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 I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy

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MessageSujet: I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy    I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy  EmptyLun 5 Aoû - 21:29

Birdy-Rose Théa Hawkins
The music is hypnotic, move your body, you got it ♪♫

I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy  Tumblr_mr0nhvk0nH1sufuxpo9_r1_250
PRÉNOMS ◮ Birdy-Rosa Théa, mais hum hum… Birdy ça ira vous savez… Sinon ça commence à être long… NOM ◮ Hawkins ÂGE ◮ Dix-huit ans TYPE DE PERSONNAGE ◮ Demi-déesse DATE+LIEU DE NAISSANCE ◮ 17 juillet 1994, à Dublin PARENT DIVIN ◮ Apollon ORIGINES ◮  Irlandaise POUVOIRS ◮ Je suis apte à créer de la lumière avec mes mains et même parfois, lors de combat, ce devient une arme pour moi, je m’en sert comme projectiles, sympatoche d’éblouir ses adversaires! Sinon je suis aussi capable de détecter les mensonges alors… ça ne sert à rien que vous vous essayez les cocos!  ARMES ET OBJETS MAGIQUES ◮ J’ai un arc à flèche en bois et une flèche qui me revient dès qu’elle a touché ma cible RELATION AVEC LES DIEUX ◮ Neutre RELATION AVEC LES ROMAINS ◮ Mauvaise A LA COLONIE DEPUIS ◮ Six ans DÉFAUT MORTEL ◮ L’ambition STATUT CIVIL ◮ C’est compliqué… ORIENTATION SEXUELLE ◮  Hétérosexuelle GROUPE ◮ Grec un jour, Grec toujours ALIGNEMENT ◮ neutre, grec ou romain. AVATAR ◮ Pixie Lott
who you are.

Personne ne doit me parler de ma mère sinon, je me choque et je refuse toute autre conversation, ma mère étant un sujet tabou de ma vie. Je ne lui ai jamais pardonné de m’avoir caché qui j’étais et je suis convaincue qu’elle l’a toujours su que j’étais à moitié divine + J’ai tendance à me refuser tout sentiment qui à trait à l’amour. De l’amitié il n’y a aucun problème, mais je suis incapable d’accepter une relation fixe… surtout si ce n’est pour pas être avec lui, même si je ne veux me l’avouer + Sous ma carapace de fille capricieuse et fendante, je suis une personne qui sais apprécier les plus petites choses de la vie et j’essaie toujours de vivre pleinement ma vie  + Je suis atrocement rancunière, au point de parfois faire semblant de pardonner pour pouvoir mieux me venger par la suite, je cherche toujours à me faire justice moi-même et ce même si la façon d’y parvenir est parfois douteuse+  La détermination fait partie de ma vie à un haut stade, lorsque je veux quelque chose, je m’arrange toujours pour l’obtenir + Je mets mon incapacité de resté avec quelqu’un - un garçon- sur le dos du manque de confiance. Personne ne le sais que c’est ma raison, mais j’ai du mal à accorder ma confiance à autrui, ayant toujours une quelconque peur de me faire trahir et de payer par la suite  + Si je passe beaucoup de temps à me venter, je garde une partie de ma vie totalement secrète, dont plusieurs de mes pensées et envies + Je compte souvent que sur ma propre personne pour accomplir ce que je veux ou obtenir ce que je veux + L’alcool est l’un de mes péchés mignons avec les friandises, si on m’en donne, j’ai tendance à être parfois plus agréable sur le moment, même si je suis agréable envers mes amis + Mon cercle d’ami, ami, est très restreint. Comme je me monte supérieure aux autres, les gens doivent m’impressionner plus que la norme pour que je pense peut-être les accepté dans ce cercle, mis à part quelques exceptions + Je passe beaucoup de temps à me pratiquer au combat, autant avec mes armes qu’avec mes pouvoirs, souhaitant les développer au maximum et ainsi ne plus jamais être prise comme je l’ai été à l’âge de douze ans avec ces monstres qui m’attaquaient + Je déteste les menteurs, ils me puent au nez et comme je suis capable de détecter ceux qui me mentent, je me fais un plaisir de les rabaissé lorsque j’ai une discussion avec eux + Les garçons qui ont une apparence de bad boy ont la cote avec moi et ils ont plus de chance de pouvoir m'approcher que les timides ou ceux qui ne se font pas vraiment remarquer + J'adore chanter et je sais que j'ai une belle voix. Je sais me servir de quelques instruments de musique vu que ma mère m'en a fait apprendre étant plus jeune, mais j'apprécie beaucoup plus chanter sois sous la douche où dans les moments que je me crois seule ou lorsque je suis totalement bourée...

once upon a time.


