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| Attention à celui qui m’appelle « Lilly » – Lyllian-Aaron McLochlainn | |
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| Sujet: Attention à celui qui m’appelle « Lilly » – Lyllian-Aaron McLochlainn Lun 11 Avr - 18:37 | |
| Lyllian-Aaron McLochlainn « Je suis ton monstre, celui au fond de tes entrailles, qui tiraille ton coeur et te fais oublier ta raison. Fils de Némésis, je suis pour l’équité légitime, mais c’est de mon seul point de vue et quand cela m’arrange… Mieux vaut m’avoir dans son camps qu’ennemi. Je suis ton Prince de la Juste Colère » NOM •• McLochlainn, nom d’origine irlandaise et qui porte une longue histoire. PRÉNOM(S) •• Lyllian-Aaron, et encore je n’ai pas à me plaindre. J’ai eu la chance de ne pas tomber sur Hamish moi. SURNOM(S) •• Lilly ou le « petit » Prince (ça dépend de l’humeur des gens qui me cotoient. Enfin surtout de mes frères), puis très souvent L.A. qui existe par pur flemme de m’appeler par mon prénom. ÂGE •• 30 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE •• J’ai envie de vous répondre il y a 30 ans, d’un utérus divin et en Amérique. Non loin de la ville de New-York dans une ville un peu plus reculée. Déposé sur le pas d’une des portes de service du manoir, jeté dans les bras en vitesse de mon père. Sur les papiers, il est écrit que j’aurais vu le jour un 17 Juin. Alors est-ce que c’est celui où j’ai passé ma tête hors de l’entre cuisses de ma mère ou lorsqu’elle ma refourgué ? Très bonne question. En tout cas j’ai pris l’habitude de le fêter ce jour là.NATIONALITÉ •• Américaine ORIGINES •• Irlandaise OCCUPATION •• Observer les gens et étudier leur petit crâne misérable. J'ai un diplôme en psychiatrie, mais je travaille très peu. J’ai assez de sous pour soit perdre mon temps avec de pauvres personnes ou me concentrer sur des cas magnifiques. ORIENTATION SEXUELLE •• Bisexuel STATUT CIVIL •• Célibataire. Et ce n’est pas pour rien. Je supporte mal l’engagement. J’aime la liberté. PARENT DIVIN •• Nemesis, déesse de la Vengeance POUVOIR(S) •• Représailles : Je peux emmagasiner les coups qu’on me donne et les rendre par la suite par une onde de choc ou dans le prolongement de la force d'un coup physique. Contre la magie, ça a tendance à la renvoyer une partie comme un miroir. Dans les deux cas, plus je décide d’encaisser, plus je renvoie ses représailles. Exacerbation de le Vengeance : J’exacerbe tout simplement le sentiment de vengeance. Une persuasion, de l’hypnose ou de la manipulation, appelez ça comme vous voulez, je saurais attiser la flamme d’une justice légitime qui dort en vous par mon aura. ARME FÉTICHE •• Masse de guerre en bronze céleste. DÉFAUT FATAL •• Vivre l'humiliation LIEU DE RÉSIDENCE ACTUEL •• Un studio à New-York en récente colocation et le manoir familiale en banlieue à moins d’une heure de N.Y. CARACTÈRE •• Impulsif, impartial, névrosé, nerveux, puéril, libre, instinctif, arrogant, égoïste, égocentrique, réfléchis, intelligent, calme comme l’eau qui dort, mauvais, impatient, mesquin, moqueur, humilié, vengeur, sans peur, exigeant, malin, manipulateur, capricieux, patient, cynique, blasé, sarcastique, malsain, toxique, attentif, observateur, maniaque, froid, passionné, fou, irresponsable, calculateur, théatral, intimidant, impassible, faux, chaleureux, rancunier, ... | |
☞ QUELQUES ANECDOTES SUR TON PERSONNAGE. 01. « La Guerre contre Chronos, j’en ai encore quelques rares souvenirs brefs dans des cauchemars spasmodiques. C’est comme un trou noir. Je me rappelle juste m’être réveillé dans le salon de la maison familiale, de belles blessures ici et là, des hématomes partout et une épaule luxée que mes frères se sont fait un plaisir de remettre en place. Ces enflures se battait mon épaule comme un vieux bout de viande. Keenan avait l’habitude sur le terrain, mais Hamish était fin connaisseur de l’anatomie et savait comment faire pour que ce soit très douloureux. Et Wayn ! Il voulait simplement essayé. Ils débattaient alors juste au-dessus de ma tête comme si je n’étais pas là. Je leur ai rappelé ma présence et posé mon véto contre Wayn. Finalement Keenan m’avait plaqué contre le canapé de son imposante corpulence de militaire, les deux mains bien positionnées à des endroits stratégique de mon épaule. Wayn m’a apporté de quoi mordre et ce fut Hamish qui m’attrapa le bras. Il a prit son pied et moi j’ai hurlé. C’est tout ce dont je me rappelle de cet événement. Comme quoi ce ne sont pas souvent les choses les plus importantes qui vous marquent dans une vie. Pour Gaïa j’ai moins fais le con, et je suis resté à la Colonie après. Ils se sont très bien occupés de moi » 02. Il roule en Rolls Royce Rolls-Royce Silver Cloud III des années 60, totalement retapée. Il a eu un coup de foudre. 03. Toujours dyslexique, il a beaucoup de mal à lire des livres mais il le fait quand même. Il aime trop ça, quitte à prendre du temps. C’est à se casser les yeux à déchiffrer les lignes qu’il a fini par porter des lunettes pour la lecture ou reposer ses yeux. 04. Son père a essayé de le marier deux fois en lui trouvant un très bon parti dans le choix de fiancée. Etrangement elles ont toutes finies, l'une par fuir et l’autre par partir parce qu’elle ne supportait pas Lyllian-Aaron. Le père a vite abandonné sachant pertinemment que c’est l’oeuvre de son fils. Après, il n’a aucune preuve. 05. Il a été surnommé durant sa période à la Colonie « Le Prince » que ce soit par surnom populaire, respect, admiration et surtout moquerie. Mais il a toujours aimé tout ce qu’il a représenté. Lilly, ce sont ses frères qui ont commencé, puis avec Lyllian, ça dérape vite dans la vie quotidienne. Il s’y est accommodé mais attention ! C’est une marque de familiarité pour lui. Tout le monde n’est pas en droit de l’appeler ainsi. Et il ne supporte pas quand des cons le font. Ca a vraiment tendance à le sortir de ses gonds. 06. « A propos d’Ofelia : Pour la mort de sa mère oui c’est un peu moi. Pour l’autre puceau qui lui a même pas payé un mcdo, j’y suis pour rien ! » 07. La seule fois où il a croisé sa mère, il ne l’a jamais su sur le moment et il doute encore aujourd’hui que ce fut bien elle. Mais c’était bien Némésis qui était cette infirmière au jugement trop poussé sur la crise cardiaque qui lui était arrivée. Une façon de lui dire qu’il devait faire attention, car il allait le payer cher un jour, surtout en tant que fils de la déesse vengeresse 08. Il a chien. Un danois gris aux tâches blanche. Une belle bête. Pas petite et elle encombre bien tout le monde au manoir. C’était le but de Lilly. Il dit devant Ofelia qu’il l’a appelé Ofelia, et il l’appelle ainsi en la présence de la demoiselle. Il s’appelle juste Snowflake. Le pire c’est qu’à force de l’appeler souvent par Ofelia pour la blague, le chien vient à cet interpellation. 