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Sujet: Ma mémoire, mon histoire sans égards, mon passé que tu enterres. (Barbie) Sam 24 Déc - 18:23
- Ken "Barbie" Guggenheim -
dossier n°xxxx-xx ; informations générales.
NOM •• Guggenheim, rien à voir avec l'illustre famille d'industriels américain hélas. PRÉNOMS •• Kenneth, et il n'a jamais été fan. Lyriopé, et puisque c'est terriblement laid, démodé et féminin en prime, personne ne le saura jamais. SURNOMS •• Ken, parce que c'est le seul qu'il ai trouvé comme diminutif de son prénom. Du coup certains pour plaisanter l'ont surnommer Barbie et c'est resté. Les gens le prénomme toujours Ken ou Barbie. Jamais Kenneth. ÂGE •• 25 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE •• 24/12/1991 à Gillette dans le Wyoming NATIONALITÉ •• Américaine. ORIGINES •• Américaine et Écossaise, parait-il. OCCUPATION •• Pensionnaire à la colonie, il songe à devenir entraîneur de combat rapproché.ORIENTATION SEXUELLE •• Hétérosexuel. STATUT CIVIL •• Célibataire PARENT DIVIN •• Nyx, la déesse de la nuit. POUVOIRS •• (comme tous les enfants de Nyx il dipose d'une vue parfaite dans le noir.) Aveuglement + peut rendre aveugle durant une certaines durée son adversaire. Chaos + il peut faire basculer pendant un laps de temps très court son adversaire dans le chaos le plus total, il se retrouve alors au beau milieu du vide, dans le noir le plus complet, totalement désorienté. ARME FÉTICHE •• une simple épée DÉFAUT FATAL •• Sa demi-soeur, Joe. À LA COLONIE DEPUIS •• 6 ans.
☞ CARACTÈRE.
Combatif + Patient + Protecteur + Sentimental + Émotif + Vif + Râleur sur les bords + Mauvais joueur + Retardataire + Taquin + Impulsif.
☞ QUELQUES ANECDOTES.
01. Il a perdu la mémoire à ses douze ans. Et ce n'est pas suite à un coup sur la tête mais à un kidnapping, son cerveau n'en a fait qu'à sa tête et pouf, plus rien. Il se souvenait parfaitement de son prénom, vaguement de sa maison mais rien de plus. 02. Il adore que les filles l'appellent Barbie. Il trouve ça sexy. Alors n'y voyez rien de malsain ou autre c'est juste que tout le monde a un petit quelque chose d'étrange en lui et Ken, et bien, c'est ça. 03. Enfant il avait de grosses difficultés pour tenir en place deux minutes, pour lire un texte à voix haute. Et par dessus tout il était le roi de la casse, il doit compter cinq ou six petites cicatrices laissés par ses chutes d'enfants. 04. Il était proche de sa sœur jumelle jusqu'à l'oublier complètement après son kidnapping. Désormais il sent un petit vide dans sa vie, mais il est incapable de dire quoi. Au fond, c'est elle qui lui manque. 05. Il a horreur d'aller se baigner. Parce qu'il est assez pudique au fond, qu'il n'aime se mettre en maillot et qu'il n'aime sa tête une fois les cheveux trompé. 06. C'est sa demi-soeur Joe qui lui a appris à se raser. Parce que oui, il n'avait jamais vu personne le faire avant et que le geste aussi étrange parait-il lui était parfaitement inconnu. 07. Il est accro aux jeux vidéo. Il adore ça, il pourrait passer des heures devant un écran sans même s'en rendre compte. 08. Il se méfie des enfants de Tyché. Faut dire qu'il s'est fait avoir une fois par l'un d'entre eux sans avoir qui était sa mère... Il a perdu tout de même 10 drachmes ! 09. Il a une sacrée collection de caleçon. Ça peut paraître con mais il n'en a pas deux pareil. Et puis ce sont des caleçons collectors, allant des star wars en passant par les marvel et les dcs en terminant au mario bross. 10. On lui a souvent dit que sa voix n'allait pas avec sa tête. Parce qu'elle est (trop ?) grave (et suave pense t-il) et ça, ça l'agace. 11. Il a deux tatouages (fais quelques temps après sa fuite, en compagnie de Joe) qu'il a fait pour... il ne sait même plus pour quoi mais le fait est qu'il est fan de son éléphant sur le poignet droit mais moins de celui qu'il a juste sous l'oreille droite (à vrai dire il a même oublié à quoi il ressemblait) qu'il planque de toute façon sous ses cheveux.
interview de prénom p. nom, colonie des sangs-mêlés.