Il y avait de l’électricité dans l’air, ça il n’y avait pas de photo! Je lui en voulais. Je lui en voulais plus que tout de m’avoir caché cette vérité, cette partie de moi que j’aurais dû connaître plus tôt. Maman savait que j’étais à moitié divine et elle ne m’avait rien dit. J’avais dû l’apprendre par un satyre. Elle avait préféré me faire croire que mon père c’était évanouie dans la nature. Mon imagination d’enfant m’avait fait porter à croire qu’il était devenu un Tarzan, qu’il vivait avec les singes dans la nature. Quand j’eus vieilli un peu, j’en vins à me dire qu’il ne voulait simplement pas de moi et ma mère, qu’il avait une relation avec une autre femme, quoique ce n’est pas totalement faux si nous y réfléchissons bien. En tous les cas, j’étais terriblement déçue. Moi qui accordait aveuglément ma confiance à ma mère, la seule personne avec qui j’avais cru pouvoir me confier réellement sans avoir peur que mes angoisses, mes désirs, mes envies, soient dévoilés au grand jour. Ce dont je m’apprêtais à faire, allait me libéré, enfin je l’espérais plus que tout au monde. Je voulais fuir mon quotidien et par-dessus tout celle qui m’avait mis au monde. Je ne voulais absolument plus rien savoir d’elle. Je voulais qu’elle soit un simple souvenir. NON! Même pas! Elle ne devait être plus rien d’autre qu’une inconnue, puisque c’est ce qu’elle était devenue à mes yeux, une personne étrangère à qui j’avais osé faire confiance. Combien de fois l’avais-je questionné sur mon père? Combien de fois avais-je reçu pour seule réponse : « Tu le reverras peut-être un jour, mais pas maintenant, tu n’es pas prête pour cela… » ou encore « Il n’est pas ce que tu crois. Tu es mieux comme tu es ma chérie, crois-moi! » Combien de fois m’étais-je imaginé un homme à la fois séduisant et épeurant tant il était imposant. Je n’avais eu le droit à aucun détail le concernant. Jeune j’avais cru que c’était parce que Maman avait entretenu une certaine haine à son égard, mais je n’ai pas pris le temps de m’en informé, j’ai préféré disparaitre sans un mot prononcé, ni même écrit. J’avais douze ans, je venais d’apprendre la vérité à mon sujet et désormais je ne voulais plus d’aide de quiconque. Je voulais me débrouiller seule. Je désirais me prouver à moi-même ma force. Je voulais découvrir qui j’étais réellement alors que depuis douze ans j’étais une parfaite étrangère à celle que je suis désormais. Maman, je t’en veux profondément et jamais plus tu ne me reverras de mon plein gré!!