09. Quand il se balade dans la maison de famille, il a souvent une réplique d’arme de poings qui tire des billes. Ca faisait partie de leur ancien équipement de airsoft. C’est pratique pour embêter ses frères. Leur demander de se taire alors qu’ils sont à l’autre bout de la salle, éviter les insultes lorsqu’il le dit lâche de l’autre bout de la salle ou d’un couloir... Il a aussi une réplique de fusil d’assaut dans sa chambre qui donne sur le jardin. Il ne se lasse pas de les faire chier pendant leur jogging dans leur domaine. Sauf qu’avec ses bêtises, il a lancé une sorte de coutume fraternelle. Il n’y a que Keenan qui ne trouve pas ça drôle. 10. Même s’il parait fin avec un passif de gringalet aux allures qu’il a gardé pacifiste et plutôt mesquin à faire des coups bas, attention. Il a de la force et surtout les coups faciles. Cogné depuis son plus jeune âge, c’était naturel qu’il se comporte ainsi. Les chiens ne font pas des chats. 11. Récapitulatif de la famille... Hamish : 40 ans, chirurgien en neurologie, marié et père de deux fils et une fille ; Keenan : 34 ans, capitaine dans les US marines, marié ; Wayn : 25 ans, étudiant. 12. Forcément avec Lilly dans la baraque leur frère ont prit l’habitude de voir des situations étranges et même des monstres à force d’en cotoyer. La brume s’effaçait parfois. Alors une fois, Wayn un peu éméché était rentré et avait décidé qu’il n’attendrait pas d’être rentré pour uriner. Il est vrai que la maison est grande. Il prit au hasard un buisson sur le chemin jusqu’au perron. Il arrive alors dans la maison en trombe et en hurlant : « A la panique ! Un monstre ! ». Lilly court dehors armé et rigole. Mais alors il rigole. C’était que son chien qui n’avait pas aimé qu’on lui urine sur la tête en grognant et secouant le buisson. Après il pouvait essayer de comprendre que ça pouvait parfois être tendu à la maison. Mais c’était drôle ! 13. C’est qu’on se fait vraiment chier dans un manoir avec une surface si exploitable, même si c’est vraiment la classe. En plus de s’amuser à se tirer dans les pattes, ils ont prit l’habitude de souvent communiquer que par leur téléphone portable (surtout pour le « à table ! » ou « baisse le son de ta musique de m***de ») et ils ne se passent rien, ni ne se donnent quelque chose, ils se les lancent. La dernière fois c’était un Whisky hors d’âge. Ils n’ont rien cassé mais alors que la bouteille volait dans les airs, ils se sont dit qu’ils seraient bien de stoper cette mauvaise habitude. Ne vous étonnez pas si quand vous demandez quelque chose à Lilly, il vous le lance. 14. Généralement, il se bat avec ce qu’il a sous la main, plus que sa masse de guerre. Vu qu’elle ne sert que pour les monstres, il ne la porte pas sur lui. Puis elle fait son poids 15. S’il y a une chose qu’il a toujours sur lui, c’est un stylo. Un beau stylo de marque. Il lui sert pour tout : signer des chèques ou des papiers, annoté des cas d’études, prendre des notes, laisser des mots à O’ sur des post-its, écrire directement sur sa peau diaphane les pensées, les sentiments et les émotions qu’elle éveille en lui pour les graver car verba volant scripta manent 16. Il aime beaucoup s’exiler dans la nature pour se ressourcer et ne simplement rien faire. Il écoute simplement les montagnes, l’animation de la forêt, l’apaisement et la liberté de la mer. Là où il n’y à rien. Il lui arrive alors souvent de partir sur un coup de tête au Canada, Alaska ou encore l’Islande pour profiter du rien dans un cadre naturel et époustouflant et la douceur du temps qui s’écoule. 17. Du temps de la Colonie ses amis étaient plutôt des fils d’Arès ou d’Hermès. Ses ennemis aussi étrangement... 18. En tant qu’irlandais pour lui ses racines sont importantes. Elles le sont pour toute la famille McLochlainn et cela depuis des siècles. Elevé ainsi, c’est donc tout aussi sacré pour Lilly. Ils sont fiers de leurs origines et n’hésite pas à montrer leurs valeurs si l’occasion se présente. Un héritage qu’il n’a jamais oublié et il a toujours l’habitude de trainer dans le quartier irlandais de N.Y. comme du temps où il y allait avec son père. Ses origines sont indissociables de son patrimoine. 19. Il a souvent été de corvée durant ses années à la Colonie. 20. Nemesis a reconnu son fils au camp de façon assez particulière. C’était deux ans après son arrivée à la Colonie. Elle est intervenue sur les actes de son fils qui dépassait un peu les bornes. Il se battait avec un camarade et par un heureux hasard, il avait le dessus. A la base il se défendait. Après c’était juste de l’acharnement. Un mors en bouche et la sangle divine qui lui ligotait le corps, elle l’immobilisa. Le freins était son symbole et là il mettait un terme à son excès. Pour officialiser alors sa progéniture, elle créa un court instant l’illusion de deux grandes ailes dans son dos, un autre de ses attributs. ☞ ITINÉRANT SANG-MÊLÉ. 01. •• Que pensez-vous des dieux ? Et des camps ? Ces dieux me fascinent, je rêverais de pouvoir discuter avec l’un d’eux et savoir comment cela se passe dans leur tête. Ont-ils la même psychologie que nous ? Ou de vivre sur un Mont leur a fait respirer trop d’oxygène et les rendent quelques peu étranges. J’en ai rarement rencontré malgré une longue vie déjà. Monsieur D. ne compte clairement pas... Il est ennuyant. Je l’ai jamais aimé et je pense que peu de Sang-mélés l’aiment. Même ma mère je ne l’ai jamais vu. Je suis sûr que la seule rencontre que j’ai eu d’elle, c’est cette infirmière à l’hôpital. J’avais fais un infarctus en étant en parfaite santé et elle m’a dit : « vous devez avoir un mauvais karma vous devriez faire attention.» qu’elle infirmière dirait ça ? Mon admiration et une certaine forme de respect ou juste le résultat de ma trop grande curiosité malsaine à vouloir tout disséquer, j’en sais trop rien. J’ai passé une grande parties de mon temps libre dans un des deux camps et cela plus de dix années. C’est dur à croire et je n’aime pas trop le dire mais je crois que c’était les meilleurs moment de ma jeunesse. J’étais beaucoup plus libre et j’étais un sacré emmerdeur aussi. Une vraie tête brûlée ou presque. J’ai de bon souvenir de la Colonie et j’y suis attaché au fond de moi. Mais ça aussi c’est un secret. Chut... Pour les romains, j’ai vraiment pas envie de m’étaler. Qu’ils existent ou non, peu m’importe. Chacun sa merde j’ai envie de dire. Heureusement que j’étais chez les grecs, c’est tout ce que j’en pense. Car je crois que si j’avais été formé là-bas, je serais pire que ce que je suis aujourd’hui. Ou alors ! Ils auraient écrasé ce qui fait toute ma beauté : mon esprit. 