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| I bet you thought you'd saw the last of me. feat. Vaska | |
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| Sujet: I bet you thought you'd saw the last of me. feat. Vaska Jeu 5 Mai - 21:39 | |
| Des fois on se réveille avec des idées comme ça. Et la mienne aujourd'hui c'était "Tiiiient ! Ca fait longtemps que j'ai vu Vaska !". Ca n'avait absolument rien avoir avec le cours de stratégie que j'étais sensé écouter. Quoique, Vaska était un gosse de Minerve... Enfin Athéna... Donc la stratégie c'était sensé être son truc. Peut-être pour ça que je pensais à lui. Vaska était un de mes potes en dehors du camps. On s'était rencontré à la salle d'arcades et depuis... Et bien on jouait souvent ensemble, il était super sympa comme type. Enfin j'aimais bien jouer avec lui c'était cool. Mais ses derniers je n'avais pas vraiment eut le temps de sortir du Camps. Il faut dire que mes Supérieurs m'avaient démasqué et ils me collaient deux fois plus de corvées pour ne pas que je trouve le temps de sortir. Les petits malins. Mais il en fallait plus pour arrête l'extraordinaire Sidney Pilgrim !
Je passais tout de même toute ma journée à l'entraînement, comme un bon petit soldat. Enfin, les entraînements de la cinquième cohorte, ça virait vite au n'importe quoi, mais bon. Quoiqu'on était assez sérieux quand même de mon avis. Mais je crois que je n'avais pas la même définition du mot "sérieux" que le reste de l'humanité. C'est assez triste d'un sens. Car même si ma définition n'avait pas vraiment de mots, elle était cool, je vous jure ! Après l'entraînement, j'avais bien sûr quelques corvées à faire pour avoir tenté les chaussures d'un centurion en utilisant mon don, mais il avait fini par se rendre compte que j'étais en train de l'enjôlé et m'a foutu une beigne. Ce qui n'était pas très agréable d'ailleurs. Et comme punition, je devais nettoyer les toutes armures de la réserves. En soit, ça ne me pris pas tant de temps que ça. Faut dire que je l'avais déjà fait la semaine dernière aussi. Les Centurions avaient quand même une imagination assez limitée en ce qui concernait les punitions, je vous jure.
Il était assez tard quand même lorsque j'eus fini officiellement ma journée. J'aurais pu sortir directement, mais je n'allais pas rater le dîner non plus. J'aurais bien trouvé un truc dans San Fransisco, mais on va pas se le cacher hein... Les repas aux camps étaient bien plus géniaux. Déjà parce qu'ils ne coûtaient rien et les Nymphe continuaient de nous resservir exactement ce que nous voulions tant qu'il se faisait faim. Et je vous jure que pour les estomacs comme le miens, c'était le pied. Un peu étrange comme expression ça... Mais vous avez compris l'idée. Du coup, je n'étais pas bien en avance pour ma quête de la soirée et il avait fallu qu'une fille de Vénus vienne me faire une conversation de trois heure sur l'importance de prendre soin de ses ongles. C'est cliché, je sais... mais c'était assez intéressant quand même en fait et.. Ouais non je vais arrêter là avant de passer pour un type bizarre.
Il faisait déjà nuit quand je quittais le Camp de Jupiter pour rejoindre San Fransisco. A force ne pratique, je n'avais plus aucun problème à faire le mur. J'avais dévellopé un nombre incroyable de technique et... Et en fait, elles consistaient majoritairement à soudoyer les gardes en factions. Heureusement, ça avait des avantage d'être pote avec un peu tout le monde à la Légion. En général je n'avais pas trop de mal à négocier une escapade nocturne contre un ou plusieurs objets que j'avais volés. Ou alors on me demandait de ramener des trucs, ça arrivait aussi. Dans un premier temps, je fis donc un tour à la salle d'arcade voir si Vaska n'y était pas par hasard. Mais non. Je me retrouvais alors un peu con, parce que je n'avais pas d'autre plan en tête. Je n'avais jamais vu Vaska autre part qu'à la salle d'arcade. Je savais qu'il devait avoir un appart dans le coin... Mais où ? Je fis fonctionner activement mon neurone pour tenter d'essayer de me rappeler le moindre détail.
