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Sujet: Naturio et Alexy + Tentative de sauvetage râtée Lun 6 Mai - 17:20
«Tentative de sauvetage râtée»
«J'ai essayer de te sauver, et voilà ce que tu me fais...»
« Vous avez déjà eu cette sensation d'être surveillé, de sentir une présence dans votre dos même si vous vous retournez sans arrêt. Et bien c'est exactement pareil pour moi. Je ne cesse de tourner en rond pour découvrir ce visage que je sens me fixer depuis un endroit bien caché. Ils semblent être des millions. Je ne sais plus quoi faire. Alors je cours. Je cours tant que je le peux jusqu'à devoir m'arrêter pour cause de respiration. Soudain un arbre apparait. Il attire mon attention, plus précisemment parce qu'il est à l'envers. Je penche la tête pour m'assurer que je ne deviens pas folle. Je me retourne, toujours persuadée que quelqu'un est là. Me regarde, est près à me sauter dessus. Que faire. Je hausse un sourcils quand je m'aperçois que c'est une forêt qui se dresse sous mes yeux. Une brume nocture recouvre toute l'étendue de la végétation. Mes sens son en alertes. Cette impression qui était déjà si forte à tripler. Je me retrouve donc à perdre les pédales. Les bruits sinistre de la forêt font peu à peu leur apparition, alors que je n'entendais rien jusqu'à présent. Je cours, encore, toujours. Les cheveux dans le vent, ils sont mouillés par la pluie. Seul détaille. Il ne pleut pas. Je sens un impression bizarre sur mes mains. Je m'arrête, et les fixe avec inquiétude. La lumière de la lune me permet alors de découvrir mes membres en sang. Sans aucune égratignure. Je tombe à terre. Je ne contrôle plus mes jambes. Je me répète alors sans cesse cette même phrase, encore, la même, toujours. " Réveille-toi, réveille-toi... " Le bruit des feuilles morte craque sous mon poids, j'en suis à présent sûr, quelqu'un est derrière moi. " Réveille-toi, réveille-toi... " Je me rend compte alors que cette voix n'est pas mon fort interieur. Elle est celui d'une petite fille, assise à mes côtés, un petit sourire calme sur les lèvres. J'enfouis mon visage dans mes mains et me mets à pleurer. La panique me ronge de l'interieur. C'est cette lune. Elle semble vouoir me protéger, mais je sens toujours ce malaise. Cette impression étrange que je vais m'effondrer " Réveille-toi, réveille-toi... " murmure-t-elle prêt de mon oreille. Je la fixe alors l'air apeurée et elle me sourit gentillement. Trop gentillement. Les feuilles craquent et ce n'est plus moi qui êmet ce bruit. " Retourne-toi, retourne-toi... " Je hurle et me retourne vivement. Un homme se tiens devant moi, sourire aux lèvres. Le même que cette petite fille... Je me réveille en sursaut. Ma respiration est sacadée, et mon sang bats dans mes veines. Je regarde aux alentours. Je suis seule, comme toujours, dans ce bungalow sombre. Les membres endoloris par les quelques heures que je vient de passer dans mon lit, à faire des cauchemars, tous plus horrible les uns, les autres. Tandis que je m'efforce de retrouver une respiration normal, j'exmine la situation. Il est trois heure du matin, et je suis parfaitement incapable de m'endormir, comme à chaque fois que je fais un cachemars. Après avoir allumer toutes les lumières que j'ai trouvé, je m'habille, et sors de mon bungalow. Je me dirige alors vers la forêt. Oui, c'est peut-être complètement idiot, mais quand je fais un cachemars, je ne trouve rien d'autre à faire que d'aller en pleine nuit dans la forêt. Personne n'est autour de moi, je peux donc librement m'accorder quelques frissons de peur. Instinctivement, je porte ma main à mon pendentif en forme de lune. Ce n'est cependant qu'au bout de cinq minutes que je me décide enfin à l'actionner pour me retrouver avec un poignard à la main. Quelques feuilles craquent sous mes pas, et c'est avec un autre tremblement que je me rappelle mon rêve atroce. Je prends la direction du lac. La lune éclaire asser la forêt pour que je puisse voir où je vais. Malgré la luminosité réduite, je parviens tout de même à éviter quelques branches sur mon passage. Puis, j'arrive au lac. Cette endroit si tranquille, je viens souvent m'y reposer. Mais ce n'est pas très souvent que j'y viens la nuit. Ici, la lune est plus visible. Devant moi se tient un rochet. Et sur ce rochet se trouve deux personnes. Même à la lueur de la pleine lune, j'ai du mal à distinguer qui se trouve assis là. L'un des plus grand avantages à être agile, c'est que la discrétion est quelque chose de très bien métriser. Aussi, lorsque je m'approche pour mieux les reconnaitres, aucuns des deux ne semble m'avoir entendue. Je me pétrifie d'horreur, lorsque je comprend que la chose se trouvant sur le rochet n'est pas humaine. Je n'ai pas le temps de réfléchir, ni même de reconnaitre le demi-dieux à ses côtés, mais je saute sur la pauvre créature, poignard en main. Bientôt, la chose est à terre, je mène mon arme sous le cou de mon ennemi. Ce dernier se retrouve alors par terre, je m'apprête à lui donner le coup fatal. »
Sujet: Re: Naturio et Alexy + Tentative de sauvetage râtée Lun 6 Mai - 19:28
Cette nuit est comme les milliers d'autres depuis que je suis arrivé ici en 1995, je revois mon père mort sous mes yeux, foudroyer par un dieu jaloux de notre bonheur. Je sors de mon bungalow et m'arrête devant celui-ci, je suis le seul à vivre de ce grand bungalow, celui de ma mère, la gorgone Méduse. Et oui, ce n'est pas si simple d'être le fils d'une créature aussi détesté que ma mère mais bon, faut bien vivre quand même. Tout à coup, je sens à mes pieds une curieuse sensation ; lorsque je pose mes yeux dessus, je reconnais ma vipère à corne.
