Bienvenue sur MALUM DISCORDIAE!
Pour les nouveaux petits arrivants, direction le GUIDE qui vous permettra de mieux vous débrouiller sur le forum !
Quoi de neuf sur MD ? Viens te tenir au courrant des dernières nouveautés par ici !
Nous sommes actuellement janvier/février 2019 sur le forum ! Pour toutes demandes liées à la chronologie et aux intrigues/contexte, merci de vous référer à Jean E. Sylar !
Découvrir la chronologie et suivre l'actualité RPG au jour le jour ? C'est possible ! Viens écouter la RADIO HÉPHAÏSTOS !
Sujet: « La mort rattrape ceux qui la fuient » Horace. Mer 10 Aoû - 16:15
- Vladimir Zaleska -
dossier n°6631-40 ; informations générales.
NOM •• Zaleska, il porte le nom de sa mère. PRÉNOM(S) •• A sa naissance, ses parents l’avait nommé Andrei. Pour plusieurs raisons, il a voulu changer lorsque l’occasion se présenta. Il a demandé lui-même Vladimir lorsqu’on lui a refait des papiers officiels, pour qu’on puisse l’appeler « Vlad », trouvant qu’il avait la tête de l’emploi et que ça rappellerait certaine de ses origines. Le nom de famille n’a pas été changé, il n’en avait pas besoin et ça faisait beaucoup moins de paperasse à falsifier. SURNOM(S) •• Vlad ou assez souvent « Pauvre con » ÂGE •• 33 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE •• 26 Septembre 1983 à Las Vegas, Etat-Unis. NATIONALITÉ •• Américaine ORIGINES •• Son père était russe, et sa mère est d’origine russe et tsigane (sédentaire) originaire de Roumanie et plus précisément de la région mystérieuse de Transylvanie. Ils ont tout les deux la nationalité américaine, sa mère de naissance et son père l’ayant obtenu avec le temps. OCCUPATION •• Faire peur aux vieilles et aux enfants dans la rue. Puis débarrasser les rues de ce qui blasphématoire. ORIENTATION SEXUELLE •• Il ne s’est jamais posé la question STATUT CIVIL •• S’il avait été marié, il serait veuf. Non mais disons célibataire et vaut mieux. Un truc pareil ne devrait pas avoir l’occasion de se reproduire en formant une famille. MEMBRE DU DLCEM DEPUIS •• 2 ans ARME FÉTICHE •• Un revolver calibre .500 winchester et une sulfateuse nommée « Maria ». Et bien sûr son sniper, mais ça c’est vraiment pour le plaisir de tirer.
☞ CARACTÈRE.
instable et impulsif, mais vraiment. Il est capable de vous exploser la face contre une table ou un mur parce que quelque chose ne lui a pas plu. Mesquin, mauvais, bourru, il est aussi fêlée, peut se montrer tendre et attentionné, froid, violent, véhément, colérique, impatient, hyperactif, toxico, paranoïaque, passionné, franc, torturé, fragile, taquin, séducteur, irrespectueux, libertin, solitaire, charismatique, carpe diem, impliqué, discipliné à sa façon, …
☞ QUELQUES ANECDOTES.
01. Il est fasciné par les armes et ça depuis bien longtemps. Il a un vrai arsenal chez lui, que ce soit des armes utiles, destructrices ou récentes, mais aussi des anciennes, qui date d’une autre époque. Il est prêt à y investir beaucoup d’argent. 02. Il est entré à l’USMC (U.S. Marines Corps) vers ses 22 ans. Il est passé de soldat à chef d’unité avant de se spécialisé dans le tir et l’artillerie lourde et finir à l’Académie Navales d’Annapolis afin de devenir officier chez les marines. Il en ressort promu : Second en chef dans les Forces Spéciales chez les Marines. Il a fini par fuir et était techniquement (si on le savait vivant) recherché par l’armée afin de faire des années de prison avant qu’il ne rejoigne le DLCEM. 03. Pour lui, la religion est importante. Sa foi est comme un héritage de sa famille. Sa mère l’avait toujours rassuré lors des coups durs en lui disant qu’on le protégeais et qu’un jour ses peines seront récompensées. Les prières l’ont empêché de pleurer et d’avoir peur plus jeune. Bon c’est sûr que son comportement à côté... Disons qu’il prie et se confesse beaucoup. 04. On a découvert son soucis métabolique une fois alors qu’il avait 10 ans et était tombé de l’arbre du vieux jardin mal entretenu de la maison. Il avait fait une hémorragie interne et on a pu déceler qu’il n’y avait pas de connexion entre son cerveau et ses nocicepteurs (neurotransmetteurs de la douleur). 