01. •• QUE PENSEZ-VOUS DES DIEUX ? ET DES ROMAINS ? Il a une mauvaise opinion des Dieux, excepté de sa mère, mais uniquement parce qu'elle est sa génitrice. C'est à cause d'une déesse qu'il a passé son adolescence dans une cave, à cause de cette même déesse qu'il a été privé de vivre sa vie avec sa mère adoptive et sa sœur jumelle qu'il en est arrivé à oublier complètement. Mania représente bien tous les dieux, égoïstes, ne pensant qu'à eux. L'image qu'il se fait d'eux est peu flatteuse, oisifs, procréant un peu partout, semant la pagaille quand ils s'ennuis. Ce n'est pas pour autant qu'il aurait choisis de rejoindre le camp des opposants aux Olympiens. Quant aux Romains, ils les apprécie tout simplement, il se voit m détester des gens comme lui qui en plus de ça, sont devenus les alliés avec le temps.
02. •• QUE FAISIEZ-VOUS ET OÙ ÉTIEZ-VOUS LA NUIT DE L'INTRUSION DE LA BANDE ARMÉE DE MORTELS AU SEIN DE LA COLONIE ? Il était présent à la colonie, et s'est battu, comme tout bon colons en mesure de le faire aurait du. Difficile de ne rester sans rien faire quand des enfants se font tuer sous vos yeux. Pour lui cette nuit a aussi été source d'une angoisse profonde puisqu'il a vu sa petite vie à la colonie bien tranquille voler en éclat. Il a eu peur pour ses demi-soeur, et quand les mortels se sont repointés lors de la fête de monsieur D, il a eu l'impression de revivre le même cauchemar, mais je jour.
03. •• QUE PENSIEZ-VOUS DES MORTELS JUSQU'ALORS ? ET MAINTENANT ? Disons que... Il ne serait pas du genre à se méfier de tous les mortels. Mais le fait qu'il est réellement grandis parmi les demi-dieux plus que parmi les mortels n'aide pas. Le seul mortel avec qui il eu du contact sur une longue période fut son père, qui le gardait enfermé jour et nuit dans sa cave, disons que ça n'aide pas. Aujourd'hui il ne confierai pas sa vie à un inconnu mortel.
04. •• VOUS SENTEZ-VOUS PARTICULIÈREMENT EN DANGER OU DÉMUNI FACE À CETTE MENACE INVISIBLE ET INCONNUE ? Barbie, c'est du genre qui peut flipper pour un rien. Et surtout, à s'emballer pour un rien, caractère très émotif en cause. Alors démuni, non, mais il se sent en danger. Et ce n'est pas pour rien qu'il refuse de mettre les bien de l'autre côté de la barrière magique protégeant la colonie. Il faudrait être fou pour oser explorer le vaste monde ! Il essaie de ne pas le montrer, mais il craint de nouvelles attaques.
à propos du joueur.
PSEUDO/PRÉNOM •• Ici Héloïse & Rahne ÂGE •• 20 ans. COMMENT AS-TU CONNU MALUM DISCORDIAE ? •• COMMENT TROUVES-TU LE FORUM •• AVATAR •• Boyd Holbrook. SOUHAITES-TU UN PARRAIN ? •• Non merci ~ UN DERNIER MOT ••
.ipar haizea
Dernière édition par Ken « Barbie » Guggenheim le Dim 25 Déc - 21:17, édité 3 fois
Sujet: Re: Ma mémoire, mon histoire sans égards, mon passé que tu enterres. (Barbie) Sam 24 Déc - 18:24
HISTOIRE
sous-titre.
16 Novembre 1991. « Écoute Connie... » « Non. Non c'est non. Et puis c'est quoi cette affaire ? Tu débarques, trois ans après ta dernière visite et tu me demande la garde exclusive de ton fils ? Tu te fiches de moi, hein ? » « Tu ne comprends pas elle... » « Qui ça elle ? La femme pour laquelle tu m'as laissé ? Celle que tu as ramené du Maroc ? » « D'Égypte... » « Ou l'autre qui te fait payer des cents et des milles pour... » « Je t'ai déjà dis que Mania n'est pas une voyante, c'est une déesse. » « C'est ça. » « Et elle m'a dis que si je n'éduquais pas mon fils je... » « Sors de chez moi. Tu ne toucheras pas à un seul cheveux de mon Kenneth. » « Je.. » « Sors ou j'appelle les flics. » Connie regarda l'homme s'éloigner et regagner sa voiture. Ces deux enfants étaient encore à l'école à cette heure là. Enfant que cet homme lui avait déposé un jour à sa porte. Ils n'étaient même pas les siens. Ils étaient ensemble il y a douze ans. Douze ans. Et il l'avait trompé. Et c'était tout naturellement qu'il avait ramené ces mômes chez elle, et qu'il avait disparus. Ce soir là Nyx prit en pitié ces deux enfants. Et étrangement Madame Saurel ressentie le devoir profond de devoir s'en occuper.
