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Sujet: Re: (keben) « hey, is there a place for us ? » (-18) Jeu 27 Fév - 9:46
we can see the future and the dreams it's made of.
Ce feu ardent qui me dévore au fur et à mesure des secondes qui passent me rend ivre de désir envers cet homme si sensuel qui sait éveiller une passion insatiable en moi. Je commence à perdre pied, à perdre la tête, la raison. Plus rien n'est plus beau que ce moment. Plus rien ne pourrait m'arrêter. Je suis entrain de me droguer au plaisir charnel interdit entre deux meilleurs amis. Je ne sais pas où tout cela va bien pouvoir nous mener encore une fois, mais je meurs d'envie de lui. Rien que lorsque nos regards se croisent je sens mon ventre se tordre et ma raison faillir. Sentir ses baisers sur ma peau me provoque une déflagration de frissons dans chaque centimètre carré de mon épiderme, les moindres poils de mon corps se hérissent à chaque fois, je ne peux plus faire autrement que continuer sur cette lancée de plaisir et de désir qui fait que mes gestes soient chauds et précis dans les points sensibles d'un corps d'homme. Je ne comprends pas pourquoi je n'ai jamais ressentis de passion aussi puissante avant, mais cela ne me déplaît pas. La température entre nos deux corps a grimpé d'au moins deux degrés et je sens avec délassement mon cœur s'accélérer.
Je ne suis pas allé plus bas, pas plus bas que son nombril, bien entendu c'était fait exprès, je veux tester sa résistance au désir, voir jusqu'où il peut donc aller en me résistant. Quand je suis remonté vers sa tête, un petit grognement s'est fait entendre, pas content, mais moi si je le suis, parce que je sais qu'au moins il espérait un peu plus, mais qu'il soit sans crainte, il y aura droit. « Je ne supplierais pas Kenny, pas comme la dernière fois... » Je n'ai pas besoin que tu me supplies, j'ai juste besoin que tu réagisses par rapport à ce que l'on partage. Il vient alors coller son torse au mien, et je remarque avec étonnement que nos respirations se font sur le même rythme, nos cœurs battent à l'unisson. Pourquoi ? Je n'ai pas vraiment envie de le savoir pour le moment, je veux profiter, je veux lui faire oublier les deux mois où je n'ai pas donné de nouvelles. Ruben approche alors ses lèvres des miennes, je me penche alors pour l'embrasser mais il se recule au dernier moment. Ah ouais vraiment ? Un sourire ironique s'affiche alors sur mon visage, il commence à jouer et c'est là que je le préfère, parce qu'il sait exactement ce qui me titille. Puis d'un coup il vient attraper ma lèvre inférieure une nouvelle fois entre ses dents mais il la mordille tellement que je me mets à saigner, oh non, il n'aurait pas du tout. Je sens mes muscles se contracter immédiatement, et cette fois-ci, je me sens vraiment à l'étroit dans mon pantalon, je grimace légèrement en voyant le sang sur les lèvres de Ruben mais je ne réagis pas, j'essaye de lutter, mais plus je le vois pire c'est. Puis ses doigts qui parcourent mon corps en frôlant ma peau ne m'aident pas, je suis aux anges mais le démon essaye de m'avoir en même temps. Puis il vient alors m'embrasser dans le cou et de doux soupirs d'aises sortent de ma bouche. « Qu'est ce que tu dirais si on se débarrassait de nos vêtements... je veux te sentir contre moi Kennedy... en moi... » Ce ton est doux, il ne donne pas d'ordre et il m'atteint comme une flèche en plein cœur. Je souris doucement en venant déposer un doux baiser sur ses lèvres, puis je descends lentement en embrassant sa peau, laissant une petite trace vermeille sur sa peau.
Une fois arrivé à son pantalon, je défais le bouton avec les doigts et fait glisser sa braguette avec les dents avant de faire glisser son vêtement à terre. Il ne lui reste que son boxer, boxer qui commence à être humide à force d'excitation, je souris lentement avant de venir lécher son membre déjà bien dur qui est encore recouvert. Puis avant de faire quoi que ce soit d'autres, je retire mon short à mon tour et me dévoile enfin presque nu devant lui. Cependant, j'ai un sous-vêtement qui ne pourrais que lui plaire. Un jockstrap blanc, ça joue le rôle d'un string pour homme sauf qu'il n'y a pas de ficelle, une liberté de mouvement infinie comme ça. Je finis par revenir en léchant le sang que j'ai laissé sur sa peau et arrive à son visage. « Ça te plaît ? » Inutile comme question à vrai dire, mais l'entendre dire, ça me fait toujours un effet du diable. Cependant, je commence à avoir envie de plus, à vouloir qu'on passe aux choses sérieuses, j'ai besoin de sa langue sur mon corps pour répondre à son envie, parce que ce soir, Ruben va monter au septième ciel. Je finis même en fait par retirer mon dernier vêtement avant d'en faire autant avec celui de mon meilleur ami et lorsque nos phallus se touchent, c'est l'apothéose, j'ai envie de lui, là maintenant et c'est comme une douce torture de devoir se retenir plus longtemps. Alors pour tenter de lui montrer que j'ai envie de ses lèvres sur une partie de mon corps, je viens lui mordiller le lobe de son oreille la plus proche de ma bouche.