02. •• Pourquoi avoir quitté la Colonie ou le Camp ? Et où vivez-vous à présent ? Parce qu’il se fait un âge où on n’a plus trop sa place. On m’aurait bien proposer un peu plus de responsabilité comme m’occuper des jeunes recrues si je l’avais demandé et avancé à quel point mon aide et mes capacités pouvaient apporter à tout ces petits. Mais moi faire du baby-sitting, non merci. Je suis parti et j’ai fais des études, enfin je les ai fini. Puis je crois que ça s’est fait naturellement. Le camp n’avait plus grand chose à m’apporter. Il m’a déjà apporté beaucoup et... J’avais envie de continuer en dehors, en ville et seul contre tous. Je voulais continuer d’éclore... J’ai un studio sur New-York, qui me permet de vivre en plein coeur de la ville grouillante dans le besoin (n’importe lequel de besoin : occupations, la flemme de prendre la voiture, évitez mes frères, surveiller la personne que j’héberge). Sinon un peu plus en dehors de la ville à une demi-heure, je vis dans la maison familiale qui est immense, un manoir presque. Il y a mes quatre frères qui comme moi, voyage de notre demeure à leur pied-à-terre plus intimiste et personnel. 03. •• Avez-vous entendu parler de l'intrusion de mortels au sein de la Colonie des Sangs-mêlés et du Camp Jupiter ? Si oui, qu'en avez-vous pensé ? Je n’y étais pas, ça c’est clair. Que voulez vous que j’en dise ? J’en ai entendu parlé et c’est terrible. Il ne faut pas sous-estimer la peur des mortels et leur jalousie, c’est tout ce que j’en pense et ce fut une très bonne leçon. Après je pense que si la Colonie était un tout petit peu moins laxiste, peut-être que... Il y aurait eu que vingt deux morts... Trèves de plaisanterie Vous voulez maintenant mon avis sur ces mortels ? Car tout n’est pas noir ou blanc, la vie et les fautes sont toute une nuance de gris. Je pense qu’ils doivent bien se faire chier dans une vie... C’est quand même un honneur d’être à moitié divin vous ne trouvez pas. Pour le peu qui connaissent mon secret (soit mes frères) je pense que comme eux, beaucoup seraient trop jaloux. Ce qui expliquerait cette malheureuse attaque de gens frustrés. Et que font les enfants quand ils sont frustrés ? Ils pleurent ou détruisent et frappent... C’est tout. 04. •• Vous sentez-vous particulièrement en danger ou démuni face à cette menace invisible et inconnue ? Sincèrement, je ne me sens pas atteint. C’était une chose qui devait arriver. Je me répète mais ne sous-estimons pas les plus démunis (soit les mortels et pas nous). Ils n’ont rien en plus mais tout en moins, c’est comme ça qu’il faut le voir. Je ne dis pas que je n’ai pas peur, quoique la mort est un état qui me fascine aussi. Je suis simplement préparé. Il n’y aura plus que les monstres à éviter mais aussi ces mortels qui se prennent pour des sauveurs en éliminant ce qui est bien trop païen et surnaturel pour eux. La meilleure n’est-ce pas ? Plein d’ouvrage et de film qui relatent de pouvoir et de naissance étrange, mais quand ils les rencontrent, ils les tuent. En tout cas si l’occasion se présente de venger les miens, je n’hésiterai pas une seconde. Il faudra m’abattre avant car je ne m’arrêterais pas. ☞ À PROPOS DU JOUEUR. PSEUDO/PRÉNOM •• Kiwi. ÂGE ••26 ans. COMMENT AS-TU CONNU MALUM DISCORDIAE •• J’l’ai connu quand il ne s’appelait pas comme ça avant et donc toujours par mon frère :) COMMENT TROUVES-TU LE FORUM •• Très très bien. Il est très joli et j’aime beaucoup la refonte en général, intrigue confondue. AVATAR •• Cillian Murphy UN DERNIER MOT •• Merci de votre patience.
Dernière édition par Lyllian-Aaron McLochlainn le Sam 16 Avr - 11:34, édité 19 fois |
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| Sujet: Re: Attention à celui qui m’appelle « Lilly » – Lyllian-Aaron McLochlainn Lun 11 Avr - 18:39 | |
| La Larve nait et... “Qui se venge en secret, en secret en fait gloire.” Corneille. ☞ Voilà mon histoire, mon passé, le lourd fardeau que je porte dans ma tête et dans mon coeur. Dans chacun de mes gestes, de mes actes et de mes jugements. Vous savez presque tout. Et maintenant… M’accorderez vous d’entrer dans votre tête et d’y voir ce qui s’y passe ? Vous aimeriez savoir qui je suis, presque comme l’ombre d’Ofélia, toujours appuyé au coin d’un bâtiment légèrement dans l’ombre, ou assit en hauteur pour tout observer, déboulant parfois avec mes loyaux sujets pour régler les comptes quand je veux et où je veux. Aux yeux sans vies et le visage impassible, mes colères peuvent être facilement redoutées face au calme que je laisse paraitre. Quand on arrive pour la première fois à la Colonie quelque fut mon âge, il arrive un jour où vous vous posez cette question : qui est ce jeune-homme au rictus mauvais qui me fixe comme s’il avait quelque chose en tête. Ce n’est que moi. Le futur objet de tes tourments si j’en ai décidé ainsi. Ou si tu as décrété que tu attirerais mon acharnement à haïr l’être humain. Non ça, ça ne vient pas de ma mère divine, juste de moi. Je pense qu’à un moment, il y eut un soucis dans ma construction. Laissez moi commencer par le début…Je suis descendant d’une famille bourgeoise qui a quitté l’Irlande il y a bien longtemps afin de trouver un nouvel espoir dans l’Ouest de l’Amérique. Le nouveau rêve américain. On y gagnait des richesses là-bas qu’on disait. De l’or à foison, il n’y avait plus qu’à plonger les mains dans l’eau. De bourgeois ils ont du recommencés par simple mineur après avoir perdu un bon nombre de membre de la famille pendant leur exode, ils devinrent entrepreneurs d’une des mines les plus riches de la région et ainsi notre bourgeoisie (enfin le termes avait juste changé, nous étions des nouveaux riches) ne partit pas dans les lointains souvenirs de vieux papiers d’époque conservés dans une banque très sécurisée. Notre nom a parcouru beaucoup de chemin, emprunté beaucoup de poste et d’occupation. Chacun son renom et sa génération mais jamais l’ambition ne nous a quitté. Une famille dont le nom à traverser les âges par leurs exigences et leur témérité. Je vous laisse deviner l’énergie que je peux alors injecter dans mes desseins. On en arrive à moi, demi-dieu, fils de la déesse de la Vengeance et de la Juste Colère, puis techniquement qui punit l’excès. Némésis n’avait fait que sublimer notre patrimoine de son côté divin. Je ne sais si mon caractère et ma personnalité avait quelque chose à voir avec elle où si elle s’était construite toute seule, voire peut-être que de rare fois je tiens de mon père. Le seul héritage qu’il ma laissé (en plus de son argent) c’est sûrement, de prendre plaisir à voir le malheur des autres et les abattre dans leur misère. Enfin ! Je suis pire, j’aime les provoquer. Oui, oui. Même s’il n’est pas question de vengeance. Oh que je suis un méchant garçon. Ca je le sais, on me l’a dit de toutes les façons possibles je pense lors de ma épuisante escalade de l’enfance jusqu’à l’âge adulte. Petit secret entre nous : je n’ai toujours pas atteint l’âge adulte je pense. Je suis le troisième fils d’une fratrie de quatre garçons. Oui, je sais c’est dur ! Surtout pour ma mère mortelle, celle qui m’a élevé et la première femme de mon père. Dans l’orde des frères nous avons l’aîné Hamish quarante ans et chirurgien en neurologie. Keenan trente quatre ans et capitaine chez les marines. Ensuite moi. Puis