05. Il a une phobie des abat-jours. Il a des réactions un peu étrange, entre la peur et le dégout. Il n’y en a aucune chez lui et s’il reste trop longtemps chez vous, vous en aurez plus non plus. 06. Il a eu deux relations sérieuses. La première qui l’était plus que l’autre mais elle a fini par partir, alors qu’il était passé officier chez les marines. Le soucis était qu’elle voulait fonder une famille, mais il n’était jamais là et surtout pas encore prêt. La deuxième, c’était il n’y a pas si longtemps. Ce n’était pas l’amour de sa vie, mais ils s’entendaient bien. Autant qu’une tarée pouvait s’accrocher à un fou comme lui. Une ancienne amie toxicomane qu’il avait rencontré d’abord dans la rue et plus tard dans un centre de désintox pour un groupe de parole. Il y avait un monstre qu’il avait énervé, ils ont grimpés sur un toit et il a voulu la sauver. Il la poussé pour éviter que l’être blasphématoire ne lui atterrisse dessus, sauf qu’elle était au bord du bâtiment. C’était dur et étrange à la fois sur le moment. Maintenant, il ne s’en encombre plus. Il a prit une chienne à la place. Non ce n’est pas un mauvais jeu de mot. 07. De ne pas sentir la douleur, il ne se considère pas comme vivant. Il n’est qu’une enveloppe qui ère sur la terre, mort depuis sa naissance. Il le voit comme une mission de la Vierge Marie qui l’a ainsi fait pour qu’il puisse se débarrasser de tous les blasphème du monde, dont la plus arrogante : cette puissance païenne qu’affiche la mythologie. Ce qui explique aussi qu’il n’ait peur de rien quand il se bat. Il est mort après tout… Après, ce n’est pas qu’il n’a pas peur de mourir, il ne sait juste pas quand est-ce que ça va arriver. 08. écrire une anecdote sur votre personnage. 09. Il a déjà travailler comme croupier quand il était encore sous l’aile de son paternel, et a aussi tenu un établissement de combat clandestin dans une cave lors de son temps mort entre l’armée et le DLCEM. 10. Ses tatouages c’est parti sur un coup de tête. Il s’est toujours vu comme mort et ainsi recouvert, on ne le reconnaitrait pas facilement. Puis qu’il lui manque une case. Il a commencé lentement ses tatouages durant l’armée, et la finalisé en le quittant. 11. Il est dément, il ne le sait pas. Il n’a jamais été suivi, ou très peu. Par pur hasard en désintoxication. Enfin, il se doute que quelque chose cloche, mais rien ne l’a aidé à tempérer ou calmer sa névrose qui lui a donné gout au combat et à la destruction et le pousse à toujours mentir quand il est question de parler de lui. Surtout qu’il voit pas pourquoi il se ferait « aider ». 12. Il a vécu beaucoup de temps à la rue et ce qui lui a permit de tenir la tête hors de l’eau sans se noyer de ses noires pensées c’est le crack et le cristal-met’ voire d’autre drogue dure. Donc s’il a des troubles du comportement compulsifs, ce ne sont que des stéréotypies dû au manque et à tout ce que ça a pu cramer dans son cerveau. 13. En réalité il est fils d'un chef de cartel russe qui domine beaucoup de quartier à Las Vegas. Ainsi que dans le trafic illégal d’arme et a sous sa domination quelques petits cartels de drogue. Sa mère n'était pas sa compagne officiel ce qui fait de lui un fils illégitime or il a su convaincre malgré lui son père d'être le digne héritier de ses affaires. Il ne fallait pas croire, mais de tous ses enfants, c’est Andrei qu’il aimait le plus. Ce qui attisa la jalousie des autres enfants de son père. A 19 ans de peur des responsabilités et n'ayant pas envie d'évoluer dans ce monde surtout après la mort de sa mère il est partie en prenant une grosse somme d'argent. Il a parcourut l'Amérique jusqu’à tout épuiser dormant dans sa voiture pendant longtemps et quand cette dernière se retrouva à la fourrière, il a fini à la rue puis des squat avant de s'engager chez les marines. On ne fit jamais le lien avec sa famille sous surveillance et pas méconnu des fédéraux car il porte le nom de sa mère et qu’il a su se faire oublier. Il ne veut de toutes les façons rien à voir avec eux, y être lié ou quoi que ce soit. S'il est parti ce n'est pas pour rien. Ce qui est aussi une des raisons de ses tatouages. Il ne sait si son père le recherche et il ne préfère pas le savoir. 14. Il parle russe et roumain, mais s’en sort mieux en russe. Il sait aussi le lire et l’écrire. 15. Sa mère est née en Amérique, et comme elle, elle a élevé son fils avec des valeurs et des principes tsiganes. C’est surtout dans son éducation religieuse mais aussi dans la loyauté et dévotion envers sa famille, vivre de façon communautaire et que rien d’autre ne lui est précieux. Femme battue, et qui a fini par succomber au courroux du chef de cartel, Andrei s’est retrouvé libre de tous ses engagements. Certes, avec son père : la famille, c’est la famille ! mais il n’a rien à lui devoir pour lui. Fils illégitime, il la regardé détruire sa mère petit à petit alors qu’elle était la seule à peu près normal dans l’univers d’affaire illégales où il a grandit. 16. Il travaille sur le spot du DLCEM à New-York. Il peut lui arriver d’aller à S.F. mais il préfère de loin N.Y.. Forcément, San Francisco est une belle ville mais trop proche de Las Vegas. 17. Il n’a jamais su pourquoi il pouvait voir à travers la brume. Un accident de parcours qui lui a développer sa vision, ou peu importe. Pour lui, c’est qu’il a été sollicité d’une mission divine, celle de sa religion pur et monothéiste : nettoyer le monde de ses impuretés. 