Sujet: Re: (keben) « hey, is there a place for us ? » (-18) Sam 1 Mar - 22:28
Le sang. Ruben n'ignorait pas l'effet que cela avait sur Kennedy, et il lui arrivait d'en jouer, rarement car les effets étaient imprévisibles, allant du meilleur et pouvant aller jusqu'au pire. Pour le distraire, Ruben vint l'embrasser dans le coup, lui suggérant d’accélérer un peu les choses, sans pour autant le commander. Kennedy n'était pas du genre à recevoir des ordres et cela plaisait à Ruben. Kennedy c'était un esprit tétu, du genre à ne pas se conformer. Alors certes ça ne rendait pas les choses faciles, mais ça les gardait intéressantes, explosives, passionnelles. En un mot : vivantes.
Ruben ferma ses paupières, laissant un sentiment de bien être lui échapper alors qu'il sentait les baisers de Kennedy sur sa peau, descendant petit à petit jusqu'à atteindre le point tant attendu. Le demi-dieu rouvrit ses paupières, se redressant sur ses coudes pour observer Kennedy, ne pouvant s'empêcher de gémir lorsqu'il frôlait son membre, emprisonné dans ses vêtements et gorgé de désir. "Avec...avec les dents...vraiment ?" demanda t'il, sa question entrecoupée de soupir alors que son pantalon glissa au sol. Ruben ne quitta pas Kennedy des yeux, se tendant de plus belle lorsque sa langue passa sur son boxer, plaisir et frustration mêlés l'un à l'autre lorsque le jeune homme se redressa. Mais les complaintes de Ruben moururent sur ses lèvres lorsque Kennedy se débarrassa de son propre pantalon, le dévoilant presque dans le plus simple appareil. Ruben soupira en passant son regard sur lui, le demi-dieu savait quoi faire pour le rendre dingue et il était en passe de réussir son coup. Comme si c'était encore possible, il se sentit encore plus à l'étroit dans son boxer, alors que Kennedy recouvrait son corps du sien, léchant la trace sanguine laissée sur sa peau, leurs visages se retrouvant au même niveau. Ruben posa ses mains sur le corps de Kennedy, le caressant sans géne, empoignant ses fesses. "Tu dois vraiment demander ?" dit il avec un sourire. Il l'embrassa avant de venir placer ses lèvres contre une de ses oreilles. "Les mots ne peuvent traduire ce que je ressens pour toi, ce que tu provoques en moi mais je pense que tu le sais, que tu le sens..." murmura t'il avant de plaquer son bassin contre celui de Kennedy, histoire d'appuyer ses propos. "J'ai l'impression d'exploser quand je suis avec toi Kennedy..." Chaque toucher, contact avec le demi-dieu enflammait sa peau, au sens figuré et si bientôt il ne faisait pas quelque chose, Ruben craignait que cela ne passe au sens propre. Il pouvait le sentir au frisson qui le parcourait, la chaleur qui augmentait progressivement. Comme un four qu'on allume et qui chauffe petit à petit. Il ne s'était encore jamais enflammé, au sens littéral, avec Kennedy, il avait toujours su maitriser cette partie de lui. Pour le moment.
