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Sujet: JESSIE ▬ hello cruel world Dim 9 Fév - 18:12
Jessie Arthur Carter
I can't drown my demons. They know how to swim.
PRÉNOMS ◮ Jessie "Jess" Arthur. NOM ◮ Carter. ÂGE ◮ 20 ans. TYPE DE PERSONNAGE ◮ demi-dieu. DATE+LIEU DE NAISSANCE ◮ 07 janvier 1993 – Glasgow. PARENT DIVIN ◮ Hécate. ORIGINES ◮ écossaises. DÉFAUT MORTEL ◮ la culpabilité, il ne supporte pas de faire du mal à une personne qu'il apprécie, mais refuse également de s'excuser pour une faute qu'il a commise. STATUT CIVIL ◮ célibataire. ORIENTATION SEXUELLE ◮ bisexuelle à tendance homosexuelle. GROUPE ◮ la solitude est un art. AVATAR ◮ Dougie Poynter.
A ÉTÉ Á LA COLONIE PENDANT ◮ trois ans et demi. RELATION AVEC LES DIEUX ◮ neutre. RELATION AVEC LES DEUX CAMPS ◮ neutre. POUVOIRS ◮ peut envoyer aux autres des scénarios où ils voient leurs proches mourir successivement de différentes façons assez horribles – peut se cacher dans l'ombre la nuit de façon quasi-parfaite à condition que la personne ne se rapproche pas à moins d'un mètre. ARMES ET OBJETS MAGIQUES ◮ une dague qu'il a sur lui en permanence.
questions for you.
► Comment avez vous pris la révélation concernant les romains ? Quelle réaction cela a fait naître en vous et qu'en pensez vous après tout ce temps ?
Assez bien au final. Il s'interdit de juger le comportement des dieux, donc de s'énerver. Au fond de lui, il s'est peut-être senti un peu trahi mais ce sentiment est rapidement passé. Il avait encore une fois l'impression qu'un de ses parents ne le voyait que comme une pièce dans un grand jeu mais il avait l'habitude. Il a donc accepté la nouvelle – ce qui était peut-être plus simple pour lui vu qu'il avait déjà quitté la colonie au moment du feu de camp – et a continué sa vie. Avec le temps, il a appris à vivre avec cette nouvelle, en se rendant compte que ça ne changeait pas grand-chose à sa vie.
► As tu participé à la dernière Titanomachie ? Si oui y as tu subit des pertes ? Des blessures ? Des séquelles ? Faisais tu partit de l'armée de Cronos ?
Non. C'était trop peu de temps après qu'il se rende compte de la nature de ses pouvoirs, de tout le mal qu'il pouvait faire. Il a hésité à aller se battre auprès de ses amis, c'était logique mais il ne l'a pas fait. Son pouvoir était trop noir pour se battre du côté du bien. Il n'a pas non plus soutenu les troupes de Cronos. Il est juste resté dans son coin, en attendant de voir le déroulement de la situation en se posant des questions.
► Quelle est votre réaction vis vis de la DLCEM ? Auriez vous jamais pu imaginer que les humains puissent être capable d'une telle chose ?
Au début, il a refusé de croire à toute cette histoire, trop choqué par la nouvelle. Tout lui a paru soudainement triste et déprimant. C'était comme s'il perdait espoir en l’humanité et ça en quelques mots. Il a dû à comprendre qu'une telle chose ait pu arriver. Bien sûr, il avait souvent rencontré des athées, refusant l'idée que des dieux puissent exister et il respectait ces choix, ayant lui-même du mal à l'accepter au début. Mais la DLCEM, c'est beaucoup trop. Tout le monde peut accomplir des gestes de cette ampleur, ça n'a rien d'extraordinaire. S'en rendre compte avec la preuve devant soi est juste insupportable.
► Pourquoi avez vous quittez la colonie ? Regrettez vous ce choix ?
À ses yeux, il a le pouvoir le plus monstrueux du monde. Il peut faire souffrir les gens simplement en le décidant, sans avoir à les frapper, à leur faire du mal physiquement. Il lui suffit de le vouloir. C'est pour ça qu'il a quitté la colonie, ses amis, toute sa vie. Il n'avait plus rien dehors, et pourtant il a préféré partir. Il se sentait tellement monstrueux. Comment aurait-il pu rester alors qu'il aurait été capable de blesser profondément un de ses amis juste en manquant de contrôle ? Bien sûr, c'était difficile au début de se retrouver seul, isolé du monde qui était devenu le sien. Certaines personnes lui manquaient forcément, pourtant il n'a jamais regretté son choix. Il préférait être seul que d'avoir à continuer à se battre.
le héros derrière l'ordinateur.