« Comment vas-tu ce soir, mon fidèle basile, demandais-je d'une voix douce »
Le serpent me répondit par un sifflement aigu mais signifiant le fait qu'il désapprouve encore ma sortit nocturne au lac. Je le regardais alors tendrement avant de déposer un tendre baiser sur son front froid et visqueux. Cette sensation ne me fessait aucun effet, car étant de sang-froid, je ne ressens pas la froideur de sa peau. Je le remis alors à terre avant de me diriger dans mon allée. Je tombai des lors devant la statue d'un jeune homme de dix-huit ans qui avait les traits tirés de peur et colère. Je mis ma main sur son épaule.
« Ne t'avais-je pas prévenu de ce que tu encourais si tu te battais contre moi »
J'éclatai de rire avant de continuer d'avancer. Je tombai d'un coup sur un groupe de jeune enfant d'Apollon et me fit bousculer par l'un d'eux.
« -Vous ne pouvez pas regarder où vous mettez les pieds, sale gamin? Dit-je avec une voix teinté de colère.
- Pardonnez-nous, Monsieur Halliwell, ne nous transformer pas en pierre ; dit les enfants complètement effrayer parce qu'il venait de se passer.
- Que cela ne se reproduise plus, dis-je exaspérer.
- Promis ! »
Les gamins partirent, mais je pus entendre « tu as vu ? C'est le monstre !! » Je baissai la tête et une larme coula le long de sa joue avant que je ne l'écrase d'un revers de manche. Je continuai ma marche vers le seul endroit où j'étais au calme : le lac. Au bout de quelques mètres, j'arrivai devant cette immense étendue d'eau et je trouvai du regard le rocher. Je me mis à marcher vers lui et m'assis dessus. Des images de mon passé se mirent à filer devant mes yeux, la mort de mon père, mon arrivée à la colonie, ma rencontre avec Chiron, mes années d'entrainement, mon combat contre le fils d'Arès et le début de ma terrifiante réputation. Les larmes se mirent à couler toutes seules et pour une fois, je les laissées couler. J'ai horriblement le coeur en peine et personne ne pouvait le calmer car toute les femmes de la colonie avaient peur de moi et il y avait de quoi ! Je me perdis dans mes pensées funestes quand tout à coups, j'entendis derrière moi un bruissement, un coup d'ailes. Je regardai derrière : personne et compris d'où vint le bruit. Je levai les yeux et vit une harpie au regard affamé et avec l'envie de me dévorer. Quand tout à coup, je la reconnue... Ariane.
« -Bonsoir, Ariane.
- Bonsoir, Naturio, comment vas-tu aujourd'hui ?
- Comme tous les soirs, ma vieille amie. Et toi ?
- Oh bien, je vais plutôt bien, vois-tu, je suis heureuse, mon petit dernière a eu sa première griffe.
- Ce n'est pas vrai, demandais-je. Je suis tellement heureux pour toi. Il lui sauta dans les bras et la félicita chaleureusement.
- Naturio, je sens que tu as pleuré, qu'est-ce qu'il se passe ? Le questionna-t-elle.
- Je me sens détesté et surtout je me sens horriblement seul. Qui voudraient d'un monstre comme moi pour ami ou pour amant ?
- Naturio, Naturio, Naturio. Combien de fois je t'ai dit que l'amour arrive quand on l'attend le moins, et ceux pour tout le monde, même pour toi, le consola-t-elle. »
Je fondis en larmes avant de les sécher et de la regarder. Je me reculai un peu puisque je n'aimais pas trop être touché et uniquement elle pouvait me prendre de ses bras. Je me mis à fixer la mère quand tout à coup, sans crier gare, une ombre sauta sur Ariane et la cloua au sol. je sautai du rocher et regarda mieux, je vis une jeune femme avec à la main, un...couteau. J'attrapai la femme par les cheveux et la jeta loin derrière lui. je lui sautai dessus avec toute la colère qu'il avait en lui. Cette même colère avait réussi à me transformé en gorgone, qu'on se moque de lui ou qu'on l'insulte, si les dieux veulent, mais pas qu'on touche à sa seule amie. Après avoir demandé à mon amie si tout allez bien, je sautai sur la jeune femme pour l'empêcher de bouger. Mais je m'y prs mal et roula avec elle dans la descente et ce qui devait arriver, arriva. Ils tombèrent dans l'eau du lac.
Sujet: Re: Naturio et Alexy + Tentative de sauvetage râtée Lun 6 Mai - 20:14
«Tentative de sauvetage râtée»
«J'ai essayer de te sauver, et voilà ce que tu me fais...»