le petit dernier, Wayn vingt-cinq ans étudiant je-ne-sais-plus-trop-dans-quoi… Enfaite je m’en fou. Il est d’un récent mariage. Une jeunette de mon âge, vénale et aussi exécrable que la première Mme McLochlainn. Cette dernière avait le mérite d’être stricte et exigence avec nous (et bien plus avec moi) pour qu’on soit parfait et que Judy est simplement une pétasse. Elle n’était même pas irlandaise. Qu’elle était bien contente de toucher l’héritage. C’est bien dommage, elle est morte d’un malencontreux accident. Bien trop déprimée (et surtout sous cocaïne) elle s’est jetée d’un pont. J’y suis pour rien… Enfin je n’étais pas seul. C’était passé comme une lettre à la poste. Avec mes frères on était d’accord : il était clair qu’elle ne toucherait pas cet argent qu’on mérite de droit. Elle n’a supporté mon père qu’une vingtaine d’années après tout. Wayn n’a pas l’air de la regretter. Sinon, pour en revenir à cette oppressante fratrie, on s’entend relativement bien. Du moins en société. Je pense plutôt qu’on se tolère ou qu’on se déteste avec beaucoup d’affection. Trop sûrement. On a été mis très vite en compétition les uns les autres pour donner le meilleur de nous même. Mon père nous lavait le cerveau très jeune pour jouer avec cette jalousie qui est indéniable à la fraternité. Comme mes deux grands frères j’ai commencé mon enfance par des pensionnats privés et religieux qui étaient hors de prix. Bien sûr des écoles de garçon… Ce qui me provoqua une sexualité un peu chaotique et passionnée dès que l’occasion se présentait. Ces pauvres jeunes femmes qui ont du subir mes frustrations alors que je connaissais déjà le gout de mes camarades de classe. De l’école élémentaire au lycée, je me suis donc retrouvé coincé là-dedans. Comment vous dire que déjà martyrisé par mes frères et mon père j’ai souvent été brisé dans ce genre d’établissement ou rapidement ma naissance secrète divine m’ajouta quelques problèmes. J’étais plutôt renfermé et timide pour ne pas attirer l’attention sur le monstre que j’étais – Je me voyais comme ça pendant quelques unes de mes très jeunes années. Sans parler de mes lacunes à me concentrer et à apprendre dans les livres. Pourtant j’étais très intelligent et je retiens toujours beaucoup de chose, mais je préférais qu’on me les lise ces fichus bouquins. Ce n’était pas de ma faute, que le paternel me disait lorsqu’il daignait m’adresser autre chose qu’un ordre ou une remontrance. En soi, où que j’allais c’était comme si il était écrit « Ruinez moi » sur le front. Toujours tirés à quatre épingles (uniforme, vêtement du dimanche, anniversaire, visite à la vieille tante, … dès que je mettais un pied hors de ma chambre) je devais être impeccable en toute situation, enfoncé dans mon attitude et ma posture, dicté, rangé dans un rail étroit où on me laissait peu de mouvement. Bien sûr que j’ai éclaté, sinon je vous en parlerez pas. J’ai brisé mon cristal psychique qui fait aujourd’hui ma personnalité, mes névroses et mes angoisses par les éclats qu’ont suivi les fêlures uniques à chacun. Moi qui ne pensait pas plus attiré les foudres de ma famille, je devins lentement leur bête noire. Il ne devint plus bon de commencer une discussion par « Tu as des nouvelles de Lilly ? ». Ah oui… C’est à cause d’eux que je tiens ce surnom ridicule. Ils n’avaient trouvé plus petit. J’ai fini par aimer ce surnom, ça me correspond bien. Mon père punissait très souvent physiquement chacun de ses fils. Même après les pensionnats il lui arrivait de nous mettre de sacrée raclée. Moi… J’ai été frappé plus fort et plus souvent que mes aînés. Il ne laissait rien passé surtout pas avec moi. Même sur son lit de mort ! Il avait demandé à Keenan de me corriger car j’avais traité Judy de salope lorsque le paternel nous demanda d’être gentils avec elle. Forcément des trois frères, il avait choisi celui qui était officier dans les forces armées. Je dois avouer que j’avais l’art de dépasser certaines limites. Nous n’avions pas le droit à l’échec mais dès lors qu’il me confia mon origine, l’histoire de son adultère, à lui ! L’homme inflexible et plein de principe. Celui qui n’échoue jamais ! Il perdit toute l’estime et une partie de la crainte que je lui portait. Sa crédibilité en avait prit un coup, assez pour que je lui montre ma colère. Je dirais même ma Colère, celle de tout ce que j’avais emmagasiné sans rien dire. J’étais son échec et j’ai décidé que je continuerais à l’être jusqu’au bout de sa vie. J’ai réussi en plus… Puisque que j’ai traité sa deuxième femme de salope pour derniers mots échangé avec lui. Je suis assez fier. Ma mère elle… Elle ne m’aimait clairement pas, mais elle avait ce devoir de mère (et comme personne ne savait l’origine de ma naissance) pour m’éduquer à leur image et me fondre dans le moule de leur famille parfaite. Elle n’en a jamais fait trop, ni pas assez. Juste elle n’avait rien dans le regard lorsqu’elle posait ses yeux sur moi. Je ne trouvais même pas de mépris. Elle était à un stade au-dessus : dans l’ignorance de ce que j’étais. Un fils parmi d’autres. Je n’ai pas voulu en faire pâtir mes études car j’ai toujours aspiré au savoir et aimait m’enrichir de ce que la vie nous offrait, alors j’ai frappé ailleurs. L’autorité et la bienséance. C’est bien plus amusant. L’enfant qui réussit et qui monte mais qui n’hésitait pas vivre de façon trop entière. On ne pouvait me reprocher que mon comportement. C’est bien plus compliqué à mater… Pour moi ma jeunesse ne se résume qu’à des sévisses souvent violents ou acharnés et surtout humiliants. Mon père le premier et mes frères, mes professeurs d’école, mes camarades de pension, les moniteurs de centre pour jeunes difficiles (des délinquants pour la majorité), … Je crois que j’ai du en avoir quelques uns très durs à la Colonie, mais c’était rare. Enfin je ne sais plus, j’ai tendance à mélanger les périodes. C’est que ce n’est pas facile de se concentrer quand on vous écrasent la tête de violent coup de pied dans les ravissantes chaussures de l’uniforme d’école, ou que votre tête tente à trouver de l’air sans avaler l’eau des toilettes. Je sais juste que j’en ai eu beaucoup moins. Après ils étaient beaucoup plus détendus sur certaines chose et d’autre non, puis j’étais entendu quand je parlais. Peut-être que… Enfin oui ! Allez j’assume, la Colonie m’a fais beaucoup de bien. Enormément même… En y repensant, toutes ces maltraitance n’ont pas duré longtemps. Ca m’a peut-être sculpté un peu plus chaque jour jusqu’à ce que… Je craque. C’est cette période pleine d’expérience qui, je pense, m’a construit progressivement. Ce n’était pas que je me laissais faire, mais au début si. J’étais trop bien élevé et déjà écrasé par mes deux autres grands frères dès que j’eus l’âge où il était « drôle » de me faire endurer ce genre de mauvais traitements. Alors je me laissais faire… Humilié, frappé, rabaissé, … Et un jour j’ai découvert mes pouvoirs.