Kenneth Saurel croquait la vie à pleine dent. Il n'avait que douze ans, mais il avait des tas de rêves plein la tête et n'arrêtait pas de les répéter inlassablement à sa sœur. « Tu sais, quand je serais plus grand, je vais aller dans l'espace.» L'espace, c'était sa grande passion. Il pouvait regarde en boucle star wars ou tout les autres fils se déroulant dans ce vide immense, inconnu, sensationnel. À l'école il était du genre à gribouiller des vaisseaux dans la marges de ses cahier en rêvant de s'évader loin de la salle classe. Comme sa sœur il avait quelques petits soucis à se concentrer. Kenneth, Ken pour tout le monde, avait la bougeotte, des soucis pour lire à voix haute l'anglais. Mais sa maîtresse le trouvait mignon alors elle ne disait rien et de temps en temps, elle complimentait même ses plans de navettes spatiales. Et elle avait aussi bien du mal à cacher son affection pour le frère et la sœur qu'elle trouvait tout simplement adorables. Il adorait sa sœur. Il la trouvait drôle, inventive... et il pouvait toujours compter sur elle pour ne pas rapporter à leur mère les (trop) nombreuses bêtise qu'il faisait à l'école. Et quand il se cassait un bras ou qu'il s'écorchait les genoux en voulant tester un nouveau « truc », il lui disait toujours « Ne t'inquiète pas, c'était la dernière fois ! » Au fond non, il était trop curieux et trop casse cou pour rester bien sagement en place.
16 Décembre 2003. « Jon a le dernier Final Fantasy Juliet ! On va y jouer toute la nuit je sens ! » C'était peut-être mal de se vanter, mais là n'était pas le but. Il avait toujours eu l'habitude de tout dire à sa sœur. Il en lui cachait rien, de ses pires cauchemars en passant par ses rêves les plus fous, et terminant sur les pires hontes qu'il avait du endurer en douze ans d’existence. « Mais je vais le lui demander. Et on jouera ensemble après. Faudra pas le dire à maman, elle n'aime pas ce genre de jeux. » Heureux, il l'était. Un rien le rendait heureux. Et ce soir là il fit son sac pour aller dormir chez son camarade de classe. Il insista pour y aller seul. Il était grand. Et sa mère se faisait du soucis pour rien. Elle le regarda s'éloigner, soucieuse. Il lui adressa un sourire radieux, levant les deux pouces en l'air, souriant à sa jumelle qui venait de pointer le bout de son nez. Et ce soir là, Madame Saurel venait de voir son fils pour la toute dernière fois.
« Petit, petit ! » Son casque sur les oreilles, il n'entendait rien. La musique StarMan de Bowie résonnait dans ses oreilles. « Kenneth ! » Son prénom, en revanche, il l'avait entendu. Il avait retiré son casque. Un homme en voiture roulait près du trottoir, la fenêtre ouverte. Son premier réflexe fut se s'éloigner. « Tu me reconnais ? » Ne pas parler aux inconnus. Il continua son chemin, la tête baissé, pressant le pas. « Ne m'ignore pas gamin ! Tu me reconnais ? » La voiture s'arrêta, montant sur le trottoir devant lui. « Votre mère ne vous a jamais parlé de moi, hein ? » Il avait envie de s'enfuir en courant mais ses jambes ne lui obéissaient plus. Il voulait Juliet. Il voulait d'elle à ses côtés. Elle savait toujours quoi faire. Le casque du petit Saurel tomba par terre quand l'homme l'empoigna par le col. Il hurla avant d'atterrir dans le offre de la voiture. En quelques secondes l'homme avait fait vrombir le moteur et avait démarré l'engin. « Juliet, Juliet, Juliet aide moi... » Sa respiration était saccadée, il ne voyait plus rien. Il était dans le noir le plus total, les larmes roulaient sur ses joues. Et soudain, plus rien, ce fut le chaos dans son esprit, ses yeux se refermèrent et tout autour de lui s'envola.