« Je n'avais plus qu'à faire glisser mon couteau vers la droite. Ou même vers la gauche ! Pourtant, je sentis une violente douleur au niveau de mon bras et me voilà projettée au sol. J'ai le souffle coupé après le choc que je viens d'encaisser. Je garde en mains mon poignard, je tente de reprendre mon souffle. Mon dos me fais mal, et je ne peux plus bouger mon bras droit. Un poids se trouve sur moi. Pas pour longtemps, parce que le demi-dieux inconnu s'éloigne pour aller demander des nouvelles à la créature. Je n'en reviens toujours pas de ce qui vient de m'arriver, alors que je commence à remettre mes idées en places, je me redresse en position assise, et tire sur ma manche pour essuyer un filet de sang coulant du coin de ma bouche. Je peux de nouveau respirer, mais ma respiration reste néanmoins très saccadée. Je viens de tenter de sauver un demi-dieux d'une créature, et il m'a plaquer au sol. Dans un grognement, j'observe mon poignet que je tord dans tout les sens pour voir si je me suis vraiment fais mal. La réponse est oui, j'ai très mal. Je relève la tête vers mes deux prédateurs, et passe ma main sur mon front. "T'es complètement taré ou tu t'for..." Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase, à peine ai-je planter mon regard dans le sien qu'il me saute litéralement dessus. Sur le coup je ne comprend pas très bien, mais son pied glisse, et il me roule dessus, en m'emportant dans sa chute. Pendant notre chute, je hurle, je frappe je fais tout se que je peux pour que cet abruti ma lâche, mais rien n'y fais. Je ne vois rien passé, mais tout à coup, nous voilà trempés. Heureusement, notre course s'achève ici. L'inconnu à tout son corps dans l'eau, tandis que je suis presque sèche. Je me redresse pour scruter le visage qui se trouve en face de moi. Je lâche un petit hoquet de surprise quand je vois que c'est Naturio. Je ne l'ai vu qu'une seule fois, et c'étais pour transformer ce pauvre Arès en statue. Depuis, on le vois beaucoup moins souvent. Je m'attarde sur les traits de son visage, et lui, me dévisage un long moment, presque surpris. Je pouvait lire dans ses yeux l'attente de me voir fuir, trembler, avoir peur au moins ! Mais contre toute attente, je me redresse un peu plus pour pouvoir le regarder droit dans les yeux. Je fronce les sourcils, et m'exclame sans aucune gêne. "Alors toi, t'es complètement cinglé !" Il ouvre de grand yeux surpris de me voir m'exclamer ainsi. Il se redresse à son tour, et je me surprend à penser qu'il allait me transformer en pierre. Et c'est non sans trembler, que je soutiens tout de même son regard d'un air de défi. Peu importe ! Il n'avait qu'à me maudir à jamais, il n'en restait pas pour le moins humain, et je n'avais pas à prendre la fuite pour si peu.»
Sujet: Re: Naturio et Alexy + Tentative de sauvetage râtée Lun 6 Mai - 21:20
J'arrivais dans l'eau alors que l'autre, l'inconnue était encore sèche. Elle m'avait donné un coup dans l'épaule et un autre sous le menton. Je me relevai le corps trempé et la regarda dans le blanc des yeux alors que j'étais toujours transformé en gorgone. Je me retransforme en humain avant qu'il ne se passe l'irréparable. Je la regarde à nouveau, ou plutôt il la détailla. Elle avait de longs et blonds cheveux , des yeux extrêmement magnifiques, un corps à damner un saint. Il me semble qu'elle a dit quelque chose.
« - Alors, toi, t'es complètement cinglé. - On se calme ma belle, ce serais plutôt toi qui es folle, tu as attaqué mon amie alors qu'elle n'avait absolument rien fait. Je tiens à ce que tu t'excuse d'avoir »
La harpie s'envola pour se poser sur l'une des branches du saule pleureur, pas très loin de l'eau et se mis à regarder le couple et se mis à sourire avant de me faire un clin d'oeil. Elle continua de me regarder avant de s'envoler dans les airs, mais elle dit :
« Ca va pour cette fois, mais que je te prenne plus à m'attaquer moi ou l'un de mes enfants, ou Naturio n'aurais pas besoin de se mouiller pour te tuer, est-ce clair ?»
Après avoir obtenu son accord, elle déposa un baiser sur ma joue avant de s'envoler dans les airs et ainsi rentrer chez elle afin de nourrir ses petits. Je la regardai, éclatai de rire avant de sortir de l'eau et il lui présenta sa main à l'inconnue, je lui fis mon regard le plus charmeurs que je pouvais faire.
« - Je m'appelle Naturio Halliwell, enfin, je crois que tu dois me connaitre »
Une fois que je l'ai sorti de l'eau, je lui touchai l'endroit où je l'avais blessé et enleva le sang qui s'y trouvais.
« Je suis vraiment désolé, je n'ai réagis que pour protéger mon ami ».
Sujet: Re: Naturio et Alexy + Tentative de sauvetage râtée Mar 7 Mai - 10:08
«Tentative de sauvetage râtée»
«J'ai essayer de te sauver, et voilà ce que tu me fais...»