Comme une réponse, ils se retrouvèrent enfin nus, par l'action de Kennedy. Et là ce fut l'explosion de sensation, hyper sensible par l'excitation, Ruben craignait de jouir avec le simple frottement de leurs peaux. Mais ce n'était pas ce qu'il désirait, non, il voulait partir avec Kennedy, à l'unisson et surtout pas de cette manière là. Il le voulait en lui, ne faire plus qu'un avec Kennedy. Le seul qui l'ait jamais fait se sentir vivant. Ruben ne put s'empêcher de rire lors que le demi-dieu mordilla son oreille, comprenant le message qu'il désirait lui faire passer. Il poussa doucement Kennedy pour qu'ils se retrouvent tous deux sur le côté et prit un air faussement interrogatif, alors qu'une main se glissait entre leurs corps. "C'est ça que tu veux ?" demanda t'il d'une voix emplie de désir. Il voulait jouer avec lui, mais ignorait si lui même était capable de tenir la distance. Sa main descendait lentement, effleurant leurs deux corps, s'arrêtant sur le bas ventre, le bout de ses doigts frôlant la peau de Kennedy. "J'ai rêvé de toi, de ça tellement de fois Kenny..." reprit il en déposant un baiser sur sa machoire. "Tu n'as pas idée...ce que ça pouvait me faire d'y penser...tout seul..." Sa main descendit de quelques centimètres, se posant sur le membre du demi-dieu, l'enserrant avec douceur. Il l'embrassa alors, tout en le caressant avec une lenteur délibérée. "Est ce que tu as pensé à moi ?" demanda t'il avant de pousser Kennedy sur son dos. Il l'observa quelques instants avant de descendre le long de son corps, déposant quelques baisers sur le chemin avant de se retrouver entre ses jambes. Il cessa alors les caresses avec sa main, la remplaçant par ses lèvres, se laissant aller à ses désirs, ces fantasmes d'une nuit qu'il pouvait enfin réaliser. Ses mains ne restèrent pas inactives bien longtemps, une se posa sur sa cuisse qu'il caressait distraitement, l'autre remonta le long de son torse, qu'il griffa, sans pour autant briser la peau.
Sujet: Re: (keben) « hey, is there a place for us ? » (-18) Dim 2 Mar - 14:46
we can see the future and the dreams it's made of.
Le sexe est le plus illogique des besoins. Il nous pousse à des extrémités dangereuses, nous fait braver des interdits, provoque des sensations inimaginables, donne des envies machiavéliques. Le sexe est une chose intime, qui ne se partage généralement pas, il pousse à rapprocher deux personnes par des liens charnels, ou à rassasier un appétit dévorant qui nous envoie dans les bras d'une autre personne même si l’on n’éprouve rien pour ce ou cette dernière. Le sexe est à la base un acte qui vise à se reproduire, du moins c'est ce que l'on en pense, il ne devrait exister que pour procréer, afin de perpétuer la race des êtres vivants qui se reproduisent. Puis avec l’évolution des mentalités, il est devenus source de plaisir, les gens font l'amour dans le but de ressentir des sensations puissantes, qui prennent dans les tripes et font pousser des petits grognements de plaisir puis des gémissements sensuels. Le sexe est quelque chose de complexe, il peut se faire à plusieurs, entre deux personnes de même genre, avec des jeux, des positions différentes, plus ou moins de force ou de douceur, le sexe est l'acte le plus dangereux du monde, il lie les gens, ou les déchire, les pousse à des actes souvent méprisables, ou mignons, cela dépend du point de vue de tout un chacun sur le sexe et l'amour. Pour moi c'est méprisable, du moins, la façon dont je couche avec Ruben, je ne supporte pas tout cela, mais je suis obligé d'y faire face comme chaque personne vivante. Je suis un salopard je sais, je couche avec lui pour lui faire oublier la douleur que je lui occasionne.
Il parle trop, mais je sais que c’est parce qu’il est complètement sous mon emprise. Puis ce n’est pas comme si le son de sa voix m’excitait particulièrement dans ce genre de situation, non ce n’est pas vrai. Je crois que je ne me laisserai jamais de sa présence, plus je suis à ses côtés, plus je me rends compte qu’il est indispensable à ma vie, un peu comme le serait une drogue. En fait je me drogue à son odeur, je m’enivre de ses baisers, je me réjouis de ses mots. Que m’arrive-t-il bon sang ? Je commence à réfléchir alors que nous sommes en train de faire des préliminaires. Je ferme les yeux tout en lui mordillant son lobe d’oreille pour lui signifier que j’ai envie de plus, je veux que les choses avancent. Puis d’un coup il me pousse pour que je sois sur le côté face à lui, un petit air amusé et interrogatif flotte sur son visage tandis que sa main se glisse entre nos deux corps en frôlant nos deux peaux. « C'est ça que tu veux ? » Je me sens partir, j’ai besoin de lui, je le sens de plus en plus. Mais il continue à jouer, mais à force de s’amuser avec le feu, on se brûle les ailes, qu’il fasse attention. Ses doigts ne se posent pas sur mon corps, ils le survolent pour me laisser en haleine, c’est une torture qui me fait perdre la tête et il le sait pertinemment et s’en délecte. « J'ai rêvé de toi, de ça tellement de fois Kenny... » Je me mordille l’intérieur de la joue, il commence à parler sentiments, ça me touche beaucoup plus que je n’aurais pu le croire, Ruben arrive à m’atteindre en plein cœur. Mais une histoire d’amour entre demi-dieu ne marche jamais longtemps. Je ferme les yeux cependant alors qu’il vient me déposer un baiser sur la mâchoire, délivrant de multiples frissons sur mon échine. « Tu n'as pas idée… ce que ça pouvait me faire d'y penser... tout seul... » Oh si j’imagine très bien, parce que j’ai eu ce même genre de réaction, je mourrais chaque soir en étant loin de lui, et finalement j’ai craqué et je suis revenus, la queue entre les pattes, désolé pour l’expression.