Jour 7 depuis l'enlèvement. Il y a avait du bruit de l'autre côté du mur. Ken avait relevé les yeux de son livre de poche (il avait réussis à lire deux lignes sans lever les yeux), plein d'espoir. Il avait faim et son père ne lui avait pas apporté de goûter. Il était seize heures pourtant. En temps normal il venait lui apporter quelques biscuits ou un chocolat chaud. Il posa son livre sur sa petite étagère, à côté des trois autres romans qu'il mettrait des mois à lire à cause de ses nombreux soucis de dyslexie. Il entendait une voix. Quelqu'un chantait. Une file. Toc toc. Son père lui avait-il amené des amis pour jouer ? Il retoqua encore une fois. Il était là. Bon sang, qu'est-ce qu'ils attendaient ? Et bientôt, il entendit le bruit d’une clef dans la serrure. Et elle apparut. Dans une tenue pour le moins original, de long cheveux roux bouclés qui lui descendait jusqu’à la taille. Une fée. Ou une nymphe comme dans ses rêve. « Tu es réelle ? » Non. Ça ne se pouvait pas. Elle ressemblait pas à... « Bien sûr ! » Et elle se mit à rire. « On aurait dit une fée... Non, une déesse ! Ou une nymphe ! » Il l'avait prise dans ses bras, et elle avait ris de nouveau. La panique avait soudain envahie son visage. Pourquoi venait-elle ? Elle aussi avait un soucis ? Elle aussi devait rester là pour toujours ? « JOCASTE TON PERE EST LA ! » Il la lâcha immédiatement et fila se planquer sous son lit. « Ferme la porte » siffla-il. C'était peut être un piège. Ce soir là il essaya de l'imaginer ailleurs que dans cette salle. À quoi ressemblait cette maison ? Son père, l'homme qui l'avait amené ici... il avait une autre fille ? Il avait donc une sœur ?
Jour 14 depuis l'enlèvement. « Pourquoi tu es dans ma maison ? » Elle était revenue. Bon sang, elle était revenue ! Pour lui ! Et elle avait l'air étonné de le trouver ici. Pourtant son père lui avait dit que tout le monde savait. Qu'ils faisaient ça pour son bien. « Ton père m'a mis ici. » « Est-ce qu'il t'a fais du mal ? » Drôle de question. Son père était gentil quoi que un peu absent. Mais c'était pour éviter qu'il fasse quelque chose de mal. « Je sais pas. » « Tu te souviens pas de ta famille ? » « C'est lui ma famille il m'a dis. » « Mais... » « J'ai tout oublié. Depuis que je suis arrivé là. Je sais pas depuis combien de temps je... » Il baissa les yeux. Parfois il se disait que rien n'allait dans sa vie. Il avait douze ans. Et il ne se souvenait de rien avant sa vie ici. Il perdait toute notion de temps, son père n'avait pas voulu qu'il mettre un calendrier ici, ni horloge, ni qu'il porte de montre. Il se contentait juste de dessiner des traits sur une feuille pour chaque jour passé ici. Rien n'allait. Mais quelque part, son esprit refusait de l’admettre. Il se conformait juste à tout ça. Et tout devenait plus beau. « Je t'ai fais un dessin. » « Pardon ? » Elle dessinait bien. « C'est pour toi. Et je vais dire à maman que tu es là. Elle va te rendre à ta famille. » « Non ! » Il s'était levé. « Non ne fais pas ça... Il m'a dit que... » Elle leva les yeux vers lui et soupira. « Tu veux rester là ? Je ne comprends pas. » « Il a dit que c'était pour moi. Je suis malade et je suis dangereux. Il m'a dis que les autres comprenaient. Tu es gentille, mais je te connais pas et je... » « Jocaste. J'ai eu dix ans et... » Jocaste. Ça, c'était du prénom étrange. « Ken. Douze ans. » « Comme la poupée ? » Ce fut à son tour de rire. C'était un surnom, mais il préférait Ken. Adjugé. « A plus tard Joe. » « Joe ? » « C'est plus mignon que Jocaste. Et Joe et Ken ça en jette, non ? » Elle haussa des épaules et il la regarda refermer la porte.
« Cher journal. Les jours passent et se ressemblent tous. Joe vient me voir très souvent. Cette fille est géniale. Elle ne comprend toujours pas pourquoi je suis là. Papa m'a assuré qu'il lui avait tout expliqué ? Je ne comprends pas. Mais je n'aime pas la voir en colère. Alors j'ai décidé d'ignorer le sujet. Elle m'a invité un anniversaire, n'est-ce pas fabuleux ? Et elle m'a offert un jeu pour ma console. Elle est tellement gentille. Parfois j'ai envie de lui dire que c'est grâce à elle si je suis aussi heureux. Papa m'a offert une télévision, mais je n'ai le droit à rien d'autre. Et hier, il m'a frappé au visage. A demain cher journal. - K.