J’aimais l’Irlande. Grand-mère et Grand-père m’accueillait tous les jours en revenant de l’école et ils me donnaient tout ce que je voulais. J’étais fille unique de leur fille unique. J’avais toute l’attention que je désirais et je dois avouer que je n’ai jamais lésiné sur cela. J’en profitais et plus je vieillissais, plus je devenais capricieuse et une véritable enfant gâtée. Tous les jours, que ce soit à l’école ou à la maison - celle de mes Grands-parents puisque j’y passais beaucoup de temps - je faisais en sorte de me faire remarquer, de faire tourner les regards sur ma personne, m’imposant totalement et presque de façon royale. J’aimais avoir de l’influence et ce depuis mon très jeune âge. J'avais l’ambition de prendre les commandes et j’avais la patience d’attendre ce moment opportun qui ferait de moi quelqu’un de respecter, voire peut-être craint. Il me fallait être patient, mais je savais que j’arriverais à mes fins. Il me suffisait d’être calculatrice dans mes coups, mais également très observatrice de mon entourage. Je prenais soigneusement de tout épier ce qu’ils faisaient afin d’avoir un avantage sur eux. À force d’avoir ce que je voulais, je prenais goût à cette vie de luxe que je m’offrais. Je parvenais à manipuler les gens de mon quotidien et j’étais comme une petite reine sur son trône où rien ne pouvais l’atteindre. Au fur et à mesure que les jours passaient, j’avais une nouvelle ambition, je voulais être celle qu’on regarderait, qu’on idolâtrait dans tous les domaines. Je désirais être influente et j’avais la force et la capacité de le devenir, je le savais. Avec tous mes efforts pour être populaire et respectée, je ne pouvais faire autrement que d’être ce qu’il y avait de mieux, la crème de la crème comme on dit! L’Irlande était mon petit paradis sur terre. J’étais sur mon beau nuage. J’étais reine! Jusqu’à ce que Maman dévoile le moment de partir de mon royaume. Cette fois-là j’avais chuté de haut. Elle avait été mutée en Angleterre pour son travail. Nous devions aller vivre à Liverpool, une terre totalement inconnue où j’étais également inconnue. Sur le coup, j’en avais voulu à ma mère d’avoir accepté le poste même si cela devait améliorer nos conditions de vie. Je ne voulais pas! J’avais ma petite vie, ici à Waterford! C’était ma place! J’allais devoir recommencer à zéro et j’allais perdre gros avec ce déménagement. J’avais tenté de négocier à ma mère, mais elle avait fait la sourde oreille à toutes mes plaintes et requêtes soient de rester ici vivre avec mes grands-parents et qu’elle passe me voir plutôt que de me forcer à partir avec elle. Ce fut l’une des rares fois où je n’eus pas assez d’influence, assez de tact pour avoir ce que j’exigeais parce que oui, il m’arrivait maintenant d’exiger d’avoir certaines choses. J’en étais à ce point-là!

Les bagages furent rapidement faits. Dix ans et un déménagement. J’allais avoir mes dix ans dans quelques jours et je ne pourrais les fêter avec mes amis de Waterford, je devrais passer mon dixième anniversaire avec ma mère dans une contrée totalement inconnue. Ça me faisait rager, d’autant plus que je ne recevrais pas rapidement les présents que m’offriraient mes vieux! En quittant ma ville natale, mon pays natal, je m’étais juré d’y revenir un jour pour revoir ces paysages enchanteurs qui avaient marqué mon quotidien pendant dix belles années. Ce dont tout le monde ignore c’est qu’en dessous de cette grosse carapace de caprice et d’enfant gâté, je peux être comme tout le monde et être raisonnable. Cependant, c’est beaucoup plus amusant de ne pas l’être, raisonnable, et de faire ce qui me plait quand j’en ai envie. Il n’y a qu’une règle pour moi et c’est celle de faire ce que je veux. Je ne me laisse pas écraser et cette nouvelle ville dans laquelle je m’apprête à débarquer verrons que je ne suis pas une fille facile, ni qui se laisse écarté du chemin facilement. Ils n’auront pas à faire avec une nouvelle timide et peu sûre d’elle, non, ce sera totalement le contraire, je m’assurerais de prendre les commandes à nouveau et de refaire ma popularité comme je l’avais jadis connue. Mes heures de gloire me reviendrait, je le savais. Il ne pouvait en être autrement. Je ne changerais pas de comportement parce que je change de ville. Je m’aimais trop comme j’étais, enfin… j’aimais surtout la vie que je m’étais construite et déjà que la perde m’était frustrant, il était totalement hors de question que je sois mise hors-jeu par ceux qui se disaient populaire. Je me ferais ma place comme j’ai toujours si bien su le faire! La vie en Angleterre était différente de la vie que j’avais menée en Irlande. Je n’avais plus ce soutient de ma famille que j’avais autrefois, je devais compter que sur mon influence personnelle pour réussir et percer, mais j’y suis parvenu comme une déesse!  Ce fut une histoire de quelques semaines, le temps d’apprendre à connaitre tout ce nouveau monde pour ensuite attaquer de plein fouet pour me tailler une place parmi les grands, Une place de choix et hautement vénérée. Tout le monde connaissait Birdy Hawkins. Personne ne s’abaissait à s’en prendre à moi. J’étais aimée et crainte à la fois, tout ce qu’il me fallait pour ma petite personne qui adore être sous les projecteurs.