Dernière édition par Lyllian-Aaron McLochlainn le Mar 12 Avr - 19:45, édité 6 fois |
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| Sujet: Re: Attention à celui qui m’appelle « Lilly » – Lyllian-Aaron McLochlainn Lun 11 Avr - 18:39 | |
| ... forme sa chrysalide pour renaitre à nouveau “QUI SE VENGE EN SECRET, EN SECRET EN FAIT GLOIRE.” CORNEILLE ☞ Voilà mon histoire, mon passé, le lourd fardeau que je porte dans ma tête et dans mon coeur. Dans chacun de mes gestes, de mes actes et de mes jugements. Vous savez presque tout. Et maintenant… M’accorderez vous d’entrer dans votre tête et d’y voir ce qui s’y passe ? C’était peu de temps après mon entrée à la Colonie. Ca m’a échappé. Je ne supportais plus ce groupe de cinq garçons dont le chef, la grande terreur faisait trois fois ma largeur. Ils me ruaient tous de coup de pied et là… J’ai posé ma main sur sa cheville qui prenait appui dans une claque de fillette avec l’espoir de me venger un petit peu de ce qu’ils me faisaient endurer. J’avais réussi. La boule de chair qu’était le leader de la bande vola à travers les toilettes et brisa une des portes de cabine. Je n’ai rien compris sur le coup et j’appris plus tard que je pouvais encaisser et rendre ce qu’on m’avait donné. Ils ont tous déguerpis, autant sous le choc que je l’étais, sauf que j’ai partagé ce moment de peur seul allongé sur le carrelage putride des toilettes. Après ça j’ai su qui j’étais réellement et comme dirait la plus grande héroïne actuelle de Disney : « Cache tes pouvoirs, n’en parle pas et le secret survivra ». Super ! Donc après je me laissais faire car j’avais peur de tuer tout le monde si j’osais bouger mon petit doigt. Ensuite avec la Colonie, j’ai appris de mes dons et de mes capacités nouvelles, avec des entrainements et mon acharnement. Devinez ce que j’ai gagné ? Une meilleure confiance en moi. C’est à peu près vers le lycée que j’ai réellement commencé à ne plus me laisser marcher sur les pieds et que j’ai construit ma réputation. C’était moi désormais le mauvais garçon. J’ai appris la patience d’une vengeance qui pouvait être physique ou psychologique. Surtout psychologique. Je n’étais pas forcément un « cogneur » même si je peux avoir des réactions très violentes et que tout mes plans finissaient souvent par un règlement de compte. J’élaborais des stratèges machiavéliques surtout quand je n’avais pas réussi à me défendre sur le coup. Mes pouvoirs ? Oh à partir de ce moment je les utilisais très discrètement… L’air de rien ! Bon et parfois de façon totalement irresponsable. J’avais découvert le plaisir d’être au-dessus des autres. Vous pensiez vraiment que j’allais laisser passer une occasion pareille ? Mon père ne le voyait pas ainsi lui. Il avait beau n’être qu’un mortel je le craignais, démonté depuis mon plus jeune âge. Cela doit aussi venir des baffes oubliées durant mes trois premières années mais qui restent dans la partie cachée de l’iceberg (cf : Freud). En grandissant je ne sais pas réellement si c’était de la crainte ou du respect par un Surmoi moulé à l’image du nom de McLochlainn mais je n’ai jamais utilisé mes pouvoirs sur lui et pourtant, il m’aurait été si facile d’écraser le bourreau qui hantait chaque conséquence de mes actes. Ca m’est quand même déjà arrivée une seule fois. J’en parlerais plus tard. Je suis donc devenu une vraie terreur à mon tour chez les mortels. J’ai pris la place des petits connards qui m’ont mené la vie dur. Je portais l’étiquette de fauteur de trouble, du grand caïd, de l’adolescent aux troubles du comportement, … Personne ne voulait me croiser dans les couloirs, surtout lorsqu’ils étaient seul et moi trop souvent accompagné de mon groupe d’ami (ma « cour »). Je leur glaçais le sang quand on nous entendait déjà débouler au loin. J’aimais voir leur visage crispé comme s’ils n’avaient pas chier depuis deux semaines… Je faisais ma loi. A la Colonie c’était différent. Je n’étais pas le seul à avoir des capacités hors du communs donc je faisais attention. Je me débrouillais autrement, c’était beaucoup plus gentil et vicieux. Bah quoi ? Il fallait bien compenser. Enfin en soit c’était souvent des petites frappes, des mauvaises blagues ou des coups bas acceptables. Ou pas. J’avais aussi une troupe de mauvais garçon avec moi à la Colonie dont je devins rapidement le Prince. Oui j’étais devenu un prince, car j’en suis un. Je me vois ainsi. Vous savez que c’est très bon pour le moral de se valoriser et se donner soi-même un peu d’estime sinon on est incapable d’en avoir pour autrui. On dit bien « aime toi pour aimer les autres ». Comment ça je tourne tout à mon avantage ? C’est écrit noir sur blanc et l’interprétation est personnelle ! Mon crédo était : faire ce qu’on veut, écouter notre instinct et nos pulsions quoi qu’elle nous dicte et emmerder le monde. C’est donc lentement mais sûrement que j’y ai trouvé la jouissance de pouvoir modeler les esprits et faire agir les autres comme des pantins entre mes mains trop souvent dénudées d’humanité ou ne serai-ce que d’empathie. J’en ai réduit certain à néant juste en appuyant là où c’était sensible. Une fille au lycée s’est suicidée. Je ne sais pas si c’était vraiment mon oeuvre mais je n’ai pas été très doux avec elle. Je testais encore mes faculté à détruire les gens avec des mots ou des situations à ce moment. Le seul soucis dans cette histoire c’est que je ne le saurais jamais vu qu’elle est morte. Si vous vous posez la question : « Est-ce que la Colonie n’a jamais rien dit sur mes actes et mon attitude ? » Bien sûr que si ! Ca a commencé par me faire la moral et des corvées. Le soucis avec les corvées c’est que ça me laissait tout le temps et le loisir de ruminer et réfléchir. Ils ont ensuite essayé un semblant de suivi psychologique par des personnes non-officielles et surtout pas professionnelles. Mais ces gars là, les psychologues j’en ai vu. Et des vrais ! Ils ne m’ont pas beaucoup fait avancer. Ils pensaient à quoi à la Colonie. Certes, ils savaient que j’étais à moitié con, moitié divin. Ils n’ont pas beaucoup avancé non plus, mais peut-être que j’ai pu faire un pas de plus vers la raison, juste assez pour rester un temps soit peu conscient de ma folie. Ils comprirent que j’étais à surveiller. Après des sang-mêlés qui tournaient mal ce n’était pas rare. Je pense même qu’on a tous une faille béante cachée quelques parts. Or comme je l’ai dis ils m’avaient entendu et (surtout pour eux) ils avaient simplement pris en compte que quelque chose n’allait pas chez moi. Cela sans me ruer de coup, m’enfermer ou me répéter chaque jour ce qui était bon ou mauvais… Quoi ? Vous vous attendez à ce que je dise « merci » ce serait leur porter beaucoup trop d’importance. Il n’y a qu’une fois où j’ai été durement sévi mais j’étais hors de moi aussi. Je ne sais pas ce que je lui avais fait exactement… En