Je crois que Lou m'avait dit quelque chose à propos de Vaska entre deux coups d'épées je crois. Mais ce n'était pas assez. Je savais juste qu'il avait pris le bus pour y aller et jusqu'à quelle station... A partir de là... Et bien même si il était tard, il y avait toujours du monde dans la rue. J'interrogeais donc toutes les personnes qui passaient. Pas de pression, j'étais comme ça. Apparemment, Vaska n'était pas très réputé dans le quartier. Mais il y avait pas cinquante mille personne avec un nom aussi chelou que le sien et je fini par trouver son appartement en regardant les noms sur les boîtes aux lettres. J'aurais pu y passer ma nuit, je sais. Mais je suis un type chanceux, que voulez vous ! Soyez pas jaloux ! Le plus dur était fait en tout cas. Rentrer dans un immeuble dans avoir les codes de sécurités et tout ça ? C'était un jeu d'enfant pour moi voyons ! Par contre il allait falloir que je fasse tous les étages pour trouver l'appartement de Vaska.
Après être passé aux travers des premières portes, je commençais mon expédition et... Putain ! Vaska habitait au dernier étage quoi ! Il pouvait pas prendre un peu plus bas ? Il devait galérer un max quand il faisait les courses. Quoiqu'il y avait un ascenseur remarque. Mais vu que je devais faire tous les étages, j'avais pris les escaliers. Une fois en face de la porte de Vaska, je m'apprêtais à passer au travers. Mais sa voisine sortis et je ne pouvais pas utiliser mon don devant elle... Elle allait penser qu'elle avait des hallu. Même si la brume est bien utile, je ne préférai pas provoquer le karma comme dirait mon cher ami Dewei Law. Du coup j'adressais un grand sourire à la demoiselle qui était loin d'être désagréable à regarder, la saluait gentiment et fit mine de chercher mes clefs. Elle me répondit poliment et me lança un regard perplexe avant d'aller prendre l'ascenseur. Dès que la porte fut referme, j'entrais chez Vaska.
En fait, j'aurais pu me demander si il y avait du monde et frapper avant d'entrer... Mais je sais pas, au pire, se serait une bonne surprise. Puis après un rapide tour des lieu, je constatais qu'il n'y avait personne. Donc, j'allais devoir me montrer patient. Pourtant il commençait à être super tard. Barf, je n'étais pas sa mère non plus, Vaska était un enfant responsable. Son appart était pas mal d'ailleurs. Même si il faisait nuit, c'était assez agréable cette grande baie vitrée et la vue était sympa. C'était l'endroit parfait pour draguer quoi. Un peu comme dans les films à l'eau de rose. A cette idée, je lâchais un rire débile en me disant qu'il faudrait que je fasse la remarque à Vaska quand il serait là. Bon, du coup, vu que j'étais seul... Autant en profiter un peu. Je m'étais tellement dépêcher d'en finir avec mes corvées et mon dîner que je n'avais pas pris le temps de prendre une douche. Et putain ce que je sentais la mort ! Je me demande comment les gens avec qui j'ai parlé on fait pour survivre à ça.
Sans pression, je me dirigeais vers la salle de bain, j'ouvris un peu tout les tiroirs pour trouver une serviette propre et après avoir enlevé mes vêtements, je pris une douche. Je n'étais pas franchement du genre à me gêner de faire quoique ce soit quand j'étais chez les autres. Je crois que j'avais trop bien compris l'expression "Fait comme chez toi". Et même si Vaska ne me l'avait jamais dite... Je l'appliquais partout où j'allais. Ainsi, après une bonne douche, je me sentais revivre. Mais j'allais pas remettre mes vêtements du camps non plus ! Ils sentaient le mort aussi. Je me permit donc d'emprunter un jean et un tee-shirt à Vaska. Oh et un sweat aussi, il était bien beau son appart, mais il y faisait pas si chaud que ça. D'ailleurs, je pourrais peut-être monter un peu le chauffage. Une fois cela fait, je repris mon exploration, ouvrant un peu tous les tiroirs. Ouais, ça tournait carrément à la fouille intégrale de son appartemment. Mais c'était plus fort que moi.
