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Sujet: Re: Lyllian-A. & Marius ► Une guerre de dieux. v.02 (terminé) Mar 19 Juil - 17:31
Tu n’as vraiment pas de chance de tomber sur moi...
Marius & Lyllian-Aaron
Lilly était entré et les yeux encore plus enflammé de désir à l’égard du jeune fils de Venus qu’on lui offrait dans une magnifique chambre d’hôtel. Les dieux ne lésinaient pas sur les moyens pour envenimer les situations. Lilly était complètement obnubilé par l’autre confrère qui se trouvait de l’autre côté de la porte. Il avait bien été inquiet de se retrouver au milieu de nulle part, même si ça lui arrivait quelques fois. Enfin moins maintenant qu’il était « adulte et responsable avec un travail ». En tout cas, sa seule obsession à cet instant c’était ses pulsions. Ses pulsions sexuelles.
Le jeune psychiatre ne quittait pas l’éphèbe des yeux, complètement sous son charme. Son regard noir ne le rendait que plus séduisant encore et il ne faiblit pas alors qu’il s’avançait de toute sa hauteur. Sauf qu’au lieu d’être complètement sous son charme, il aurait du l’esquiver et peut-être l’aider à sortir de là. Il en gagna d’avoir la tête complètement immergée dans l’eau froide. Il ne sut trop exactement comment il en était arrivé là, mais ça s’était passé très vite. Une prise de la main, une position de la jambe et le voilà dans la baignoire. En un rien de temps. Ah en plus d’être beau, il était doué ! Marius avait sûrement trouvé la meilleure solution jusqu’à maintenant, alors que les coups ne marchait pas avec Lilly. Le soucis avec Lilly et les coups, c’est qu’il avait l’habitude de s’en manger depuis jeunes par sa fratrie et ses camarades de classe que ce n’était pas le genre de chose qui le ramenait à la raison. Il y était préparé et s’attendait toujours à recevoir un poing ou une gifle. Il avait réussit donc à sortir l’irlandais de sa torpeur et la remplaçait par une autre : la peur. Les mains agrippées au bord de la baignoire pour se hisser hors de l’eau, il inspira profondément asphyxié par la surprise et la panique.
Le blond le regardait avec son arme fatal dressée. Lilly resta sans bouger, sans voix et sans souffle. Il finit par se frotter le visage et leva les mains en l’air, essayant de se relever très lentement. « Woh, calme toi… Ca va pas dans ta tête ! Attend… » glissa t-il dans la baignoire, essayant de remettre un peu ses idées en place. Il se rappela soudainement qu’ils s’étaient tout les deux réveillé au milieu de nulle part. Il serait peut-être bon de savoir où ils étaient, et comment ils en étaient arrivés là. Mais le seul soucis c’est que pour ça, il fallait sortir de cette chambre qui était close. Lilly se frotta les tempes toujours en fixant Marius. Enfin surtout ce qu’il tenait dans les mains. « Eh mec, je t’assure je sais pas ce qui me prends. Pose ton truc. Arrête les conneries. Ca ne vaut pas la peine d’en arriver là. J’t’ai même pas touché ! » finit-il par détailler le fils de Venus de la tête aux pieds avant de secouer la tête pour se refroidir une nouvelle fois. Lyllian se tenait le plus loin possible de l’homme et le sèche cheveux qui grondait dans la salle de bain en partie explosé. Il sentait son sang pulsait à vive allure dans ses veines. S’il mourrait maintenant, je mourrais bêtement… J’ai toujours su que je mourrais bêtement.
Sauvé par le « gong » ou plutôt les coups qu’on donnait à la prote d’entrée de la chambre. Lilly s’autorisa à souffler un peu alors que l’attention de Marius se tourna vers les voix de l’autre côté de la porte. « Bah vas y ! Va leur dire qu’on ne peut pas sortir ! lui ordonna t-il. Débranche ce putain de sèche-cheveux déjà ! T’es fêlé pour buter des gens sur un coup de tête comme ça – la bonne blague, c’est moi qui osait lui dire ça ! Tu trouves ça intelligent de descendre un demi-dieu alors qu’on devrait se soutenir face aux mortels. Je me demande si c’est pas un de leur plan. Allez bouge toi ! Je vais rester un peu dans l’eau froide… J’ai peur que ça recommence. T’es vraiment trop canon, c’est pas de ma faute » se mordit-il le poing avant de faire signe à Marius d’aller voir la porte.