18. Il est bordélique depuis toujours et est devenu avec le temps chaotique et désorganisé ainsi que dispersé. Mais ne déplacé jamais rien dans son bazar qu’il dit « organisé » car s’il apprend qu’il a cherché des heures quelque chose qu’il n’a pas lui même déplacé, ça va chier des bulles. Il retourne les bureaux s’il le faut pour trouver le coupable. 19. Il avait 8 ans quand il vit quelqu’un mourir pour la première fois. Il était dans une chambre et jouait tranquillement. La porte était entrouverte. Il y eut un coup de feu discret et le bruit mat du corps qui tombait. Il vit alors le visage de l'homme que son père avait fait abattre à même le petit salon de l’hôtel. Il vit son regard se vider de son âme. Il fut terrassé et rassuré comme il le pouvait par sa mère qui était avec lui dans la chambre. Après, c’est devenu une habitude. Une année après, il tirait pour la première fois avec une arme (sur des bouteilles dans le désert de Las Vegas). A 10 ans, il savait les démonter et les monter. A 15 ans, il savait de qu’elle arme il hériterait quand il le pensera prêt. A 17 ans, il avait sa première arme. 20. On compare souvent son unité au Suicide Squad de DC. Surtout depuis la sortie du film, mais il est loin de Diablo, il est plutôt efficace à la Deadshot. Le service de son petit groupe est souvent demandé pour des missions importantes de combat/bataille ou de grosse extermination. Ou alors dans le cas de demi-dieu difficiles à attrapé où une escouade très bien organisée et entrainée n’arriveraient à rien alors on envoie cette escouade complètement désorganisée et violente pour faire le travail. Ils ne réfléchissent pas et agissent. Ils n’ont que faire des dommages collatéraux qu’ils soient humain ou matériel. Heureusement, ils sont peu. 21. Il est capable de remonter quatre arme différentes les yeux fermé. Il s’entraine sur le lance-rocket en ce moment. 22. Il mesure presque deux mètres. (1,98 pour être précis)
interview de Vladimir Zaleska, agent du dlcem.
01. •• VOYEZ-VOUS À TRAVERS LA BRUME ? SI OUI, À QUEL DEGRÉ ET COMMENT VOUS EN ÊTES-VOUS RENDU COMPTE ? S’il vous lui posiez la question, il vous répondrait : « bah quand j’ai remarqué que j’étais tout seul à les voir ». Il a toujours pensé qu’il n’avait pas qu’un soucis de nocicepteur (douleur), mais aussi avec les neurotransmetteur plus complexes dans sa tête, qui lui permettre de ne pas être touché par la brume. Comme si ses cellules étaient inexistantes, occupées ou il ne sait et qu’il ne peut être bluffé par un peu de brume « magique ». Sauf que c’est magique et qu’il n’a jamais su pourquoi lui les voyait. Ses parents l’auraient peut-être bercés trop près du mur. Ou une mission divine comme il aime le penser. Par contre, il ne voit pas parfaitement à travers la brume, pas aux premiers abords en tout cas. Il sent d’abord que quelque chose cloche, ou alors un changement brusque et c’est là que ce qu’il pensait voir n’est pas finalement. Ca a commencé dès l’enfance, mais il s’est posé réellement des questions vers son adolescence.
02. •• AVEZ-VOUS DES CONNAISSANCES DE L'EXISTENCE DES MONDES MYTHOLOGIQUES ? SI OUI, À QUEL DEGRÉ ET COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LEUR EXISTENCE ? QUE PENSEZ-VOUS DE LA MYTHOLOGIE ? Il en a toujours eu su l’existence, ou presque. Il ne pouvait mettre un nom dessus. Il avait bien fait des recherches alors qu’il était tombé sur une image de créature dans un livre qui se nommait « Bestiaire fantastique ». Il n’avait jamais réellement fait le lien encore. Jamais il ne s’était imaginé qu’il y avait tout un monde mythologique qui vivait encore. Quand le DLCEM lui expliqua brièvement ce à quoi il avait à faire, il resta bien un moment choqué. C’est dur pour un pieux comme lui, qui pensait que seul le Christ était éternel et créateur de la vie. Après, vu ce à quoi il pouvait servir, il a du se renseigner et étudier dossiers, mais aussi livres d’histoires et de légendes, etc... Ce qu’il en sait maintenant en résumé : la base de la vie mythologique, enfin des dieux. Puis qu’à ce jour, ils continuaient à faire des enfants dotés de pouvoirs, qu’il existe deux camps qui les protègent et que des bêtes sont à leurs trousses. Juste assez pour comprendre comment les éliminer et à quoi s’attendre avec eux. Et il s’implique beaucoup à mieux en savoir sur son ennemi. Ce qu’il pense de la mythologie ? Tout simplement que ce n’est qu’une invention de satan, qui n’est là que pour tenté et rendre encore plus faible l’humain. Par contre, il aime beaucoup les histoires et légendes de fesses et de tortures ou coups bas des dieux.
