te rejoins de suite. » Lui dis-je et tout ce que je récoltais, était un petit : « Mais t’es paranoïaque ma fille ! » J’haussais les épaules face à sa remarque, car je savais qu’il fallait mieux que je reste sur mes positions : c’est-à-dire ce que moi je voyais. Elle continua alors son chemin, et quant à moi je le rebroussais, histoire de voir où tout cela mènerait… Geronimo.

Ma curiosité un jour me perdra. C’est comme ça qu’on se jette dans la gueule du loup : en ne suivant que son instinct, sans faire attention au reste. Arrivée au coin de la ruelle, où j’avais vu cette ombre suspecte tourner : je passais juste ma tête dans l’embouchure de la ruelle. Et moi m’attendait juste à voir cette ombre : cette dernière s’accompagnait également d’une jeune fille, qui semblait tenir quelque chose en main pendant qu’elle se battait avec elle. Son objet brillait à la lumière des lampadaires, et je le reconnu sans aucune problème : pour avoir manié les armes moi-même, juste le temps de faire de l’escrime. Elle tenait en main une arme : trop grande pour être une épée, peut-être un glaive ? Soit, lorsque je sortis de mes pensées, la Brune assena un dernier coup au monstre qui disparut dans une poussière. Et c’est alors que sa tête se tourna dans ma direction. Prise de court j’ouvris d’abord grand les yeux avant de penser à ‘’disparaître’’ au sens figuré du mot. Je me collais au mur, faisant ainsi disparaître ma tête de la ruelle. Eh mince, elle devait certainement m’avoir vue. Fermant les yeux, j’expirais un bon coup avant de les rouvrir : mon dieu, ma Poulette si elle vient te parler en te demandant ce que tu as vu, les carottes sont cuites

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MessageSujet: Re: Quelle question as-tu à poser pour ta défense ? [HOLMES&ROSS]   Quelle question as-tu à poser pour ta défense ? [HOLMES&ROSS] EmptyMar 6 Aoû - 18:10

Jade & Billie-Faye
“ Alors là, j'y crois pas ! ”



Le soleil se levait sur le camp Jupiter, la brune soupira en entendant son meilleure amie ronflait. Billie se leva en soupirant tandis qu'elle se dirigea vers sa salle de bain. Étant dans la première cohorte, la belle Ross avait une salle de bain réservé pour les filles assez spacieuse. Ses habits furent jeter rapidement au sol, Faye se dirigea dans sa douche. L'eau chaude détendit la fille de Vénus, dix minutes passèrent. Vingt minutes plus tard, un membre de la première cohorte toqua à la porte râlant contre la belle. Une fois de plus, la Ross soupira, puis éteignit l'eau et sortit de la mince cabine. Séchant ses cheveux puis son corps, Faye enfila sa tenue et attacha ses cheveux un chignon puis toisa la personne qui avait interrompit sa douche. Une fille de Cérès, une de ces pacifistes. « La prochaine fois, tu ne m'interrompt pas dans ma douche, compris ? » enjôla Billie. La fille de Cérès acquiesça avant de rentrer dans la salle de bain. Une fois prête, la brune dit au revoir à James et à Shadow. Avant, elle prit son sac et alla à l'entrée. Cinq minutes plus tard, son compagnon, Devon, un enfant de Phébus. Un de ces types qui se croient plus fort que tout. Ensembles, ils quittèrent le camp pour ensuite aller à la ville de San Francisco. Ce genre de sortie était pour assurer la sécurité des humains. « J'arrive pas à croire qu'on doit s'occuper de ces foutus humains ! Déjà que notre vie est déjà assez difficile il faut en plus qu'on s'occupe d'eux ! » s'énerva Billie. Parcourant la foule de San Francisco, la brune décida de s'arrêter et de stopper Devon au passage. « On va se séparer, si tu as un monstre débrouille-toi ! T'es pas à la deuxième cohorte pour rien, non ? Tu va vers le Nord et moi vers le Sud. D'accord ? » dit Faye. Le fils de Phébus hocha la tête puis ils se séparèrent. Billie marcha vers les habitations quant elle fut projeter dans une des nombreuses ruelles de la ville. Un chien des enfers était devant elle, babine relevé, prêt à attaquer la fille de Vénus. « Tu veux de la baston, c'est ça ? » se moqua Billie. Suite à ces paroles, la brune sortit son glaive puis sauta sur le chien qui la projeta sur le mur. Ensuite , elle lui plante son glaive dans le crâne qui se désintégra. La tête de Billie se tourna et elle vit une brune, décidé à savoir ce qu'elle a vu. La belle Ross se dirigea vivement vers la brune avant de lui tenir son poignet. « Qu'as tu vu ? ».
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MessageSujet: Re: Quelle question as-tu à poser pour ta défense ? [HOLMES&ROSS]   Quelle question as-tu à poser pour ta défense ? [HOLMES&ROSS] EmptyJeu 8 Aoû - 16:22