Sujet: Re: Lyllian-A. & Marius ► Une guerre de dieux. v.02 (terminé) Ven 9 Déc - 15:17
Bon sang, l'autre homme semblait… Semblait être revenu à la raison. Méfiance Marius, c'peut-être un piège, songea t-il. Oui, ils étaient rusés ces gens là ! Ces psychopathes, ces pervers, ces ces… Brefs, ces gens tordus quoi. Il posa donc son arme de fortune, en le dévisageant. Comme par magie, la menace fonctionnait relativement bien. Faute de pouvoir lui gueuler dessus… on tambourina à la porte. Et l'autre dingue n'arrêtait plus de parler. Allons bon, il lui saurait dessus parce qu'il le trouvait trop canon ? Comme si c'était de sa faute ça, pénalisé pour quelque chose qu'il n'avait pas choisis. C'était bien la première fois que sa bouille lui portait préjudice en tout cas. Ce cas lui resterait longtemps en mémoire.
Ben ouais.
Il avait pensé tout haut. Bon sang ! Il venait de parler ! Jamais prononcer deux pauvres mots dépourvus de sens dans le contexte actuel lui avait semblé si bon.
Je parle ! Bon sens je peux à nouveau parler !
Il débrancha son sèche cheveux. Il n'allait tuer personne dans cette chambre d’hôtel, Marius n'était pas un tueur. Il était bien trop bon pour ça. On tambourina à nouveau à la porte.
Et si je leur dis qu'un mec essayait de me mettre à poil ? Tu penses qu'ils vont me blâmer d'essayer de l'arrêter ? Se soutenir, ce genre d'excuses ça vous arrange bien de les sortir à de tels moments, hein ? Je vais ouvrir, inutile qu'il fasse venir les flics, n'est-ce pas ?
Il alla ouvrir la porte. Trois personnes lui faisait face, une femme de ménage, une homme en tenue de l'hôtel (un groom peut-être?) et un qui semblait en charge de la sécurité (arme à l'appui et petit badge épinglé sur le torse).
Tout va bien monsieur ?
Comment dire…. Non pas vraiment ? Mais il ne pouvait pas vraiment balancer l'autre dingue. Tout simplement parce qu'il était un demi-dieu. Et qu'ils devaient de tous se protéger entre eux. Quoi que celui là c'était pas un cadeau ? Il était dingue, bon sang il aurait pu les blesser tous les deux !
Non pas vraiment. Un homme à fait irruption dans ma chambre.
Et il leur désigna la salle de bain. Il devait partir d'ici. Bon sang il ne savait même pas comment il avait pu atterrir dans cette chambre ! Il voulait juste retourner à la Nouvelle-Rome et en finir avec tout ça. Les trois personnes firent quelques pas dans la suite, la femme de ménage nota avec attention tout le bazar que les deux y avaient mis tandis que les deux hommes se dirigeait vers la salle de bain. C'était maintenant ou jamais. Fuir. Et sans prévenir, il prit les jambes à son coup. Ce fut la femme qui capta le plus vite et qui s'écria d'une voix trop aigus.
Sujet: Re: Lyllian-A. & Marius ► Une guerre de dieux. v.02 (terminé) Mer 18 Jan - 19:31
Tu n’as vraiment pas de chance de tomber sur moi...