Arrivant dans la cuisine, j'avais fini mon inspection et... Et j'avais la dalle ! Ca devait faire presque deux heures que je n'avais pas manger ! Vous n'imaginez pas mon désespoir ! J'ouvris donc le frigo et à défaut de trouver autre chose, je pris un yaourt qui me faisait de l'oeil. Je pris également une cuillère (si ça peut vous rassurer j'avais bien l'intention de la laver après, je suis un voleur civilisé voyons, je vol, mais je fais la vaisselle avant !), puis m'installais à la table juste à côté. Je commençais à manger mon yaourt (qui techniquement était à Vaska) en me balançant distraitement sur ma chaise. C'est qu'il en mettait du temps à rentrer. Si ça continuais comme ça, j'allais devoir squatter ici plus longtemps que prévu. Quoique, c'était pas trop un problème vu qu'apparemment Vaska avait fait les courses récemment. Donc déjà, c'était bon signe ! J'arrivais à la moitié de mon yaourt lorsque j'entendis du bruit venant de la porte. Aaah ! Enfin ! Les pieds sur la table, mon yaourt dans une main, la cuillère dans l'autre, je me balançais un peu plus sur ma chaise pour voir le demi-dieu rentrer.
- C'est à cette heure là qu'on rentre ?
J'avais essayer de paraître crédible et menaçant, mais j'étais incapable de ne pas sourire. Ben quoi ? J'aimais bien voir mes potes moi ! Puis que Vaska soit arrivé, signifiait que je ne m'étais pas trompé d'appartement non plus ! C'était plutôt sympa de savourer cette victoire ! En plus j'avais fais plein de bénéfices aujourd'hui ! J'avais volé les chaussures d'un gars en venant ici (oui... J'avais un truc avec les chaussures aujourd'hui), j'avais trouvé l'appartemment de Vaska et je lui avait volé son décapsuleur aussi qui était actuellement dans la poche arrière de son jean. A oui c'est vrai ! Je portais les vêtements de Vaska aussi. Les miens étant sale et sagement plié sur un bout d'étagère.
- Tu m'avais pas dit que ta voisine était aussi mignonne !
Oui, j'ai une certaine tendance à lancer tout ce qu'il me passe par l'esprit quand je suis content. Et un peu tout le temps en règle général aussi. Vaska n'avait toujours pas dit un mot. Mais en même temps ça ne devait pas être tout les jours qu'on entrait par effraction chez lui sans crocheter la porte. Lui laissant le temps de se remettre de ses émotions, je continuais à manger mon yaourt en souriant, fier de moi. Il y avait de quoi en même temps. |
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| Sujet: Re: I bet you thought you'd saw the last of me. feat. Vaska Lun 16 Mai - 22:31 | |
| Cette journée avait été longue et éreintante … pour une fois il n'y avait pas eut d'affaire de demi dieux, de monstre, d'organisation secrète, non, rien de tout ça ! Aujourd'hui j'avais juste fait ce que tout mortel devait faire pour subsister : Trouver un moyen de s'en sortir financièrement. Surtout que, vu mon mode de vie à voyager d'un bout à l'autre du pays régulièrement, à avoir deux appartements, me payer du matériel pour reforger mes armes, mes munitions et faire mes petits tests quand j'avais de petits cobayes à tester … Bref, tout cela demandait des fonds que je ne possédais pas forcément et je devais toujours trouver des solutions. Quand j'avais commencé ma vie seul, je vivais de petits boulots ici et là et ça m'allait très bien. Mais quand j'avais démarré mon jeu malsain … disons que j'avais eut plus d'ambitions et j'avais réussit à m'en sortir de diverses manières, soit en tombant sur les bonnes opportunités, soit en jouant de mes charmes, chose que je n'avais pas de scrupule à faire. Mais en ce moment, je commençais à arriver au bout de mes options et donc … j'avais préparé mon CV, un faux CV, c'était l'avantage de savoir jouer les caméléons, j'étais terriblement douer pour m'adapter et mentir sur mon identité, afin de trouver des jobs plutôt intéressant. Mais que dalle pour aujourd'hui … il semblerait que même dans les hautes sphères le chômage faisait rage, trouver une place relevait du miracle.