03. •• QUELLE EST VOTRE PLACE DANS L'ORGANISATION ? POURQUOI ET COMMENT L'AVEZ-VOUS REJOINTE ? Il est officiellement armurier au DLCEM, mais il est aussi agent de terrain de grade 4 et compte parfois une petite unité, qu’on lui impose ou qu’il choisi. Il est souvent demandé pour les grosses intervention, ou alors les cas un peu plus compliqué et délicat comme dernier recours. Alors ne vous fiez pas trop à ce qu’il vous raconte, il ment comme il respire, même s’il préfère dire qu’il raconte simplement des histoires. Pour le coup, il est réellement tombé sur le DLCEM par hasard. Un heureux hasard. Il s’est retrouvé au milieu d’un conflit entre monstre, demi-dieu et DLCEM en pleine ville. Il a été embarqué comme d’autre et on lui fait passer un interrogatoire après avoir glaner quelques informations sur lui. Ils ont découvert qu’il n’était pas un demi-dieu et un simple mortel qui peut voir à travers la brume. En plus de ça, c’était un ancien militaire. Un officier même. Dur à croire vu son allure. Ils ont pu voir sa détermination, et surtout ses motivations, il entra au DLCEM. Pourquoi il aurait rejoint le DLCEM, parce qu’on lui a donné un os à ronger, ou presque. Disons que ça l’occuperait s’était-il dit et qu’il la senti au fond de lui, que c’était là qu’il devait être. Il a aurait été touché par la grâce divine. Ce n’est qu’une mission que la Vierge Marie lui aurait donné. De voir à travers la brume, sa route qui croisa une carrière de U.S. marines. Ce n’était qu’une préparation préliminaire pour pouvoir porter sur ses épaules sa quête d’une vie. Puis surtout que ça l’occupe et il s’est trouvé une place où il est bien payé et qui lui va pour l’instant.
04. •• AVEZ-VOUS PARTICIPÉ À L'INTRUSION DES CAMPS ? QU'ÉTAIT VOTRE RESSENTI ALORS ? Il ne s’est jamais senti aussi utile et affecté d’une tâche aussi importante depuis qu’il a vu des demi-dieux en action et les as descendu. Il a bien participé à l’intrusion des camps, envoyé chez les romains. Ses supérieurs se sont dit que ça lui donnerait un peu plus de défi. Il n’avait simplement pour ordre de se tenir à l’écart et à l’abris des regards indiscret afin de protéger ses collègues en tant que tireur. Dès qu’il serait vu, il devait partir. C’est ce qui s’est passé, même s’il en a abattu un ou deux, parce qu’ils étaient tout juste dans sa cible. Il fut malheureusement très vite repérer mais eu lieu d’écouter les ordre et partir, il n’a pas pu s’empêcher de s’inviter à cette fête silencieuse et nocturne. Il a pénétré dans le camp Jupiter avec les autres agents. Et il n’a pas fait dans la dentelle. Il n’avait pas hésité et n’a même pas dormi de la nuit, complètement excité et stressé à l’idée d’en être. lorsqu’il appris qu’ils avait trouvé un moyen d’entrer, il était comme un enfant avant Noël. Il a quand même eu peur, mais c’était comme ça. C’était son travail et il avait l’habitude d’avoir peur. Bien heureusement, c’est ce qui arrivait à lui rappeler de rester envie.
à propos du joueur.
PSEUDO/PRÉNOM •• Kiwi ÂGE •• 26 ans COMMENT AS-TU CONNU MALUM DISCORDIAE ? •• C’est mon 4e et dernier compte (a) COMMENT TROUVES-TU LE FORUM •• Bah euh, comment innover ? Moi je l’aime toujours autant ! Des membres et une équipe de fou ! Puis pour de l’esthétisme, miom ! AVATAR •• Rick Genest. SOUHAITES-TU UN PARRAIN ? •• Nop =) UN DERNIER MOT •• Love ya !