Ensuite vint ce que j’ai pris pour la trahison de celle qui m’a mise au monde. Je l’ai appris sur le chemin du retour. L’école venait de terminer et un satyre c’était présenté à moi pour me faire comprendre qui j’étais. D’abord, j’ai cru qu’il était fou ou qu’il me prenait pour une folle. Un ou l’autre, je n’avais su choisir. Cependant, j’avais une certaine attitude ou peut-être plus un don à détecter les menteurs et ce jeune homme semblait dire la vérité…C’est lorsque j’ai vu l’expression facial de ma mère lorsqu’elle nous avait vu tous deux entrer dans la maison que je me mis à douter des paroles de mon accompagnateur et qu’elle confirma ainsi mes doutes. Ça ne pouvait être vrai! Les demi-dieux et les dieux étaient pour moi à l’époque une fabulation, une invention pour expliquer ce que le commun des mortels n’arrivait pas à expliquer de façon scientifique. Je me souviendrai toujours de cet air défaitiste et du visage légèrement verdâtre de Maman. J’avais demandé des explications et cette fois je les avais eus. J’avais été grandement choquée, mon petit monde s’effondrait en partie. Je comprenais, enfin je tentais de me mettre dans la tête que j’avais un parent divin, que mon père était un dieu… J’avais ensuite demandé d’être seule. Le satyre c’était éloigné, je me doutais qu’il ne devait pas trainer très loin des endroits que je fréquentais et ma mère quant à elle avait une sortie avec des amies. C’est à ce moment que j’avais décidé de fuir, de mettre une immense barrière entre ma mère et moi. Tous deux avaient mis dans mon esprit cette colonie de Sang-Mêlés et je voulais la trouver pour savoir à la fois si je n’étais pas folle et je me disais que j’aurais peut-être une chance de pouvoir y rencontrer mon père. Certes, je n’étais pas sur de grosses attentes concernant mon second souhait à vouloir retrouver cette colonie, mais je me disais que si elle existait, je ne serais probablement pas la seule à être dans ce bateau, qu’il y aurait d’autres enfants, tous comme moi, qui leur manquait un certain parent et qui aimerait peut-être le connaitre. J’avais ramassé mes effets les plus précieux et plusieurs vêtements. Le tout tenait dans un sac-à-dos et un sac de sport qui balançait contre ma cuisse lorsque je marchais. Je m’étais enfuie par la fenêtre, pour me fondre dans la nuit noire, vêtue de vêtement de cette même couleur et d’un sweet-shirt afin qu’une capuche recouvre mes cheveux blonds. Personne ne savait que j’étais partie. Ce serait une surprise pour tout le monde au matin et ce serait également l’occasion pour moi de faire le point sur ce qui se passait. Je n’étais pas très âgée, mais j’étais déjà suffisamment vieille mentalement pour vouloir faire le point et savoir qui j’étais réellement, être celle dont on me cachait vraisemblablement depuis trop longtemps.