Heeey. ♥ Donc, moi c'est Day, j'ai 18 ans et j'habite à Rennes où je fais la chose la plus classe du monde : de l'histoire. Je suis une grosse fan de Star Trek (long live and prosper !), je voue un culte aux séries anglaises comme Doctor Who, Merlin et aux web-séries françaises comme Le Visiteur du Futur ou Je n'ai jamais su dire non. Accessoirement, je serais fan d'Harry Potter jusqu'à la fin des jour, mais si je devais choisir, je remontrais le temps pour vivre aux 70's durant la naissance du mouvement punk, ou peut-être avant parce que le rock des 60's est tout aussi magnifique.
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Dernière édition par Jessie A. Carter le Dim 9 Fév - 22:20, édité 2 fois
Sujet: Re: JESSIE ▬ hello cruel world Dim 9 Fév - 18:14
who you are.
extraverti + cynique + aime dormir le jour + ne supporte pas de ne rien faire + un peu trop fêtard + passionné par la littérature britannique + serveur dans un bar de nuit + sympathique quand il en a envie + marginal + lunatique + fumeur depuis peu + passe souvent pour quelqu'un de bizarre + hyperactif + est persuadé que les extraterrestres existent + ancien violent qui ne se bat que lorsque c'est nécessaire + adore le style grunge + empathique + végétarien + n'aime pas qu'on se moque de lui + tient assez bien l'alcool + déteste ce qui est trop sucré + est persuadé qu'il écrira un best-seller qui changera la face de la science-fiction + demande souvent à être seul + ne peut se passer de compagnie des autres quand l'envie lui vient + a encore du mal à se considérer comme un sang-mêlé + aime se donner un apparence de mec je-m'en-foutiste + grand fêtard + plaisante sur la mort de façon gênante + adore camper + se nourrit exclusivement de pommes + impatient + considère l'Écosse comme le plus beau pays du monde + rebelle sur les bords + a quitté le camp en faisant du stop + n'a pas peur du danger + accro au café + écoute pas mal de musique pour se passer les idées + réagit souvent de manière excessive + est parfois trop sûr de lui + a des réactions totalement stupides quand quelqu'un lui plait + a tiré un trait sur ses rêves d'enfants depuis longtemps + ne supporte pas de se faire draguer + joue de temps en temps du rock dans une association + vie à New York + déteste qu'on s'en prenne aux animaux + est traumatisé par les masques de clowns + a parfois le comportement d'un gamin de cinq ans + exaspérant + est allergique aux tomates + a la phobie des chevaux + aime bien se balader dans des musées + trouve la majorité des gens désespérant + déteste les trop-pleins de bonheur.
once upon a time.
« Like a true nature's child, we were born, born to be wild. We can climb so high. I never wanna die. »
Jessie naît à Glasgow en plein mois de janvier. Il a donc la chance de connaître son premier hiver alors qu'il n'a que quelques jours. Une aubaine pour le petit garçon qui dès son plus jeune âge décrète qu'il préfère l'hiver – cette saison si magnifique et calme – à l'été où les jours ont la fâcheuse manie de durer beaucoup plus longtemps. Le petit garçon est donc là, poussant des petits cris stridents alors que le soleil disparaît rapidement. Il y a de quoi être dégoûté par ce bébé, surtout pour un homme célibataire qui s'est toujours qualifié de sans attaches. Son père n'a jamais eu pour ambition de l'élever seul. Quelques semaines après sa naissance, le petit blond se retrouve affublé d'une belle-mère. Quand il y repense quelques années plus tard, il avoue qu'elle était suffisamment sympathique pour ce rôle même s'il a toujours du mal à comprendre comment elle s'est retrouvée embarquer dans cette affaire. Un homme d'environ trente ans qui lui propose de vivre avec un bambin à peine sorti du ventre de sa mère n'a rien de très banal. Il ne vit donc pas dans l'absence d'une autorité maternelle. En revanche, il n'a jamais su si son père avait simplement peur de devoir s'occuper seul de lui, s'il n'en a pas la capacité au niveau autoritaire ou s'il ne l'estime à ce moment pas assez pour ça. Pour lui avoir donné un prénom qui fait plus fille que garçon, il a souvent préféré cette dernière possibilité. Bien sûr, sa figure paternelle a souvent tenté de se rattraper en précisant l'origine du second. Arthur, pour le roi fictif d'un pays qui n'était même pas le sien. Mais il aimait bien ces histoires pleines de magie.