«Il resta à me fixer ainsi pendant une bonne dizaine de secondes. Puis, il sembla prendre conscience de mes paroles. Je soutenais toujours son regard, sans trahir mes sentiments. "On se calme ma belle, ce serais plutôt toi qui es folle, tu as attaqué mon amie alors qu'elle n'avait absolument rien fait. Je tiens à ce que tu t'excuse d'avoir..." Des battements d'ailes se firent entendrent, et nous tournâmes tout deux la tête vers la droite pour aperçevoir la créature qui était en faite une simple harpie. Je réfléchissais alors à ses paroles. Il venait de me traitée de folle, et juste avant, il m'avait appeller ma belle. Et par la suite, il avait tout de même qualifié la harpie d'amie.. Cette dernière s'installa sur une branche, et nous fixa longuement. Quand elle vit que nous la fixions pareillement, elle s'approcha de nous, et me regarda un instant, avant de prendre la parole. "Cela va pour cette fois, mais que je te prenne plus à m'attaquer moi ou l'un de mes enfants, ou Naturio n'aurais pas besoin de se mouiller pour te tuer, est-ce clair ?" Je me raidit et m'apprêta à l'assomer une seconde fois, mais une petite pression sur ma main m'intima de ne pas insister. Après avoir interroger du regard l'enfant de Méduse, et sous mes yeux ébahïs, elle lui planta un baiser sur la joue. Je la regardais s'éloigner, la bouche ouverte de surprise. Un petit rire retentit, et je tourne la tête vers mon canapé. Il rigole. Je fut tenter de le giffler. Je n'aime pas qu'on se moque de moi. Je le fusille du regard, et il rigole de plus belle. Soudain, il bouge, et se lève. Me voilà assise dans l'eau, mais je refuse de me lever : vexée. Je fixe l'eau, les yeux plissés. Une main s'infiltre alors dans mon champs de vision. Je tourne la tête vers le demi-dieux, et m'étonne de son regard charmeur. Je pince des lèvres, et saisit sa main. Sans beaucoup de peine, il me soulève, et me fixe à nouveau. "Je m'appelle Naturio Halliwell, enfin, je crois que tu dois me connaitre" Oui, je le savais, sa réputation à la colonie n'était pas très positive, mais je n'ai jamais bien compris pourquoi tout le monde le fuyait parce qu'il était à demi gorgone. Il tira sur sa manche et essuya un nouveau filet de sang sur mes lèvres. Je le dévisage, surprise. "Je suis vraiment désolé, je n'ai réagis que pour protéger mon ami" Si il voulait jouer les charmeur, alors il allait être servit. J'affiche mon plus beau sourire, et pose ma main sur sa manche, pour l'éloigner de mon visage, et lui sourit gentillement. Je voyais dans ses yeux qu'il était tout aussi surpris que moi. "Je comprends, mais j'ai juste cru que c'était une créature qui allait te tuer. J'ai simplement tenter de te sauver, mais regarde ce que tu m'as fais, méchant." répondis-je en le fixant d'un air presque boudeur de petie fille. Je dirige alors ma main vers son visage est passe doucement mes doigts sur son menton. Je rigole à son air. "Mais je crois que je t'ai fais mal aussi, donc on est à égalitée." Rigolai-je. Son visage paraissait étonné. Normal, il ne devait pas avoir l'habitude de parler avec des demi-dieux, comme lui. Tout le monde le fuit, je ne sais pas tellement pour quelle raison. Oui, il est capable de vous tranformer en pierre si vous l'énervé, mais il faut juste pas le saouler. Bon d'accord, la tout de suite, j'aurai pu y passer, mais je suis vivante ! Je tourne la tête vers le demi-dieu qui me fixe toujours de la même façon. Je plonge mes yeux dans les siens. "Je sais pas trop si tu me connais, mais je suis Alexanne. Bien évidemment, je t'interdit de m'appeller comme ça. Tout le monde m'appelle Alexy."»
Sujet: Re: Naturio et Alexy + Tentative de sauvetage râtée Mar 7 Mai - 20:21
Je me mis à la regarder quand tout à coup, elle m'offrit son plus beau sourire ce qui me fit chavirer le coeur. Elle poussa ma main loin de son visage avant de me dire :
« - Je comprends, mais j'ai seulementcru que c'était une créature qui allait te tuer. J'ai simplement tenté de te sauver, mais regarde ce que tu m'as fait, méchant. »
Je me mis à la fixer et elle fessait de même sauf qu'elle le fessa avec une mine de gamine ce qui m'énerva un tantinet puisque je n'aime pas du tout les filles puériles. Tout à coup, je revins sur la terre ferme, lorsqu'elle me touche le menton avec ses doigts et avec une grande délicatesse, ce qui le fit rougir comme une pivoine. Elle explosa de rire avant de me dire :
« Mais je crois que je t'ai fait mal aussi, donc on est à égalité »
J'étais assez étonné par son geste, mais je me ressaisissais très vite lorsqu'elle me dit :
« Je ne sais pas trop si tu me connais, mais je suis Alexanne. Bien évidemment, je t'interdis de m'appeler comme ça. Tout le monde m'appelle Alexy. »
Je me mis à la regarder avant de lui dire :
« Je suis désolé ma belle, mais j'ai un très gros problème, j'appelle chaque personne par son prénom qu'y lui as été donné à sa naissance, donc pour moi, tu es Alexanne pas Alexy, mon coeur. »
Je me mis à la regarder dans le blanc des yeux avant qu'un bruit ne surgisse de derrière les bosquets. Je me mis à sentir l'air ambiant et reconnu l'odeur de deux demi-dieux, un fils d’Apollon et un autre d'Arès.
« Alors, le monstre à trouver sa nouvelle copine.
- Je peux savoir ce que vous faites ici, dis-Je en me retournant face à eux et en me montrant dans toute ma puissance.
- Tu n'as pas à me parler sale pourriture des enfers, toi et mère aurais dû mourir sur un bucher. »
En entendant ses mots, je poussai Alexanne loin de moi, pas par colère, mais pour la protégé de moi. Je me transformai en gorgone ; mes cheveux prirent la forme de serpent noir, mes longs ongles empoissonnés et mes yeux prirent une couleur d'un blanc laiteux. J'étais prêt à en découdre, lorsque Chiron arriva au triple galop.