Je ne savais pas vraiment comment trouver cette colonie. Je m’étais informée subtilement au satyre qui m’avait accompagné jusqu’à la maison, ignorant au début que ce serait le chemin que j’emprunterais éventuellement. Ce que je ne savais pas c’était que la voie que je suivais était parsemée d’embuches pour une personne telle que moi. Il y avait d’immenses champs qui environnait ma maison et par lesquels j’étais habituée de passé pour aller aux endroits que je voulais. Inconsciemment, je me jetais dans la gueule de mon premier gros obstacle. Bien loin de chez moi, dépourvu de toute arme hormis un couteau de cuisine que j’avais glissé dans ma botte par simple précaution, je tombai nez à nez avec une chimère. Cette créature m’avait effrayée sur le coup. C’était quoi cette chose avec un corps de chèvre, une tête de lion et une queue de serpent? C’était dégoutant en tout cas! Ça je pouvais vous le dire! Cette bête m’avait chargée et âgée de simplement douze ans, je m’étais mise à hurler en tentant de fuir la bête, oubliant l’arme blanche dans ma botte. J’avais peur. Je voulais fuir. Je ne voulais pas mourir! Je m’étais réfugiée dans la forêt environnante. Quelle idée avais-je eu là moi? Je passais mon temps à manquer de trébucher, la peur me tenant les entrailles, l’adrénaline à fond dans mon corps. Je devais lutter pour ma vie et c’était donc ça ce que m’avait dit le satyre lorsqu’il avait avoué qu’il y avait des créatures maléfiques qui rodaient dans notre monde. C’était un monde de dingue oui! Le seul inconvénient… non plutôt un des inconvénients c’était que cette bête était trois fois plus rapide que moi et que je devais courir dans plusieurs directions pour échapper à ses sabots mortels! J’avais fini par me glisser in extrémis dans une sorte de grotte, trop petite pour que la chimère puisse y entrer. Sur le coup, la panique au ventre, je me demandais combien de temps allais-je être prise dans cette grotte. J’allais mourir de faim et totalement oublié. On ne retrouverait jamais mon corps! Je me souviens que j’avais regardé autour de moi afin de trouver quelque chose avec quoi je pourrais faire fuir le monstre. Il n’y avait que des roches… Je n’étais pas convaincue que lancer des pierres à cet animal soit la solution à mon problème. Je m’étais recroquevillée sur moi-même en enroulant mes bras autour de mes jambes, en proie à un immense désespoir, jusqu’à ce que je sente le couteau dans ma botte. Je l’avais sorti et regarder. J’avais également douté de son utilité, mais c’était tout ce que j’avais en plus de mes mains qui semblaient scintillées dans le noir. Je me souviens d’avoir lancé ce couteau de toutes mes forces vers l’animal pour ensuite fuir de la grotte avec rapidité. Je n’avais pas tué cette chose, seulement enragée. J’avais pris mes jambes à mon cou et j’étais repartie dans une course folle, la bête m’emboitant le pas. Je m’enfargeai finalement les pieds dans des racines au sol et m’étalai de tout mon long. J’étais fatigué, j’avais les muscles qui s’ankylosaient. Dans un cri de détresse, j’avais levé les mains vers le monstre et fermer les yeux. J’avais cru que s’en était terminé pour moi…

J’avais été ravie de voir que je m’étais trompée sur l’heure de ma mort. J’ignorais si je l’avais tuée ou si elle n’avait simplement pas fui. Ce que je savais c’était que je tremblais comme une feuille et que je ne voulais plus poursuivre ma route, seulement l’ambition et la détermination reprirent le dessus sur ma peur. La peur était toujours présente et je restais sur mes gardes, mais je devais me rendre à cette colonie. J’en avais maintenant la certitude. Je devais seulement me rendre à l’aéroport pour me rendre aux États-Unis, c’était ma seule option. Je m’étais faufilé comme une voleuse sur un vol, m’engageant sur une route dont j’ignorais absolument tout et j’étais totalement seule. Ma direction : New York! J’en avais déjà entendu parler dans mes cours de géographie, mais j’y portais plus ou moins attention à l’âge que j’avais! Une fois sur le vol, je m’étais arrangée pour être seule dans mon coin, surtout qu’il n’était pas complet. Ce n’est qu’une fois installée dans les sièges que je me laissai aller à ma détresse et que je pleurai jusqu’à ce que je ne puisse plus. Je n’avais plus rien non plus. Mes sacs… Je m’en étais débarrassée dans ma course, je n’avais plus rien mis à part l’argent que j’avais dans les poches de mon pantalon. Une chose que j’avais aussi oublié, j’avais de l’argent européen, je n’avais pas un sous américain… Comment pouvoir remédier à cette situation? Bah! J’allais trouver une solution éventuellement, sur le coup, ce que je désirais c’était m’endormir pour le temps du vol, avoir quelques heures de sérénité. Évidemment, une enfant seule dans un avion ne passe pas totalement inaperçu, surtout lorsque celle-ci fond en larme. J’avais du émettre des mensonges sur ma personne, disant que j’avais perdu mon tuteur qui devait me mener jusqu’à mon père à New York. Un couple m’avait pris en pitié et avait décidé de me prêter main forte en m’offrant de me retrouver. Malgré l’accent que j’avais à ce moment, j’avais été capable de me débrouillé pour me faire bien comprendre sur ma destination. Je ne les remercierai jamais assez... enfin… s’ils n’étaient pas décédés cela irait mieux, mais je leur dois quand même la vie. Les pauvres… si seulement ils avaient su! Il m’arrive de m’en vouloir lorsque je repense à cet évènement. Ils étaient si innocents… je culpabilise beaucoup que leur décès soit survenu alors qu’ils tentaient de m’aider…