tout cas il a voulu jouer au même jeu que moi. Il s’est immiscé dans ma cour et s’est vite rapproché de moi. Arriva un temps où il avait aussi joué de ses charmes dès qu’il se sentit adopté par le Prince pour agripper mon estime et un peu de ma confiance. Il ne cherchait alors que mes points faibles. J’en ai comme tout le monde, mais il avait choisi l’un des pires. Lorsqu’il compris l’importance qu’Ofelia avait pour moi, il a signé son arrêt de mort dès lors qu’une idée germa dans son esprit. Que j’aurais aimé lire ses pensées et le tuer sur le champs, seul à seul, dans un coin sombre où personne ne se soucierait de sa disparition. Il a posé ses putains de mains sur elle alors qu’elle montrait clairement son refus. Pas de chance, je suis arrivé avant qu’il ne soit trop tard et il en avait déjà trop fait. Il était clair que dans ma tête à cet instant je ne me serais pas arrêté avant de l’avoir émasculé et tué. Pas que ça me dérange qu’elle fasse quoique ce soit avec d’autre. C’est quand même mieux que je ne le sache pas ou que je ne le vois pas. Voire les deux ! Non mais pour en revenir à ce moment c’était purement de l’abus sexuel. Je ne pouvais le tolérer. Mon besoin de vengeance était incontrôlable (un des soucis à être fils de Némésis c’est que c’est souvent incontrôlable ou alors une tumeur qui vous rongeait de l’intérieur tout le temps où vous ne passiez pas à l’acte). Un fils d’Ares s’interposa alerté par le vacarme qu’on provoquait alors qu’on s’étripait. C’est sur moi qu’il se jeta. Forcément ! Faut dire que mon antagoniste venait de faire un vol de trois mètres par mes Représailles que j’avais concentré en une onde de choc sur son poitrail. Pas le temps de lui laisser le temps de retrouver son rythme cardiaque qu’à cheval sur lui, je le frappais au visage sans pouvoir m’arrêter. Si ma victime était encore capable de parler elle m’aurait sûrement supplié d’arrêter. Avec du recul je comprends le choix du fils guerrier. Il était inerte, la gueule en sang et sa respiration sifflante faisait vibrer le sang qui noyait son nez et sa bouche. Il était méconnaissable. J’étais un peu abasourdi quand je l’ai vu. Le fils d’Arès m’avait littéralement brisé une jambe pour que j’arrête de me jeter sur l’autre connard dès que j’arrivais à quitter sa prise puissante. Fallait dire que j’étais enragé. J’ai même été immobilisé par le biais de pouvoir alors que déjà les gens de la Colonie s’agglutinaient pour admirer le spectacle. Résultat : mise à pied d’environ un mois. Une expulsion temporaire qui, ils espéraient, me refroidirait un peu le crâne. Ca avait marché après une semaine au manoir à côtoyer ma famille. Je pense qu’ils auraient préféré me dire de revenir qu’aux prochaines vacances que je comprenne mais ils ne m’auraient plus sous la mains pendant une trop longue période. C’était un risque. Surtout si je dérapais. Un mois sur deux des grandes vacances d’été c’était déjà pas mal. Enfin, ça aussi je ne l’ai jamais su mais mon hypothèse tient debout. Je les ai trouvés bien compréhensifs. Il y a une phrase que mon père a dit et qui a fait que je suis l’homme détaché et sans attache (ou presque) d’aujourd’hui. Une phrase que j’ai gravé dans mon coeur pour ne jamais l’oublié. Je n’ai jamais pu l’effacer de toutes façons. J’ai découvert les relations avec les garçons avant même d’avoir parlé avec une fille. Et pourtant je les aimes, j’idolâtre leur corps aux formes sensuelles et leur façon à elle de soupirer et de ressentir mes caresses sur un terrain qui m’est totalement inconnu. Avec un homme, c’est un peu comme me faire l’amour si on oublie que chaque personne à son « truc » qui le fait vibrer. Après en soit, si je sais sucer, c’est parce que j’ai une verge. Excusez mes termes, mais disons les choses comme elles sont. Ca a commencé au lycée. Mon premier baiser suave avec un jeune-homme magnifique. Le prof d’histoire nous est tombé dessus. Je vous raconte pas la tête qu’il faisait et pourtant ce n’était pas chose rare. Il le dit le plus discrètement possible à mon père, sans tout étaler à la pension ou sur les toits. Mon père ma jeté dans sa voiture. J’étais en pleine semaine d’un programme de cours qui commençait à peine après les vacances d’automne. Il n’a pas dit un mot, mais ses artères temporales gonflaient prêtes à exploser. Une fois au manoir, j’ai passé un des moments les plus difficiles de ma vie avec mon père. J’ai cru que j’allais mourir tant il me frappait et me crachait sa déception et son dégout. Je n’ai pas pu retourner en cours pendant une semaine le temps de me remettre. C’est à cet altercation que j’ai utilisé mes pouvoirs pour me défendre contre lui. Je n’en pouvais plus. Ca m’a échappé aussi. Des gamins ça passe, votre père c’est très dur. Il était resté contre la bibliothèque de son bureau le regard plein d’effroi de colère. Quand il s’était approché lentement de moi, j’ai vraiment cru qu’il allait m’assassiner et comme ça il n’entendrait jamais plus parler de moi. Il m’attrapa par les cheveux et me décolla de son luxueux tapis sur lequel je gisais en crachant une gerbe de sang. « Arrêtes tes conneries Lyllian… Arrête maintenant ! Tu dépasses les bornes et va falloir que tu te mettes dans la tête que t’es tout seul. Que je sois là ou non tu seras toujours seul à porter ta situation. Seul a affronter le monde, ses épreuves et ça parce que t’es pas comme les autres. Alors file droit car un jour tu te tueras. N’attends rien des autres. Ce sera pire quand je partirais de ce monde. Ne l’oublie jamais. Tu es seul. Personne ne te tendra la main. » Il a raison d’un certain côté. Je suis seul et je m’envolerais seul à ma gloire ou ma potence. Peu de chose m’importe alors… Enfin si une chose. Je pense que ma totale transformation et tous les nouveaux projets qui pouvaient s’offrir à moi sont arrivés avec Ofelia. Notre rencontre est un pur hasard. Qui sait ce qu’il se serait passé si je ne lui avait pas fait visiter le camp et pas échangé ces quelques phrases qui déjà m’avaient enchainé à elle. Je lui aurais peut-être mené la vie dure, ou alors aurais-je à peine posé mon regard sur elle. Enfin, je ne pense pas, elle a des yeux qui me rendent fou. Je passais juste par là quand on m’attrapa le bras au passage et qu’on me planta devant une toute nouvelle arrivante encore secouée. On me demanda de faire le guide et lui faire la classique « découverte » du camp. Ca m’avait tellement gavé, je m’en rappelle encore. Je n’y avais vraiment pas mis du miens. Puis au fil de la balade, je l’observais et je me suis dis : pourquoi ne pas jouer un peu ? Ca leur apprendra de me coller le baby-sitting sans me demander mon avis. « Alors comme ça on est une demi-déesse ? Ca te fais quoi d’être moins miséreux qu’un mortel ?