« -Naturio calme toi, ils vont s'excuser, dit un Chiron un peu effrayé par Naturio et sa transformation, car il émanait de lui, une puissance phénoménal
- Ils ne le penseront pas, ils vont recommencer dans quelques jours et tu ne seras pas là pour les défendre.
- Si, je te promets qu'ils ne vont plus rien dire de mal sur toi.
- Je compte sur toi, dis-je avant de me tourner face à Alexanne et remarquer qu'elle était effrayée par lui.»
Une larme coula le long de la joue de ma joue avant de partir en courant dans mon Bungalow. Et en arrivant à celui-ci, plusieurs cobras étaient présents.
« -Empêchais tout le monde de rentrer. »
Les serpents donnèrent leurs accords par un sifflement avant que je ne rentre pour m'effondrer dans mon lit en pleurs. La chambre étant complètement détruite avec des coups de griffes partout et surtout les miroirs avaient tous étaient brisés.
Sujet: Re: Naturio et Alexy + Tentative de sauvetage râtée Mer 8 Mai - 14:33
«Tentative de sauvetage râtée»
«J'ai essayer de te sauver, et voilà ce que tu me fais...»
« Il afficha un petit sourire discret. "Je suis désolé ma belle, mais j'ai un très gros problème, j'appelle chaque personne par son prénom qu'y lui as été donné à sa naissance, donc pour moi, tu es Alexanne pas Alexy, mon coeur." Je me raidit à l'entente de ces deux derniers mots. Je plisse les yeux et fronce les sourcils. Je ne le pensais pas aussi fleur bleu. Il me fixait droit dans les yeux. Tout à coup, un bruit dans les feuillages se fit entendre, et deux demi-dieux sortirent de derrière les arbres. Je ne reconnait qu'un fils d'Apollon, le deuxième, je ne l'ai jamais vu de ma vie. Quand ils nous virent, de petits rires moqueurs s'échappèrent de leurs bouches. "Alors, le monstre à trouver sa nouvelle copine ?" On levant les yeux d'un air exaspéré, il se tourna vers les deux gamins se trouvant derrière lui. Il ne devaient pas être très âgé. Quize ans, pas plus. Je les fusille du regard, ce qui les amuses. Je n'ai pas besoin de voir le visage de Naturio pour savoir qu'il devait rager. "Je peux savoir ce que vous faites ici ?" Les graçons affichent un air surpris, et l'un d'eux réplique d'un ton singlant : "Tu n'as pas à me parler sale pourriture des enfers, toi et ta mère aurais dû mourir sur un bucher." Sur le coup, ses paroles me firnt un gros choc. Au moment ou je m'apprêtais à leurs sauter dessus, je sentis une main se poser sur mon avant bras pour me pousser d'une telle force que je finit par terre, presque sonnée. Sous mes yeux, et pour la deuxième fois, Naturio se transforme en gorgone. Des coups de sabots retentirent, et au moment ou les trois hommes allaient se battrent, Chiron arriva en tentant de calmer le demi-dieux. "Naturio calme toi, ils vont s'excuser" On pouvait lire dans ses yeux une certaine frayeur. Et je dois avouer que moi aussi, j'étais loin de ne pas trembler. Je fixais son dos avec une terreur absolu. Mais savoie restait la même. Cela me rassurait tout de même. "Ils ne le penseront pas, ils vont recommencer dans quelques jours et tu ne seras pas là pour les défendres." Sa voie se brisa à la fin de cette phrase. Elle me donnait envie de pleurer, mais j'était pétrifée. "Si, je te promets qu'ils ne vont plus rien dire de mal sur toi." Naturio secoua négativement la tête, pourtant, il repris la parole quelques secondes plus tard. "Je compte sur toi" C'était attroce, la douleur pouvait se faire entendre dans sa voie. Il baissa la tête et se tourna vers moi, je n'eut pas le temps de dire "ouf" qu'il était redevenu humain. En le voyant, je me repris très vite, mais il avait déjà vu mon air effrayé avant. Une grande tristesse se lu sur son visage, et il partit en direction des bungalows. Je savais donc où exactement il allait. Je décide donc, après être rester plantée là pendant plusieurs minutes, de la suivre. Je re-traverse toute la forêt jusqu'à arriver aux bungalows. Le siens n'est pas difficile à trouver, une statue de pierre qui m'est particulièrement famillière se trouve devant. Je pose un pied sur le perron. Mais des sifflements m'arrête net. Je regarde partout, puis, baisse la tête pour trouver deux serpents à mes pieds. Ils n'ont pas l'air de vouloir me laisser passer. Je n'ai jamais beaucoup aimer les seprents, mais là, je fais l'effort, et tente de passer tout de même. L'un d'eux me barre le passage, et l'autre se poste derrière moi. Je me dépêche de partir sur le côté quand je vois qu'ils se rapprochent. Je tente toutes les entrées, toutes les façons, ils ne me laissent pas passer. Au bout de cinq minutes de tentative râtée, je fronce les sourcils, et commence à hausser le ton, en me rendant compte que je parle à des serpents. "Laissez-moi passer tout de suite" ordonnai-je d'une telle voie, qu'a ma plus grande surprise, ils s'écartèrent, et me laissèrent rentrée. Je les fixe un instant, avant de faire un pas vers la porte d'entrée. Juste avant quand je rentre, des pas se firent entendre de l'endroit où je suis arrivée. Je tourne la tête et aperçois deux silhouettes accompagnées de deux voies que je reconnais. Dans un froncement de sourcils, je me retourne, et ouvre viollement la porte. Naturio est allongé sur