Puis d’un coup je le sens descendre vers mon membre déjà durcit par l’excitation. Je me contracte et pousse un doux soupir de plaisir en le sentant venir me le masser de façon très lente. « Est-ce que tu as pensé à moi ? » J’aimerais bien lui dire toujours, mais j’ai peur de passer pour un enfoiré et en prime il ne comprendrait pas pourquoi je ne suis donc pas venu. Le problème c’est que j’ai peur de le perdre en faisant ça, mais je le perds quoi qu’il arrive, voilà un cruel dilemme que je préférerais largement éviter. Mais je n’ai pas le temps de répondre qu’il me pousse sur le dos et venir observer mon corps nu. Il sait qu’il a le droit de tout me faire – dans les limites du raisonnable bien entendu – parce que je ne vais voir nulle part ailleurs, alors sentir son regard de braise sur mon corps me rend tout chose et je commence à me sentir partir. Pis quand il dépose de doux baisers sur mon corps en descendant vers mon pubis, là je crois que je dois me retenir de gémir, parce que j’anticipe le futur plaisir que je vais ressentir et je n’y loupe pas. Ses lèvres viennent enserrer ma virilité et là je décède sur place, mes doigts se perdent dans les draps et je pousse un léger gémissement. Une de ses mains viens griffer mon torse et l’autre caresser ma cuisse et je commence à perdre la tête. Mais tandis qu’il commence à me faire des choses divines avec sa bouche, je commence à venir passer mes mains dans son dos et à me cambrer délicatement sous le plaisir. Ruben m’excite dangereusement et je crois que ça va causer ma perte, mais alea jacta est comme dirait les romains. « Quasiment tous les jours… » Je sais que ce n’est pas ce qu’il veut entendre, mais je déforme un peu la réalité pour que ça passe mieux dans les deux cas. Puis d’un coup je commence à venir passer ma main dans ses cheveux en accompagnant délicatement sa tête dans ses mouvements en poussant des gémissements de plaisir. Il me perd, ou plutôt il me gagne et je crois que je vais rapidement abandonner la partie à ce rythme-là et que je vais faire avancer les choses bien plus rapidement que prévues. Je ferme lentement les yeux et me redresse lentement pour venir passer la main qui lui "tenait" la tête dans son dos et descends lentement vers son fessier où mon index commence à lui caresser la raie lentement mais sûrement. Et tandis que je le regarde avec cet air coquin qu’il connaît tant, j’apporte mon doigt à ma bouche et vient recommencer le petit geste vers ses fesses mais en allant un tout petit peu plus bas désormais.
Sujet: Re: (keben) « hey, is there a place for us ? » (-18) Dim 2 Mar - 21:26
Ruben était plutôt doué avec ses lèvres, talent acquis grâce à Kennedy, des heures à apprendre ce qu'il aimait, ce qu'il détestait. Ce qui le faisait partir au quart de tour. Chose dont le demi-dieu était fier, n'hésitant pas à s'amuser avec les émotions de Kennedy, histoire de lui faire payer un peu. Même si avec ce genre de torture, le jeune homme y trouvait aussi son compte, et Ruben n'en doutait pas, aux gémissements qu'il entendait. Sa réponse lui parvint comme dans un brouillard, son esprit focalisé sur la caresse qui lui prodiguait mit quelques minutes avant qu'il ne la comprenne entièrement. Oh il savait bien que Kennedy ne lui avouerait pas la vérité, même si ce n'était pas un mensonge non plus. Et même s'il lui en voulait, un peu, il savait que Kennedy avait d'autres choses courant dans son esprit, et qu'il ne pouvait être le centre de son monde, tout comme Kennedy ne pouvait être le sien même si pour être honnête, Ruben n'aurait aucun problème avec ça.