– Il est bizarre. – Il paraît qu'il aime bien rester seul dans le parc la nuit. – En plus, il sait même pas lire correctement. – La boulangère m'a dit qu'il partait. Aux États-Unis. Et les femmes continuent à piailler, prenant un plaisir presque malsain à commenter tous les aspects de la vie du garçon.
Les rumeurs qui courent sur le petit Jessie alors qu'il n'a pas encore l'âge de les comprendre ne sont pas vraiment méchantes. Elles sont – c'est un fait – mais reflètent tellement bien la réalité que personne d'assez âgé ne peut se permettre de les nier en bloc par manque d'arguments. La situation reste donc ainsi. Les femmes du quartier continuent à parler et l'enfant à ignorer toutes les choses qui se disent à son sujet. À cette époque, sa vie est assez calme. Il peut même avouer que ça le fatigue. Bien sûr, c'est avant que son père ne débarque dans sa chambre le jour de son anniversaire pour lui dire qu'il doit quitter le pays. Pour lui qui adore l'Écosse, les fêtes locales et la ville de son enfance, c'est beaucoup. Mais il a beau crier et protester, il n'est qu'un enfant âgé de six ans. Son père lui annonce donc simplement qu'il se fera de toute façon de nombreux nouveaux amis – vu qu'il n'en a que très peu, la nouvelle ne l'intéresse pas beaucoup – et qu'il ne verra plus la moindre différence au bout de quelques mois. C'est loin d'être rassurant et l'unique réelle protestation qu'il peut effectuer à l'époque est de s'enfuir de chez lui pour passer toute la nuit dans le parc pas trop loin du domicile familial. Revenir le matin n'est pas la chose la plus facile à faire, sa belle-mère l'a cherché partout et semble réellement de mauvaise humeur à cause de sa nuit de sommeil gâchée. Il en est presque triste pour elle, elle qui reste là. Ce n'est pas sa mère, elle l'a juste élevé. Il aurait dû pleurer. Pourtant, il ne peut s'empêcher de sourire en se grattant l'arrière de sa tête avant d'annoncer sur un coup de tête qu'il doit finir ses bagages pour le soir même. Il prend l'avion pour la première fois quand même, épisode de sa vie qui restait d'ailleurs assez traumatisant.
Social n'est pas le mot qui convient le mieux à décrire ce qu'est devenu Jessie durant son adolescence. Bien sûr, une fois arrivé dans ce nouveau pays dont son père parle avec tant d'amour, il s'est dit que sa vie changerait peut-être, qu'il arrêterait de s'ennuyer sans raison. C'est une déception totale quand il se rend compte qu'il se trompait totalement. La vie n'est pas plus drôle de l'autre côté de l'océan. Au contraire. Le seul avantage à cette nouvelle vie est l'incapacité des gens à le critiquer, tout simplement parce qu'ils ne le connaissent pas encore. Ça aurait été trop beau si les choses étaient restées ainsi, ce qui n'est pas le cas. Avec le temps, il comprend que quel que soit l'endroit où il va, bizarre serait un mot récurrent pour parler de lui. Il finit par en rire. Se battre dans les cours de récréations n'a rien de très glorieux. Il ne peut pas compter le nombre de fois où son père le lui a répété en voyant revenir le soir couvert de bleu provoqués par les brutes de son âge. Mais il ne se plaint pas. Il n'aurait jamais osé, cet acte est une preuve de faiblesse. Il préfère de loin se protéger avec des remarques bizarres et déplacées pour un enfant qui venait à peine de fêter son dixième anniversaire. Il arrive même à faire peur aux professeurs. On ne plaisante pas avec quelque chose d'aussi triste que la mort. Pourtant, ça ne le gêne pas. Ça semble presque naturel.
– Jess, lâche ton comic et viens jouer. – Pas envie. – Et qu'est-ce que je fous là si tu m'accordes même pas un regard ? Le blond soupire avant de regarder son ami – assis sur le lit, une manette à la main – comme il regarderait un gêneur quelconque. – T'as qu'à rentrer chez toi. – Je croyais que tu voulais me voir. – Plus envie.