son lit, les yeux gonflés par les larmes. Malgré le reste de terreur qu'il me reste, je rassemble mon courage pour articuler ces quelques paroles d'un ton le plus normal possible, voir même légèrement en colère. "Je pourrais savoir pourquoi t'es partit comme ça ? Oui j'ai eu peur, mais c'est pas une raison, je vois bien que tu es humain !" Je croise les bras et l'observe un moment. La porte s'ouvre derrière moi. Un instant, j'eut peur que ce soit les serpents, mais au visage de Naturio, je compris que c'était les deux idiots de tout à l'heure. Naturio fit son possible pour se retenir, et cela marcha. Mais pour cette fois-ci, ne comptez pas sur moi pour rester sans rien faire. Je me retourne, et les fixe. Je détèste faire ça, mais das certains cas, il n'y a rien d'autre à faire. Je lève légèrement la tête, de façon à les regarder de haut. Je n'avait pas souvent ressentit autant de colère. Pour moi, il n'y à rien de pire quune personnes qui continue de faire quelques chose, même lorsqu'on lui a demander d'arrêter. Je me retourne vers Naturio qui tremble de rage. Les deux gamins rigoles. Je m'adresse alors à Naturio. "Tu veux voir si tu es le seul à pouvoir faire peur ?" lui demandai-je. Il me fixa d'un air interrogateur. Je me retourne vers les deux demi-dieux qui rigolent toujours. Un de mes talents ? La comédie. J'affiche mon plus beau sourire. Un sourire ironique, et presque prétentieux. C'est fais exprès. Je m'approche un peu d'eux, et ils soutiennent mon regard. "Vous savez.." commençai-je en avançant toujours un peu plus. "C'est très mal de se moquer." Je lâche un petit rire cristallin en arrivant juste en face du premier demi-dieux. Je passe mon doigt sous son menton, et lui sourit sadiquement. Son sourire s'efface, et j'envoie son visage loin du miens d'une petite pichnette. Je fixe le second du même air et penche la tête suur le côté. "Seuls les méchant petit garçons se moquent ainsi." Je rigole à nouveau, et me retourne vers Naturio qui ne comprends pas très bien. Mon sourire s'efface, et je regarde Naturio dans les yeux. Une grande colère se lit dans mon regard. "Et les méchant garçons se doivent de payer leurs affronts." Plus personnes ne comprends mes gestes, plus personnes ne comprends mes paroles. On pourrais croire que j'incarne le diable, tellement tous ce que je fais n'est que sadisme. Plus personnes ne parle. Mon visage ne trahi aucunes émotions. Je ne fais rien, pourtant, la respiration commence à se saccadée derrière moi. Cet instant semble s'éterniser. "Douleur." murmurai-je simplement. Sans que je ne fasse rien, les deux coprs derrière moi s'étalèrent au sol, et des gémissements plaintifs retentirent. Ils hurlent, se plient en deux, l'un n'ose plus bouger, de peur que la douleur s'intensifie. Ils n'ont rien. Aucunes égratigures, pas même une coupure. Naturio semblait ébahï. Un petit sourire sadique se forme sur mes lèvres. Je fatigue néanmoins. Je me retourne vers eux. "Vous ne lui ferez plus jamais rien. Est-ce clair ?" Malgré les douleurs infligées, l'un deux parviens à répondre quelques chose entre deux hurlement. "On a rien fait ! Ma colère s'intensifie, et de nouveaux hurlements retentissent. Leurs voies se cassent, la douleur est pire que jamais. "D'accord !" répondit le second. Je les fixe un instant, et stop ce pouvoirs. Je suis vidée. Il reprennent leurs esprits, et partent en courant, dès que leurs respiration leurs en donnent l'occasion. Ils ferment la porte, et je ne me sens pas bien du tout. Mes jambes tremblent, et elles cèdent d'un coup, je m'écroule à terre. La tête me tourne, et je ne suis qu'à demi cosnciente. J'arrive à peine à comprendre que quelqu'un vient vers moi. Je vois des petites paillettes partout. Il me semble que je m'évanouie, mais je n'en suis pas sûre. J'attend un peu, et retrouve la vue après quelques minutes. J'ai très mal au crâne, mais la première chose que je bagaye, c'est : "T'as vu ? Je les ai fais partir hein ?" Je lâche un petit rire, et ferme les paupières.»
Sujet: Re: Naturio et Alexy + Tentative de sauvetage râtée Mer 8 Mai - 21:29
Alors que je suis dans mon lit, j'étendis une personne qui essayait de passer mes serpents. La tête dans le coussin, les yeux gonflés j'écoute passivement ce qu'y passait. Je compris que la personne essayait de par tous les moyens de passée, mais en vain, mes serpents ne la laisseraient pas rentré dans ma chambre. Mais tout à coup, j'entendis comme une voix que je reconnus tout de suite, comme étant celle de la jeune et très belle jeune femme qui avait attaqué mon amie et que j'avais blessé parce que je suis un monstre. Elle dit :
« Laissez-moi passer tout de suite »
J'émis un sifflement inaudible, mais pas pour les serpents, je leur dit dans la langue des serpents, de la laissé passer afin qu'elle vienne me dire que je suis un monstre de la pire espèce et que je mérite la mort par le feu. Elle ouvrit tout d'un coup la porte et ce geste je me retourne un peu effrayé par tant de violence et là elle me dit d'une voix légèrement en colère :
« Je pourrais savoir pourquoi t'es parti comme ça ? Oui j'ai eu peur, mais ce n'est pas une raison, je vois bien que tu soit humain !