Ruben jeta un coup d'oeil à Kennedy, alors que les mains de ce dernier vinrent se poser dans ses cheveux, accompagnant son mouvement de va et vient, sans pour autant s'imposer. Non pas que cela aurait dérangé le demi-dieu, il aimait laisser le contrôle à Kennedy car il savait que ce dernier le respectait, était attentif à ses désirs, à ses réactions et puis Ruben il aimait ça être dirigé, un peu. Juste avec Kenny. Enfin avec les autres il n'en savait rien, et s'en foutait royalement, il ne comptait pas se trouver quelqu'un d'autre avec qui partager ces moments là. Ses mains étaient toujours sur son torse, le caressant distraitement, s'amusant avec ses tétons. Une main restait posée sur son abdomen, sentant ses muscles se tendre et se détendre au rythme de sa gâterie. Il ne put empêcher un frisson de parcourir son corps lorsque Kennedy se redressa, une de ses mains descendant le long de son dos. Ruben savait exactement ce que cela signifiait. Son coeur se mit à battre de plus belle et son excitation doubla en intensité. Il suivit du regard ce doigt qu'il porta à ses lèvres, ses pupilles dilatées par le désir sans jamais arrêter de le flatter de sa langue. Au contact de ce doigt contre son intimité, il ferma les yeux, se forçant à se détendre. Il le voulait là, ne faire qu'un avec lui. Ressentir cette symbiose parfaite, cet instant de plénitude malheureusement bien trop court à ses yeux.
De nombreux gémissement s'échappaient de ses lèvres alors que Kennedy l'ouvrait doucement, sans hâte, avec tendresse. Ruben lui même cherchait le contact, le forçait même. Il avait attendu bien trop longtemps. Il délaissa le membre tendu de Kennedy un instant, déposant des baisers sur son bas ventre, sa hanche qu'il mordilla tendrement avant de reprendre sa caresse là où il l'avait arrêtée, n'usant cette fois ci que de sa langue. Car si Kennedy s'amusait à le titiller, à faire traîner la chose en longueur, Ruben n'allait pas se géner à en faire de même. Son regard ne quitta pas celui du demi-dieu, et prirent même une teinte rougeâtre. Un feu brûlait en lui, attisé par les doigts de Kennedy se mouvant en lui dans une lente torture. Il avait besoin de plus. Il remonta ses lèvres le long du corps du brun, suçotant au passage un de ses tétons avant d'atteindre ses lèvres et de les embrasser, ses gémissements se perdant dans leur baiser. Il planta ensuite son regard dans le sien, il n'avait plus besoin de lui parler, il était tel un livre ouvert, sentiment et désir à fleur de peau, s'offrant à Kennedy. Il lui appartenait, comme cette première fois sur la plage ou les autres fois depuis. Comme maintenant, et à jamais.
Sujet: Re: (keben) « hey, is there a place for us ? » (-18) Lun 3 Mar - 19:19
we can see the future and the dreams it's made of.
On parle souvent d'excitation, mais souvent on ignore le sens de ce mot. A la base ce mot signifie exercer une action sur un corps afin d'en produire de l'énergie. Cela est toujours véridique quand on regarde les différents usages que l'on a de ce mot. L'excitation produit de la chaleur la plupart du temps, en physique, quand on agite un corps longtemps, il devient plus chaud, dans la vie de tous les jours également et gardons l'idée du corps. Enlevons les préceptes pervers de ce mot, l'excitation n'est pas forcément associé au sexe, on peut-être excité à l'idée de faire quelque chose, dans ce cas on peut également dire que l'on a hâte, ou alors on peut-être excité après un footing de une heure, c'est à dire qu'on est encore prêt à faire la même chose. Après comme toute personne qui aime bien le plaisir charnel, l'excitation est quelque chose qui nous vise à perpétuer les bonnes choses que provoquent le sexe, elle nous pousse à exécuter des choses incroyantes. Plus l'envie est grande, plus l'excitation est forte, elle nous donne un appétit si dévorant que pour y résister il faut savoir se brider. Pour moi, là, maintenant, je crois que je suis en train de décéder tant j’ai envie de lui, tant les deux mois que j’ai passé sans sa présence m’ont brimé, et c’est peut-être affreux de dire ça, mais j’ai envie de coucher avec lui pour effacer cette longue souffrance. Malgré tout, je ne peux que remarquer qu’il y a des choses qui commencent à changer, et beaucoup trop vite et fortement à mon goût.