C’était sur le chemin pour se rendre à New York qu’ils ont perdu la vie. J’avais pris le mauvais avions et j’avais atterrie à Washington. Le couple qui m’accompagnait voyait une bonne raison d’aller me reconduire à New York, eux-mêmes ayant de la famille dans le coin. Je m’étais installée à l’arrière de leur voiture et j’avais regardé le paysage défiler devant mes yeux. J’étais seule dans ce si grand pays. Je me sentais affreusement petite. Ça me terrifiait. J’ignorais où nous étions exactement lorsque l’accident s’est produit. La créature était arrivée de nulle part devant la voiture et c’est en voulant l’évité que la voiture est partie dans les tonneaux. Je me souviens d’avoir entendu la femme hurler de toutes ses forces puis plus rien venant de la part des adultes. Mon cri à moi était resté pris dans ma gorge, trop terrorisée pour qu’un seul son sorte de sa bouche. J’étais un peu mal en point moi aussi. Je sentais quelque chose de froid qui coulais le long de mon bras. J’avais été entaillé juste au-dessus du coude. J’avais peiné à sortir de l’habitacle et le nouveau monstre était devant moi. Il ne fut pas le dernier que je rencontrai. Il y en eu deux autres puis j’avais trouvé refuge à la colonie, presque par miracle. J’étais tout de même restée surprise de voir la rapidité et l’habileté avec laquelle je m’étais débrouillée. J’avais failli y resté plus d’une fois, mais ça forgeait le caractère, enfin ça allait le forger éventuellement. J’étais arrivé à la colonie morte de fatigue après plusieurs jours de recherche. J’avais dû me renseigner plusieurs fois et à de nombreuses occasions je m’étais trompée de chemin, mais j’avais fini par y arrivé. En la regardant de loin, l’apparence de la colonie me décourageait presque. Avais-je fais tout ce chemin pour rien? J’avais espéré que non. J’étais partie de chez moi pour trouver cette colonie, j’avais tout abandonné pour elle, bon aussi à cause de ma mère, mais ce que je voulais, c’était savoir si on m’aiderait à savoir qui j’étais, qui était la seconde partie de moi-même qui m’était inconnue jusqu’à maintenant. J’étais restée un bon moment à proximité, sans pour autant entrer, le temps que mes nerfs ce calment. Je me souviens d’avoir pleuré à nouveau ce soir-là. J’étais éreintée et soulagée que mon voyage se termine enfin. J’avais eu tellement peur, j’étais si désemparée, si confuse dans tout cela que je devais me calmé. Quatre fois j’avais failli y passé, j’avais bien le droit à quelques heures de répit.