_ Je ne sais pas. Je sais juste que ma mère m’a abandonné ici, fit-elle d’une petite voix morne. _ Et la mienne m’a abandonné dans les bras d’un père qui préfère m’envoyer en pensionnat et quand je n’y suis pas je suis ici. Ca lui évite d’avoir envie de me cogner dès qu’il voit ma tête, lui souriais-je avant de lui tendre la main pour symboliser les présentations. Moi c’est Lillian-Aaron, mais toi tu peux déjà m’appeler Lilly. Si tu as un soucis, tu m’appelles… Bungalow Némésis. » avait-je subitement changé d’avis. Elle avait l’air bien plus intéressante que je ne l’espérais. Je serais incapable de vous dire l’intérêt et les sentiments que je lui porte. C’est au-dessus de l’amitié et différent de l’amour, mais elle est vite devenue ma « moitié ». On se quittaient rarement durant nos années communes au camp. Il n’était pas méconnu qu’elle était ma protégée. Il était de toutes les façons difficile de l’approcher, car je « l’avais toujours dans les bras » comme on me le faisait souvent remarquer. Ce n’est pas vrai. Enfin ce n’est pas exactement ça. Disons que dès qu’elle est près de moi, j’aime juste avoir un contact comme un bras autour de ses épaules, la main sur son genoux ou derrière le dossier de sa chaise quand on s’assoit côte à côte. Même simplement un bras contre l’autre. C’est plus fort que moi, je n’y pouvais et je n’y peux rien. Et peut-être que oui, je marquais un peu mon territoire en faisant ça à l’époque. C’était aussi un acte manqué qui traduisait ma peur de la perdre ou qu'elle m’échappe. Le besoin de la proteger à n'importe quel prix. Dans mes bras elle était en sécurité avec le monde extérieur à notre monde. Pas forcément en sécurité avec moi. Elle ne s’en plaignait presque pas. Elle a vite été enrôlée dans mon groupe de tête brûlé car elle en était une. Je ne me laissais jamais de la découvrir chaque jour et je continue de la découvrir aujourd’hui. Cette fille à cette attraction qui m’échappe totalement et que je n’ai jamais encore connu. J’ai eu des relations fortes, mais pas comme avec O’. Elle est à moi. C’est aussi simple que ça. Une chose qu’on avait déjà compris durant notre jeunesse à la Colonie. Nos deux esprits se complètent et se bonifient dans le mal. Je l’ai souvent conseillé, lui ai susurré à l’oreille ce qu’elle devait faire quand elle hésitait ou même avant qu’elle n’y pense mais c’était au fond d’elle. Je l’ai soutenu quand elle en avait besoin et pour n’importe quoi... Sa mère, si elle est morte c’est bien parce que j’ai fais ressurgir ce désir du plus profond de ses entrailles et de son esprit. Naturellement que j’étais présent à cet instant fatidique où elle lui ôta la vie et se libéra en partie de ses chaînes. Je n'allais pas la laisser seule. Je me devais de la soutenir face à sa rédemption. Dans une ombre de la pièce, je l’ai juste observé. Non. Je l’ai admirer faire, la frappant avec rage jusqu’à ce qu’elle trépasse. Je ne la pensais pas capable et me voyais déjà finir le travail moi-même. C'était parti d'un coup. O' m'a agréablement surpris. Elle s'était déchargeait avec une colère noire. Et elle était magnifique. Merveilleuse ! Comment aurais-je pu rester de glace devant elle… Ma muse. Je suis peut-être un grand malade, mais elle aussi et notre duo est devenu « une arme de destruction massive » comme on aime si bien le dire. Je suis la tête et elle la main mortelle. Un jeu malsain qui nous animait tout les deux et occupait parfois notre temps libre. Elle doit savoir en partie le désir qu’elle attise en moi. Je lui ai appris à écouter ses pulsions et suivre son instinct et elle m’a fait comprendre qu’à nous deux nous étions invincibles. Une vulnérabilité symbolique pour donner raison à notre splendide folie. Pour ce qui est de notre relation, il y a eu des hauts et de bas et bien sûr des petits flirts et même quelques câlins sensuels mais… Elle ne se laisse pas faire. Elle a décidé que moi, je n’aurais jamais droit à plus avec elle alors qu’elle vend son cul. Bien sur que ça m’agace. Ca me retourne même l’estomac de colère, mais je respecte. Je lui dois bien ça. Quoi qu’il en est, sachez que personne ne la touchera pour attenter à sa vie ou lui faire du mal, car il en paiera le prix fort et de mes mains. Je le jure solennellement. Pour le après la Colonie que j’ai simplement quitté car je n’y trouvais plus trop ma place et un besoin de voir si je pouvais avancer seul, j’ai fais des études de médecine. Je me suis spécialisé en psychiatrie. Pourquoi la psychiatrie et juriste en tant que fils de Némésis, avez vous envie de me demander. Oui, je sais cela paraitrait plus logique… Je me suis tourné vers les fous naturellement pour divers arguments. La première c’est que l’esprit m’a toujours fasciné par sa force sur le corps et l’environnement de l’humain et aussi sa complexité. C’est de la médecine subjective qui se veut objective. Tout y est rangé dans des étiquettes et catégories, des théories alors que nous (les psychiatres et psychologues), plus que quiconque, devons prôner le non-jugement. Ces archétypes de cas ne sont alors que des guides finalement car chaque cristal psychique est propre à chacun. Ils peuvent se ressembler d’une personne à l’autre mais jamais à l’identique car l’un à eu un chat et l’autre un chien durant son enfance. Les chemins ne sont jamais parfaitement semblables, même celui que vous prenez tout les matins pour aller travail. Vous ne remettez jamais les pas exactement dans ceux de la veille. Tout autour de vous aussi, il y a des choses différentes (voiture en panne, un homme en retard, un enfant qui vous souris) mais vous n’y prêté plus attention. Après ça c’est un autre soucis qu’amène la routine et le déni. Ce que je veux dire c’est que chaque seconde d’une vie vous façonne pour être unique. En psychiatrie contrairement à la médecine, tous les principes et protocoles se mélangent, les Grands et leurs idées se contredisent, se complètent, se renvoient. C’est une science complexe qui veut rationaliser l’irrationnelle. Ce sont des mots-outils pour de l’immatériel. Mots sur lesquels nous nous basons pour redonner de l’ordre à ces cristaux qui trop fêlés vont bientôt se briser, le tout en tempérant tel un vendeur de potion des médicaments dosés et parfois dangereux. Des drogues quoi. Enfin c’est beaucoup plus subtile que des drogues quand même, mais je perdrais mon temps à vous l’expliquer, car vous le voyez pour la majorité ainsi. « Les psychiatres nous droguent ! ». En soit la psychiatrie à toujours était comme une sorte de magie pour moi, loin du concret problème de cancer. Moi je récupère les miettes que le cancer a laissé après avoir dévorer toute la raison et l’espoir du futur défunt. Ca me passionne. Jeune j’ai rapidement eu des facilités pour décortiquer des situations et comprendre les gens. Une sorte de don naturel. Ce n’était pas avec empathie, mais plutôt un détachement dédaigneux. Je voyais leurs défauts et d’où ils