Je sais exactement quoi faire pour qu’il me désire, c’est facile à vrai dire, je le connais par cœur depuis le temps. Alors quand j’ai apporté mon doigt tout humide vers lui, il a rapidement compris ce qui allait arriver et rapidement, les gémissements ont fait leur entrée. Puis finalement, c’est un Ruben qui me veut ardemment que j’ai face à moi, je suis en train de jouer avec lui, encore une fois, je n’entre pas mon doigt, je préfère le titiller et faire en sorte qu’il puisse m’accueillir en une seule fois, mais lui ne dit pas son dernier mot. Il s’arrête rapidement et commence à venir embrasser mon bas ventre, ce qui me tire des papillons à ce même endroit, des étoiles dansent devant mes yeux, je vais mourir s’il continue comme ça. Remarque, j’aurais imaginé pire pour ma mort. Puis il se dirige vers ma hanche qu’l embrasse avant de la mordiller et là je ne peux me retenir, un doux gémissement s’échappe de mes lèvres tandis qu’il retourne vers mon membre. Mais plutôt que d’user de ses lèvres, il ne me caresse que de sa langue ce qui soit disant passant me fait perdre la raison. Ses yeux se lèvent vers les miens et dans ceux de mon Ruben, je constate une lueur fort peut déplaisante, le feu, le rougeoiement intense de la forge, ses pouvoirs sont bien plus puissants que les miens et ils m’effraient à vrai dire, mais je sais qu’il sait les contrôler, alors je ne m’en fais pas, jamais avec lui. Mais il s’arrête une nouvelle fois encore, et remonte vers mes lèvres pour m’embrasser une nouvelle fois. Je sens encore le goût ce liquide qui me rend légèrement plus glissant à travers son baiser et cette fois-ci, j’arrête doucement de toucher son intérieur, je me retire et le regarde avec un soupçon de malice.
Je le pousse à nouveau pour le mettre sur le dos et doucement je me mets au-dessus de lui et me place de façon à être bien placé pour le prendre fougueusement. Je sens déjà ses jambes se nouer autour de ma taille et je souris en venant prendre ses lèvres fugacement et de me reculer pour venir m’introduire en lui. J’ai fait exprès, je veux dire de me reculer, ainsi je peux entendre son petit cri de plaisir et de douleur mêlée. Même en étant préparé, ça fait toujours mal, légèrement. Mais je ne bouge pas, pour ne pas accentuer son mal. Ma respiration est plus saccadée, je me calme légèrement avant de le sentir se détendre et je commence alors mon mouvement de va et viens lent en lui. Ruben est le partenaire idéal, enfin je le présume, jamais il ne m’a déçu, quoi qu’il me fasse. C’est plutôt moi qui le déçois, et je me demande bien comment il fait pour me supporter mais ce n’est pas le moment de penser à ça. Puis alors que je me délecte de ses gémissements, je viens le faire taire en l’embrassant langoureusement et quelque chose se scelle en moi, quelque chose que je ne comprends pas, mais qui m’effraie, mais je suis Kennedy et je suis censé n’avoir peur de rien. Mais ce quelque chose verrouille mon cœur, finalement je comprends quelque chose, lui et moi.
Sujet: Re: (keben) « hey, is there a place for us ? » (-18) Sam 8 Mar - 23:59
Ruben n'eut pas besoin d'attendre longtemps avant que Kennedy ne passe à la vitesse supérieure. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, le demi-dieu se retrouva sur le dos, Kenny trouvant sa place entre ses jambes sans hésitation, alignant son corps avec le sien. Ruben en frissonnait d'anticipation, ses jambes entourant le corps de son amant. Il tendit ses bras le plus possible, caressant le demi-dieu avant qu'il n'entre en lui, mélange de douleur et plaisir. Ruben se cambra légèrement, poussant un cri suivit d'un grognement de plaisir. Dieu qu'il aimait ça, sentir Kennedy en lui, le faire sien. C'était désagréable au début, un peu, mais le demi-dieu savait attendre. Et la récompense valait le coup. Ruben rouvrit ses yeux, ne se rendant même pas compte qu'il les avait fermé. Il les plongea dans ceux de Kenny alors que ce dernier commençait, enfin, à se mouvoir en lui, lentement.
Ruben n'était pas du genre discret et rapidement ses gémissements remplirent la pièce, entrecoupés de soupirs dans lesquels on pouvait reconnaître le prénom de Kennedy. Ses mains s'étaient arrétées sur les hanches du jeune homme, le tenant fermement, laissant sa marque sur sa peau. Une marque qui disparaîtrait avec le temps, mais Ruben lui la verrait tout le temps, il s'en souviendrait à chaque fois que son regard, errant sur Kennedy tomberait sur ses hanches. Les lèvres de ce dernier trouvèrent les siennes, dans un baiser fiévreux, mélange de langues, happant les gémissements de Ruben. Haletant au terme de leur baiser, Ruben remonta ses mains le long du corps en sueur de Kennedy, prenant son visage entre ses mains. Il plongea son regard dans le sien, son coeur s'enflammant alors que ses yeux n'étaient plus qu'un cercle rouge. Il se sentait proche de l'orgasme, une chaleur toute nouvelle prenant naissance dans le creux de ses reins, gagnant en intensité à chaque coup de rein.