Elle m'observe un long moment avant que la porte ne s'ouvre à nouveau dernière nous et lorsque je l'ai reconnu, les traits de mon visage se tords de rage et de haine. Mais je ne fis rien de peur de la blesser, ce que je ne voulais absolument pas. Je la vis levée légèrement sa tête et les regarder. Je mis à littéralement trembler de rage quand je les vis la relouquer comme si elle était une glace tout en rigolant. Elle se retourna tout d'un coup vers moi et me dit :
« Tu veux voir si tu es le seul à pouvoir faire peur ? »
Je me mis tout d'un coup à la fixer d'un air interrogateur puis je compris ce qu'elle allait faire et je souris de toutes mes dents, dévoilant mes longues canines. Je me déplaçais sur le côté pour mieux voir ce qu'elle allait faire. Tout d'abord, elle leurs afficha son plus beau sourire, ce fut un sourire un peu ironique voir même prétentieux, mais cela me fit rire. Enfin, jusqu'à ce qu'elle passe ses doigts sous le menton du fils d'Apollon tout en disant :
« C'est très mal de se moquer. »
Le sourire d'Alexanne s'effaça et elle envoya son visage un loin avec une pichenette sur le menton. Avant de rajouter:
« Seuls les méchant petits garçons se moquent ainsi. Et les méchants garçons se doivent de payer leurs affronts. »
J'ai cru un moment qu'elle incarnait le diable tellement dans sa façon de parler ou de se comporter, c'était hallucinant et bizarrement très excitant. Elle les fixa et la regarda lorsqu'elle murmura :
« Douleur ».
Sans qu'elle n'émis aucun mouvement, les corps des deux jeunes hommes se tordaient de douleurs au point qu'ils en gémissent. Ils se mirent à hurler et à se plier en deux. Je les fixais du regard avec un sourire aux lèvres et je remarquais qu'ils n'avaient aucune blessures ni même d'égratignures. Elle s'arrêtât afin de le dire :
« - Vous ne lui ferez plus jamais rien. Est-ce clair ?
- On n'a rien fait, arriva à dire l'un des deux entre deux hurlements.»
Comme elle n'était pas contente de leurs réponses, elle reprit la torture. Quand tout à coup, l'un des deux, promis de ne plus jamais rien faire. Ils reprirent leurs esprits et partirent en courant, dès que leurs respirations leur en donnent l'occasion. Ils fermèrent la porte et je respirais tout à coup, jusqu'à ce que je remarquais que ses jambes se mirent à tremblait. Et lorsque ses jambes ne purent plus la supporter, je m'élançais afin de la récupérer afin qu'elle ne se fasse aucun mal. Elle me dit :
« T'as vu ? Je les ai fait partir hein ? »
Elle eut un petit rire jusqu'à ce que ses yeux ce ferment. Je la transportai alors dans jusqu'à mon lit et je l'y couchai.
« Repose toi et prend des forces, lui dit-je en la couchant. »
Je remarquais que ces vêtements étaient tout transpirants de sueur due à l'immense quantité de force qu'elle dut utiliser pour arriver à leur faire partir. Je pris la décision de la changer, je me rendis donc dans mon armoire afin de récupérer une toge grecque que ma mère m'avait donné pour mon anniversaire. Je la déshabillai tranquillement, tout en fermant les yeux. Si j'arrive à transformer une personne en pierre, je peux tout à fait déshabiller une femme sans la regarder. Une fois, ce changement fait, je pris un saladier que je replis d'eau que j'avais récupéré dans le puits, en dehors de la maison. Je récupérai un gant dans la salle de bain et je commençai à lui nettoyer le visage avec délicatesse sans la réveiller. Une fois, le travail fini, je la nettoyai au niveau du décoté et comme je la sentais se réveiller, je stoppai ce que j'étais en train de faire. Je lui déposai un baiser sur le front avant de sortir m’asseoir sur le fauteuil à bascule. L'un des deux serpents m'apporta ma pipe et je me mis à la fumer. L'un des deux serpents monta le long du fauteuil et se posa sur mes genoux. Je lui caressais le haut de la tête. Tout à coup, ses deux serpents grandirent de taille et se transformer en femme, la première avait des serpents venimeux en guise de cheveux, le corps était couvert d'écailles et un scorpion était enroulé autour de ses épaules et s'appelait Campé alors que l'autre était une sublime femme au corps de serpent et qui portais le nom de la reine antique, Lamia. Elles apparurent aux côtés de Naturio et Campé dit :
« Dort mon doux libérateur, un jour tu nous libéreras de toute la haine dont les dieux nous ont condamné et nous serons toujours là pour te protéger du malheur et surtout de ce camps... »
Sujet: Re: Naturio et Alexy + Tentative de sauvetage râtée Jeu 16 Mai - 16:58
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«Tentative de sauvetage râtée»
«J'ai essayer de te sauver, et voilà ce que tu me fais...»