C'est ce que certains de ses amis subissent quotidiennement. Drôle de période que adolescence, surtout chez Jessie. Le mieux reste de ne pas chercher ce qui aurait pu le changer, son propre père serait incapable de le dire lui-même. Il marmonnerait sûrement quelque chose sur un manque de présence féminine dans leur vie. C'est d'ailleurs son explication favorite face à la quasi-homosexualité de son fils. Mais le problème n'est pas là, et si le blond pouvait se contenter d'avoir un penchant un peu trop marqué pour les personnes du même sexe, Mr. Carter dormirait sûrement tranquillement. Ce n'est pas le cas. En plus de ses habituels problèmes scolaires qui ne sont maintenant qu'une formalité dans la famille, il doit subir ce que les médecins appellent sans se fouler une crise adolescence. Mensonge. Si on enlève le fait qu'il est totalement lunatique, ce doit être facile de le qualifier de sympathique, et il est sûrement mil fois mieux dans sa tête que certaines personnes, mais à part le côté un peu trop violent qui lui cause un peu trop souvent des ennuis. Il est optimiste à l'époque, cherche toujours le bon côté des choses. Il est vraiment devenue très bon quand il s'agissait de se battre. « Jessie est dérangé. » Cette phrase, il l'a entendue trop de fois pour encore en tenir compte. Ça ne peut plus l'atteindre. Il n'est jamais réellement rejeté – il n'a d'ailleurs jamais su pourquoi – mais c'était parfois comme si. Il en rie, à quoi bon se morfondre pendant des heures. La solitude ne l'a jamais dérangé plus qu'il le faudrait.
– Tu es un demi-dieu Jessie. – Quoi ? – Les dieux existent, et ta mère est l'un d'eux. – Tu sais, c'est pas parce que je crois aux extraterrestres que je vais me laisser avoir par tes conneries.
S'il avait su que cette conversation changerait sa vie, il n'aurait peut-être pas répondu quelque chose du genre. Pourtant, à ce moment-là, quand on lui a annoncé cette nouvelle des plus importantes, il ne l'a prise que comme une blague. Il est connu pour sa passion pour la science-fiction, ce n'est pas la première fois qu'on tente de se moquer de lui. Bien sûr, ça fait toujours bizarre de la bouche de son propre père, mais il a appris avec le temps à ne plus se formaliser pour ce genre de remarque. Pourtant, il a fini par le croire lorsqu'il s'est retrouvé devant une drôle de colonie, l'essentiel de ses affaires dans un sac. Il a alors quinze ans et regarde sans comprendre cet homme qui lui a accordé autant d'années de sa triste vie partir sans lui laisser le temps pour un réel au revoir. Il le reverrait sûrement. C'est son père après tout. Il devient alors un pensionnaire à l'année. Drôle de mode de vie. Apprendre à combattre à l'épée est vraiment quelque chose d'étrange qu'il n'aurait jamais cru possible, même dans ce pays assez excentrique. Mais tout cela est réel, tout comme les conflits auxquels il refuse de prendre réellement part. Ce n'est pas sa guerre. Il a déjà du mal à réaliser qu'il avait appris le nom de sa mère, Hécate. C'est trop. Si on rajoute la découverte de capacités un peu spéciales, on peut facilement affirmer que Jessie se serait bien contenté de rester chez lui, un bon roman de science-fiction entre les mains.
– Qu'est-ce que tu fous là petit ? Jessie sourit au camionneur qui avait eu la gentillesse de s'arrêter. Ça fait quasiment deux heures qu'il faisait du stop sans succès. – Je campais avec des amis mais on s'est disputé. Vous pouvez me ramener à New York ? – Monte.
Il a quitté le camp, presque sur un coup de tête, ne prenant avec lui que le nécessaire pour survivre, débuter une nouvelle vie. Il n'a prévenu presque personne, juste Théo qui d'après lui mérite de savoir où il va. En revanche, il a refusé de lui avouer pourquoi il part, pourquoi depuis quelques semaines il refuse de s'entraîner et de se battre, pourquoi il ne fait plus rien. Durant les presque quatre ans passés à la colonie, il a toujours été partant pour. Désormais, il trouve ça trop horrible. Pas les demi-dieux au complet – certains sont capables de faire des choses magnifiques – mais juste lui. Il peut faire des choses monstrueuses. On lui avait pourtant dit de ne pas plaisanter avec la mort. Il fait largement pire. Peu de temps après, il entend le conflit entre grecs et romains. Encore quelque chose dont il ne se sent pas concerné. Bien sûr, il aurait tendance à prendre le parti des premiers pour avoir vécu longtemps auprès d'eux, mais son engagement s'arrête là. Il a d'autres préoccupations de toute façon. Il a enfin réussi à trouver un travail – comme serveur dans un bar – et à mettre de l'ordre dans sa vie.