Il colla ses lèvres contre la peau de Kennedy, ses gémissements étouffés dans le creux de son cou. Ruben ne ressentait même pas le besoin de descendre une main entre leurs deux corps pour se caresser, la friction de leurs deux corps durant leurs va et vient était une stimulation importante. Ruben était à quelques secondes l'orgasme, encore quelques va et vient et...Il délaissa le cou de Kennedy, embrassant le jeune homme comme si sa vie en dépendait, comme s'il était devenu son oxygéne. Un feu coursait dans ses veines, menaçant de l'emporter à n'importe quel moment maintenant. Il ouvrit la bouche, voulant dire quelque chose, un serment d'amour, une promesse de ne jamais le quitter, un juron...il n'arrivait plus à mettre ses pensées en ordre, son esprit cédant à l'appel du plaisir qui éclata en lui alors qu'il criait le nom de Kennedy. Il lui sembla quitter le monde, laisser la Terre derrière lui pour entrer dans un autre royaume. Ruben n'aurait pu dire combien de temps il était 'partit', ça aurait pu durer une seconde comme une heure même si l'éternité était préférable. Sa respiration était erratique, lorsque dans la brume il aperçu le visage de Kennedy, son meilleur ami, son amant, son amour, son tout. Il nicha son visage dans son cou, passa ses bras autour de lui, refusant de quitter son étreinte, de perdre sa chaleur. De le perdre tout court.
Sujet: Re: (keben) « hey, is there a place for us ? » (-18) Dim 9 Mar - 11:31
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Le sexe sans sentiments est à la base un acte qui vise à assouvir ses besoins primitifs tels des animaux. Oui il faut appeler un chat un chat. Lorsque nous pratiquons l'acte sexuel sans qu'il n'y ait forcément de lendemain, c'est comme si un chien mettait enceinte une chienne. La plupart des gens ont honte de dire ce que les autres pensent tout bas généralement, les tabous de la société actuelle interdisent de parler ce genre de relation, pourtant elles sont fréquentes. Qui dit qui votre voisine ne rend pas son mari cocu avec son jardinier ? Ou que votre propre mère ne vous pas eu avec un homme qu'elle n'a vu qu'une seule fois dans sa vie ? Ce genre de mots n'est pas fait pour insinuer le doute en vous, mais pour vous prouver à quel point le sexe est quelque chose qui fait parti de la vie de tous les jours. Bien entendu tout le monde n'est pas à coucher à droite et à gauche, bien heureusement d'ailleurs, il existe des gens qui préfèrent prendre leur temps et faire en sorte de trouver la bonne personne pour se mouiller un peu. Oh pardon pour le jeu de mot. Mais là, maintenant, je crois que ce n'est plus qu'une affaire de jambes en l'air, c'est plus que ça, c'est plus fort, plus puissant, il y a quelque chose qui change en nous deux, un quelque chose qui me rend nerveux, un quelque chose qui me rend amoureux.
Ruben n'a jamais été très discret, pour mon grand plaisir à vrai dire. Le beau brun exalte son délassement de façon audible, comme s'il s'en fichait de tout ce qui peut nous entoure. J'ai toujours aimé ça, cette façon qu'il a de me faire comprendre que je lui fais du bien. Seulement, je crois que j'aime un petit peu trop cela, comme si c'était une évidence que de nous voir ensemble. Je secoue la tête en gémissant également de plaisir, sentir son intérieur, ne faire qu'un avec lui, tout cela me rend chose et ce n'est qu'une apothéose que je connais que trop bien qui fait place en moi. Plus rien d'autre que ses bruits, mon prénom qui les entrecoupent de temps en temps, ses mains qui viennent me marquer sur les hanches, délaissant une petite tâche que je conserverais pendant un temps seulement. Ses lèvres viennent se poser sur les miennes pour un baiser fiévreux, je ne peux que le trouver ravissant, ses cheveux collés par la sueur, le désir se transmettant à travers notre embrassade, ce qu'il ressent à travers ses yeux. Je ne crois pas que jamais je trouverais cette même chose chez quelqu'un d'autre. Je ferme alors les yeux tandis que ses mains remontent vers mon visage, nos regards se croisent et je commence à voir la puissance de mon amant, ses yeux ne sont plus que rouges, le feu, le désir, le tout se mêle dans un mélange homogène passionnant et terrifiant. Et à chaque coup de rein, je le sens se tendre de plus en plus, approchant du plaisir à son apogée, et moi aussi par la même occasion. Pour étouffer ses gémissements, Ruben vient nicher sa bouche dans le creux de mon cou, chose qu'il a l'habitude de faire et à chaque fois des frissons parcourent les moindres recoins de ma peau et délivrent en moi cette chaleur intense qu'il sait me communiquer à chaque fois qu'il me touche.