Marius & Lyllian-Aaron
Lyllian avait presque vu sa vie déflier, mais heureusement pour lui il eut droit à la douche froide plutôt que l’éléctro-choc. Qu’elle frayeur il eut en voyant Marius armé de son sèche-cheveux et lui tremper jusqu’aux os. Ca ne lui prit pas beaucoup de temps pour comprendre le côté critique – et surtout létale – de la situation. Il était devenu blême et se rendait. Il levait les mains en l’air. Ce coup d’eau lui avait permis de retrouver la raison, mais pour combien de temps ? Lilly lui-même ne comprenait pas ce qui lui arrivait et pourtant c’était un grand connaisseur des pulsions et actes inconscient de l’esprit. Là, c’était étrange, même s’il devait l’avouer avoir toujours eu un penchant pour Marius. En soit, il avait un peu paniqué, trébuché dans la baignoire et tentait de retrouver réellement ses esprits et surtout les garder. Il se massait les tempes, essayant en vain de réfléchir de façon raisonnée. Malheureusement, le sèche-cheveux dans les mains de Marius l’en empêchait fortement. Alors il lui ordonnait de se calmer et de lui aussi revenir à la raison. Il appuya l’argument que cela ne valait peut-être pas la peine de tuer quelqu’un pour trois fois rien. Il précisait qu’il ne l’avait pas touché et contrairement au deux, lui n’avait pas essayé de le tuer. Juste de lui faire partager tous les fantasmes qu’il pouvait éveiller chez lui. Il espérait que ça calmerait le fils de Venus et qu’il reposerait cet appareil électrique qui ne cessait de gronder dans la salle de bain. Salle de bain en très mauvais état. Mais qu’est-ce qui m’a pris…
Marius finit par poser le sèche-cheveux et Lyllian continuait à comprendre ce qui lui arrivait, alors qu’il avait encore senti une vague d’hormone le pousser à se jeter sur l’autre homme dans la chambre d’hôtel. Et l’autre qui ne lui répondait toujours pas. A quoi jouait-il ? Il savait le faire d’habitude. Pourquoi il ne disait plus rien. Il se mit alors à soupçonner que ça devait être aussi inexplicables que ses étranges pulsions. On sonnait. Ce fut comme un miracle, car déjà le romain avait l’air beaucoup moins intéressé par le sort du grec. Lyllian en profita pour l’envoyer répondre, et ne pas envenimer les choses, tout en profitant pour lui glisser l’idée que de se soutenir était sûrement plus adéquate. Il se mit soudainement à penser à la pauvre femme allongée et étendue sur le sol à côté du lit. Et dire qu’elle avait ouvert la porte ! C’est alors que Marius parla enfin. Lyllian sursauta presque. « Comment ça « ben ouais » ? C’est tout ce que t’as a dire depuis tout à l’heure !!! Tu te foutrais pas un peu de ma gueule ? » hurla Lilly hors de lui, encore sous le choc d’avoir risqué la mort. Marius partagea alors son plaisir de parler à nouveau. Le psychiatre leva un sourcil fort sceptique et soupçonna encore plus que quelque chose de pas normal s’était passé dans cette chambre et pour le romain aussi.
Marius ne partit pas de suite ouvrir la porte et maintenant qu’il pouvait parler, il ne se gêna pas pour menacer Lyllian et lui faire partager sa rancoeur. Le grec se leva, debout dans la baignoire et le fusilla du regard. « Rappelle moi que quand l’occasion se présentera, je te laisserais crever… Tu te prends pour qui ? T’as cru que ça me faisait rire tout ça ? Tu n’arrivais pas à parler si j’ai bien compris non ? Tu t’es pas dis que, moi, je répondais pas de moi. Mais non, ça ne peut arriver qu’à un pauvre petit con de romain ce genre de situation. Les grecs sont tous des enfoirés et des fous c’est ça ? Fais ce que tu veux. Juste si on appelle les flics et que c’est de ta faute, ce sera pour constater d’un meurtre. Le tiens. » s’était-il emporté, car il lui en voulait toujours d’avoir essayé de le tuer. Peut-être que Marius ne tuait pas des gens, il n’était pas comme ça, mais Lilly c’était tout autre chose. On frappait plus vivement à la porte. Le fils de Venus daigna enfin ouvrir la porte. Lyllian était encore dans la salle de bain et cherchait une serviette pour s’essuyer. Pas le temps de comprendre, on entendant une femme crier « Il s’enfuit ! ». Le psychiatre soupira après s’être passé la serviette sur le visage. « Petit con ! » Un autre cri de la femme lorsqu’elle découvrit le corps de sa collègue simplement inconsciente à côté du lit. L’homme de sécurité entra dans la salle de bain, le tenant en joue. Lyllian leva les mains en signe pacifique. On lui passa les menottes aux poignets. Il soupira. Ca ne servait à rien de courir. Au contraire cela aurait été pire. Il me revaudrait ça...
Amené dans une cellule de l’hôtel, il fut interrogé, et on amena finalement la police car c’était un peu douteux et qu’il y eut agression sur le personnel. Heureusement pour Lyllian, il connaissait ses droits, vu qu’il avait souvent travailler au profit de la justice et même pour la police. Au final, il put partir après 48h de garde-à-vue au poste à vérifier ses sources et les preuves qu’il avait avancé comme quoi il avait souvent travaillé pour les autorités. Le rapport de cette affaire ? Il était sous substance malgré lui et il avait du payer les travaux de la chambre, ainsi qu’une indemnité pour la pauvre femme de chambre. Pour Marius, il dit simplement qu’il avait été lui aussi victime d’un malentendu, après la soirée un peu arrosée la veille qu’ils avaient passés ensemble.