Jour 40 (24 décembre 2003) , elle me connaît mieux que personne. Je l'aime tellement. Joe est la lumière de ma vie. Jour 71 (25 février 2004), j'ai treize ans. Joe m'a montré une de ses série télé préféré hier. C'est un truc de fille. Avec des garçons qui se ressemblent tous, mais elle avait l'air d'aimer ça. C'est vrai que c'était pas mal au fond. Jour 100 (25 mars 2004), hier j'ai ressentis une douleur inouïe à la tête. Je ne sais pas d'où cela m'est venu. Mais j'ai eu mal cher journal. Sans aucune raison apparente. Jour 164 (28 mai 2004), je ne l'avais pas revu depuis deux semaines. Elle m'a fait peur. J'ai cru qu'il lui été arrivé quelque chose. Au moins ça a laissé le temps à mes marques de partir. Je ne veux pas qu'elle voit ce qu'il me fait. Je ne comprends pas ce qui lui arrive. Mon père pète des câbles. Il me frappe. Il hurle. Et il jure que tout est de ma faute. Parce que je suis anormal. »
Jour 1072. (13 Août 2008) Il avait arrêté d'écrire depuis bien longtemps. Il n'en avait plus eut la foi. Il avait Joe pour ça. Et puis il n'avait plus de place dans ses tiroirs pour caser toutes ses feuilles de prétendu journal. « Attend, j'ai de la barbe ? » « Bravo, t'es un mec en fait... » Elle rigola. « Moi qui pensais que t'étais une fille... » « Hé ! » « C'pas d'ma faute, t'a une voix toute aiguë et regarde toi ! » Ok, elle marquait un point. Il avait laissé pousser ses cheveux pendant un peu trop longtemps et ces grands cils n'aidaient pas. « Barbie va... » Il leva les yeux au ciel. Et elle lui tendit un paquet. « C'pour te raser. Papa en avait deux. Et j'ai aussi des ciseaux. » Avec attention il l'écouta parler de l'art de la barbe (comment elle connaissait ça, il n'en savait rien, cette fille en connaissait un rayon en tout cas). « J'dois filer. Coupe moi tout ça Barbie ! » « Ken ! » « Si tu veux, mais tant que j'te vois comme ça, ça sera Barbie. » « Vilaine va. »
1716 jours (27 août 2008) Ok, là, il s'était raté, Joe allait se moquer de lui. Il regarda avec désespoir sa mèche plus courte que autre, qui pendait en évidence au milieu du front. Il soupira et rangea les ciseaux dans son tiroir avant de s’affaler dans son lit. Cela faisait six jours qu'il n'avait plus de lumière ici. Et pour une raison qu'il n'arrivait toujours pas à expliquer, il voyait comme en plein jour s'il le désirait. Il avait réussis à se couper les cheveux presque correctement dans le noir, il pouvait traverser sa chambre sans se prendre le moindre meuble dans la figure... Joe trouva cette capacité amusante.
1800 jours (19 novembre 2008) Son père était venu ce soir là. Il avait eu la gentillesse de se montrer et de ne pas lui glisser le plateau repas par la petite installation qu'il avait mis en place il y a deux ans pour en plus voir le visage de son fils. Mais une fois de plus, il n'était pas venu pour parler de choses normales entre père et fils. Il lui rabâcha encore les oreille avec sa malédiction. Sur son anormalité. Il disait que c'était sa déesse qui lui soufflait tout ça à l'oreille. Le fou, c'était lui. « Kenneth qu'est ce... » Avant qu'il ai pu lever la main sur lui, ils s'étaient retrouvés tous les deux plongés dans un noir profond. Non ; c'était... ils étaient ailleurs. Plus dans la pièce. C'était comme s'il se trouvaient dans une autre dimensions. Sans frontière. Sans sol ni plafond. Le chaos le plus total. Son père avait hurlé. Et tout s'était arrêté.
1801 jours (20 novembre 2008) Il avait voulu recommencer. Il avait passé plus de quatre heures sur son lit, les yeux clos à imaginer cet endroit. Quand enfin, il se sentit de nouveau aspirer. C'était vraiment quelque chose d'étrange. Plus de repère, plus de limite et pourtant, il le contrôlait. Cet endroit lui faisait penser à l'espace. Il voyait des astres se dessiner autour de lui, des planètes scintiller au loin. Ses yeux se remplirent de larmes quand il s'imagina, pilotant à travers l'espace. « Gilette. » Il n'avait aucun idée de pourquoi il venait de dire ça, qui était ou où était Gilette. Mais il venait de se réveiller. Et une partie de lui venait de trouver un débris de son passé.