« J'avais l'impression qu'une main gelée venait de se déposer tranquillement sur mon épaule. Je vrille mon regard vers cette dernière, mais je n'y trouve rien de plus que mon simple t-shirt. Ma respiration s'accélère, et je me met, sans réfléchir, à courire. Ce rêve n'est pas comme tout les autres. Il n'y à aucunes résonds, je n'ai aucunes craintes à avoir, pourtant, je ressend cette impression d'être coupable. Je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas comment, je ne sais pas à cause de qui, mais je suis coupable de quelques chose. Je culpabilise, et sens que quelques chose ne va pas. Soudain, quelque chose au loin fait son apparition. Je continue ma course, jusqu'à arriver asser près pour m'aperçevoir que c'est un château. Je m'y approche à pas lents. La peur m'emporte, mais la curiositée prends le dessus. Si bien que quelques secondes plus tard, je pose ma main sur la poignet. Je pousse la porte, et ma mâchoir se décroche à la vue de ce spectacle. Je n'ai jamais vu de salle aussi grande de ma vie. Un grand tapis rouge orne e sol jusqu'à des escalier en bois. Des portes sont installées un peu partout. A l'étage, les dizains de portes continuent. Le feu crépite dans la cheminée, un thé est posé sur une table basse, mais pourtant, cela ne fais aucuns doutes. Ce château est inhabiter. Je ne savais pas d'où me venait cette telle certitude. Peut-être cette impression de vide ? Ou alors ces toiles d'araignées qui semblent être là depuis des centaines d'années. Une voie dans ma tête me crie de retourner sur mes pas. Mais pourtant, mon pied s'avnce dans la pièce instinctivement. Sans que je ne m'en rende vraiment compte, je me retrouve devant l'escalier. Je dépose délicatement ma main sur la barre. Je continue mon chemin jusqu'à atteindre l'avant dernière marche. Une musique commença, quand je déposa mon pied sur la dernière marche. Une musique faite au piano. Je me laisse emporter par cette douce mélodie. Mon regard se perd sur une porte. Cette porte. Il y avait peut-être quinze portes, mais je voulais ouvrir celle-ci. Toutes les autres portes affichait pourtant un design digne des années à venir. Celle ci était en bois, sans couleur, ni même une décoration. La mélodie semble sortir de partout. Mais je suis incapable de me retourner. J'ai cette impression d'être surveillée. Que quelqu'un est derrière moi. Et si c'est le cas, uje préfère encore ne pas voir son visage. Je m'approche de la porte en bois de chêne. Au moment où j'actionne la poignet, deux choses se sont produites. En premier, la mélodie s'est arrêtée, ensuite, le sol à disparut sous mes pieds. Je me réveille en hurlant, mon coeur at à cent à l'heure dans ma poitrine. Je tente de reprendre ma respiration. Rien à faire. J'examine ce qui se trouve autour de moi. Ce n'est pas mon bungalow. Je ne me souviens plus de rien. Juste un sixième sens qui me dis de porter ma main à mon front. J'ai l'impression qu'une trace s'y trouve. Je baisse la tête sur mes vêtements, ils me sont,, eux aussi, inconnus. Un sweat beaucoup trop grand pour moi qui me fais une robe. J'ai un mal de crâne impressionant. Je décide de me lever. Une fois sur mes jambres, une soudaine envoe de vomir me prends. Elle se calme après quelques secondes passés debout. Je regarde toute l'étendu du bungalow. Quand je vois la porte ouverte sur une statue, je comprends que je suis dans le bungalow de Méduse. Qu'est ce que je fais ici ? Je n'en ai pas la moindre idée. Je fais quelques pas vers la porte, et m'adosse sur un mur, pour fixer dehors. Je ne me rend pas tout de suite compte que j'ai à côté de moi Naturio, endormis avec une cigarette dans la bouche. Tout à coup, un grand mal de tête me prends, et je me rappelle de tout. De notre rencontre au lac, de l'apparition des deux gamins, et de mon intervention pour les faire partirent. Voilà pourquoi tout ces maux de têtes et cette soudaine envie de vomir tout à l'heure. En souriant, je retire de ses mains la cigarette pour qu'il évite de se brûler, et m'assois par terre, à côté de lui. Malgré le gros pull que j'ai, j'ai tout de même froids aux jambes. Ce n'est pas vraiment la saison pour porter une "robe". J'adosse mon dis contre le mur, et attends un peu. Soudain, il bouge dans son sommeil. Il murmure quelques chose. "Alexanne." J'esquisse un sourire en entendant ses songes. "T'es vraiment bizarre." Continua-t-il. Mon sourire s'estompe, mais je rit quand même à imaginer ce qu'il est en train de rêver. Puis, je regarde aux alentours, et me lève. Je me place devant lui, et respire à fond. Je dépose ma main sur son front. L'aventage dans ce pouvoir, c'est que ma main est comme invisible pour lui, aucunes chances que je le réveil donc. Je ferme les yeux et me concentre. Je vois mon visage. Une succestion d'images de la soirée que nous avons passé. Les demi-dieux, Chiron, soudain je vois sa mère. Une nouvelle images de moi. Comme si j'étais à sa place, je ressens une profonde tristesse. Que dire à présent ? De nouvelles images de la fille d'Hécate que je suis arrivent de nouveau. Je sourit de voir qu'il pense à moi. Cela me fais un peu rire, soudain, je décide de tester quelque chose que je n'ai encore jamais essayer. Je sais que j'ai le pouvoir de contrôler les rêves, mais est ce que je peux transmettre les miens ? Je me concentre encore un peu plus, et me pense à une phrase. Je visualise l'écriture dans ma tête, et me concentre par la suite sur ma main posée sur sa tête. "Alors, comme ça, on rêve de moi ?" Je sens comme une décharge électrique passer, et je m'écarte tout de suite après. Je m'assois par terre, en face de lui, tandis qu'il se réveille doucement. Lorsqu'il pose un regard étonné sur moi, je fais les yeux d'innocente, bien que mon sourire trahi toute tentative de tromperie. Cette scène semble duré, mais tout à coup, un sourire se dessine sur son visage. »