Sujet: Re: « La mort rattrape ceux qui la fuient » Horace. Mer 10 Aoû - 16:16
HISTOIRE
Lane Boy - Twenty One Pilot
« Mais pourquoi je suis là déjà ? » se demanda t-il en jaugeant la pièce, tapotant ses doigts sur son ventre, assit sur une chaise. Immense, il avait l’air de déborder sur un siège enfant. Il y avait un homme à l’air sévère qui faisait les cents pas de l’autre côté de la table qui les séparait, secouant une chemise marron entre les mains. « On se demande comment je suis arrivé ici ? »
« Mes parents sont morts. Ils se sont fait assassiner. Non c’est pas vrai, ou peut-être. Ce n’est jamais la même histoire. Un accident de voiture, un cancer, suicide… La vérité c’est que je m’en rappelle plus. Je sais que c’est vers mes seize ans ou dix-huit ans – on s’en fou, j’ai dis au pif – que je les ai perdus et que j’ai connu ma première famille d’accueil. Je venais d’une classe moyenne, presque pauvre et j’ai grandi comme du chien-dent. Ca fait pas un peu trop la famille d'accueil ? Non c'est bien. Ca fait plus sincère et vrai. Je vous explique, rien n’est vrai ni faux dans ce que je dis. Y’a des choses, je préfère me les raconter pour oublier certaine réalité. Je me suis barré et j’ai vécu une grande partie à la rue avant de squatter ici et là… Chez des prostitués ou des danseuses et je les remercierais jamais assez d’avoir veillé sur moi. Après j’ai fais quelques boulots ici et là, officiellement ou non. Puis vers mes vingt ou vingt et un ans, je me suis engagé chez les marines. Il y avait un gars au bord d’une plage à l’est de la Floride qui racolait pour trouver des candidatures. Je me suis dit : aller go ! Le pire c’est que j’ai adoré ça. Toujours le premier levé pour aller m’entrainer. Ils ont essayé de me traité comme de la merde, m’intimider par la force sauf que ça ne marchait pas avec moi. Ca sert à rien de vouloir me frapper ou me faire mal physiquement. Après bon ils avaient d’autre chose en stock. L’humiliation, l’harcèlement moral. Je me laissais souvent abattre j’étais jeune mais ça m’a forgé. Je pensais pas qu’il pouvait y avoir pire que ma famille. Et y’a eu des jours où je craquais et je le regrettait bien. Leur truc, vu ma taille et la force que j’avais avec une décharge d’adrénaline c’était de m’enfermer au trou. Ces salles toutes petites où il n’y a rien et on a beau hurler ils ne vous entendent pas. Malgré tout j’ai gravis les échelons, je suis resté et je faisais mon devoir. Je n’étais pas un exemple, car j’ai un fort caractère et que je suis un peu fêlée et surtout irresponsable et dangereux sur le terrain. Moi les dommages collatéraux, je m’en fou. Ils n’ont qu’à ne pas rester dans la trajectoire de mes tirs ou mes coups. Bon j'essayais de me tenir quand même car j'étais bon dans ce que je faisais. Puis que je vous l’ai dis, ça me plaisait. J’étais fais pour ça, me battre et détruire. Et surtout les armes. J’adore les armes, toutes ! Arme à feu, arme blanche ou contendante,… J’ai été tireur d’élite au sniper pendant trois ans, ensuite je suis passé à plus gros : spécialiste d’arme. Les gros engins qui font de gros dégâts. J’ai toujours été fasciné par les armes et la destruction, je l’ai déjà dis ? Les incendies, les bombes, les catapultes aussi. J’adore le fonctionnement des catapultes ! Si simple et ingénieux. Avec rien on pouvait détruire des châteaux. Après j’en ai eu marre et je suis parti. Dommage j'étais gradé. Une mission où on s’est fait attrapé et que je les ai vu buter et torturer mes frères d’armes les uns après les autres. Enfin c’est pas plus mal qu’ils soient mort, surtout Jones. J’ai failli le descendre et s’il était revenu vivant, j’aurais fini en prison à vie je pense. Mais il allait nous trahir ! Code de conduite des Marines, on ne divulgue aucune information qui pourrait nuire à mes camarades où à ma patrie. Bordel ! Article VI : « Je n'oublierai jamais que je suis un Américain, que je combats pour la liberté, que je suis responsable de mes actes, et résolu à défendre les principes qui ont fait mon pays libre. J'aurai confiance en mon Dieu et dans les ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE. » qu’il assume ses actes ! Heureusement pour lui, nos geôliers l’ont buté avant moi. Vous savez comment je m’en suis sorti ? Ils m’ont demandé d’en descendre un. Je l’ai fais. J’ai collé le canon du flingue sur son front de sang froid, et j’ai tiré. J’ai quand même détourné les yeux. Je pense que ma tête s’est fêlée à ce moment. La fois de trop. L’idée c’était d’avoir un flingue dans les mains et de choper le leader. J’ai réussi et je l’ai abattu en route, perdu au milieu du désert. Je me suis senti vivant pour le coup et j’ai eu peur de mourir alors que je me considère comme mort. Une sorte d’instinct de survie peut-être. Bon le soucis d’avoir fui, c’est que je suis un peu recherché et que j’ai de la taule à faire. Okay, les tatouages m’ont un peu aidé à ne pas me faire choper. Mais pas que ! Je peux faire peur aux gosses avec aussi. Et les mémé…