2192 jours (16 décembre 2009) Cette fois-ci elle l'avait retrouvé roulé en boule dans un coin de sa chambre. « Ken ? » Il n'avait pas bougé. « Ken, tu m'entends ? » Elle s'était accroupis près de lui et il avait sursauté. « Et ce qu'il te le fait aussi ? Hein ? » Son monde. Son monde partait en morceau, son esprit refusait de gommer les erreurs de son père cette fois-ci. « Ken, il t'a frappé ? » « Non. Juste menacé. C'est la première fois, d’habitude il s'approche pas de moi il... » Il mentait. Mais il refusait qu'elle sache. Elle eut un air étrange sur le visage. Qui dura un bref instant. « Moi oui. Maman aussi. » Il s'était soudain redressé de sous son lit. Ces yeux bleus n'étaient plus triste. Juste en colère. Il allait le payer. « Comment peut-il... faire ça... à une fille aussi innocente que toi ? » « Ken... Ken attend... » Pour la première fois, il ignora les conseils de son père. Toutes ses années à rester enfermer pour son bien. Il l'avait conditionné six ans durant. Il l'avait cru. Parce qu'il n'avait que lui. Que lui et Joe. Et il avait frappé Joe. C'était comme si d'un coup tous les atroces souvenirs qu'ils avaient stockés bien enfouis au fonde lui s'étaient répandus. Impossible de se voiler la face, il en avait trop vu, trop vécu, il ne le supportait tout simplement plus. Trop d'égoïsme. Elle le suivit, agrippant ses mains. Ken avait surgis au beau milieu du salon. Une femme inconnue, peut-être la mère de Joe mais il eut un doute en voyant sa couleur de peau et son père. Il ne s'était pas attardé sur les choses qu'il découvrait pour la première fois. Jocaste planté derrière lui, son père et sa mère lui faisait face. « Qu'est ce que... » « Qui êtes vous ? » Sa mère avait presque hurlé. « Comment tu as pu faire ça, hein ? » « Je ne te connais pas je te... » « Menteur ! » Ce fut Jocaste qui se jeta sur Ken la première. En vain car ce dernier avait déjà empoigné monsieur G. pour le frapper de toutes ses forces. Monsieur G. s'était réfugié sous la table de son salon. « Arrête Jocaste, arrête ! » Il lui jeta un regard déconcerté. Totalement déconcerté. « Je ne fais rien... » Si, elle faisait quelque chose. Il le sentait bien. « Il va me tuer ! Il va me tuer ! » Son père hurlait à plein poumon. Il n'avait jamais voulu tuer qui que se soit. C'était une idée terrible que quelqu'un avait longuement immiscé dans son esprit, rien de plus. « Va t-en Jocaste, où la prochaine fois il va... » « Maman... » « On se retrouvera, va t'en ! » Joe attrapa la main de Ken. Elle du le tirer pour l'empêcher de se ruer à nouveau sur monsieur G. qui riait à présent comme un dingue, murmurant des choses de plus en plus absurde.
« Jocaste, arrête toi ! Arrête toi ! » Cela faisait une heure qu'il marchait à pleine vitesse sur le bord de la route. Il n'avait aucune idée de l'endroit où elle se rendait ainsi en pleine nuit. Ken la rattrapa, à bout de souffle. « C'est à cause de toi hein ?! Répond ! Ça fait des années que je me demande qui lui a fourré ses idées dans le crâne et depuis tout ce temps, c'était toi... hein ? » « Je suis désolée. J-je ne comprends pas je... » « Tu lui as dis que j'allais le tuer. » « Non je... On ne se connaissait même pas quand tu... » « Pardon ? » « Laisse moi finir ! Ken je... » « Ferme là Jocaste. » Ce fut plus fort qu'elle elle se jeta dans ses bras, le serrant contre elle. Mais cette fois ci il la repoussa, de toute ces forces. « Il m'avait bien dis, tous les jours, tous les jours depuis toutes ces années ! L'autre lui a dis que son fils le tuerais, alors il... » Sa voix se brisa. « Tu... » Elle avait l'air surprise. Parce qu'elle ne savait pas ? Elle n'avait toujours pas compris ? « Il avait juste peur de moi Ken, juste peur et... Il piquait des crises de folie s'il restait trop près de moi. Notre père était juste détraqué. » « Tu es spéciale aussi, c'est ça ? » Et elle lui révéla tout. Et quelque jours plus tard, au moment de quitter l'état, ils apprirent dans les journaux locaux qu'on avait retrouvé le corps de monsieur G. ce matin, suspendu au bout d'une épaisse corde au beau milieu de son salon. Il laissa comme dernières volonté celle que l'on retrouve le fils qui l'avait conduis à la mort. Mais personne ne pris la peine de chercher le sois disant fils. Il était libre.