Je commence à me sentir légèrement partir, je serre les mâchoires, je ne sais depuis combien de temps tout cela dure, mais je m'en fiche, le plaisir est tel que je sais que ça ne durera pas plus longtemps, lui aussi le sens car il vient m'embrasser langoureusement d'une façon si puissante, si pure, que jamais il ne m'a embrassé ainsi, je ferme les yeux et le lui rends de la même façon avant de pousser un cri en même temps que lui, laissant la nature faire, je finis par m'écrouler sur lui, toujours en lui. Je ferme les yeux et commence à voir des étoiles devant mes yeux, mes genoux tremblent, mon corps est en sueur. Je finis par regarder son doux visage, avant qu'il ne vienne une nouvelle fois le nicher dans mon cou en passant ses bras autour de ma nuque pour me serrer contre lui. Aurait-il peur d'avoir froid ? Non, cette idée est idiote, c'est un enfant d'Héphaïstos, le froid il ne connaît pas. Je finis par me défaire de lui mais garde ses bras qui m'enserrent avant de tourner, moi sur le dos et lui sur moi, son visage au dessus du mien, cette fois-ci c'est à moi de lui montrer ma sensibilité, je peux le lui faire, après tout, c'est terminé tout ça non ? Mes doigts se posent sur son front encore humide et dégagent une de ses mèches qui lui tombe presque dans les yeux. Un petit sourire tendre apparaît sur mon visage avant que je ne vienne l'embrasser d'un baiser chaste, presque futile, mais qui démontre tout ce que je peux être.
Sujet: Re: (keben) « hey, is there a place for us ? » (-18) Lun 10 Mar - 23:53
Un faible gémissement s'échappa des lèvres de Ruben lorsque Kennedy manoeuvra en lui, de telle sorte qu'il quitta la chaleur de son corps, à son grand déplaisir. Même si physiquement la messe était dite, Ruben avait toujours ce besoin de rester proche de Kennedy après l'amour. Il n'aurait pu expliquer ce besoin et s'il n'était pas du genre à donner des ordres, dans ce moment là il était aux commandes, et Kennedy n'y avait jamais coupé. Ces moments là étaient tendres, entrecoupés de baisers, de caresses, de quelques mots parfois...Il n'était pas rare que Ruben s'endorme dans les bras de Kennedy, leurs corps collés l'un à l'autre. Il s'endormait dans le bien être et la chaleur d'une étreinte, pour se retrouver dans le froid de la solitude car il le savait, le demi-dieu profiterait de son sommeil pour s'éclipser, c'était toujours comme ça, alors il pouvait bien lui accorder ce moment là, ce n'était pas beaucoup demander.
Entrainé par Kennedy, Ruben se retrouva au dessus de lui, ses bras n'ayant pas bougés, enserrant encore le jeune homme. Le brun se décala légérement, glissant sur le côté droit, ses jambes venant entourer la jambe gauche de Kennedy alors qu'il était à moitié sur lui. Ils avaient beau être des demi-dieux, ils étaient en partie humains. Ruben sentait la fatigue l'envahir, trop bien méritée après les émotions des dernières heures. Sentant la main de Kennedy sur son front, Ruben releva la tête, son regard croisant celui de ce dernier. Le rouge avait disparu de ses yeux, seules quelques fines traces restaient encore là. Son sourire, comme toujours, le fit chavirer. Il pouvait y lire une tendresse infinie, chose dont il savait Kennedy capable mais qu'il ne forçait jamais. Ruben préférait que cela vienne de son coeur plutôt qu'il se sente forcé. C'était donc des gestes plutôt rares, que le jeune homme gardait précieusement dans son esprit.
Ruben répondit au baiser donné par Kennedy mais le sommeil le gagnait, il le sentait. Il tenta de lutter, vainement, rester éveillé pour garder Kennedy le plus longtemps possible auprès de lui, mais la bataille était perdue d'avance. "Reviens..." murmura t'il contre sa peau alors que ses yeux se fermaient et que son corps se détendait. Le demi dieu ne lâcha pas pour autant son amant, et c'est ainsi qu'il s'endormit, sa tête posée sur la poitrine de Kennedy, les battements de son coeur le berçant doucement jusqu'au monde de Morphée.