J’ai ensuite fait mon entrée à la colonie. C’était étrange sur le moment. Il y avait vraiment plus d’enfants que je ne l’avais imaginé. Les habitudes reprirent le dessus et rapidement je m’imposai à eux. Je voulais redevenir populaire, je me fichais de blesser les autres par mes actions, c’était mon caractère, je ne pouvais pas faire autrement que d’être moi-même! Peut-être avais-je passé quelques jours plus tranquilles, que j’étais restée plus dans mon coin avant de revenir en force. Je devins l’une des personnes les plus respectées, populaires et possiblement craintes. Tous étaient au courant qu’il ne fallait pas me chercher des embrouilles sinon je me promettais de faire de leur vie un véritable cauchemar et dieu savait que j’en étais grandement apte! Je m’habituai rapidement au climat de vie de la colonie. J’adorais m’entraîner, j’avais une autre occasion de me faire admirer et aussi de prouver ma force. Ce que j’appréciais par-dessus tout c’était m’entrainer à l’arc. La facilité avec laquelle je parviens à loger une flèche au bon endroit est impressionnante. À chaque fois que quelqu’un se trouve près de moi et me parle de mon talent, je ne peux m’empêcher de me lancer des fleurs, non pas parce que je me moque, mais parce que je le pense vraiment que je suis douée. J’apprécie également le combat plus rapproché avec des armes tel qu’une épée. L’art du maniement de l’épée m’est venue plutôt facilement et encore là, j’adore me faire remarquer… Je ne crois pas qu’il y ait un domaine dans lequel je ne cherche pas à être au-dessus de tout le monde… Seulement, ce dont tout le monde ignore c’est que je vais régulièrement m’entrainer la nuit alors que tout ce beau petit peuple dort. On ne peut pas garder de réflexes aussi bon, sans ne jamais pratiquer. Je ne pouvais risquer de manquer mon coup et de devoir essuyer une écrasante défaite pour mon orgueil possiblement surdimensionné. Plusieurs nuits je quittais mon lit pour me rendre au terrain d’entrainement afin de me pratiquer seule et garder la forme. Si je ne m’entrainais pas, j’étais plutôt à fêtes organisées par des amis. Je n’en manquais pas une. J’adorais m’amusé, fêter, mais aussi pouvoir boire de ce liquide qui nous rendent tous… plus nous-même… J’adorais l’alcool, sans être une alcoolique. C’était un vrai spectacle de voir certains d’entre nous complètement saouls. Je ne cacherai pas que ça m’arrive souvent d’être à ce stade ou presque, mais comme il ne m’est jamais arrivé grand-chose de terrible, je ne vois pas pourquoi je me calmerais! Enfin… si… J’ai fait une bêtise sous l’influence de l’alcool et je m’en veux. Mais il était si attirant…

Je n’ai jamais été stable côté émotionnel, surtout côté amoureux. Les gars… je m’y attache quelques jours, parfois quelques semaines, quelques mois et puis après je change. Je me lasse… Ils sont incapables de garder mon attention et ma flamme très longtemps. D’autant plus que je ne leur laisse pas beaucoup l’opportunité de me connaître sous la carapace de caprices. Les garçons les moins chanceux, je les ai endurés une nuit. Oui, il m’est arrivé de n’avoir que des one night. C’était plus fort que moi, j’avais besoin de me sentir aimé, mais je n’étais pas capable de resté dans une relation, comme si je perdais de l’intérêt pour ce garçon que j’appréciais. Ils finissaient tous par tomber dans la friendzoneou simplement je n’entretenais plus aucune relation avec eux. Certains d’entre eux avaient parfois la chance de pouvoir revenir dans ma vie, de repartager quelques moments avec moi, mais je ne sais pas s’ils le savent qu’ils se feront rejeté encore et toujours… Les pauvres! Lorsque les dirigeants de la colonie avait tenté de réunir les Grecs et les Romains ensemble, je ne trouvai pas que cela était une si bonne idée. Je ne les sentais pas ces autres demi-dieux. Ils dégageaient quelque chose qui me déplaisait, mais je ne pouvais mettre le doigt dessus. Cependant, l’un d’eux avait attiré mon attention. Je savais que c’était un romain, que déjà je le détestais, mais son allure de Bad boy m’avait plu instantanément. Comme mon nectar préféré coulait à flot cet après-midi-là, je n’avais pu me retenir d’aller vers lui et de vouloir le connaître avant de finalement m’adonner à un jeu qui s’avérait maladif pour moi. Il hanterait mes pensées. Il me donnerait envie de le revoir, de sentir ses bras autour de moi. Je ne pouvais me le permettre, je n’appréciais pas qui il était, mais il m’avait eu… Il m’avait eu mieux que tous les autres et je le voulais sans me l’avouer. Je regrette amèrement ce qui s’est passé ce fameux après-midi et je ne souhaite en aucun cas que quelqu’un l’apprenne sinon je serais facilement attaquable, je perdrais la face et je ne pouvais le tolérer. Non, il valait mieux que tout le monde l’ignore et nous étions revenu dans la « fête » qui se voulait de réunir les deux camps de demi-dieux.Un grand feu avait été fait et plusieurs s’amusait avant que la tension ne s’élève entre les deux ordres de demi-dieux. Lorsque la bagarre générale a explosée, je m’étais fait une de ces joies de sauter dans la foule et de déversé ma force contre les autres. Je m’étais battue contre les romains et je ne le regrettais pas. Ils n’avaient pas à faire chez nous! Ils ne méritaient pas de partager notre endroit où vivre. Ils étaient différents et ce, même s’ils étaient des demi-dieux eux aussi… Cela fait six ans que je suis à la colonie et hormis mon aventure d’une nuit avec ce fils de Mars, je ne regrette absolument rien de ce qui s’est passé.