Certaines choses lui manquent, même s'il s'est habitué à sa vie hors de la colonie. Une personne en particulier. Il regrette d'avoir ses amis mais l'absence de Théo est plus difficile que ça. Alors, il fait en sorte d'oublier qu'il ne donne de nouvelles à personnes depuis de longs mois. Sauf qu'un matin, tout a changé. Il se balade dans un parc et le croise. Lui, son meilleur ami. C'est juste beau, une chance inouïe. Il pense alors que c'est l'événement qui va changer sa vie hors de la colonie, mais il se trompe. Tout est beaucoup plus triste qu'il ne peut l'espérer. Tout prend une tournure dramatique lorsque Théo vient le voir dans le bar où il travaille. Puis il s'en va. Lui assiste à la scène, son meilleur ami, l'accident puis l’hôpital. C'est dur, l'horreur. Il va le voir régulièrement, trop même. Les gens commencent à avoir l'habitude de le voir par là-bas. Même si à côté de ça, il se passe plein de choses dans le monde des demi-dieux – comme la découverte de la DLCEM – il s'en fiche. Son ami dans le coma est quelque chose de beaucoup plus grave, une vision qu'il ne supporte pas, qui le rend malade.
« Born to be wild.Born to be wild. »
fiche by mathie. crédits gifs & icon ;; tumblr.
Dernière édition par Jessie A. Carter le Dim 9 Fév - 23:32, édité 2 fois
Sujet: Re: JESSIE ▬ hello cruel world Dim 9 Fév - 18:17
Preeeeeem's
JESSSIE MON AMOUR RIEN QU'À MOI Je suis trooooooop contente de te voir encore parmi nous Je n'aurais pas supporter de te voir parler de toute manière Donc rien à redire, ton perso est juste magnifique Juste parfait même si tu n'as pas fini ta fiche
Puis toi t'es ... magique, extraordinaire FANS DE STAR TREK EN FORCE Longue vie et prospérité Je t'adore miss, à fond Ouai, t'es un peu une des femmes de ma vie
Je suis là en cas de besoin Et j'espère que tu le sais
Sujet: Re: JESSIE ▬ hello cruel world Dim 9 Fév - 23:50
Bienvenue
jessie a. carter !
Sois le bienvenu sur Divina Bellum, Jessie ! Te voilà donc -enfin- validé ! Tu peux être un vrai héros, maintenant ! Ce que je pense de ta fiche, c'est qu'elle est juste ... totalement parfaite J’aime ce personnage, j'aime la joueuse. Que demander de plus? Enfin le chéri de Théodore est vraiment là Puis t'as vu? C'est encore moi qui te valide Vive les rp's ensembles, miss. À la vie, à la mort.
Maintenant que tu fais partit des notre, voici un petit tour des lieux ! Tout d'abord pense à te faire recenser dans les divers bottins, celui des avatars ici et celui des sang-mêlés en cas de demi-dieu ici. Ensuite n'oubli pas d'ouvrir ta fiche de liens à cet endroit et ta fiche de sujets là pour que tes petits camarades puissent venir te proposer tout plein d'idées folles ! Si vous souhaitez obtenir plus de responsabilités veuillez vous rendre sur ce sujet pour les grecs et ce sujet pour les romains. Mais attention, ils faut être motivé car il ne s'agit pas de postes facilement pourvus ! Et voila, tu as normalement toutes les clés en main pour commencer sur Divina Bellum. Nous espérons que tu t'amuseras bien et passeras un bon moment parmi nous !
Enfin, si t'as une question, une suggestion, une demande, une idée, bref, n'importe quoi, ou même si t'as juste envie de causer, n'hésite pas à t'adresser à Tristan E. Langley, Théodore N. Williams ou Lethario A. Mulligan, les maîtres suprêmes des colonies, du forum, de l'Olympe, des héros, des mps. 'Fin bref, tes administrateurs qui sont là pour toi et qui attendent avec impatience d'être harcelés de mps.
Amuse-toi bien sur Divina Bellum, essaye de pas te faire tuer trop vite par un monstre, on veut pas être déjà responsable d'un accident, encore moins du tiens! Et surtout, puissent les dieux veiller sur vous!
N'oubliez pas surtout pas de voter pour les topsites toutes les deux heures !