Jade E. Holmes & K. Billie-Faye A. Ross

Adossée au mur, j’avais fermé les yeux pour essayer de calmer ma respiration et mon rythme cardiaque. Avec un petit peu de chance elle ne m’avait finalement pas vu. La nuit était tombée, seule la lumière des lampadaires arrivait à éclairer les ruelles environnantes. Donc un peu obscurité plus le fait qu’elle ne s’attendait pas à me voir, elle ne devait même pas m’avoir remarqué. Ouvrant délicatement un seul œil, je tournais la tête à droite et gauche, et ne voyant personne qui s’était manifesté, je soupirais quelque peu de soulagement. C’était bon, mon plan avait fonctionné : j’avais dû me retirer suffisamment rapidement de l’angle de vue de la ruelle. Ouf, c’en était moins une. J’ouvris alors le deuxième œil. Abordant un petit sourire, je m’apprêtais à rejoindre mon amie à la pizzeria lorsque quelqu’un me retint par le poignet. Prise de panique, je lâchais un hoquet de surprise face à ce contact si soudain. Tournant la tête en direction de la personne en question, j’aperçus que c’était une jeune Brune qui m’empêchait d’aller chercher ma pizza. Mais pas n’importe quelle Brune, la fameuse Brune que je venais tout juste d’apercevoir dans la ruelle. Celle qui tenait une lame face à un de ces monstres que moi seule arrivais à voir. Finalement, tu n’es pas si discrète que ça, Jade. Il va falloir revoir tes cours de discrétion. Elle me demanda alors rapidement et vivement ce que j’avais vu. La fixa du regard, je sentis qu’elle semblait pressée d’entendre ma réponse. Comme si ce n’était qu’une simple formalité avant qu’elle ne reparte aussi vite qu’elle était apparue. Pour faire quelque chose de plus intéressant que de me parler à moi, simple petite fille qu’elle vient tout juste de surprendre… Allez savoir pourquoi cette attitude me répulsait :  je me laissais souvent guider par mon instinct et ma première impression – d’accord, passons sous silence le fiasco de ma première impression avec Meredith –. Et l’arrogance qui transpirait de sa question, ne me disais rien. En tout cas pas quelque chose de positif. « Pourquoi est-ce que tu me demandes ce que j’ai vu ? Tu étais dans la même ruelle que moi. Tu t’es d’ailleurs opposée à cette chose… N’importe qui aurait vu la même chose que toi. »

J’étais prête à mettre fin à cette conversation, après tout qu’est-ce qu’elle voulait que je rajoute de plus : n’importe qui aurait vu comme moi, ce qui s’était déroulé sous mes yeux…  La discussion n’avait pas lieu d’être. Puis me revint une conversation, celle avec Meredith. Ma fameuse spécialité comme il l’avait dit. Cette question aurait-elle un quelconque rapport ? D’ailleurs la jeune Brune ne sembla pas vouloir me lâcher : elle tenait toujours fermement mon poignet. Je ne crois pas qu’elle avait l’intention de me laisser partir de sitôt ! Soupirant quelque peu bruyamment, j’ajoutais : « Je me trouvais au mauvais endroit, au mauvais moment, je suis désolée. » Esquissant un petit sourire, je continuais : « Tu sais quoi, je peux m’en aller et faire comme si je n’avais rien vu, ce sera plus pratique pour toi et pour moi. Personne ne s’occupe des affaires de l’autre et comme ça tout le monde est content ! » Mais le regard de la jeune fille en disait long. Et j’avais l’impression qu’elle n’allait pas me lâcher, qu’elle n’allait pas abandonner sans avoir des réponses. Mais si elle commençait à poser des questions, je ne me gênerais pas pour l’imiter. Je sentais que notre discussion allait être quelque peu électrique : elle semblait être quelqu’un de têtue et d’arrogante. Oui je savais décoder cela en une seule et première impression, et je sentais que le courant n’allait pas passer entre nous. Surtout si elle ne me lâchait le poignet : je suis sûre qu’après j’aurais une marque rouge pendant facilement une heure. Levant les sourcils, j’attendais une quelconque réponse de sa part, le visage plus fermé que d’habitude : aucun sourire ne transperçait mes lèvres. A croire que je pouvais changer de comportement du tout au tout…
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