le héros derrière l'ordinateur.
I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy  005112py
Heillo bande de vous autres c : Moi c’est AM et j’ai un beau gros 18 ans et 7 mois… enfin presque et ouii! Je compte toujours les mois :3 J’arrive directement du Canada, oui oui, une québecoise! Est-ce que je suis la seule? Si j’essaie de bien me souvenir ça fait pas loin de 6 ans que je fais du RP et je vous ai trouver avec des top-sites, continuer de voter :3

(c) fiche par cassou.


Dernière édition par Birdy-Rosa T. Hawkins le Ven 9 Aoû - 4:33, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy    I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy  EmptyMar 6 Aoû - 0:59

Bienvenue parmi nous yeah

Merci beaucoup d'avoir prit un poste vacant, c'est vraiment géniale bril Et tu as fait un très bon choix :hearty: 

N'hésites pas si tu as une question, je suis là à ton intérieur disposition yeah Comme le reste du staff bien sûre I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy  150811060
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MessageSujet: Re: I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy    I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy  EmptyMar 6 Aoû - 8:12

Super choix de pv ! bril
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ! I love you
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MessageSujet: Re: I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy    I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy  EmptyMar 6 Aoû - 8:28

Ouah ton perso est canon bril Bienvenuuue ♥️
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MessageSujet: Re: I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy    I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy  EmptyMar 6 Aoû - 12:16

Merci :3
Et ouais Pixie est trop belle *-*
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MessageSujet: Re: I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy    I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy  EmptyVen 9 Aoû - 6:13

Bienvenue ~
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MessageSujet: Re: I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy    I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy  EmptyVen 9 Aoû - 16:40

Merci =)
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MessageSujet: Re: I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy    I want you to feel the way that I feel ♪♫ Birdy  EmptyVen 9 Aoû - 19:29



Bienvenue
birdy-rosa t. hawkins !

Sois le bienvenu sur Divina Bellum, Birdie-Rosa ! Te voilà donc -enfin- validé ! Tu peux être un vrai héros, maintenant ! Ce que je pense de ta fiche, c'est qu'elle est bien écrite, on ne se rend vraiment pas compte qu'elle est long. Cela a été un vrai plaisir de la lire.

Maintenant que toute ta paperasse est répertoriée sur l'Olympe, les lieux te conseillent vivement de te trouver des amis dans ce monde de brutes histoire de ne pas être tout le temps tout seul -à moins que tu le veuilles vraiment- et pour y parvenir, c'est par ici que ça se passe! Ben t'as besoin de rencontres aussi, de disputes, de combats, de bons moments avec tes amis, mais c'est de l'autre côté, rend-toi ici! Et si t'as franchement rien à faire, tu peux dévoiler toutes tes pensées de ce côté là, mais fait attention, les dieux t'ont à l’œil! N'oublie pas de recenser tes points pour faire gagner ton camp sur ce sujet, si tu ne veux pas éveiller la colère des dieux ! Et si tu as envie d'avoir un peu de responsabilité au sein de ton camp je peux te conseiller de te diriger par ici si tu es grec, et par si tu es romain.

Enfin, si t'as une question, une suggestion, une demande, une idée, bref, n'importe quoi, ou même si t'as juste envie de causer, n'hésite pas à t'adresser à Tristan E. Langley, Liam N.-O. Williams ou Meredith Pond, les maîtres suprêmes des colonies, du forum, de l'Olympe, des héros, des mps.. 'Fin bref, tes administrateurs qui sont là pour toi et qui attendent avec impatience d'être harcelés de mps.

Amuse-toi bien sur Divina Bellum, essaye de pas te faire tuer trop vite par un monstre, on veut pas être déjà responsable d'un accident, encore moins du tiens! Et surtout, puissent les dieux veiller sur vous!

N'oubliez pas surtout pas de voter pour le topsite toutes les deux heures !

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