Mai 2010, New York. « Tu sais que t'es vraiiiiimeeeeent mignon tooooooi ? » Il se força à sourire. « Aller Barbie, tu me montre ton appart ' ? » Super. Mais que faisait-il avec elle déjà ? Pourquoi il avait accepté de lui payer à boire ? « C'est heu... Juste là. » Elle s'était agrippé à son cou en essayant de capturer ses lèvres, en vain, il s'était penché pour ouvrir la porte, l'esquivant en beauté. Et elle rigola en s'engouffrant dans le petit appartement qu'il partageait avec Joe. Elle se laissa tomber sur canapé. Il referma la porte en soupirant. Elle allait se calmer et après, il la ferait dormir sur un... « Hé, tu viiiiiens ?! » Elle était peut-être bourré en fin de compte. Une chance que Joe ai décidé d'aller se faire un cinéma avec leur voisine. « On va baiser ou paaaaas ? » Mon dieu. Non non non. Il vira au rouge tomate et se réfugia dans son frigo, agitant une bière. Mais oui, bonne idée, la faire boire encore plus, et quoi encore ? « Nan parce que chui chaude comme la braise moiiiiii ! » C'était de pire en pire. Le regard qu'il lui lança, un mélange de pitié et de dégoût, eu l'effet inverse escompté et elle retira son haut. Catastrophe. Il se retourna violemment, se mangeant la porte d'un placard resté ouvert quand il se rendit compte qu'elle ne portait pas de soutient gorge. En plus d'être cramoisie, il avait un bleu sur le front maintenant. Mais le pire, c'était Joe. Joe qui était là depuis tout ce temps et qui fit irruption dans son pyjama vert anis. « Ken ? » La nana (qui avait déjà enlevé tout le reste ou presque) hurla en tirant les coussins vers elle. « AAAAAAH MAIS C'EST QUI ELLE ?!! » Joe elle aussi vira au rouge tomate et détourna le regard. « S-Sa sœur... » « Mais tu vis avec ta sœur mais mais mais mais... Aaaaah ! » Elle se rhabilla en vitesse, toujours en hurlant. Et enfin, elle partit en claquant la porte de manière magistrale. « J'voulez pas vous déranger mais j'étais là et j'allais vous laisser faire vos trucs alors que je... » « Merci. Tu m'as sauvé la vie. » « Hein ? » « T'as sérieusement cru que je voulais... » « Je sais pas Ken, t'as dix neuf ans ça se pourrait... » Il rougis encore, là il devait être carrément rouge jusqu'au bout des doigts si une telle chose était possible. Comment pouvait-elle penser ça ? La seule fille dont il avait envie était juste sous ses yeux. C'est dégueulasse Ken, contrôle tes hormones. Y'a d'autres nanas dans l'univers. « J'veux pas parler de ça avec toi Joe-Joe, aller, bonne nuit ! »
21 Juin 2010. « La Colonie, oui oui, je connais la colonie ! » Comment il en étaient arrivés là ? En quelques mots ? Une harpie avait fait irruption chez eux. Elle avait tenté de rentrer la tête de Ken toute entière dans sa bouche puant la moisissure et d'autre odeur qu'il préférait oublier. Un monstre. Bon sang il avait vu un monstre ! Et elle avait vu Joe. Et le monstre s'était transformé en caniche bien docile. Une grosse blague. Après ça... Elle les avait mis en garde contre les dangers de vivres seuls dans ce vaste monde. Et enfin, elle leur avait parlé de la colonie des sang-mêlés, un lieu fait pour eux. Joe fut revendiqué rapidement. Et quand à lui, il fut surpris quand Nyx le revendiqua comme son fils. D'un côté tout collait. Il fit donc la connaissance d'une certaine Juliet qui habitait aussi son bungalow. Il venait de gagner une mère et une demi-sœur dans la même journée.
26 Octobre 2012. Cela faisait deux ans qu'ils étaient à la colonie. Il avait assez vite trouvé ses marques. Il avait tout de suite adoré Juliet. Elle lui faisait penser à Joe à certains moment même si elle avait un caractère bien particulier. Elle avait ce quelque chose de miss je sais tout qui étrangement, lui plaisait beaucoup. Et puis, ils se ressemblaient tellement sur certains points ! C'était une chance d'avoir une demi-sœur aussi semblable. Le seul truc qu'il avait du mal à comprendre était cette soif d'aventure qui l'habitait. Lui avait enfin trouvé un chez lui confortable et sûr, il voulait y rester. Mettre les pieds dehors, non merci. Joe avait un pris son indépendance vis-à-vis de lui depuis quelques temps. Depuis qu'elle avait rencontré ce maudit garçon. Enfin, homme vu son âge. Aramis. Il ne l'avait jamais vu, mais il ne l'aimait déjà pas. Juste parce qu'il avait capturé le cœur de la seule femme qu'il n'ai jamais eu dans sa vie. Elle lui en parlait tout le temps, de l'amour de sa vie, du Aramis parfait, du beau Aramis. Beurk. Il était presque jaloux de son bonheur. Lui aussi il voulait quelque chose comme ça. Mais visiblement le destin en avait décidé autrement.
15 Février 2015. Première attaque de la colonie. Comme tout le monde ici, il n'avait rien vu venir. Être tiré du lit au beau milieu de la nuit. Comme Juliet, il n'avait pas hésité trente ans avant de sortir de son bungalow. La première qu'il chercha fut Joe. Joe qui vivait seule dans son bungalow, qui élevait un bébé seule qui... Qui se battait au beau milieu de tous ses guerriers. Son cœur battait la chamade. Ils étaient trop nombreux. Mais ils s'en sortirent vivants, tous les deux. Il n'avait pas pu quitter son lit deux jours d'affiler, Joe avait ignoré ça, elle s'en faisait trop pour sa petite Alice. Mais les attaques avait ébranlé son monde qui était devenu si tranquille. Il y avait juste Juliet qu'il accepta de voir. Sa demi-sœur était quelqu'un de formidable, une véritable amie. Il avait mis du temps avant de pleinement s'ouvrir à elle et à lui parler, tout comme aux autres, mais maintenant il se sentait un peu plus proche d'elle.