« J’ai fini chez eux. Le DCLEM. Par euh… hasard on peut dire ça oui ! En tout cas, c’est eux qui m’ont aidé à me cacher. Je me suis retrouvé dans une attaque de monstre et comme j’ai toujours eu l’habitude de les voir, j’ai réagis. J’étais pas le seul dans l’histoire et alors que je tuais des monstres et sauvaient des gens (autant que j’ai pu, mais surtout ma peau à moi) je me suis fait embarqué comme un malpropre. On m'a caché le visage et baladé dans une camionnette avec des menottes qui s’enfonçaient dans mes poignets. On m’a balancé dans une salle. J’y suis resté quoi ? Plusieurs heures. J’avais le droit à la vue, enfin décapuchonné mais toujours les mains liées. J’ai pris mon mal en patience, leur demandant qui ils étaient : flics, fédéraux, l’armée, le M.I.B., … Pas de réponse, un peu comme une cellule de dégrisement. Et là, soudain, ils sont arrivés à plusieurs. Ils sont entrés et ils m’ont forcé à m’asseoir sur la chaise que j’avais balancé contre le miroir teinté. Les bras désormais fixés à la table, ils ont bien pris plusieurs minutes pour me maitriser. J'allais pas les laisser faire facilement non plus. C'est un principe. Je dépassais la majorité des hommes de deux têtes. La journée des hobbits ! J’allais commencé à décliner mon identité comme une triste habitude quand finalement on ne commença pas par les présentations. « Tu es un demi-dieu ? » je sais que je suis grand et puissant mais de là à me traiter de ça. Je disais parfois que j’étais un super-héros par rapport à mon problème médical j'avais jamais pensé à cette expression. Ils avaient lu mon « dossier » qu'ils disaient et me demandaient si mon soucis médicaux n'était pas une excuse pour expliquer certains "dons". Et surtout pourquoi j’étais déclaré disparu, éventuellement mort. Pour faire court, j’ai démenti et ils ont posés milles questions et je comprenais pas un mot de ce qu’ils disaient. C’était vague et mystérieux, avec des questions vraiment étranges. Comme si Ovide était venu les posséder. Ils ont sortit une arme. Un glaive. J'ai rigolé sur le coup et quand deux hommes m'ont plaqué la main sur la table prêts à me réserver le sort d'un voleur d'antan dans un pays d'orient, j’ai eu peur. Je me suis débattu voyant déjà ma vie défiler. Finalement j'ai rien senti. Simplement parce que ça ne m'avait pas touché ni même coupé. Et pourtant la lame avait violemment frappé la table. « On vous libère » ont-ils osé dire. Sauf que là, c’était moi qui avait des questions à leur poser et ce qu’ils ont bien voulu me dire m’a plus. Ce ne fut pas facile d’obtenir des informations. Mais ce qui me turlupine dans cette histoire, c’est qu’ils ont fini par me répondre… Ils avaient mon « dossier », dossier qui sortait d’où ? Aucune idée. Donc aucune idée de ce qu’ils avaient sur moi entre leurs mains. Et si ce n’était qu’une carotte ? Ils savaient que je pouvais leur être utile si ça m’intéressait. Je l’ai vu le chauve regarder le blond à lunette en lui montrant quelque chose de ce dit « dossier ». Bref… Ca va encore me rendre méga-parano d’y repenser. J’ai fini par insister pour entrer chez eux. Ils ont dit non. J’ai dis que j’étais spécialiste en arme chez les marines, et ancien sniper. Ah et que je suis passé officier. Là, ils ont prit plus de temps avant de me donner une nouvelle réponse. Et si en réalité je ne leur avait rien appris. Une simple manipulation. Ils ont agité un morceau de viande devant un fauve affamé. Ensuite on s’est apprivoisé et me voilà agent du Département de Lutte Contre les Etres Mythologiques. En gros, je détruis ce qui est impie. Puis surtout cela voulait dire que j’étais pas dingue. Et voilà comment je suis arrivé ici. J'ai résumé hein ! Et pour le coup ça c'est vrai. J'y suis bien. Ca m’occupe l’esprit, ils m’ont fait disparaitre, j’ai eu des nouveaux papiers officiels, puis je suis super utile et même s’ils râlent, ils aiment ma petite folie. Ma folie sanguinaire et que je suis pas casse-couille pour le confort ou les risques. Je m’en fou. Après la rue et les marines je suis pas difficile sur mes conditions de travail. On me dit « tues-le lui » et j’y vais. Et je ne m’arrête qu’une fois fini. Je vous conseille de me tirer dans les jambes, car même avec un bras en moins, je continuerais d’avancer. Non enfaite, c’est comme les zombies : un tir en pleine tête. Car je peux toujours ramper. Je leur suis dévoué et efficace. Ma nouvelle vie c’est « eux ». C’est bien grâce à eux que je vis sous le nom de Vladimir Zaleska et non plus le Andrei qui se cachait. Si ce qu’ils cherchaient c’était de faire de moi un pantin, bah je dois bien dire qu’ils ont réussi. Je suis toujours là et même si je donne l’air d’en faire qu’à ma tête, je fini par le faire ce qu’ils veulent. Enfin sous certaine condition. Je suis instable, mais ! J’ai pas peur de me faire mal et c’est un plus pour eux. De la chair à canon.
« Au début, j’allais souvent sur le terrain, mais j’y vais beaucoup moins… Disons que je fais beaucoup de dégâts par seconde ou sur un certain périmètre. Ils ont vite remarqué que j’étais moins dangereux et plus facile à gérer dans les locaux. En fait je suis utile quand ils n'ont plus rien d’autre pour s’en sortir face à des monstres dans des corps d’adolescent. Alors, c’est moi qu’ils envoient. En gros, je suis leur arme de destruction massive. Quand j’arrive tout le monde dégage devant moi. C’est magique, je suis comme Moise. Même les agents, ils se barrent. Je viens jamais seul, j’ai ma grande copine Maria, une sulfateuse. Sinon, j’utilise beaucoup de chose comme des lances grenade ou roquette, des grenades tout court, explosifs inflammables, euh… Quoi d’autre. Fusil d’assaut, usil, une machette aussi… Ah ouais, mon arme de poing, rien que de la recevoir dans le cul elle te ferait mal, imagine ses balles. Et bien sûr, je dépanne en tant que tireur sniper. Donc vous imaginez bien que je ne suis pas souvent sur le terrain. Ils m’appellent quand ils ont besoin. Alors j’ai d’autre utilité enfermé dans leur Q.G. comme être le référent en arme. Je suis le maitre de l'armurerie, du moins quand je ne suis pas au combat. Je m’en occupe, je les surveilles, je les nettoies, les répares ou les améliores. Je sais même fondre et mouler du bronze céleste depuis peu. On s’est dit que ça pourrait servir si jamais celui qui le faisait n’était pas présent.