Je retournais donc chez moi, lentement mais sûrement, même après avoir tenté les entretiens les plus étranges de ma vie, ce qui était tout de même quelque chose quand on savait quelle vie je menais. J'avais juste fait, avant de remonter dans mon appartement de San Francisco, un petit détour par la supérette du coin, le genre qui reste ouverte toute la nuit et où on s'attendait à un braquage chaque fois qu'on s'y rendait. Ironie, elle ressemblait beaucoup à celle où j'avais fait ma première vraie rencontre avec le monde mythologique. Que se serait-il passé si je ne m'étais jamais trouvé là bas ? J'aurais sans doute continué une vie normale, une vie où j'aurais continué de croire que j'avais des hallucinations, confirmant simplement mon esprit dérangé, et où j'aurais fini par tuer d'autres de mes semblables, des humains, attirant l'attention des autorités et aujourd'hui sans doute je serais mort car jamais, absolument jamais je me serais rendu vivant. Quitte à se faire prendre autant faire une sortie en beauté et dans un monde où les serial killer n'ont une espérance de vie ou plutôt de liberté que de quelques années avant de se faire rattraper par la justice … disons que je me portais beaucoup mieux que je ne l'aurais imaginé lors de mes jeunes années, depuis ce jour où j'avais laissé tomber cet auto radio dans le bain du premier homme que j'avais aimé de tout mon cœur. Rien que cette pensée … elle parvenait à me rendre un sourire que j'avais perdu au bout du huitième entretien.
Finalement j'arrivais enfin devant ma porte, sac de course à la main quand je fis entrer mes clés dans la serrure. Jusque là rien d'anormal. Après tout pourquoi quelque chose le serait ? Mais alors que je fis quelques pas dans mon appartement … je me rendais compte que quelque chose n'allait pas … le chauffage était allumé bien plus fort qu'il ne l'était à mon départ mais surtout … cette tête blonde qui se tenait au milieu de la pièce était difficilement ratable. Ah Sidney … je me demandais si je devais juste être blasé de le voir tant cela n'était pas surprenant ou si je devais lui loger une balle dans la tête, juste pour le plaisir de lui apprendre à ne pas s'inviter chez les gens de cette manière, surtout quand ils avaient des pièces cachées dans l'appartement avec tout un arsenal et qu'un passe muraille avait toute les chances de trouver. « Mais c'est que tu portes mes fringues petit con … Sous vêtement compris j'imagine ? Du moins … si t'en portes. » Lâchais-je d'un ton tout à fait neutre mais surtout comme ci tout était parfaitement normal pendant que je me déchaussais. Je me dirigeais alors vers le frigo, rangeant les courses que j'avais fait sans même faire attention à lui, comme ci de rien était. « Et éclate toi avec la voisine si ça te chante. Mais avant fais toi pousser une paire de seins, car sinon ça risque d'être compliqué. » Je sortais finalement un verre à vin et la bouteille qui allait avec avant de me servir généreusement. Quitte à choisir, je préférais largement cela à la bière. En proposer à mon invité que je n'avais pas invité par contre ? Il pouvait se gratter ! Après tout il aimait bien se servir tout seul alors autant le laisser se bouger le cul. Je me retournais finalement vers lui, après m'être un peu étiré et lui lançais un immense sourire « Woaw à te voir comme ça … j'ai vraiment l'impression d'avoir un ados de 15 ans la maison. C'est que tu pourrais me faire avoir des problèmes mon chéri tu sais ? » Je roulais finalement des yeux avant de le rejoindre à table avec mon verre et ma bouteille. Ce mec était véritablement intenable … mais là était sans doute ce qui faisait son charme, même si le claquer était plus souvent l'envie qui habitait mon esprit quand je ne l'embrassais pas. Je lui attrapais les pieds et lui écartais les jambes de ma table avant de m'installer à ses côtés. « Alors, que me vaut l'honneur de ta visite ? Tu t'ennuyais sec et voulais me voir pour faire des câlins devant un film ? Tu passais dans le coin et tu as pensé à moi ? Ou tu t'avais juste besoin d'un endroit où prendre une douche, voler des fringues et très certainement l'argenterie et j'étais le seul pigeon à disposition qui ne te broierait pas les couilles ? » Dis-je en faisant glisser mon pied d'un air aguicheur le long de sa jambe, puis entre ses cuisses avant d'appliquer une forte pression sur ses parties. « Alors amour ? » Terminais-je enfin avec un petit sourire amusé. |
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