venaient, ce qu’ils avaient compensé par des qualités pour cacher la misère de leur tête. Tout se dévoilait dans mon esprit comme un schéma logique de mécanisme type ; rien qu’à la façon de me saluer par exemple. C’est très difficile à décrire comment j’arrive à lire toutes ces petites et grandes névroses. Tout découle de vos gestes, vos regards, vos tics nerveux, vos paroles et les mots choisi, votre histoire et la façon dont vous la racontez et ce qu’il en est réellement, ce que vous décidez de montrer et ou cacher, … Vous ne trouvez pas ça merveilleux ? Une infinité de profil à découvrir avec chacun ses subtilités. Le seul défaut, c’est de décortiquer tout le monde et de les sonder malgré moi. O’ ne supporte pas quand je le fais. Je ne me rends même plus compte de mes phrases types pour trouver ce qui cloche comme des petites clés qui tentent d’ouvrir les serrures de vos plus profondes pensées. L’autre défaut, c’est peut-être que j’ai eu vite conscience que je devenait taré. Mais, je ne vois pas tout. Je vois les grandes lignes de mon histoire dans ce qui va et ce qui ne va pas et pourquoi. Je viens quand même de vous faire ma propre psychanalyse là. Une simple ébauche. Passons au deuxième argument. Saviez que c’est dans votre tête que j’y trouve les plus grandes injustices que vous avez subit ou fait subir ? Que ce soit pour vous poussez à vous venger où vous amener doucement à vous punir vous-même, tout est bon à entendre. Des petites clés encore dans des serrures pour ouvrir des portes et en fermer d’autres… C’est en tout cas beaucoup plus révélateur que derrière un bureau à écouter le discours ou étudier le dossier officiel que vous avez répétés plusieurs fois. C’est beaucoup trop hypocrite et filtré. On vous demande souvent de relater que des faits et des émotions simples du genre « qu’avez vous ressenti en tuant cette femme avec la mort-au-rat ? ». S’il vous répond un soulagement, vous pensez que c’est assez pour savoir comment le punir de la bonne façon ? On ne peut rien juger sur le prix qu'il doit payer. – Maman si tu me lis, j’espère que t’es fier de moi. – Avec un psychiatre les gens sont plus eux-mêmes surtout avec l’hypnose et quelques petites drogues. Je ne travailles pas à temps plein. Je reçois quelques rares personnes dans un cabinet en ville, aide quelques confrères dans une clinique psychiatrique privé ou à la prison en étudiant certains cas et leur donne mon avis. Après je suis surtout spécialisé dans les cas criminel que ce soit des meurtres passionnels ou des affaires de psychopathe, sociopathe et autres serial-killer. Comme quoi, belle ironie, je finis par me retrouver souvent à la cour pour témoigner de mon rapport psychiatrique sur l’accusé. J’ai la fierté d’être de rare fois appelé par des profilers quand ils ont besoin d’un autre avis pour des cas difficiles ou simplement car, la tête dans le guidon, ils leur faut quelqu’un d’extérieur pour un regard nouveau. Après, c’est aussi parce que je m’entends bien avec l’un d’entre eux et partager la même chambre à la faculté. Je peux me permettre de choisir comment m’occuper (sauf pour les témoignages du tribunal bien sûr) et faire ce qui me plait. Je suis pratiquement rentier et j’ai fais de bon placement alors de l’argent, je n’en ai pas besoin, j’en ai. Attention, je ne dis pas que je ferais ça gratuitement. C’est juste une façon de mettre du beurre sur les épinards. Beaucoup de beurre. Maintenant ma vie actuelle se résume à disséquer mentalement des esprits pour le plaisir (et le devoir !) et profiter de la vie comme elle vient. J’écoute mes pulsions et fait confiance en mon instinct puis… J’emmerde le monde. Je fais comme je l’entends. Célibataire et je compte bien le rester. En tout cas je n’enchainerais pas une femme d’une bague au doigt. Je veux les laisser libre de fuir. Je jongle entre mon appartement à New York que je partage désormais avec Ofelia (elle squat en gros) et le manoir familiale parfois seul ou croisant la fratrie. Eux aussi vivent à deux endroits différents. C’est au dernier encore debout qui gagnera la maison ! Je sais quelle est votre dernière question : « est-ce que je me fais suivre psychologiquement ? ». Soyez rassurés, la réponse est oui. J’ai été obligé en devenant psychiatre. Sauf que j’assume ma folie et ce n’est pas la chose que je dis à tout le monde. Surtout pas à mes confrères.
Dernière édition par Lyllian-Aaron McLochlainn le Jeu 14 Avr - 21:48, édité 14 fois |
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| Sujet: Re: Attention à celui qui m’appelle « Lilly » – Lyllian-Aaron McLochlainn Lun 11 Avr - 18:52 | |
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| Sujet: Re: Attention à celui qui m’appelle « Lilly » – Lyllian-Aaron McLochlainn Lun 11 Avr - 19:31 | |
| super choix de feat bienvenue et bonne continuation dans l'écriture de ta fiche, j'ai hâte d'en lire plus |
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| Sujet: Re: Attention à celui qui m’appelle « Lilly » – Lyllian-Aaron McLochlainn Lun 11 Avr - 20:14 | |
| Némésis super choix divin bienvenu & courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: Attention à celui qui m’appelle « Lilly » – Lyllian-Aaron McLochlainn Lun 11 Avr - 20:15 | |
| Oh merci beaucoup ! Contente que la vitrine vous plaise en tout cas ! Ofélia : |
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| Sujet: Re: Attention à celui qui m’appelle « Lilly » – Lyllian-Aaron McLochlainn Lun 11 Avr - 20:38 | |
| Bienvenue sur Malum Discordiae ! (Ou rebienvenue a priori mais tu m'intrigues là ! ) Bon courage pour ta fichette ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas ! Petite question de ma part : Lilly (/pan) est à la Colonie ou en dehors du coup ? |
| | | Jean E. Sylar MISS ARC-EN-CIEL ∇ localisation : Actuellement en halte au Camp Jupiter. ∇ messages : 434 ∇ parmi nous depuis le : 18/01/2016
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| Sujet: Re: Attention à celui qui m’appelle « Lilly » – Lyllian-Aaron McLochlainn Lun 11 Avr - 21:13 | |
| Hihi je t’intrigue la Mercedes ! (tu paies ton Lilly xD) ? On va dire un bienvenue. J’ai connu le forum sous Divina Bellum enfaite Et non, il n’est plus à la Colonie, car j’avais déjà réfléchie, j’ai peur qu’il se fasse chier à 30 piges avec des mômes J’ai rien contre les adolescent de la Colonie hein Merci pour tout vos messages d’acceuil ! Vous êtes ultra chaleureux ici <3 Je prends de vos encouragements aussi, va m’en falloir o/ *repars corriger ses fautes !* |
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| Sujet: Re: Attention à celui qui m’appelle « Lilly » – Lyllian-Aaron McLochlainn | |
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| | | | Attention à celui qui m’appelle « Lilly » – Lyllian-Aaron McLochlainn | |
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