Les pieds sur la table, avachi dans sa chaise, il avait le regard perdu et les mains derrière la tête comme s’il profitait du soleil à la plage. L’homme de l’autre côté de la table, debout tenant un dossier avec plusieurs feuilles énumérait ce qui y était écrit. Il frappa violemment du poing sur la table quand il remarqua que l'agent Zaleska ne l’écoutait pas du tout. Ce dernier eut un bref sursaut, mais ne bougea pas de sa position indolente. « Ho ! Je te parle ! Sors un peu de ta tête et reviens au monde réel. Les papiers, les chiffres- _Ouais ! Ouaaais ! Les sous, j’sais. Moi je dirais pour ma défense qu’il fallait pas m’envoyé si vous étiez pas capable de finir les fins de mois. Vous le savez. Si je suis efficace c’est parce que je ne m’encombre pas des gens ou du décor. Fallait réfléchir. Vous savez que je vous coute cher. _C’est trop facile de se cacher derrière ces excuses ! Je veux dire, se reprit t-il plus calmement pour ne pas s'emporter, fais un effort et retiens toi un peu bordel. T’étais vraiment obligé de faire exploser le petit dinner au bord de la rue ? _Non, mais c’était beau… Boooom, mima t-il avec ses mains l’onde de choc d’une explosion. _Dégage de mon bureau ! Et la prochaine fois- _Oui, je me retiens de tout casser, coupa t-il son supérieur. _Oui ou je te retire tes armes… Tu partiras au combat avec un glock. »
Et là, il se figea alors qu’il avait bondit de sa chaise prêt à récupérer sa liberté et regardait le supérieur de grade 2 le fixer d’un air satisfait. Il avait frappé là où ça faisait mal. Le soldat claqua sa langue et quitta le bureau en claquant la porte si fort qu’il lui restait la poignée entre les mains. Il retint un ricanement et le lança à un confrère qui passait dans le couloir avant d’en retrouver un autre qui l’attendait au bout. L’homme à la large carrure lui sortit une barquette où se trouvait ses affaires. Il y avait son arme de poing, un révolver .500 Winchester dont le canon était colossale et à la proportion de son propriétaire qui mesurait pratiquement deux mètres, un couteau papillon et un cran de sureté. Il récupéra son zippo et ses cigarettes, puis rangea tout dans ses poches. Il s’éloigna, faisant tourner son arme sur son doigt avant de le ranger dans son holster, tel un cowboy macabre qui faisait claquer ses rangers dans le couloir immaculé et silencieux.
Il arriva alors dans ses locaux très bien gardé vu qu’il y avait en grande partie l’artillerie de l’agence. Muni de son trousseau de clés avec beaucoup trop de clés, il pénétra alors dans son antre. Les néons d’un blanc immaculé dignes de ceux d’une salle d’opération s’allumèrent progressivement. Sur une surface de travail frôlant les 3 mètres carrés il y avait sa fameuse Maria, démontée pour un récent nettoyage et surtout les munitions qui accrochaient un peu trop à son gout. C’était à étudier. Sur un mur était alignés plusieurs fusil d’assaut identique, sur le mur perpendiculaire des armes de poings. Il n'y avait que ça de parfaitement rangé. Partout ailleurs régnait un bazar dans lequel seul Vladimir pouvait se retrouver. Et encore. On pouvait l'entendre beugler des couloirs parce qu'il ne retrouvait plus ce qu'il avait posé il y a de ça quelques minutes. Les outils s’éparpillaient ici et là : lime, tournevis, pointes, scies, chiffons, ou encore de quoi faire des soudures dans un coin de la pièce. Il y avait plusieurs portes, dont une qui donnait sur l’extérieur, un petit bout de jardin où il pouvait tester ses armes. Juste les plus discrètes…
Il s’assit sur un des tabourets à roulette près d’un établi et attrapa son fusil snipers pour juger de sa précision en jetant un coup d’oeil dans la lunette. La même arme qui lui avait servit lors de la première attaque du DLCEM. Monté en hauteur, allongé sur une roche, il les avait descendu les uns après les autres de sang-froid, précis et discret. Enfin, juste assez longtemps pour assurer au mieux la sécurité de ses collègues avant d’être repéré et de devoir partir. C’était le plan : tuer et si on le trouvait qu’il parte. Ils ne voulaient pas encore de gros débordement. Sauf qu’il n’a pas pu se retenir et arriva au coeur de l’intrusion chez les romain malheureusement sans sa Maria. Sans masque, sans protection, il est arrivé dans le tas et ce fut un exécution encore plus sanguinaire qu’elle ne l’était déjà. Bien sûr, à peine arrivé sur le front, il fut l’un des premiers objectifs des sang-mêlées qui se concentrèrent pour se débarrasser de lui le plus rapidement possible. Assez vite pour qu’ils leur restent des frères et ainsi l’affronter. Il dut même abandonner son sniper pour venir coller une balle pleine tête à une demoiselle trop ambitieuse de son .500 winchester. Sa tête explosa littéralement. Il se mit à rire de façon démoniaque : « Mohahahahah ! » et un de ses frères de combat lui donna un violent coup de poing dans l’épaule : « Arrête ça, c’est nul. _Ah okay. J’étais persuadé que ça le faisait... » s’était-il subitement arrêté comme si de rien n’était, un peu déçu, avant de retirer le fusil à pompe dans son dos pour reprendre sa mission. Il est ressortit avec une convalescence d’un mois, à cause d’une double fracture de l’humérus et les deux bras dans le plâtre aussi. Ce qui était sûr c’est que ces deux assauts ne l’avait pas refroidi et qu’il était toujours plus déterminé à les rayer de la carte. Dès le premier qu’il avait abattu dans sa carrière, il s’était dit que ce n’était pas impossible, alors il était encore plus déterminé à chaque fois.