14 Février 2016. Il le savait, c'était mal. De toute manière sa vie n'était qu'une longue succession d'absurdité. D'abord il se faisait kidnapper il perdait tout souvenirs de sa vie passée. Puis il découvrait qu'il était fils de Nyx, il atterrissait ici, il bâtissait enfin une vie normale ou presque pour enfin se faire démolir par des agents furibonds sortis de on ne savait trop où. Depuis un peu plus d'un an c'était elle qui avait fait changer les choses chez lui. Joe s'était éloigné, elle avait voulu prendre ses distances, faire sa vie. Grand bien. Son chéri l'avait larguer et il avait tenter de la consoler mais elle n'avait rien voulu savoir. Alors il avait réalisé qu'il passait peut-être à côté d'un tas de choses et avait commencé à s'ouvrir au monde. Et il l'avait vraiment découvert, sa demi-sœur favorite fille de Nyx. C'était peut-être parce qu'il se sentait plus proche d'elle que des autres. Elle avait un il ne savait trop quoi qui la rendait différente. Parfois il avait l'impression qu'ils étaient liés. Et il avait commencé à la trouver belle. Puis mignonne. Puis carrément craquante. Il avait l'impression de recommencer les mêmes erreurs qu'avec Joe. S'attacher à la mauvaise personne. Pourtant il le savait, ce n'était pas pareille. Joe avait toujours été là, certes. Mais il avait toujours mis son attirance sur elle sur le compte de son kidnapping. Elle avait été la seule fille sous ses yeux pendant des années ! Et maintenant qu'il en voyait d'autres, tous les jours... C'était sur elle qu'il aimait poser le regard. Quelque part, il voulait être plus proche d'elle. Il voulait la toucher, lui parler de choses plus intimes. Sauf que tout ça était impossible. Pour cause, leur mère. Et ce dont il avait envie était inadmissible. Ken reporta son regard sur l’énorme roman de Jules Vernes qu'il tentait de lire. Elle était là, à quelques mètres de lui. Elle farfouillait dans ses affaires sans à doute à la rechercher d'une de ses armes quand il lui adressa un immense sourire, presque niais. Putain Ken. Fait un effort on aurait dit un psychopathe. Il replongea dans sa lecture avant de piquer un far. Il avait beau tenter de le dissimuler, il sentait bien que ce qu'il ressentait ne pouvait pas rester ad vitam aeternam bloqué au fond de lui. Il l'aimait, pas comme il le fallait. Quelque part, elle était soudain devenue la personne la plus belle et la plus importante à ses yeux, supplantant toutes les autres.
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Sujet: Re: Ma mémoire, mon histoire sans égards, mon passé que tu enterres. (Barbie) Dim 25 Déc - 0:33
Bienvenue avec ce nouveau personnage comme ta soeurette, je dévore ta fiche demain j'ai hâte de découvrir ton nouveau personnage (et j'aime le choix de vava )
Sujet: Re: Ma mémoire, mon histoire sans égards, mon passé que tu enterres. (Barbie) Dim 25 Déc - 20:52
Bienvenue Ken !
Tu es des nôtres !
Sois le bienvenu sur Malum Discordiae, Barbie ! Te voilà donc validé ! Rooh là là, quel personnage ! Bon on connaissait déjà ce petit monsieur à travers la fiche de Joe mais c'est très agréable de le découvrir à travers son point de vue à lui ! J'aime beaucoup la relation qu'il a avec Joe et celle qu'il promet d'avoir avec Juliet ! Et puis j'aime sa vision du monde et ses pouvoirs, c'est trop cool. Du coup, have fun Barbie!
Maintenant que tu fais partie des nôtres, voici ce que tu ne dois surtout pas oublier ! Si ton personnage est un sang-mêlé, rendez-vous juste là et enfin, ici. Si ton personnage fait partis du DLCEM, tu n'as plus qu'à te rendre juste là. Pour recenser le travail de ton personnage, c'est juste là.
Ensuite, n'oublie pas d'ouvrir ta fiche de liens à cet endroit et ta fiche de sujets juste là. N'oublie pas de remplir ton profil, c'est toujours plus agréable pour les gens avec qui tu rp !
Enfin, si t'as une question, une suggestion, une demande, n'importe quoi, ou même si tu as juste envie de causer, n'hésites pas à t'adresser à Tristan E. Langley ou bien Loïs I. Clinton, tes administratrices qui sont là pour toi !