S’occupant à nettoyer sa sulfateuse, il profitait de la musique qui résonnait dans son « atelier ». Il y passait beaucoup d’heure seul. Peu de personne venaient ou ne restaient pas longtemps. Ils étaient rares à l’agence qui arrivait à le supporter plus de dix minutes, lui ou sa musique ou les deux. Selon chacun, il donnait des frissons et inquiétait, exaspérait aussi, ou pouvait en faire entrer beaucoup dans une rage noire. Il était vrai qu’il était si étrange, mystérieux et qu’on ne savait jamais à quoi s’en tenir avec lui. Personne ne savait rien de lui réellement. De la à dire qu’il n’avait pas de copain, c’était faux. Il en avait et quand sa confiance était scellée mieux valait la conserver et ne pas le trahir. Le soir après sa journée de travail, il s’en alla retrouvé, tard dans la nuit une amie, la seule depuis toujours qu’il avait pu conserver malgré ses vies. Celle qui savait tout de lui, ses pires défauts comme ses qualités, ses blessures et son égoïsme ou ses actes de bonté.
Il poussa la porte d’une église, la capuche tiré sur la tête, soupesant dans sa main son chapelet en pierre. Il prit place sur les bancs du fond. Il y avait deux personnes. Un vieil homme et une demoiselle dont le maquillage coulait d’un noir bleuté sur ses joues poudrés. Bien souvent il n’y avait personne, à part peut-être un religieux qui veillait sur les lieux. L’index timidement replié contre sa bouche, les yeux clos de l’autre il faisait glisser les perles froide en obsidienne entre ses doigts. Il s’imprégnait du silence et commençait ses prières. Comme une douce berceuse venant tout droit de son enfance, chanté par sa mère, sa grand-mère mais aussi ses tantes qu’il avait vu de rare fois. C’était les femmes qui vous éduquaient à cela dans sa famille. Après tout, la Vierge Marie était une femme, ce rôle le revenait comme de droit. Il n’y allait pas tout les soirs, mais ça pouvait arrivé, selon les périodes. Parfois il s’endormait même là-bas. Il s’y rendait après des batailles ou toutes autres missions pour essuyer ses actes mais surtout avant chacune de ses interventions aussi pour promettre de purifier ce monde impie. C’était aussi une habitude, une façon de ne pas oublié son passé, sa naissance, ses épreuves. Personne ne le sait, où alors elles sont très rares. Il n’en parle pas, inventant toujours ses histoires quand on cherche à fouiller son passé ou le connaitre un peu plus. Il a un pied dans des affaires illégales d’une mafia russe, fils illégitime d’un chef de cartel assez dominant à Las Vegas. Il a vécu et vu des choses qu’il n’a pas envie de partager et dont il ne veut plus avoir à faire. Son père est toujours vivant, mais sa mère est morte, car on ne vivait pas longtemps dans ce genre de système et encore main sous la main parfois un peu impulsive et despotique du paternel. Il s’est enfui après avoir perdue la seule personne presque stable de sa vie. La seule qui l’avait aimé et éduqué aussi bien qu’elle le pouvait avec toute la maladresse qu’elle avait. Pour tomber amoureuse d’un homme comme lui, il fallait bien avoir quelques soucis, surtout en étant traité comme une vulgaire maitresse. Il doute que le DLCEM sache ces petits détails de sa vie, mais on ne lui en a jamais parlé, ni fait quelconque allusion. Tant que ça reste sous silence et qu’on respecte ce silence, il s’en moquait.
Il se signa : « Veilles sur ma misérable existence et laisse moi être ta main punitive et expiatoire. Amen »
Sujet: Re: « La mort rattrape ceux qui la fuient » Horace. Mer 10 Aoû - 17:27
(re)Bienvenue parmi nous & bonne chance pour le reste de ta fiche ! Pour ma part j'adore Rick, je trouve qu'il a un charme fou ce monsieur même si les tatoués c'est pas mon genre d'habitude
Sujet: Re: « La mort rattrape ceux qui la fuient » Horace. Jeu 11 Aoû - 17:26
Merci les petit choux :brill:
Lily : haha j’avoue, je suis coupable. Je suis comme de la mauvaise herbe, je me reproduis très vite mais j’ai fini mon évolution. C’est mon petit dernier